Le frère d’Enzo (partie 1)
Récit érotique écrit par Gourmande_24 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 8 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Gourmande_24 ont reçu un total de 91 944 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 295 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le frère d’Enzo (partie 1)
Ce soir-là Enzo m’annonça que son frère (que je n’avais jamais rencontré, il vivait en
Italie) venait passer quelques jours chez nous. Ils n’avaient qu’un an de différence,
Giovanni était le plus âgé. Il venait de se séparer de sa copine et était un peu
déprimé.
- Je partage absolument tout avec Giovanni, tu sais…
- Donc tu vas ME partager avec lui ? Et son ex tu l’a baisée aussi ?
- J’ai pas dit qu’IL partageait tout avec moi mais que MOI, je partageais tout avec
lui, me répondit-il en me toisant d’un regard libidineux.
Je captais d’un coup la nuance. Vu que j’avais signé pour lui obéir en tout, qu’il
appréciait déjà beaucoup de m’offrir à ses collègues ou des inconnus, j’allais, bien
sûr, devoir me donner à son frère. Il fallait que je me fasse à l’idée.
Le lendemain, Enzo étant au boulot, je devais aller chercher Giovanni à la gare. Enzo
m’avait dit :
- T’inquiète pas, tu le reconnaitras tout de suite.
En effet, j’avais devant moi le sosie d’Enzo et pourtant ils n’étaient pas jumeaux !
Dans la voiture, j’essayais de nous mettre à l’aise en faisant la conversation. Je
racontais à Giovanni des banalités et m’enquérais de son voyage. Je fis mine de ne pas
remarquer ses regards appuyés sur mes cuisses ou dans mon décolleté. À notre arrivée,
je le conduisis à sa chambre.
- Voilà ta chambre, il y a des couvertures et des oreillers supplémentaires dans
l’armoire. Si besoin tu trouveras des serviettes dans le placard de la salle de bain.
Bon.. ben voilà, je te laisse t’installer, appelle-moi si tu as besoin de quoi que ce
soit.
- Justement puisque tu en parles, j’ai bien envie de te baiser.
Je restais bouche-bée, choquée de ses manières cavalières. Il sortit alors son
téléphone de sa poche et fit défiler devant mes yeux des photos : la première était un
portrait de moi, banal. Sur la suivante je posais nue debout et sur la troisième
j’étais assise sur une chaise jambes écartées un doigt sur le clitoris et un autre
dans la bouche. La quatrième photo était la pire : Enzo m’avait photographiée pendant
que je le suçais. On voyait la bite d’Enzo me sortir à demi de la bouche et je le
branlais de la main. Mes yeux étaient levés vers mon amant dans un regard amoureux. Il
a osé partager nos photos intimes avec son frère ! Pensais-je. J’étais fâchée mais
surtout horriblement gênée et honteuse aussi. Je me sentais trahie. En même temps, ça
ne faisait que confirmer qu’il partageait tout avec Gio, je n’aurais pas dû être
étonnée.
Je fis la ravissante idiote qui n’a pas compris et tournais les talons pour sortir. Je
suis la salope d’Enzo, pas celle de Gio !
C’est alors que, sans un mot, Gio m’empoigna par le bras, et en un instant je me
retrouvais sur le lit à plat ventre, maintenue la tête contre le couvre-lit. Il
souleva ma jupe, tira mon string sur mes cuisses et me fourra d’un grand coup sec sa
bite au plus profond de la chatte. Il se mit à me limer en geignant. J’essayais bien
de me débattre mais rien n’y fit, il était plus fort que moi. Il me maintenait en
m’agrippant par les cheveux, j’avais du mal à respirer, j’avais le cœur qui battait à
tout rompre, j’étais littéralement livrée à lui, soumise sous son poids et sa force.
Il me râpait la vulve toute sèche. Mes cris de douleur étaient étouffés par la
couverture. Il ponctuait ses coups de butoirs de « hum et de han » à un rythme
effréné. Le fait que je souffre ajoutait visiblement à son excitation. Au bout de
quelques minutes, malgré moi, je commençais à mouiller sous ses coups de bite. Il
bougeait bien, était bien monté et me donnait beaucoup de sensations.
