Le gîte. Conflit de générations au sauna. 1

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Le gîte.  Conflit de générations au sauna. 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2019 dans la catégorie Plus on est
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Le gîte. Conflit de générations au sauna. 1
Le gîte.
Conflit de générations au sauna.
Comme le gîte n’est qu’à une petite heure de chez moi, j’y fais de petits séjours pendant l’été pour voir de nouvelles têtes.
D’habitude je n’y vais pas en juillet/août pour être plus tranquille. Mais j’ai voulu tester cette année pour voir la faune habituelle des familles naturistes et accessoirement chasser de belles « plantes ».
Enfin, je ne peux pas dire que je chasse. Où alors à la façon du trappeur canadien qui pose sa ligne de pièges qu’il relève de temps en temps pour voir quel animal il a pris.
Un petit tour à la piscine ou au sauna et généralement le gibier flaire l’appât et passe à l’attaque quand je me prélasse sur un transat, la queue nonchalamment posée sur la cuisse.

Hier, j’ai fais la connaissance d’Yvette, une belle femme de 36 ans. Elle m’a raconté presque toute sa vie. Elle est là avec sa nièce de 18 ans et sa belle-mère de 52 ans et leurs hommes.
Elle n’y est pas allé par quatre chemins et m’a proposé que l’on se retrouve dans le sauna.
En cette période de grosses chaleurs, il est peu utilisé et on devrait pouvoir s’isoler sans être importuné par des visites intempestives.
C’est une belle blonde bien en chair avec une poitrine imposante et pourtant encore ferme.
Une demi-heure plus tard, nous nous retrouvons donc dans ce lieu clos. Je n’ai même pas besoin de me forcer à la draguer, elle attaque immédiatement une fellation. Il faut dire que ce ne sont pas les vêtements qui nous gênent.
Putain ! Avec elle s’est du rapide !
Je laisse mon corps répondre à ses sollicitudes et Popaul se réveiller. En un rien de temps, elle a entre ses mains un chibre bien épais.

-Ah ! Je lui avais bien dit, j’avais raison ! Jette-t-elle !
Qu’est ce qu’elle raconte ?
Elle me montre toute sa science de la fellation. Putain elle est douée ! Mais je ne suis pas non plus un puceau à éjaculation précoce et fais tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’elle ne récolte pas son tribu si facilement.
Soudain elle me fait une supplique :
-Ferme les yeux. Je veux que tu ressentes uniquement par le sens du toucher la montée du plaisir !
Sa main est ferme sur ma verge, les mouvements de poignet sont amples et réguliers, sa bouche et chaude et avide. Je me laisse bercer par sa science.
Au bout d’un moment, elle change de tactique. Ses deux mains montent et descendent avec une extrême lenteur tout le long de ma hampe. Chacune d’elles a un mouvement tournant en sens contraire pendant que sa bouche ne s’occupe que du gland. On dirait que sa bouche est plus petite qu’au début, qu’elle a des difficultés à réussir cet exercice. Mais je tiens toujours bon.

Elle me supplie :-Je t’en conjure, n’ouvre-pas les yeux pour rompre le charme.
La fellation reprend à nouveau. Elle a encore changé de méthode. Cette fois-ci, elle ne se sert que de sa bouche.
Sa langue explore chaque centimètre carré de ma verge, exacerbe la peau fine du gland pendant qu’une main malaxe mes couilles pour essayer d’en faire monter le jus.
Ses lèvres glissent enfin sur la tête de ma teub, les dents s’écartent pour ne pas me blesser.
La langue tourne une fois ou deux autour de ma pine avant de se ranger pour laisser progresser mon sexe dans sa bouche. Elle cale ma queue dans sa joue et tape dessus avec sa main que j’entends claquer sur son visage.
Maintenant, elle guide mon engin bien droit vers le fond de sa bouche.
Je ne comprends pas comment elle fait pour modifier la façon dont elle avale ma bite.
On dirait cette fois que sa bouche est beaucoup plus grande qu’au début. Je sens mon gland buter au fond de sa gorge.
D’habitude, quand les filles en arrivent là, elles ne vont pas plus loin.
Mais là, ce n’est pas le cas. Je sens mon gland écraser quelque chose, ce doit être sa luette.
Mais sa bouche continue de descendre vers mon pubis, ma queue s’enfonce doucement dans cette gorge sans fond.

Yvette ne s’arrête que quand ses lèvres viennent en contact avec mon bas-ventre. Je lui tire mon chapeau car je peux compter sur les doigts d’une seule main les filles qui ont réussi cet exploit.
Je me demande comment elle arrive à respirer avec le bouchon qui lui obstrue les bronches. J’espère qu’elle ne va pas me vomir dessus !
Plusieurs fois, j’ai droit à « une gorge profonde » de sa part. Elle m’écrase les couilles à me faire hurler. Elle a eu raison de ma résistance et je la préviens que je vais jouir. Je ne veux pas lui remplir les poumons de ma semence.
Elle se recule, libérant ma bite. Je ne peux plus me retenir et commence à me vider les burnes en grognant de plaisir. Sa main a pris ma teub pour diriger les jets de sperme à sa convenance.
Mais que fait-elle ? Elle remue ma verge dans tous les sens !
J’ouvre les yeux et là, stupeur !
Trois visages accolés reçoivent mes offrandes à la Déesse de l’amour.
Je réalise enfin pourquoi j’avais remarqué une telle différence de pratique et de volume.
J’ai en face de moi en plus d’Yvette en femme expérimentée, sa belle-mère Simone avec une science acquise d’une très longue pratique et sa nièce du coté maternel Solène.
Elle, se serait plutôt la fougue de la jeunesse avec un léger manque d’expérience.

