Le garçon de la plage

- Par l'auteur HDS QKC -
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le garçon de la plage Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le garçon de la plage
Au cours d'un voyage en Guadeloupe, j'ai fait une escale dans les îles des Saintes.
Le meilleur moyen de se déplacer sur ces îles, c'est de louer un scooter. L'accueil est fantastique. A la boutique de location, on m'a remis un plan. Je suis allé visiter les curiosités les plus importantes, et sur la carte, au bout du chemin routier, il était indiqué :
Plage aux nudistes.
Intrigué, je m'y suis rendu, persuadé que j'étais, de voir plein de nanas à poil et de me rincer l'oeil. Foin de nana, la plage était déserte. Je décidai de me mettre en maillot, plaçait un antivol au scooter et plouf, dans l'eau.
La plage paraîssait déserte , mais pas vraiment. A l'horizon, au pied des palmiers, j'apercevais une paire de fesses magnifiques. Je me disais que sa propriétaire devait être super belle. Je me disais également que le nudisme, ce n'était pas forcément de l'éxhibitionnisme. On peut vouloir dénuder son corps, uniquement pour communier avec la nature. Ne voulant pas créer de problème, j'ai décidé de faire le tour pour la reluquer sans être vu. J'étais dans la colline à moins de cinq mètres d'elle et je me penchai pour la regarder. Quel cul ! J'étais ébloui par la beauté, la forme et le galbe de cette paire de fesses. Soudain, les fesses remuèrent, la fille se retourna et :
- Merde, dis-je à haute voix, surpris par la vision. La soit-disant super belle fille était en fait UN MEC. Il m'avait entendu.
- Sors de là ! Fit-il
Je m'approchais de lui.
- Qu'est-ce que tu foutais là-haut ?
- Ben j'ai cru que cétait une fille et je suis venu mater.
- Et le spectacle t'a plu ?
- Ben avant de m'apercevoir que t'étais un mec, j'ai failli me branler sur ton compte.
- Si t'en étais là, pourquoi tu t'es arrêté ? T'es sectaire ?
Tu dis que t'as vu un joli cul, et maintenant que je suis un mec, mon cul n'est plus aussi joli ?
- Si. Mais c'est différent.
- Si j'avais été une fille, vu comme tu bandes, dit-il en en montrant du doigt la bosse que faisait mon sexe dans mon maillot, tu te serais laissé sucer.
- Tu m'étonnes !
- Alors pourquoi pas par moi ?
- Par un mec, j'ai jamais essayé.
- Y a un début à tout, non ?
- Peut-être, mais ne te met pas l'idée en tête que tu vas me baiser.
- De suite, les grands mots. Je te signale que c'est toi qui en parle.
- Bon d'accord. Qu'est ce qu'on fait ?
- Viens avec moi.
Il m'emmena à travers les cocotiers, jusqu'à une cabane qui était peut-être le lieu de rendez-vous de la baise locale. Quand il eut refermé la porte, j'ai sorti mon sexe du maillot.
- T'es toujours comme ça ?
- Quoi ?
- T'as du succés avec les femmes ?
- Bof ...
- Ca m'étonne pas. T'as vu comment tu te comportes. Si dés qu'une femme t'invite, tu lui donnes ta queue à bouffer, ça m'étonne pas qu'elles te fuient.
- Pourquoi, qu'est-ce que tu fais toi ?
- Je vais te montrer. Remets ton maillot.
Il passa derrière moi, plaqua son corps contre le mien et referma ses bras autour de ma taille. Ses mains chaudes, caressaient mes hanches. En même temps, il déposait des baisers brûlants dans le creux de mon cou. Malgré moi je frissonnais. Une érection naissante gonflait mon maillot. Bientôt, ses baisers atteignirent ma joue. Ses mains remontaient sur mon torse, titillaient les pointes raides de mes seins, et s'arrondissaient sur mes épaules. Les caresses se faisaient un peu plus fermes. Il passa devant moi, colla de nouveau son corps contre le mien. Il sentit que j'étais en érection.