- Tu mouilles, t’aime ça putain de salope ! et ça joue les mijaurées ! Elle est bonne
ma bite, hein ?
Oui, Gio tu me fais jouir. Tu me baises de force comme une pute et je jouis. Je ne
suis qu’une salope, je devrais avoir honte. Je suis plus salope encore que je croyais.
Pensais-je.
Il se retira de ma chatte au bord de l’éjaculation et me retournait pour me gicler
dans la bouche. Il me regarda attentivement pendant que j’avalais son sperme. Cela dû
lui plaire car il recommença presque aussitôt à durcir. Son regard était dur, froid.
Il s’allongea en 69 à côté de moi et présentant son gland à mes lèvres, me fit me
placer au-dessus de lui. Mon string était encore à mi-jambe, il finit de me le
retirer.
- Suce-moi !
Je lui avalais la bite toute entière. Elle avait le goût de ma chatte, pas
désagréable. Je le branlais et le suçais de haut en bas en gorge profonde. Je
m’appliquais, j’aimais sentir que, d’une certaine façon, avec ma bouche je dominais
celui qui venait de me baiser sans mon accord.
Pendant ce temps, il me doigtait la chatte, j’en tirais beaucoup de plaisir et
mouillais beaucoup. Il me mit ensuite un doigt dans l’anus. Je gémis de désir. Voyant
que son doigt entrait facilement, il m’en mit un puis deux autres qu’il agita sous mes
gémissements. Je tortillais mon cul pour qu’il entre plus profondément. Je pris alors
l’initiative d’arrêter la pipe pour venir m’empaler moi-même le cul sur son dard
dressé. Je tins d’une main la bite bien droite et m’accroupissant, je m’empalais le
cul dessus. Je faisais jouer les muscles de mon sphincter pour qu’il ait plus de
sensations et cela le fit immédiatement bander plus dur encore. J’ondulais de la
croupe, dos à lui. Je lui donnais ainsi le spectacle de sa bite entre mes fesses
fermes et rebondies, de son dard qui disparaissait à l’intérieur de mon petit trou
pour le défoncer. Il prit mes fesses en main pour accompagner mes mouvements d’avant
en arrière en même temps que de haut en bas. J’en profitais pour me titiller le clito
et même m’enfoncer trois doigts dans la chatte. Je jouis dans un spasme et des
frissons qui me parcoururent tout le corps. Il gémissait sous mon séant. C’était moi
qui le dominais à présent. Je sentis alors sa queue tressauter et il me remplit le cul
de sa semence.
Il se releva ensuite d’un bond et me jeta au pied du lit.
- Tu peux te tirer maintenant, p’tite salope. Son regard, lui, disait « je viens de te
baiser et t’as aimé ça comme une salope».
Je me relevais et je sortis de la pièce. J’allais dans la salle de bain de ma chambre
pour me doucher. Je me déshabillais. Je mis les vêtements dans la corbeille. Je me
sentais aussi sale et souillée que mes vêtements. C’était la première fois qu’un homme
me forçait. Et j’étais encore plus mal d’y avoir pris du plaisir. Je choisis
finalement de me faire couler un bain. J’éteignis la lumière de la salle de bain
aveugle et me retrouvais dans le noir total sauf pour une bougie que j’allumais au
bord de la baignoire. Je me remémorais ce qui venait de se passer et je me mis à avoir
à nouveau envie. Je me caressais les seins puis le clito mais j’en voulais plus alors
j’attrapais le vibro canard dans la corbeille et me masturbais doucement la chatte. Je
me mis à jouir bruyamment une première fois. J’étais honteuse de m’être faite
quasiment violer et pourtant cette honte créait aussi du désir. J’étais perdue dans ce
mélange de sentiments paradoxaux. Les yeux fermés, je me caressais encore avec les
doigts, jambes pliées, cuisses écartées. La mousse du bain me donnait des sensations
sur la vulve. Je m’enfonçais deux doigts lentement, je voulais sentir le désir au
creux de mon ventre qui se transformait à chaque mouvement en plaisir de plus en plus
intense. Je haletais entre deux petits gémissements. Je retirais les doigts de ma
chatte pour titiller mon clitoris gonflé de désir. À peine avais-je abandonné mon trou
que je sentis qu’on y pressait un doigt. J’ouvrais les yeux, complètement affolée. La
pièce était plongée dans le noir, la bougie avait été soufflée. Je m’assis prête à
m’échapper de la baignoire mais une main se posa sur mon épaule et me caressa le long
du corps, les seins, le ventre, jusqu’aux cuisses qu’elle contourna jusqu’à ma fente.
