Le Garage (24)
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le Garage (24)
Paul est assis à côté de moi et je joue avec mon smartphone qui envoie des impulsions à son petit cul poilu totalement excité par la situation. Dans la semi pénombre de la salle, je devine son érection dans son superbe costume gris et je meurs d’envie de poser ma main sur sa queue gonflée. Mais nous devons rester discrets.
Paul se penche vers moi et me parle tout bas à l’oreille pour que notre voisin du rang derrière nous ne nous entende pas…
- Arrête…je vais jouir
Je lui réponds…
- Jouis mon amour, je t’aime.
J’en profite pour commander une rotation du plug et je vois Paul s’agiter sur son siège sous l’effet du mouvement du gode dans son anus divin.
Les discours s’enchainent, tout plus ennuyeux et convenus les uns que les autres. Subitement Paul se lève, passe devant moi pour sortir du rang et se dirige vers la sortie de la salle. Maud assise à la droite de Paul me regarde, étonnée et je lui fais comprendre que je vais voir si tout va bien du côté de son mari.
Je sors à mon tour discrètement et me dirige vers les toilettes. Je crois savoir pourquoi Paul a quitté la salle de conférence si précipitamment… Je vois qu’une cabine seulement est occupée et je devine que Paul est à l’intérieur.
- Paul ?
- Oui- Ca va ?
- Oui. Nous sommes seuls ?
- Oui.
Paul ouvre la porte de la cabine, je le trouve la queue dressée à l’horizontale entre les pans de sa chemise, le pantalon sur les chevilles, le gland brillant. Il me regarde dans les yeux, avec une lueur étrange qui me chavire le cœur et me dit simplement
- J’ai joui
Je m’agenouille devant lui et lèche sur son gland les dernières gouttes de son jus de mec.
Puis je me relève, nous nous regardons :
- Je suis fou de toi Paul- J’ai peur que moi aussi
Et nous nous embrassons passionnément. De peur que d’autres nous rejoignent et nous surprennent nous reprenons nos places dans la salle au moment du vote des premières résolutions de l’assemblée générale.
Je vois que Maud reçoit et envoie des sms et parle à l’oreille de Paul. Puis elle se lève, passe devant moi et se penche vers moi.
- Eric, Bastien a encore de la fièvre. La baby-sitter est un peu affolée, je rentre à la maison. Est-ce que vous pourrez déposer Paul ?
- Bien sur. Embrassez Bastien pour moi.
- Bonne soirée. A bientôt !
Je colle ma cuisse contre celle de Paul et nous jouons à opposer nos forces genou contre genou. Je regarde mon smartphone. Paul a toujours mon cadeau dans l’anus. Je le laisse récupérer après son éjaculation mais je ne vais pas l’abandonner non plus.
Je relance quelques vibrations de faible intensité. Il trésaille, appuie plus fort encore sa cuisse musclée contre la mienne. Il aime.
L’assemblée touche à sa fin et le plug est toujours agité de mouvements discrets mais néanmoins efficaces dans la chatte poilue et gourmande de Paul.
Après le cocktail au cours duquel chacun bavarde avec ses relations amicales ou d’affaires, je rejoins Paul. J'ai régulièrement envoyé des impulsions au plug et je me suis régalé de le voir tenter de garder son sang-froid sans perdre le fil de sa conversation avec le sous-préfet alors que j'allongeais le gode à son maximum dans son anus très en forme ce soir.
Je m'approche .
- Je vais te déposer si tu veux- Oui bien sur
Nous serrons encore quelques mains et rejoignons mon SUV. Dès que nous nous sommes un peu éloignés du country club, je m’arrête pour embrasser mon amoureux.
- J’ai envie que tu me prennes- Encore ?
- C’est ton cadeau, ça m’excite, j’ai le cul en feu- Menteur…- Si si c’est dément- Non….je veux dire que c’est toi qui est un gros gourmand et que tu aimes ma queue. Le plug c'est un prétexte…- Euh….oui….enfin…..peu importe.
Il rit.
- Baise moi
Je me gare dans un petit chemin à la sortie de la ville. Il descend de la voiture, s’appuie sur le capot et m’attend. Je suis derrière lui, je lui caresse la raie à travers la soie de son costume, c’est comme si je sentais la chaleur de sa chatte. J’appuie sur le plug pour m’assurer qu’il le sent bien dans son petit anus rose.
