Le gitan acrobate

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le gitan acrobate Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le gitan acrobate
En allant faire mes courses, j'ai eu la surprise de voir qu'un petit cirque s'installait sur le grand parking du supermarché. Je jetais un œil en souriant me rappelant des souvenirs de gamins.
En ressortant, je regarde dans la direction et je vois l'enseigne du cirque, le petit chapiteau est déjà presque installé et le nom scintille déjà et là j'ai un coup au cœur, c'est le même nom que le cirque qui venait chez ma grand-mère et où j'allais tous les ans.
J'ai rangé mes courses dans la voiture et je suis allé trainer vers le chapiteau.

Ils étaient une dizaine de personnes qui s'afféraient à monter le dit chapiteau. Des jeunes, des vieux, des gitans et ça bossait dur! je les regardais un moment, comme pas mal de personnes qui commençaient à s'agglutiner.

Dans mes souvenirs, il y avait une petite ménagerie mais là je ne voyais rien. J'ai fait le tour pour voir un peu mieux... rien! et je me suis souvenu de la polémique et de l'interdiction des animaux sauvages dans les cirques ambulants, j'étais un peu déçu j'aurais bien voulu voir un tigre s'échapper de sa cage! je riais tout seul...
-tu cherches quelque chose ? dit une voix.

Je me retourne pour tomber nez à nez avec un beau gitan au visage buriné par le soleil, des cheveux un peu frisés noirs comme un corbeau en marcel, on voit sa musculature. Il a des biceps énormes et c'est pas de la gonflette. Le marcel collé à son torse, dessine ses abdos. En short jean moulant, on voit bien le dessin de sa queue sur le côté, ses yeux marrons clairs me fixent.
-non je regarde simplement dis je en le fixant, tu fais parti du cirque ?
-bien sûr dit il d'un air de dire, sinon tu crois que je fais quoi là!
-alors je voulais te demander si c'était bien ce cirque qui faisait les patelins aux alentours il y a une quinzaine d'années ?
-sûrement pourquoi ça ?

Et je lui raconte que je venais voir les spectacles quand j'étais gamin, en vacances chez ma grand-mère.
-15 ans... oh la la je n'avais que 4 ans je faisais rien à ce moment là.
-et là tu fais quoi ?
-je suis l'acrobate de service dit il en s'inclinant devant moi en souriant.
-oh super et ça commence quand le spectacle ?
-ce soir à 19 heures, tu viendras ?
-je crois oui ça va me rajeunir dis je en riant.
-ah ouais monsieur est très âgé, il ne fait pas son âge!
-ah au fait, avant vous aviez une ménagerie et maintenant y'a plus rien.
-ben non on a été obligé de s'en séparer malheureusement, mais dit-il plus bas, si tu viens ce soir je te montrerais les deux jeunes fauves que j'ai réussi à garder, tu verras comme ils sont mignons.
Je le regardais interloqué, j'allais poser une question, il me coupe.
-tut tut... faut venir ce soir pour voir!

Et, il part sans se retourner. Je regarde un moment sa silhouette travailler, c'est un plaisir de regarder ce beau mec! et je me demande de plus en plus ce qu'il a voulu dire avec ses deux fauves.

Bien sûr que le soir j'étais là, à 19 heures au cas où il y avait du monde. Nous étions une cinquantaine, surtout des enfants mais aussi des comme moi aussi qui venaient retrouver l'enfance.
Le spectacle était merveilleux, féérique, coloré, les clowns très marrants et c'était un plaisir d'entendre rire les enfants devant leurs facéties éternelles. Des jongleurs, deux mecs et deux nanas qui faisaient de l'acrobatie en bicyclette en faisant des bêtises, des acrobates au sol mais je ne reconnaissais pas le jeune mec de l'après midi. Faut dire qu'ils étaient habillés de mille feux et cela les changeait. Quand la lumière s'est éteinte pour allumer un rond sur les trapézistes déjà en place, le chapiteau n'était pas bien haut, alors on voyait bien les personnages et j'ai reconnu "mon" gitan. Il a fait un petit signe pour dire salut et j'ai cru qu'il s'adressait à moi, je lui ai répondu mais il n'a du rien voir!