Il me fit comprendre de me détendre. Je me rallongeais dans le bain. Il avait pris un
gode dans la corbeille, il me le glissa doucement dans la chatte et commença à limer
ma chatte lentement. Mon plaisir montait, ma respiration était saccadée, j’ondulais et
basculais mon bassin pour sentir le gode au plus profond de mon antre. Mon
tortionnaire ne désirait pas que je jouisse ainsi. Il me retira le vibro en douceur au
bord de l’orgasme. Frustration est un mot trop doux pour exprimer ce que je
ressentais.
Il me prit la main pour me faire me lever. Je sortis de la baignoire et il me plaçait
mon peignoir sur les épaules. J’entourais une serviette sur mes cheveux mouillés. Nous
étions toujours dans le noir complet. Je découvrais avec mes mains qu’il était nu. Je
pris en main son sexe qui était pressé contre ma cuisse et le branlais doucement.
J’avais tellement envie, il m’avait coupé mon plaisir au bord de l’orgasme. Je me
collais à lui et entrouvrais les pans de mon peignoir pour glisser son sexe entre mes
cuisses. Il laissa sa bite frotter contre les lèvres de ma fente mais, à l’entrée de
ma vulve, il se retira. Encore une frustration atroce ! J’avais tellement mouillé
d’expectation que je sentis la cyprine couler entre mes cuisses…
Il s’assit en tailleur sur le tapis de bain et me fit asseoir à califourchon sur lui.
Son sexe dressé caressait mon entrejambe. Je retirais mon peignoir complètement. Il
commença par me donner un long baiser profond. Son goût dans ma bouche était divin, sa
langue dansait sur la mienne. Ses mains n’étaient pas en reste, il me caressait les
cuisses, les hanches et le dos. Il remontait prendre un sein dans une main et
caressait du pouce mon téton pointé. Je glissais ma main vers son sexe. Il me la
retira immédiatement. Il m’embrassait toujours mais je tentais :
- Gio, prend-moi…
- Ssshhh ! M’interrompit-t-il de sa bouche sur mes lèvres.
Il continua de me caresser, me fit un chapelet de baisers le long du cou et descendis
pour prendre mes tétons en bouche. Il les aspira, les suça et les mordilla très
doucement. La cyprine me coulait de la chatte témoignant de l’intensité de mon désir.
Il prit mes mains et les passa autour de son cou. Je m’accrochais à lui et mettant ses
mains sous mes fesses il me souleva et je m’empalais directement sur sa bite- bien
raide et dure - jusqu’à la garde. Je connus une jouissance immédiate. Il m’empêcha
d’onduler au rythme rapide que j’aurais souhaité. Il me maintenait fermement les
hanches et ne me laissait basculer mon bassin que sur une très faible amplitude ainsi,
son sexe ne s’enfonçait pas plus que quelques petits centimètres d’avant en arrière au
fond de mon vagin. C’était de la pure torture car même si j’avais joui quand il
m’avait pénétré, j’avais encore tellement envie !
Ce petit jeu dura pendant un temps infini. Je crois qu’il resta ainsi à me limer de
quelques centimètres toujours bien bandé en moi pendant au moins une demi-heure. Nous
étions toujours dans le noir complet ce qui ajoutait à mes sensations, me poussait à
développer mes autres sens. Il continuait de me donner de profonds baisers délicieux,
roulant sa langue sur la mienne, me mordillant les lèvres. Jamais je n’avais été
embrassée comme cela ! C’était tellement doux et romantique mais en même temps
tellement sensuel. Ses baisers suscitaient en moi la même excitation que lorsque je
suçais une bite. À rester ainsi pendant tellement longtemps au bord de l’orgasme sans
jamais l’atteindre, mon esprit se mit à vagabonder dans des délires sexuels. Je
repensais à des scènes de baise vécues mais je fantasmais aussi sur des situations,
des lieux, des hommes. Mon imagination galopait. Je m’imaginais agenouillée au milieu
d’une ronde de queues dressées que je branlais, que je léchais, que je suçais tour à
tour. Je me voyais attachée sur un lit, livrée sans défense aux caresses et aux désirs
d’inconnus. Je repensais à cet instant divin où Enzo m’avait dépucelé l’anus pendant
que je me doigtais la chatte. Bref, des sensations et des souvenir intenses
d’excitation et de plaisir. J’étais bouillante physiquement et mentalement.