Puis je défais sa ceinture, baisse son pantalon, son caleçon qui glisse sur ses cuisses velues. J’ai envie de lui bouffer le cul comme jamais. Je retire le plug et commence à lui lécher, bouffer, mordiller la raie, les fesses poilues, le trou, les lèvres toutes douces et plissées de l’orifice divin que j’essaye de pénétrer avec la pointe de ma langue.
C’est doux, chaud, brulant, mouillé, fou. Je rendre un doigt dans sa chatte, puis deux. Je ne tiens plus, il faut que je le baise, que je me vide à nouveau en lui.
Je sors ma queue qui ne demande que ça, je le prends, je le possède, je lui pilonne le cul comme si c’était un étranger rencontré pour un coup d’un soir dans un parc.
- Baise moi, baise moi à fond mon amour- Oui….prend ma queue mon Paul….tu es ma chatte…..je t’aime- Encore- Ouiiiii
Je crois que je vais devenir fou. Et je jouis. De longs traits de mon sperme blanc que j’imagine exploser contre les parois de son ventre…
- Oh, putain, comme c’est bon….
- Tu as aimé ma chatte ?
- J’ai adoré….
Paul se redresse et fait mine de se rhabiller, mais je vois sa queue dure toujours dressée, la pointe de sa cravate posée joliment sur son gland.
- Tu ne débandes jamais mon amour- Tant que tu es près de moi je bande…. et même quand tu n’es pas près de moi d’ailleurs…Je le regarde essuyer mon sperme qui coule de son trou bandant.
J’ai envie de le sucer mais je reçois une alerte sur mon iphone. C’est la société de surveillance de la concession qui me prévient que l’alarme n’a pas été enclenchée. Vu l’heure je me dis que Sébastien et Marco ont dû oublier de la brancher en quittant l’atelier après avoir terminé le travail sur l’Aston Martin. Paul consulte lui aussi ses messages. Il doit prendre des nouvelles de son fils.
- Il faut que l’on fasse un crochet par la concession mon amour. L’alarme n’est pas enclenchée.
- Ok, pas de souci. Maud me dit que Bastien va bien.
Nous nous garons sur le parking et je propose à Paul de monter avec moi dans les bureaux. Tout est normal, nous nous dirigeons vers l’atelier et je suis surpris de voir qu’il est encore éclairé. Est-ce que les mécanos sont encore en train de travailler ? Il est presque minuit et je ne pensais pas qu’ils en auraient pour aussi longtemps, même si la mécanique d’une Aston est tout à fait exceptionnelle.
Paul se penche vers moi et me parle tout bas à l’oreille pour que notre voisin du rang derrière nous ne nous entende pas…
- Arrête…je vais jouir
Je lui réponds…
- Jouis mon amour, je t’aime.
J’en profite pour commander une rotation du plug et je vois Paul s’agiter sur son siège sous l’effet du mouvement du gode dans son anus divin.
Les discours s’enchainent, tout plus ennuyeux et convenus les uns que les autres. Subitement Paul se lève, passe devant moi pour sortir du rang et se dirige vers la sortie de la salle. Maud assise à la droite de Paul me regarde, étonnée et je lui fais comprendre que je vais voir si tout va bien du côté de son mari.
Je sors à mon tour discrètement et me dirige vers les toilettes. Je crois savoir pourquoi Paul a quitté la salle de conférence si précipitamment… Je vois qu’une cabine seulement est occupée et je devine que Paul est à l’intérieur.
- Paul ?
- Oui- Ca va ?
- Oui. Nous sommes seuls ?
- Oui.
Paul ouvre la porte de la cabine, je le trouve la queue dressée à l’horizontale entre les pans de sa chemise, le pantalon sur les chevilles, le gland brillant. Il me regarde dans les yeux, avec une lueur étrange qui me chavire le cœur et me dit simplement
- J’ai joui
Je m’agenouille devant lui et lèche sur son gland les dernières gouttes de son jus de mec.
Puis je me relève, nous nous regardons :
- Je suis fou de toi Paul- J’ai peur que moi aussi
Et nous nous embrassons passionnément. De peur que d’autres nous rejoignent et nous surprennent nous reprenons nos places dans la salle au moment du vote des premières résolutions de l’assemblée générale.
Je vois que Maud reçoit et envoie des sms et parle à l’oreille de Paul. Puis elle se lève, passe devant moi et se penche vers moi.
- Eric, Bastien a encore de la fièvre. La baby-sitter est un peu affolée, je rentre à la maison. Est-ce que vous pourrez déposer Paul ?
- Bien sur. Embrassez Bastien pour moi.