Et son spectacle a commencé, ils avaient installé un filet. Les voltiges se sont succédées, faisant pousser de petits cris dans l'assistance, cela semblait facile, tout roulait bien, tout s'enchainait sans problème un vrai plaisir.
Ils se sont laissés tomber dans le filet, chacun d'un côté ont salué le public. Moi j'avais mon gitan, maquillé de petites étoiles, juste devant moi, qui m'a fait un clin d'œil. J'ai rougi comme une jeune pucelle! putain qu'il était beau.

Il saluait en s'approchant du public. Les gens lui serraient la main quand il est venu vers moi, la main tendue, je l'ai saisi. Il s'est penché vers moi.
-je t'attends derrière dès la fin de la représentation.
Je n'ai pas eu le temps de dire quoi que soit qu'il partait.

Le spectacle s'est terminé avec des caniches qui faisaient tout plein de bêtises et qui faisaient rire tout le monde.
La bonne humeur était là, lorsque nous sommes sortis, que des sourires et des yeux émerveillés.
J'ai fait le tour du chapiteau et j'ai aperçu le jeune gitan qui m'attendait. Je me suis approché, il est venu vers moi... on se souriait.
-moi c'est Juanito dit il en mettant sa main sur mon épaule, alors prêt à voir mes petits fauves?
-moi c'est Fabrice.
-alors viens c'est dans ma caravane.

Sans façon, il me prend par la main et nous marchons vers sa "maison".
-reste bien derrière moi, on sait jamais à des fois ils n'aiment pas voir des étrangers, mais t'inquiète, je suis là.
Je sentais la connerie venir mais je me demandais bien laquelle en tout cas, j'étais content d'avoir ma main dans la sienne. Il ouvre la porte avec sa clé, entre.
-reste bien derrière moi.

Il avance, je le suis, la porte se referme, il allume la lumière.
Putain de bel endroit, mes yeux en font le tour je ne vois pas d'animaux sauvages. Il me donne un coup de coude et me montre du menton le fond de la caravane, son lit et allongés de tout leur long deux beaux matous qui s'étirent en nous voyant arriver.
Juanito me reprend la main.
-assis toi là dit il en me montrant le coin de son lit. Il s'assoit à côté et aussitôt les deux matous viennent se frotter à nous, quémandant des caresses que l'on fourni immédiatement et les moteurs à ronron sont lancés.
-se sont des fauves dit il en riant ,ils sont adorables et adorent les caresses, les bisous, de vraies sangsues quand ils s'y mettent.

On rit de bon cœur, en caressant toujours les matous, le sien quitte ses genoux pour aller à sa gamelle. Il tend la main pour caresser le chat qui est sur mes genoux, mais sa main tombe sur la mienne. On caresse le chat ensemble, on se regarde, son visage est devenu subitement grave, plus de sourire mais sa main est douce et reste sur la mienne. Je lui fais un beau sourire. Il ne répond pas mais je vois sa tête s'approcher lentement de la mienne, tellement lentement que je me demande si c'est pas un mirage. Mais quand je vois le blanc de ses yeux, de beaux yeux marrons clairs qui se mettent à pétiller, je vois ses belles lèvres sourire enfin.

Ses yeux se ferment et ses lèvres se posent sur les miennes, on soupire tous les deux en même temps, nos souffles se mélangent.
Le matou comprend qu'il est de trop, saute de mes jambes.
Je pose ma main sur son épaule, je sens la sienne me saisir le cou, me tenir... comme si j'avais l'intention de m'échapper.

Nos lèvres se goûtent, se frottent, sa main vient me caresser la joue et nos langues viennent à leur rencontre pour se toucher de la pointe, s'échanger la salive, s'enrouler, voyager dans les bouches, visitant tous les recoins.
Il m'attire à lui, pour me faire tomber sur le lit, sur le dos venant immédiatement me recouvrir.

Les bouches et les langues s'activent, se bouffent, se lèchent, s'aspirent. On gémit tous les deux en même temps, son corps m'écrase de sa force, son bassin ondule sur le mien, il doit sentir ma queue bandée qui ne demande qu'à prendre l'air comme moi je sens la sienne qui semble être prometteuse.
Rapidement il m'enlève les vêtements du haut, me regarde tout sourire et me montre son torse bronzé, musclé, imberbe. Je caresse délicatement ce beau torse. Il ferme les yeux et gémit puis il revient sur moi pour recommencer le jeu de langue qu'il semble apprécier.

-je suis comme mes chats dit il en riant, j'adore les caresses et les bisous.

