LE GITE NATURISTE . 12. Poilu comme un singe.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE GITE NATURISTE . 12. Poilu comme un singe.
LE GITE NATURISTE.12
ANNE
C’est donc à moi de raconter la suite.
Jean est plus petit, plus râblé que Patrick et très poilu, un vrai singe.
La partie de pétanque est finie.
Alors que je vois Patrick bavarder avec la Danoise qui a des seins vraiment impressionnants et son mari, moi je propose à Jean une promenade dans la nature. Il accepte avec empressement et nous partons par le sentier vers la forêt.
J'ai cru voir que le vieux beau nous regardait partir, il regarde aussi Patrick et le couple des étrangers. Il semble hésiter et retourne vers son bungalow qui est le plus près de la forêt. Jean et moi bavardons comme de vieux amis que nous ne sommes (pas encore). Je sens bien que tout en marchant il ne peut détacher les yeux de mes seins, enfin de mes mamelles devrais je dire, qui ballottent au fil des pas.
Et coquine comme je suis, acceptant aussi mon âge, et ma poitrine de femme mûre qui est un peu lourde, je marche en sautillant discrètement afin que cela ballotte vraiment.
Et je ne peux m'empêcher de le regarder, lui, si différent de Patrick. Oh pas plus beau ni plus viril mais peut être plus animal avec ses poils et intéressant avec son sexe court et épais. Patrick a une bite splendide mais je crois que Jean le bat un peu au niveau grosseur. A vérifier !
On traverse les prés et entrons dans la forêt, le chemin est large, on marche côte-à-côte et on bavarde. Il est un peu curieux.
- Patrick est votre compagnon?
- Non c'est un ami.
- Un ami que vous fréquentez beaucoup ?
- Oui c'est disons un ami de mon couple, Pierre mon homme, vient dans 2 jours..
- Un ami de votre couple, intime et régulier ?
- Oui, on se retrouve souvent pour des moments sympas de complicité.
- Et pourquoi ici ?
- Car lui et moi et mon homme sommes naturistes.
Et je sens qu'il est de plus en plus intéressé.
- C'est un bel homme, ce Patrick.
- Oui il me plait et me convient.
- Et il vous comble ?
- Vous êtes bien curieux, dis-je rougissant.
Alors il se tourne vers moi, on s'arrête et il me dit froidement :
- Avec ce qu'il a entre les jambes vous devez le sentir passer.
Moi je suis estomaquée, ne sais pas quoi lui répondre, je me reprends et provocatrice je lui lâche :
- Rassurez-vous, cela me fait beaucoup de bien là où il passe, il me comble.
Le laissant dans le doute.
Cette fois-ci c'est lui qui semble surpris par ma hardiesse et pour détendre l'ambiance je poursuis en flattant son ego :
- Vous êtes très séduisant aussi et avez deux choses que Patrick n'a pas.
- Quoi donc ?
- Vous êtes poilu comme un ours et votre sexe semble plus épais que le sien.
Alors sans que je m'y attende, il me prend mes deux mains, en pose une sur son poitrail velu et l'autre sur son sexe.
- Touche et caresse, me dit-il.
C'est ce que je fais sans honte, sans gêne, face à face, au milieu de cette forêt.
Son pénis grossit, épaissit. C'est ce que je pensais, un sexe court et épais mais ma main me servant de mesure, je me rends compte que son sexe est de même calibre que celui de Patrick. Le contraste de longueur me l’avait fais paraître plus gros. Je passe mon autre main sur ses tétons, son ventre, il a des poils partout. Je lui demande :
-Tourne-toi, adoptant comme lui le tutoiement et je lâche son sexe.
Je suis face à son dos et ses fesses pleines de poils aussi. Je passe mes mains des épaules jusqu’aux cuisses, c'est super, c'est animal, c'est bestial.
-Lève les bras.
Moi derrière lui je le caresse, le touche des bras aux mollets, en me baissant. Je veux apprécier cette toison qui le couvre.
J'en ai des frissons et aussi une humidité qui apparaît entre mes cuisses. J’interromps les caresses, me remets face à lui, me colle à lui et ose lui dire :
- Tu es super, j'ai envie de toi.
Il me prend par la main et on s'enfonce dans la forêt. Il ne parle plus, il semble pressé, moi aussi car mon ventre me tiraille, je suis "chaude".
Un banc en bois apparaît et sans me demander mon avis, il m'allonge sur le dos sur ce banc rustique et froid. Je vois Jean devant moi, son sexe est dur, dur et terriblement gros. J'en suis surprise mais c'est son allure d'homme des cavernes qui me donne le plus d'excitation je crois.
Etre prise par cet être poilu, dans cette forêt feuillue, terrible !