- Hum, hum, fit-il, l'air gourmand.
Ses mains étaient sur mes épaules et caressaient doucement mon dos, de haut en bas, de bas en haut, s'arrêtant juste au dessus de l'élastique du maillot, l'effleurant juste d'un doigt avant de remonter. A chaque passage, elles descendaient un peu plus bas, passant un doigt , puis deux, puis trois sur le tissu du maillot, enfin, ses mains toutes entières étaient sur mes fesses et les caressaient tendrement. Il commença à les pétrir doucement, passant ses doigts, un par un entre l'élastique et ma peau, effleurant à peine le sillon entre mes fesses. Mon érection grandit. Maintenant, j'étais complètement raide. La pointe de mon sexe, dépassait du maillot de bain.
Ses mains remontèrent le long de mes fesses et pénêtrèrent sous l'élastique du maillot. Elles étaient à même ma peau et enveloppaient mes fesses dans leurs paumes et leurs doigts. Elles descendirent jusque sur mes cuisses, et en remontant, il laissa glisser un doigt le long de la raie. Mon sexe était au bord de l'explosion. Il sentait les tremblements qui l'agitaient.
Il recommença deux ou trois fois, puis enfonça son index un peu plus loin.
Je me cabrai.
Il me plaqua contre lui, et m'embrassa dans le cou. Ses mains remontèrent sur mes hanches. Il passa deux doigts de chaque côtés dans l'élastique du maillot et le fit descendre centimètre par centimètre. Il le releva devant pour remettre mon sexe à l'intérieur. Puis il reprit le maillot sur les côtés, et recommença à le baisser lentement. D'abord derrière, jusquà mettre les fesses complètement à nu, ensuite, devant. Le tissu du maillot s'était accroché au gland de mon sexe et quand il tirait par les côtés, mon sexe tout raide, écartait le maillot de la peau jusqu'à ce qu'il soit à l'horizontale. Il baissa le maillot encore plus doucement. Le tissu entraînait mon sexe vers le bas, jusqu'au moment où, le tissu n'étant plus assez abondant, mon sexe se libéra et se redressa d'un bond, venant frapper mon ventre. Une grosse goutte de liquide séminal perla sur la petite bouche du gland. Le slip en haut des cuisses et sous les testicules, il passa sa main sous celles-ci et mon sexe se cabra de nouveau.
- Alors, tu vois la différence ?
- Je haletais tellement, que je ne pouvais répondre.
Il se baissa, se mit à genoux. Ses mains caressèrent mes cuisses jusqu'aux genoux. Je tendais mon sexe vers son visage, mais il ne broncha pas.
Ses mains remontèrent, s'attardèrent de nouveau sur mes fesses, agrippèrent le maillot et le descendirent encore de cinq centimètres. Il approcha son visage de mon ventre, et tendrement, ses lèvres s'enroulèrent autour de mon sexe. Sa bouche était aussi chaude que ses mains. Mon sexe était plus tendu que jamais. Il resta dans cette position, le temps que je me calme. Puis, il commença à descendre le maillot de bain, au même rythme qu'il faisait entrer mon sexe dans sa bouche. Quand le maillot fut sur mes pieds, mon sexe était entièrement dans sa bouche. Ses mains remontèrent sur mes fesses, les caressèrent de nouveau, et leur imprimèrent un léger balancement d'arrière en avant. Mes hanches se laissaient guider et mon sexe, entrait et sortait de sa bouche, caressé par ses lèvres et titillé par sa langue. Elle s'attardait sur la pointe, s'enroulait autour de l'attache du prépuce.