Soudain je m’emporte :-Mais Yvette ! Tu m’as fait tomber dans une vraie embuscade ! Vous n’avez pas honte ?
Trois chaudasses pour une seule pine ! Quelle idée vous est passée par la tête ?
Trois générations de dévergondées ! J’espère que vous avez appréciez la prestation ?
Je n’ai rien contre me faire sucer par trois filles, mais j’aime bien être consulté avant !
-Excuse-nous! J’ai parié avec ma belle-mère que tu étais Patrick. C’est bien toi, n’est-ce pas ? Tu sais que tu as une sacrée réputation au gîte. Et Solène a dit que le seul moyen d’en avoir le cœur net, c’est de vérifier nous même. Alors on a monté ce petit stratagème.
-Et on n’est pas déçues ! Reprend Solène. Je n’ai jamais vu une telle poutre ! Mais on dirait que ce n’est pas le cas de Simone!
-Petite curieuse ! Renchérie Simone. J’ai déjà connu de beaux dards ! Mais ton braquemard a bien failli m’étouffer !
Ça, c’est une drôle de famille ! J’espère que leurs Jules ne vont pas débarquer pour tester eux aussi mes compétences ?!

-Non ! Vous ne vous êtes pas trompées ! Je suis bien Patrick. Je ne savais pas que j’avais acquis une telle renommée dans ce gîte ! Mais si vous êtes si bien informées, vous devez savoir qu’après cette « mise en bouche », il va être temps de passer au plat de résistance ! Tout d’abord, je vous veux les trois à genoux devant moi pour remettre en position de bataille Popaul ! Et après, je vais vous faire goûter d’une autre manière aux délices d’une bonne baise !
Elles ne se le font par dire deux fois. Elles se rangent de la plus jeune à la plus âgée.
Solène est une vraie liane, très fine avec des attaches délicates, des petits seinsmenus.
Sa tante Yvette est plus en chair, un corps de sportive, le ventre à peine marqué par la maternité. Simone a un corps un peu lourd mais toujours appétissant avec un petit bedon et la poitrine qui a perdue un peu de sa splendeur d’antanJe ne les ménage pas. Dès que ma verge a repris une consistance un peu plus ferme dans la bouche de Solène, je passe de l’une à l’autre.

-En parlant de queue ! Fait remarquer Yvette à sa nièce. Regarde comme elle est toujours dure, il a à peine débandé ! Pas comme ton père ! Elle est énorme, tendue aux maximum ! Elle dépasse allègrement les vingt centimètres, non? On va bien s’en occuper !
En effet, ma verge est encore plus grosse que tout à l’heure. Mon gland, énorme et déformé par le frein, a pris la forme d’un gros champignon.
A tour de rôle, j’empoigne leurs cheveux à pleines mains et rue dans leurs bouches comme je le ferais dans leurs cons. Solène manque plusieurs fois de vomir sur moi et je retire précautionneusement ma teub avant qu’elle ne la déchiquète avec ses dents.
Avec sa tante, j’arrive à pousser un peu plus loin. Il s’en faut encore de quelques centimètres mais il y a du progrès avec tout à l’heure.
Avec la belle-mère (qui entre parenthèses est dans la même tranche d’âge que moi), je retrouve le puits sans fond qui m’a amené à l’extase.