Et il repart à l'assaut de ma bouche. Je caresse son dos, je sens tous ses muscles rouler sous mes caresses, c'est chaud, c'est dur, c'est doux!
D'un seul coup son odeur arrive dans ma narines... une odeur de mâle, de mec, d'arbres, de feuilles, de végétation, une odeur musquée très agréable. C'est vrai qu'il sent la nature et j'adore ça!

Sa bouche est descendue sur mes tétons, qu'il a léché, sucé et aspiré. J'aimais bien, car il prenait son temps et chaque parcelle de mon torse a eu droit à la visite de sa bouche et de sa langue. Léchant le nombril, glissant sa langue, me chatouillant il a défait mon pantalon, a pris son temps de m'enlever mes chaussures, chaussettes et le pantalon a suivi. Je voyais ses yeux fixer ma queue qui faisait une sacré bosse dans mon boxer. Ses mains sont passées dessus, prenant le boxer de chaque côté et me l'a retiré. M'a écarté les jambes et est venu s'installer entre prenant immédiatement ma queue entre ses deux mains, la serrant, la caressant faisant bien sortir le gland qui coulait.

Je voyais ses yeux émerveillés, comme moi devant son spectacle et approcher sa langue et donner des petits coups, juste sur le frein, là où la mouille arrivait. Je n'ai pu m'empêcher de sursauter en gémissant alors il a recommencé, juste de la pointe uniquement pour agacer mais cet agacement était divin. J'avais des frissons partout et, ses lèvres se sont posées sur le gland, l'embrassant de ses belles lèvres, avant de le recouvrir en s'enfonçant dessus.

Quelle sensation de sentir sa langue l'envelopper, le lécher, ses lèvres descendre sur la hampe, sentir mon gland frotter son palais, s'enfonçant dans cette bonne bouche chaude et humide, il s'est mis à tousser, s'est reculer, ses yeux pleuraient mais il a recommencé et dans un dernier toussotement, ses lèvres sont tombées sur ma toison pubienne se maintenant ainsi jusqu'à ce qu'il ne puisse plus respirer. S'arrêter, sortir ma queue, un filet de bave coulait de sa bouche, il me regardait en souriant.
-j'adore les bites de blond comme toi, t'es à moi! laisse toi faire.

Je ne pouvais que me laisser faire et regarder. Ses mains s'occuper de mes couilles, un doigt cherchant mon petit trou dans la raie et il m'a pipé de plus en plus vite, toujours à fond. Les yeux larmoyants sans arrêt et, quand il a enfoncé son doigt en moi, j'ai serré des fesses dessus. Ma queue s'est raidie, je pense s'allongeant encore un peu, il grattait l'intérieur de mon cul, serrait mes couilles de l'autre main et sa bouche s'activait sur ma queue.

Avec ce traitement, je n'ai pu que lui donner sa récompense et le plaisir est arrivé d'un seul coup, sans prévenir. Son doigt avait dû aller plus profond, j'ai soulevé mes fesses, enfonçant ma queue encore plus loin avec la première giclée le faisant tousser, je sentais sa langue qui touchait le gland et j'ai joui, joui en plusieurs giclées. C'est lui qui râlait le plus en avalant.

Après un bon nettoyage en règle il est revenu m'embrasser tendrement, me donnant sa langue à lécher!
-et toi? t'aimes quoi ? dis je doucement en lui faisant des bisous.
-me faire baiser surtout.
-en attendant j'aimerais m'occuper de ta queue Juanito.
D'un bond il se relève et se met nu complètement prenant des poses en me regardant, putain qu'il est beau ce mec! un athlète magnifique. Il me montre son cul en se penchant en avant, son cul est aussi bronzé que tout le reste de son corps. Il écarte ses fesses, une raie un peu poilu avec un petit anus qui clignote, qui palpite.
-mais t'es bronzé de partout! tu te balades tout le temps à poils ?
-quand je suis seul, je fais ça en forêt, je connais des clairières où je peux être seul alors je me donne au soleil.
Je me suis relevé pour être à côté de lui. Je touche son torse, il se retourne et vient coller son dos à mon torse sa tête relevée sur mon épaule, offrant son cou.
-embrasse moi, caresse moi.