Il retira mon sexe de sa bouche, goba mes testicules, le reprit et accéléra petit à petit le mouvement de mes hanches. Chaque fois qu'il sentait l'éjaculation venir, il s'interrompait, gardait mon sexe dans la bouche, les mains sur mes fesses, et attendait que la tension retombe. Il a recommencé son manège, trois ou quatre fois. Je n'en pouvais plus. J'allais exploser. Il m'emmena vers le lit, me fit mettre à genoux devant lui. Il reprit une fois encore mon sexe dans sa bouche. La tension monta encore d'un cran. Il s'arrêta, recommença, encore une fois. Maintenant, mon sexe me faisait mal, il fallait que ça se termine. Je commençais à gémir. Il recommença encore une fois. Cette fois, le gémissement se transforma en plainte. Il se plaça alors derrière moi, j'étais dans un état semi-comateux.
Il me poussa tendrement vers le lit. Quand il me courba sur les draps, je n'ai même pas pu résister. Il prit mes mains, les plaça sur mes fesses, et, en haletant, je les écartais moi-même. Il humidifia un peu mon anus avec de la salive et posa son sexe sur le petit trou. A ce moment, dans un geste de folie, je me suis redressé, j'ai mis les mains sur ses fesses et j'ai tiré vers moi. Son sexe est entré en moi avec vigueur. J'aurai voulu qu'il me prenne sauvagement. Mon anus était tellement éxacerbé, que j'aurais voulu qu'il me défonce. Il a senti ma frustration. Aussi, il se mit à me pilonner
les fesses à grands coups de boutoir. Je l'aidais tant que je pouvais en précipitant mes fesses sauvagement sur son pubis. La délivrance arriva enfin. Il déchargea entre mes fesses un puissant jet de sperme et je me laissai tomber sur le côté épuisé, vaincu et heureux.
- Eh bien, dis-je après avoir repris mes esprits. Je n'avais jamais fait l'amour avec un homme. Quel pied. Comment t'as fait ? Je voulais pas me faire baiser. N'empêche que, on recommence quand tu veux. Je suis à toi maintenant.
- Sache que personne n'appartient à personne. On recommencera si tu veux, mais quand je voudrais. Pour l'instant, je vais t'apprendre pour que tu puisses m'aimer de la même façon, et, quand tu seras au point, si tu le veux, tu pourras même retourner vers les femmes. En attendant, repose toi un peu, j'ai envie de remettre ça, mais
avec amour.
Quatre heures plus tard, il vint me réveiller par des bisous dans le cou, et sur les yeux. Je souriais dans mon sommeil, et je songeais à mon ex-petite amie. J'ouvris les yeux et devant ma mine dépitée, il prit mon visage dans ses mains chaudes et me couvrit de baisers. La douceur de ses mains et de ses lèvres sur ma peau, réveilla le formidable souvenir de l'orgasme que je venais d'avoir avec lui. Il descendit les draps au pied du lit. J'étais nu, le sexe déjà dressé.
- Remets ton maillot, me dit-il.
- Pourquoi, on baise plus ?
- Toi alors, la poésie tu connais pas. Si, on va baiser, comme tu dis, mais moi je te trouve plus sexy moulé dans ton maillot de bain.
- Ca va. Je vais le remettre.
J'ai appris que beaucoup de mecs ou de nanas ne mettent plus de slip, parce que ce serait plus sexy pour les caresses de l'autre. Je vous assure que depuis que je le connais, le garçon de la plage, comme je l'appelle, vous ferait changer d'avis.