Ma peau était en alerte. Mon corps était couvert d’une brume de sueur dont les gouttes
me ruisselaient dans le creux des seins et entre les reins. J’étais brûlante de désir.
Ma chatte n’était plus qu’un gouffre humide hypersensible. La moindre oscillation de
la queue de Gio me faisait tressaillir. Il glissa enfin ses mains sous mes fesses et
laissa divaguer un doigt sur ma rondelle. Mon désir devenait torture. J’eus un orgasme
fabuleux. Il m’empoigna alors les deux fesses dans chacune de ses grandes mains et me
força à des va-et-vient violents sur sa bite. Il m’empalait jusqu’à la garde. Je
haletais, éperdue de plaisir. Dans l’espace de la dizaine de coups qu’il lui fallut
pour atteindre l’orgasme, je joui au moins deux ou trois fois d’affilée à moins que ce
ne fût qu’un seul orgasme qui montait en puissance par vagues ? Je ne suis pas sûre
mais ce que je sais c’est que ce fût la plus grande jouissance sexuelle de ma vie. Il
gicla puissamment, de longues giclées abondantes. Il ne se retira pas tout de suite de
mon con et je sentis sa queue qui débandait en moi jusqu’à ce qu’il ne reste plus que
son gland à l’entrée de ma vulve. Je restais accrochée à son cou, je l’embrassais
encore, je voulais le remercier de cette somme de plaisir qu’il avait déclenchée dans
mon corps.
Il me repoussa avec douceur me donnant un dernier baiser puis se leva et me laissa
abandonnée, nue et épuisée de plaisir roulée sur le tapis en position fœtale.
La suite bientôt !
Italie) venait passer quelques jours chez nous. Ils n’avaient qu’un an de différence,
Giovanni était le plus âgé. Il venait de se séparer de sa copine et était un peu
déprimé.
- Je partage absolument tout avec Giovanni, tu sais…
- Donc tu vas ME partager avec lui ? Et son ex tu l’a baisée aussi ?
- J’ai pas dit qu’IL partageait tout avec moi mais que MOI, je partageais tout avec
lui, me répondit-il en me toisant d’un regard libidineux.
Je captais d’un coup la nuance. Vu que j’avais signé pour lui obéir en tout, qu’il
appréciait déjà beaucoup de m’offrir à ses collègues ou des inconnus, j’allais, bien
sûr, devoir me donner à son frère. Il fallait que je me fasse à l’idée.
Le lendemain, Enzo étant au boulot, je devais aller chercher Giovanni à la gare. Enzo
m’avait dit :
- T’inquiète pas, tu le reconnaitras tout de suite.
En effet, j’avais devant moi le sosie d’Enzo et pourtant ils n’étaient pas jumeaux !
Dans la voiture, j’essayais de nous mettre à l’aise en faisant la conversation. Je
racontais à Giovanni des banalités et m’enquérais de son voyage. Je fis mine de ne pas
remarquer ses regards appuyés sur mes cuisses ou dans mon décolleté. À notre arrivée,
je le conduisis à sa chambre.
- Voilà ta chambre, il y a des couvertures et des oreillers supplémentaires dans
l’armoire. Si besoin tu trouveras des serviettes dans le placard de la salle de bain.
Bon.. ben voilà, je te laisse t’installer, appelle-moi si tu as besoin de quoi que ce
soit.
- Justement puisque tu en parles, j’ai bien envie de te baiser.