Mes mains sont descendues sur son torse, ses abdos durs comme du béton, je les sentais sous mes doigts. Le ventre n'était qu'un muscle, quelques poils autour du sexe. Mes mains passent de chaque côté, passant sous les couilles, remontant le tout. J'empoigne la queue d'une main, une belle queue qui emplit toute ma main, pas très grosse, pas très longue mais d'une douceur très agréable. Elle est chaude brûlante, mes lèvres embrassent son cou et je le branle doucement comme les chats, il met le moteur à ronron en route.

j'ai compris que ce mec aime la lenteur. Alors je prends tout mon temps dans les bisous, les caresses et la branle de sa queue.
Ses fesses frottent sur mon sexe, l'excitant. J'arrive à le coincer dans sa raie et je fais de lents vas et viens, c'est lui appuie encore plus sur ma queue.

Il ronronne, râle, gémit et je vois les deux chats, assis sur un meuble qui nous regardent! vicieux les fauves!

Mais d'un seul coup j'ai envie de son cul, je sens ma queue recommencer à couler. Il faut que j'aille voir ce petit cul de plus près. Je lâche sa queue, le pousse pour qu'il se penche, oh il comprend vite. Il s'appuie sur le lit et m'offre ses reins. Je m'accroupie derrière lui, écarte les belles fesses dures et immédiatement ma langue part à l'assaut. Il écarte encore plus ses jambes, l'anus est là, je le sens de la pointe de la langue, je l'inonde de salive et il râle. Ma langue ouvre bien et la salive coule dans le petit trou. Je le lèche, aspire, suce et il râle encore, gémit de plus en plus fort, tend bien son cul au maximum.

Je mouille bien mon index et viens gratter ce beau petit trou. C'est lui s'enfonce dessus. Je fore le plus loin que je peux et je lui caresse le boyau chaud. Il pousse de petits cris, je mets deux doigts les petits cris s'intensifient. Je tourne mes doigts dans le petit trou, vrille et le trou reste ouvert.
-baise moi dit Juanito.

Je me redresse, je sors mes doigts de son cul et présente mon gland bien décalotté, plein de mouille pour le voir être avalé par le cul gourmand du gitan. C'est lui qui a reculé dessus et le gland est passé d'un seul coup, certes il a crié mais maintenant il attend la suite, que je le baise.

Je m'en suis donné à cœur joie dans ce petit cul. Ma queue a glissé facilement dans le conduit et j'ai commencé de suite des vas et viens lents tout d'abord, pour l'entendre râler, gémir encore et encore en s'offrant! puis comme j'en avais envie.

Je l'ai fais se redresser, coller son dos à mon torse, s'empalant encore plus sur ma queue. Tel un vrai fauve, j'ai mordu son cou qu'il m'offrait, me saisissant de sa queue. J'ai fait mettre ses deux genoux sur le rebord du lit, son cul s'ouvrait encore plus et je l'ai baisé en cadence que je branlais sa queue, lui mordillant le cou et l'entendre râler comme un fauve et appuyer son cul sur ma queue.

J'ai senti sa queue se raidir dans ma main. Il haletait, il allait jouir alors, il a enlevé ses genoux du lit, retombant à terre en s'empalant encore plus en jouissant de longs jets de sperme sur le lit. Une gueulante de mec heureux serrant ma queue enfouie en lui avec ses fesses. Elle gicle du bon jus à gros bouillon, je ne peux m'empêcher de gueuler également.

Il s'affaisse dans mes bras, je le retiens, ma queue sort de sa cachette, il se retourne en m'embrassant m'emmenant sur le lit, m'offre sa queue et prend la mienne.
Un double nettoyage est effectué avant de revenir dans les bras l'un de l'autre.
-t'as les yeux qui pétillent Fabrice dit Juanito en riant.
-c'est parce que je suis heureux.
-alors les miens devraient pétiller aussi.
-toi! t'as des yeux tellement coquins qu'ils pétillent tout le temps.

On est resté un long moment à se caresser, s'embrasser.
Quel beau mec, doux, tendre!

Il a bien fallu que je rentre chez moi. Mais ils sont restés une semaine.
Tous les soirs j'avais ma place au spectacle et après dans son lit!

J'étais vidé complètement à la fin de la semaine. Je n'oublierais jamais ce beau mec.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Beau texte un plaisir de le lire

merci cher lecteur

Histoire Erotique
Quel beau récit, très chaud et très bien écrit

merci cher lecteur

Histoire Erotique
Merci beaucoup, quel recit merveilleux



Texte coquin : Le gitan acrobate
Histoire sexe : Une rose rouge
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