Pendant que je remettais mon maillot, il se colla derrière moi, et posa ses mains sur mes testicules. Il les faisaient rouler doucement entre ses doigts, à travers le tissu. Le doux frottement du coton sur mes boules, commençait à faire se dresser mon sexe. Il se mit à genoux prit les boules une par une dans sa bouche avec le tissu. Puis, il écarta le maillot et les engloutit toutes les deux. Cette fois-ci, il mit beaucoup moins de temps à m'enlever le maillot. Il le descendit en une seule fois, et, me prenant dans ses bras, il lova ma tête dans son cou et me porta jusqu'au lit. Il me déposa tendrement sur le ventre. Il commença à lècher mes chevilles, en remontant tout doucement vers le haut. Quand il arriva en haut des cuisses, il se déplaça vers mes épaules et à petits coups de langue humide, fit le chemin inverse. Sa langue frôlait la naissance des fesses, glissant le long de la raie. Ce qui me faisait frissonner, c'était quand sa langue fouillait au creux du pli qui relie les fesses et les cuisses. Il me retourna, suça longuement mes seins, descendit vers mon sexe et l'emboucha. Quelques petits aller et retours le long de la hampe, et il releva la tête.
- Allez, en position dit-il.
J'allais decendre pour m'agenouiller contre le lit, quand il me retint.
- Non. Fit-il. Je vais te montrer mieux. Regardes !
D'abord, dit-il, tu vas me sucer un peu, de manière à me mouiller. Ensuite, tu vas me tourner le dos, écarter tes fesses, te pencher en avant et mettre ta tête dans les
oreillers. Comme ça, tu auras l'impression que mon sexe s'enfoncera en toi encore plus loin.
Son sexe était beau comme un sceptre. Je le pris délicatement entre les lèvres. Après deux ou trois aller-retours, je posai ma bouche sur le bout du gland, passait ma langue plusieurs fois sur la petite fente, et aspirait de toutes mes forces. Il eut un hoquet, me prit par les hanches et me retourna sans ménagement. Mes fesses étaient dressées vers le plafond, et, par dessous mon bras, je le voyais à genoux entre mes jambes tenant son sexe à la main. Il appuya son gland sur le petit trou et le poussa à l'intérieur d'à peu près deux centimètres. Il ressortit, revint à nouveau vers l'avant, trés lentement et fit entrer un centimètre de plus. Au bout du dix ou vingtième aller-retour, il était entièrement en moi. Il allait et venait entre mes fesses avec la lenteur d'un piston de locomotive à vapeur quand elle est à l'arrêt. Il mit plus d'une heure à éjaculer. Mon anus était devenu tellement sensible que j'aurai éjaculé immédiatement si quelqu'un avait mis son doigt dans mes fesses. Il faisait ça avec une lenteur consommée. J'avais l'impression que son sexe faisait des kilomètres et qu'il n'en finissait plus de le pousser entre mes entrailles. A un moment, il s'arrêta, retira son sexe jusqu'à ce qu'il ne reste que le gland à l'intérieur, se leva sur ses pieds, et replongea son sexe tout au fond de mes entrailles. Je perdis l'équilibre. Je me retrouvai à plat ventre, lui allongé sur moi, son sexe à l'intérieur, mes fesses serrées autour, et ses bras autour des aisselles, sa bouche couvrant mon cou de baisers. Quand il éjacula à nouveu, je sentais les soubressauts de son sexe serré à mort entre mes fesses. Quand je me detendis, son sexe se libéra, et il ressortit de moi. Je ne lui avait encore rien donné de puis que je le connaissais. Sur ce coup-là, je n'avais pas encore éjaculé. Pas tout à fait remis de son orgasme, je le retournais, m'allongeais sur lui, et comme mon sexe était plus long et largement plus gros que le sien, je transperçai ses fesses et enfonçai derechef mon sexe dans ses fesses. Je n'aurai jamais cru que ça lui fasse cet effet. Quand je fus tout au fond de lui, il emit une sorte de feulement rauque et profond qui dura bien deux minutes. Je lui donnais des coups de reins furieux, et quand finalement, j'écaculai en lui, il en fis de même dans les draps. Il me criai de continuer de le pilonner de cette façon. Lui qui prônait la douceur, il se pâmait sous la violence de mes assauts.
Aujourd'hui, je fais l'amour aussi bien avec des hommes que des femmes, parfois les deux ensembles. Et depuis tout le monde me regarde autrement.
Je respire le bonheur.

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