Je restais bouche-bée, choquée de ses manières cavalières. Il sortit alors son
téléphone de sa poche et fit défiler devant mes yeux des photos : la première était un
portrait de moi, banal. Sur la suivante je posais nue debout et sur la troisième
j’étais assise sur une chaise jambes écartées un doigt sur le clitoris et un autre
dans la bouche. La quatrième photo était la pire : Enzo m’avait photographiée pendant
que je le suçais. On voyait la bite d’Enzo me sortir à demi de la bouche et je le
branlais de la main. Mes yeux étaient levés vers mon amant dans un regard amoureux. Il
a osé partager nos photos intimes avec son frère ! Pensais-je. J’étais fâchée mais
surtout horriblement gênée et honteuse aussi. Je me sentais trahie. En même temps, ça
ne faisait que confirmer qu’il partageait tout avec Gio, je n’aurais pas dû être
étonnée.
Je fis la ravissante idiote qui n’a pas compris et tournais les talons pour sortir. Je
suis la salope d’Enzo, pas celle de Gio !
C’est alors que, sans un mot, Gio m’empoigna par le bras, et en un instant je me
retrouvais sur le lit à plat ventre, maintenue la tête contre le couvre-lit. Il
souleva ma jupe, tira mon string sur mes cuisses et me fourra d’un grand coup sec sa
bite au plus profond de la chatte. Il se mit à me limer en geignant. J’essayais bien
de me débattre mais rien n’y fit, il était plus fort que moi. Il me maintenait en
m’agrippant par les cheveux, j’avais du mal à respirer, j’avais le cœur qui battait à
tout rompre, j’étais littéralement livrée à lui, soumise sous son poids et sa force.
Il me râpait la vulve toute sèche. Mes cris de douleur étaient étouffés par la
couverture. Il ponctuait ses coups de butoirs de « hum et de han » à un rythme
effréné. Le fait que je souffre ajoutait visiblement à son excitation. Au bout de
quelques minutes, malgré moi, je commençais à mouiller sous ses coups de bite. Il
bougeait bien, était bien monté et me donnait beaucoup de sensations.
- Tu mouilles, t’aime ça putain de salope ! et ça joue les mijaurées ! Elle est bonne
ma bite, hein ?
Oui, Gio tu me fais jouir. Tu me baises de force comme une pute et je jouis. Je ne
suis qu’une salope, je devrais avoir honte. Je suis plus salope encore que je croyais.
Pensais-je.
Il se retira de ma chatte au bord de l’éjaculation et me retournait pour me gicler
dans la bouche. Il me regarda attentivement pendant que j’avalais son sperme. Cela dû
lui plaire car il recommença presque aussitôt à durcir. Son regard était dur, froid.
Il s’allongea en 69 à côté de moi et présentant son gland à mes lèvres, me fit me
placer au-dessus de lui. Mon string était encore à mi-jambe, il finit de me le
retirer.
- Suce-moi !
Je lui avalais la bite toute entière. Elle avait le goût de ma chatte, pas
désagréable. Je le branlais et le suçais de haut en bas en gorge profonde. Je
m’appliquais, j’aimais sentir que, d’une certaine façon, avec ma bouche je dominais
celui qui venait de me baiser sans mon accord.
Pendant ce temps, il me doigtait la chatte, j’en tirais beaucoup de plaisir et
mouillais beaucoup. Il me mit ensuite un doigt dans l’anus. Je gémis de désir. Voyant
que son doigt entrait facilement, il m’en mit un puis deux autres qu’il agita sous mes
gémissements. Je tortillais mon cul pour qu’il entre plus profondément. Je pris alors
l’initiative d’arrêter la pipe pour venir m’empaler moi-même le cul sur son dard
dressé. Je tins d’une main la bite bien droite et m’accroupissant, je m’empalais le
cul dessus. Je faisais jouer les muscles de mon sphincter pour qu’il ait plus de
sensations et cela le fit immédiatement bander plus dur encore. J’ondulais de la
croupe, dos à lui. Je lui donnais ainsi le spectacle de sa bite entre mes fesses
fermes et rebondies, de son dard qui disparaissait à l’intérieur de mon petit trou
pour le défoncer. Il prit mes fesses en main pour accompagner mes mouvements d’avant
en arrière en même temps que de haut en bas. J’en profitais pour me titiller le clito
et même m’enfoncer trois doigts dans la chatte. Je jouis dans un spasme et des
frissons qui me parcoururent tout le corps. Il gémissait sous mon séant. C’était moi
qui le dominais à présent. Je sentis alors sa queue tressauter et il me remplit le cul
de sa semence.