-Bon ! A mon tour de vous faire gueuler ! Donnez-moi votre chatte à déguster !
Elles ne se font pas prier et se positionnent comme elles peuvent dans ce minuscule réduit pas étudié pour ça.
Je passe d’une chatte à l’autre, comparant de la langue, aspirant et goûtant de mes lèvres et de ma bouche ces trois abricots si différents.
Je compare les odeurs, la liqueur qui en suinte, les formes généreuses.
Je les fais crier sous mes caresses, m’amusant même à les travailler les trois en même temps, une main dans la chatte de la mamie, une dans celle de la fille et ma bouche collée sur la moule de leur parente.
Je ne sais pas pourquoi je pense à ce moment que la fille est sortie un jour de la vulve ou je m’abreuve de cyprine et que sa propriétaire elle-même s’est extraite du vagin ou plonge ma main droite.
Une fois qu’elles sont bien chaudes, le bénitier bien huilé, je change de position et commence le ramonage par Simone. Ma bite glisse comme une lettre à la poste tellement elle est ouverte et accueillante.
Je n’ai rien à lui apprendre. Je vois bien qu’elle a une longue expérience qu’elle n’a pas apprise uniquement avec son mari.
Je la délaisse pour plonger mon flotteur dans sa belle-fille. Son fourreau est moins vaste mais je m‘y sens à l’aise. Elle comprime ma bite par des contractions de son vagin pour essayer de me faire jouir mais je résiste de longues minutes à ce délicieux supplice.
Maintenant, c’est au tour de la nièce.
Je m’engage avec précaution. Solène n’est plus vierge mais elle me supplie d’y aller avec plus de douceur qu’avec ses parentes. Sa matrice est étroite et ses grandes lèvres sont déformées par la grosseur de ma pine.
Elle me supplie, tenant la base de ma hampe pour contrôler la pénétration :
-Putain de big-cock ! Fais-attention quand même ! Aaarrrggghhh ! Pas si loin ! Aaahhh !
Elle est si serrée que l’air est emprisonné au fond de sa grotte et s’expulse bruyamment à chaque fois que je me retire et me renfonce le plus loin possible en elle.
Je songe à la chance que j’ai de baiser l’une après l’autre trois générations.
Ça ne m’était encore jamais arrivé et ça ne se reproduira sûrement plus jamais !
Le pire, c’est que, quand je m’occupe de l’une d’entre elles, les deux autres viennent à la curée pour la faire monter encore plus haut dans l’extase.
Je n’ai jamais vu des femmes hurler et jouir aussi fort sous les sollicitations conjuguées de mes services, des bouches avides et des attouchements de leurs parentes. Du vrai délire !
Je ne peux plus me retenir et décharge copieusement dans la chatte de la plus jeune.
A peine j’extrais ma bite de son con que la tante et sa belle-doche se précipitent pour récupérer mon jus additionné de sa cyprine qu’elle expulse par des contractions de son vagin. Elles n’en perdent pas une goutte !

-Alors les filles ! Suis-je à la hauteur de ma réputation ?
-Pour le moment oui ! M’affirme Simone. Mais pour moi, il me manque encore une prestation de ta part. Tu vois de quoi je parle ?
-Je m’en doute un peu. Mais avant, il faut me remettre en forme !
Simone se dévoue avec Solène. L’expérience avec la fraîcheur de la jeunesse ont tôt fait de me remettre en forme.
Simone se relève et me tend sa croupe, disjoignant à l’aide des mains ses globes fessiers.
Comme je reste assis, les fesses sur le bord du caillebotis du sauna, elle se penche en arrière afin que ma pine dressée accède à son petit trou du cul offert.
Je sens la porte de l’anus. Elle n’hésite pas un instant à faire entrer sur quelques centimètres ma teub à l’intérieur du conduit rectal. Elle ne peut retenir quelques gémissements de volupté et fait durer l’action un peu plus que nécessaire.
Pendant ce temps, Yvette et Solène, inspirée par la scène puissamment érotique qui se déroule devant elles, s’adonnent aux délices de la masturbation entre filles.
Elles ont pleinement conscience de l’obscénité de l’instant. L’acte qu’elles se prodiguent est encore plus hot vu que la doyenne de la famille se défonce le fion sur mon zob.
Leurs excitations ne peuvent que croître. Les chattes sont fouaillées, les clitoris chatouillés et pincés.
La cyprine coule à flot sur leurs jambes.
Je laisse travailler Simone seule sur mon axe. Mais vu que je les ai déjà honorées deux fois, Il faut que je me ménage. Je dois les sodomiser les trois avant de jouir à nouveau. Donc si je veux arriver à mon objectif, je dois donner des ordres.

-Décule Simone ! Laisse-donc la place à ta belle-fille ! Yvette ! Viens faire un tour de manège !
La bru attend donc que Simone libère la place pour s’atteler à la tâche.
Ce n’est pas non plus une nouveauté pour Yvette. Ma bite luit des différentes secrétions des trois furies.
Elle préfère me faire face, saisit ma tige et la dirige entre ses fesses ou elle disparait sans trop de difficulté dans l’anus fripé. Ce n’est sûrement pas la première fois qu’elle se fait enculer, mais je possède un braquemart largement plus épais que la moyenne.
Son anus est écartelé d’une manière assez cuisante. On dirait qu’elle apprécie cette douleur qu’elle supporte avec joie et j’éprouve beaucoup de plaisir à cause de l’étroitesse du trou.
La sportive trentenaire doit faire du cheval. Elle part en une vraie cavalcade sur mon nœud qui doit supporter sans faillir son galop infernal. Si ça continue, elle va me faire jouir, la salope !
Je reste stoïque, imperturbable, mais il faut que je change cette jument contre une jeune pouliche avant le point de non-retour.

-Ça suffit Yvette ! Au tour de ta nièce !
On dirait qu’elle ne m’entend plus. Elle m’écrase de tout son poids. Je dois me relever l’entraînant avec moi pour pouvoir sortir mon manche de son conduit arrière.
Solène, un peu apeurée, nous signale :-Se sera une première pour moi ! Je n’ai encore jamais osé !

(À suivre)

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