Le foot, un jeu de pédé ?
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le foot, un jeu de pédé ?
Je joue au foot depuis que je suis jeune. Heureusement que je joue bien, sinon j’aurais abandonné. Chaque fois que je rentre sur le terrain, les autres se moquent de moi. La rondeur de mes fesses fait que le short les moule à l’extrême. Aussi, ils rigolent. Au cours du dernier match, un défenseur de l’équipe adverse m’a collé pendant toute la partie. Au milieu de la deuxième mi-temps, il s’est fait remplacer. A la fin de la rencontre, comme d’habitude, nous sommes allés prendre la douche et, comme d’habitude, j’ai été le dernier. Comme les douches sont collectives, je n’ai pas été étonné de voir mon défenseur encore sous le jet. Quand je l’ai rejoint sous l’eau, il m’a proposé de me savonner le dos. J’ai accepté. Il m’a frictionné avec le savon et a passé ses mains sous mes bras puis sur le torse. Je me suis laissé faire. D’un seul coup, il s’est emparé de mon sexe et a commencé à me branler. Au moment de l’éjaculation, il m’a enfoncé un doigt dans le cul. Le jet de sperme a été plus puissant et abondant. Il m’a alors poussé vers le mur et introduit sa bite dans le cul. Très vite, il a joui en moi.
Il m’a proposé de m’emmener chez lui et j’ai accepté.
A peine la porte refermée, il m’a déshabillé complètement, lentement. Chaque fois qu’il dénudait une partie de mon corps, il la caressait longuement, léchant ma peau. Quand il arriva au slip, il se mit à genoux devant moi et le descendit millimètre par millimètre, pétrissant mes fesses. Puis il prit mon sexe dans sa bouche et tout aussi lentement, ses lèvres montaient et descendaient le long de mon sexe. Je me raidis doucement et sa langue sur la petite fente de mon gland, faisait monter le plaisir inexorablement Quand il sentait que j’allais jouir, il lâchait mon sexe pour lécher mes couilles. Puis, l’excitation retombée, il recommençait. Les moments de répit étaient chaque fois un peu plus courts. Jusqu’au moment où je n’ai plus pu me retenir. J’ai explosé dans sa bouche. La quantité de sperme que j’ai lâché n’a jamais été aussi importante. J’étais tellement ébranlé que je me suis assis sur le tapis. Il m’a alors retourné et m’a sodomisé. Quand il eut fini, il me releva. Il voulait que je marche tout nu dans la pièce.
Il se branlait pendant qu’il me regardait marcher. Ensuite, il m’a fait mettre à quatre pattes sur le tapis et m’a enculé de nouveau.
Quand je me suis rhabillé, il m’a demandé si je voulais revenir. J’ai dit : Oui !
- Dans ce cas, dit-il, il faut qu’on parle !
- D’accord !
- J’ai des amis qui aimeraient te rencontrer. Certains voudront te baiser et d’autres voudraient seulement se branler en te regardant te mettre à poil. Note bien que d’autres le feront à ta place. Qu’est-ce que tu en dis ?
- Je veux bien essayer…
Pendant quatre ans, de 18 à 22 ans, je suis allé me faire déshabiller et enculer tous les soirs.
Il m’a proposé de m’emmener chez lui et j’ai accepté.
A peine la porte refermée, il m’a déshabillé complètement, lentement. Chaque fois qu’il dénudait une partie de mon corps, il la caressait longuement, léchant ma peau. Quand il arriva au slip, il se mit à genoux devant moi et le descendit millimètre par millimètre, pétrissant mes fesses. Puis il prit mon sexe dans sa bouche et tout aussi lentement, ses lèvres montaient et descendaient le long de mon sexe. Je me raidis doucement et sa langue sur la petite fente de mon gland, faisait monter le plaisir inexorablement Quand il sentait que j’allais jouir, il lâchait mon sexe pour lécher mes couilles. Puis, l’excitation retombée, il recommençait. Les moments de répit étaient chaque fois un peu plus courts. Jusqu’au moment où je n’ai plus pu me retenir. J’ai explosé dans sa bouche. La quantité de sperme que j’ai lâché n’a jamais été aussi importante. J’étais tellement ébranlé que je me suis assis sur le tapis. Il m’a alors retourné et m’a sodomisé. Quand il eut fini, il me releva. Il voulait que je marche tout nu dans la pièce.
Il se branlait pendant qu’il me regardait marcher. Ensuite, il m’a fait mettre à quatre pattes sur le tapis et m’a enculé de nouveau.
Quand je me suis rhabillé, il m’a demandé si je voulais revenir. J’ai dit : Oui !
- Dans ce cas, dit-il, il faut qu’on parle !
- D’accord !
- J’ai des amis qui aimeraient te rencontrer. Certains voudront te baiser et d’autres voudraient seulement se branler en te regardant te mettre à poil. Note bien que d’autres le feront à ta place. Qu’est-ce que tu en dis ?
- Je veux bien essayer…
Pendant quatre ans, de 18 à 22 ans, je suis allé me faire déshabiller et enculer tous les soirs.
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