Il se releva ensuite d’un bond et me jeta au pied du lit.
- Tu peux te tirer maintenant, p’tite salope. Son regard, lui, disait « je viens de te
baiser et t’as aimé ça comme une salope».
Je me relevais et je sortis de la pièce. J’allais dans la salle de bain de ma chambre
pour me doucher. Je me déshabillais. Je mis les vêtements dans la corbeille. Je me
sentais aussi sale et souillée que mes vêtements. C’était la première fois qu’un homme
me forçait. Et j’étais encore plus mal d’y avoir pris du plaisir. Je choisis
finalement de me faire couler un bain. J’éteignis la lumière de la salle de bain
aveugle et me retrouvais dans le noir total sauf pour une bougie que j’allumais au
bord de la baignoire. Je me remémorais ce qui venait de se passer et je me mis à avoir
à nouveau envie. Je me caressais les seins puis le clito mais j’en voulais plus alors
j’attrapais le vibro canard dans la corbeille et me masturbais doucement la chatte. Je
me mis à jouir bruyamment une première fois. J’étais honteuse de m’être faite
quasiment violer et pourtant cette honte créait aussi du désir. J’étais perdue dans ce
mélange de sentiments paradoxaux. Les yeux fermés, je me caressais encore avec les
doigts, jambes pliées, cuisses écartées. La mousse du bain me donnait des sensations
sur la vulve. Je m’enfonçais deux doigts lentement, je voulais sentir le désir au
creux de mon ventre qui se transformait à chaque mouvement en plaisir de plus en plus
intense. Je haletais entre deux petits gémissements. Je retirais les doigts de ma
chatte pour titiller mon clitoris gonflé de désir. À peine avais-je abandonné mon trou
que je sentis qu’on y pressait un doigt. J’ouvrais les yeux, complètement affolée. La
pièce était plongée dans le noir, la bougie avait été soufflée. Je m’assis prête à
m’échapper de la baignoire mais une main se posa sur mon épaule et me caressa le long
du corps, les seins, le ventre, jusqu’aux cuisses qu’elle contourna jusqu’à ma fente.
Il me fit comprendre de me détendre. Je me rallongeais dans le bain. Il avait pris un
gode dans la corbeille, il me le glissa doucement dans la chatte et commença à limer
ma chatte lentement. Mon plaisir montait, ma respiration était saccadée, j’ondulais et
basculais mon bassin pour sentir le gode au plus profond de mon antre. Mon
tortionnaire ne désirait pas que je jouisse ainsi. Il me retira le vibro en douceur au
bord de l’orgasme. Frustration est un mot trop doux pour exprimer ce que je
ressentais.
Il me prit la main pour me faire me lever. Je sortis de la baignoire et il me plaçait
mon peignoir sur les épaules. J’entourais une serviette sur mes cheveux mouillés. Nous
étions toujours dans le noir complet. Je découvrais avec mes mains qu’il était nu. Je
pris en main son sexe qui était pressé contre ma cuisse et le branlais doucement.
J’avais tellement envie, il m’avait coupé mon plaisir au bord de l’orgasme. Je me
collais à lui et entrouvrais les pans de mon peignoir pour glisser son sexe entre mes
cuisses. Il laissa sa bite frotter contre les lèvres de ma fente mais, à l’entrée de
ma vulve, il se retira. Encore une frustration atroce ! J’avais tellement mouillé
d’expectation que je sentis la cyprine couler entre mes cuisses…
Il s’assit en tailleur sur le tapis de bain et me fit asseoir à califourchon sur lui.
Son sexe dressé caressait mon entrejambe. Je retirais mon peignoir complètement. Il
commença par me donner un long baiser profond. Son goût dans ma bouche était divin, sa
langue dansait sur la mienne. Ses mains n’étaient pas en reste, il me caressait les
cuisses, les hanches et le dos. Il remontait prendre un sein dans une main et
caressait du pouce mon téton pointé. Je glissais ma main vers son sexe. Il me la
retira immédiatement. Il m’embrassait toujours mais je tentais :
- Gio, prend-moi…
- Ssshhh ! M’interrompit-t-il de sa bouche sur mes lèvres.