- Bonne soirée. A bientôt !
Je colle ma cuisse contre celle de Paul et nous jouons à opposer nos forces genou contre genou. Je regarde mon smartphone. Paul a toujours mon cadeau dans l’anus. Je le laisse récupérer après son éjaculation mais je ne vais pas l’abandonner non plus.
Je relance quelques vibrations de faible intensité. Il trésaille, appuie plus fort encore sa cuisse musclée contre la mienne. Il aime.
L’assemblée touche à sa fin et le plug est toujours agité de mouvements discrets mais néanmoins efficaces dans la chatte poilue et gourmande de Paul.
Après le cocktail au cours duquel chacun bavarde avec ses relations amicales ou d’affaires, je rejoins Paul. J'ai régulièrement envoyé des impulsions au plug et je me suis régalé de le voir tenter de garder son sang-froid sans perdre le fil de sa conversation avec le sous-préfet alors que j'allongeais le gode à son maximum dans son anus très en forme ce soir.
Je m'approche .
- Je vais te déposer si tu veux- Oui bien sur
Nous serrons encore quelques mains et rejoignons mon SUV. Dès que nous nous sommes un peu éloignés du country club, je m’arrête pour embrasser mon amoureux.
- J’ai envie que tu me prennes- Encore ?
- C’est ton cadeau, ça m’excite, j’ai le cul en feu- Menteur…- Si si c’est dément- Non….je veux dire que c’est toi qui est un gros gourmand et que tu aimes ma queue. Le plug c'est un prétexte…- Euh….oui….enfin…..peu importe.
Il rit.
- Baise moi
Je me gare dans un petit chemin à la sortie de la ville. Il descend de la voiture, s’appuie sur le capot et m’attend. Je suis derrière lui, je lui caresse la raie à travers la soie de son costume, c’est comme si je sentais la chaleur de sa chatte. J’appuie sur le plug pour m’assurer qu’il le sent bien dans son petit anus rose.
Puis je défais sa ceinture, baisse son pantalon, son caleçon qui glisse sur ses cuisses velues. J’ai envie de lui bouffer le cul comme jamais. Je retire le plug et commence à lui lécher, bouffer, mordiller la raie, les fesses poilues, le trou, les lèvres toutes douces et plissées de l’orifice divin que j’essaye de pénétrer avec la pointe de ma langue.
C’est doux, chaud, brulant, mouillé, fou. Je rendre un doigt dans sa chatte, puis deux. Je ne tiens plus, il faut que je le baise, que je me vide à nouveau en lui.
Je sors ma queue qui ne demande que ça, je le prends, je le possède, je lui pilonne le cul comme si c’était un étranger rencontré pour un coup d’un soir dans un parc.
- Baise moi, baise moi à fond mon amour- Oui….prend ma queue mon Paul….tu es ma chatte…..je t’aime- Encore- Ouiiiii
Je crois que je vais devenir fou. Et je jouis. De longs traits de mon sperme blanc que j’imagine exploser contre les parois de son ventre…
- Oh, putain, comme c’est bon….
- Tu as aimé ma chatte ?
- J’ai adoré….
Paul se redresse et fait mine de se rhabiller, mais je vois sa queue dure toujours dressée, la pointe de sa cravate posée joliment sur son gland.
- Tu ne débandes jamais mon amour- Tant que tu es près de moi je bande…. et même quand tu n’es pas près de moi d’ailleurs…Je le regarde essuyer mon sperme qui coule de son trou bandant.
J’ai envie de le sucer mais je reçois une alerte sur mon iphone. C’est la société de surveillance de la concession qui me prévient que l’alarme n’a pas été enclenchée. Vu l’heure je me dis que Sébastien et Marco ont dû oublier de la brancher en quittant l’atelier après avoir terminé le travail sur l’Aston Martin. Paul consulte lui aussi ses messages. Il doit prendre des nouvelles de son fils.
- Il faut que l’on fasse un crochet par la concession mon amour. L’alarme n’est pas enclenchée.
- Ok, pas de souci. Maud me dit que Bastien va bien.
Nous nous garons sur le parking et je propose à Paul de monter avec moi dans les bureaux. Tout est normal, nous nous dirigeons vers l’atelier et je suis surpris de voir qu’il est encore éclairé. Est-ce que les mécanos sont encore en train de travailler ? Il est presque minuit et je ne pensais pas qu’ils en auraient pour aussi longtemps, même si la mécanique d’une Aston est tout à fait exceptionnelle.
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