Il continua de me caresser, me fit un chapelet de baisers le long du cou et descendis
pour prendre mes tétons en bouche. Il les aspira, les suça et les mordilla très
doucement. La cyprine me coulait de la chatte témoignant de l’intensité de mon désir.
Il prit mes mains et les passa autour de son cou. Je m’accrochais à lui et mettant ses
mains sous mes fesses il me souleva et je m’empalais directement sur sa bite- bien
raide et dure - jusqu’à la garde. Je connus une jouissance immédiate. Il m’empêcha
d’onduler au rythme rapide que j’aurais souhaité. Il me maintenait fermement les
hanches et ne me laissait basculer mon bassin que sur une très faible amplitude ainsi,
son sexe ne s’enfonçait pas plus que quelques petits centimètres d’avant en arrière au
fond de mon vagin. C’était de la pure torture car même si j’avais joui quand il
m’avait pénétré, j’avais encore tellement envie !
Ce petit jeu dura pendant un temps infini. Je crois qu’il resta ainsi à me limer de
quelques centimètres toujours bien bandé en moi pendant au moins une demi-heure. Nous
étions toujours dans le noir complet ce qui ajoutait à mes sensations, me poussait à
développer mes autres sens. Il continuait de me donner de profonds baisers délicieux,
roulant sa langue sur la mienne, me mordillant les lèvres. Jamais je n’avais été
embrassée comme cela ! C’était tellement doux et romantique mais en même temps
tellement sensuel. Ses baisers suscitaient en moi la même excitation que lorsque je
suçais une bite. À rester ainsi pendant tellement longtemps au bord de l’orgasme sans
jamais l’atteindre, mon esprit se mit à vagabonder dans des délires sexuels. Je
repensais à des scènes de baise vécues mais je fantasmais aussi sur des situations,
des lieux, des hommes. Mon imagination galopait. Je m’imaginais agenouillée au milieu
d’une ronde de queues dressées que je branlais, que je léchais, que je suçais tour à
tour. Je me voyais attachée sur un lit, livrée sans défense aux caresses et aux désirs
d’inconnus. Je repensais à cet instant divin où Enzo m’avait dépucelé l’anus pendant
que je me doigtais la chatte. Bref, des sensations et des souvenir intenses
d’excitation et de plaisir. J’étais bouillante physiquement et mentalement.
Ma peau était en alerte. Mon corps était couvert d’une brume de sueur dont les gouttes
me ruisselaient dans le creux des seins et entre les reins. J’étais brûlante de désir.
Ma chatte n’était plus qu’un gouffre humide hypersensible. La moindre oscillation de
la queue de Gio me faisait tressaillir. Il glissa enfin ses mains sous mes fesses et
laissa divaguer un doigt sur ma rondelle. Mon désir devenait torture. J’eus un orgasme
fabuleux. Il m’empoigna alors les deux fesses dans chacune de ses grandes mains et me
força à des va-et-vient violents sur sa bite. Il m’empalait jusqu’à la garde. Je
haletais, éperdue de plaisir. Dans l’espace de la dizaine de coups qu’il lui fallut
pour atteindre l’orgasme, je joui au moins deux ou trois fois d’affilée à moins que ce
ne fût qu’un seul orgasme qui montait en puissance par vagues ? Je ne suis pas sûre
mais ce que je sais c’est que ce fût la plus grande jouissance sexuelle de ma vie. Il
gicla puissamment, de longues giclées abondantes. Il ne se retira pas tout de suite de
mon con et je sentis sa queue qui débandait en moi jusqu’à ce qu’il ne reste plus que
son gland à l’entrée de ma vulve. Je restais accrochée à son cou, je l’embrassais
encore, je voulais le remercier de cette somme de plaisir qu’il avait déclenchée dans
mon corps.
Il me repoussa avec douceur me donnant un dernier baiser puis se leva et me laissa
abandonnée, nue et épuisée de plaisir roulée sur le tapis en position fœtale.
La suite bientôt !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Gourmande_24
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifique!!! Vivement la suite!
bravo, pour ce mélange de hard et de sensuel, j'ai adorée