Je m'accroche avec mes deux bras au bois du banc. Jean lui ne prends pas de gants, pas de préliminaires. Je vois dans ses yeux qu'il me veut et il me prend entrant vigoureusement en moi.
Heureusement je suis trempée et mes tissus vaginaux sont encore très souples.
Je le sens en moi. Il va et vient. Il coulisse et j'explose, je jouis car son gros sexe qui est en moi coulisse contre mon point G.
Je crie, je secoue la tête et sens son sperme chaud m'inonder.
Oui il vient d'éjaculer en moi et continue à me "travailler". Puis il se calme, je me calme aussi, il redevient doux me caressant les joues. Dommage que ça n’ait pas duré plus longtemps. Là il marque un mauvais point comparé à Patrick.
- J'en avais trop envie, excuse-moi mais je me rattraperai une autre fois pour les câlins. M’avoue-t-il.
- Ce fut super et j'ai joui comme une folle, merci à toi. Dis-je sincèrement.
Nous revenons en marchant main dans la main, je sens le sperme couler le long de mes cuisses, je vois le sexe de Jean qui a surtout raccourci mais qui reste épais. Belle image!
A l'approche du bungalow du vieux beau qui est assis sur une chaise à l'extérieur, on lâche nos mains et en passant à côté de lui, il nous demande en souriant si la promenade a été bonne.
-Oh oui, lui répondons-nous en cœur et il se permet de rajouter :
-Demain pensez à moi, je viendrais bien aussi.
A ces mots je rougis car une pensée coquine traverse mon esprit.
-Prenez place, dit-il nous présentant deux chaises.
Jean, peut être gêné par son sexe qui est entouré de secrétions, annonce :
-Merci mais je vais aller me doucher.
Jean s'éloigne. Moi me retrouvant seule je me suis assise. Il engage la conversation sur des banalités, le temps, la nature, regardant régulièrement bien sûr mes seins mais aussi mon entre-jambe.
Mes têtons pointent, j'assume, mais ma fente "coule" ce qui me trouble plus. Je suis sûre qu'il a remarqué mais bien élevé il ne fait aucune allusion.
Et alors que je m'apprête à repartir, il me fait une proposition que je trouve sympa et élégante. Il me propose:
-Ce soir je sors, je vais dîner dans un restaurant sympa de la ville voisine. J'aimerais bien que vous et votre ami, vous savez le grand avec qui vous étiez hier soir, veniez avec moi. On pourrait sympathiser et mieux se connaître.
-A voir ! Lui dis je, j'en parlerai à Patrick.
Et je pars vers mon mobil home. Il est déjà 18 heures. Je retrouve Patrick et lui dis que j'ai fais une balade sympa dans la forêt avec Jean et que nous irons dîner dehors sans lui en dire plus.
-Alors, raconte, je suis sûr que ça ne c’est pas arrêté là, ma belle infidèle, mais ce que je veux savoir, c’est qui a fait le premier pas.
- C’est lui, mais je n’ai rien fait pour étouffer ses instincts de mâle en rut. Ça a l’air d’être un bon coup et je suis sûre qu’en le poussant un peu, on pourra faire une partie à trois. Et toi ? Que te voulait le mari d’Ida ?
- Il m’a demandé de baiser sa femme en sa présence et traduisait à mesure ce que nous racontions, c’était assez bizarre.
- Oui, peut-être, mais te connaissant, ça ne t’as pas empêché de la troncher par tous les trous.
-Oh, comment le sais-tu ?
Nous nous regardons et éclatons de rire.
ANNE
C’est donc à moi de raconter la suite.
Jean est plus petit, plus râblé que Patrick et très poilu, un vrai singe.
La partie de pétanque est finie.
Alors que je vois Patrick bavarder avec la Danoise qui a des seins vraiment impressionnants et son mari, moi je propose à Jean une promenade dans la nature. Il accepte avec empressement et nous partons par le sentier vers la forêt.
J'ai cru voir que le vieux beau nous regardait partir, il regarde aussi Patrick et le couple des étrangers. Il semble hésiter et retourne vers son bungalow qui est le plus près de la forêt. Jean et moi bavardons comme de vieux amis que nous ne sommes (pas encore). Je sens bien que tout en marchant il ne peut détacher les yeux de mes seins, enfin de mes mamelles devrais je dire, qui ballottent au fil des pas.
Et coquine comme je suis, acceptant aussi mon âge, et ma poitrine de femme mûre qui est un peu lourde, je marche en sautillant discrètement afin que cela ballotte vraiment.
Et je ne peux m'empêcher de le regarder, lui, si différent de Patrick. Oh pas plus beau ni plus viril mais peut être plus animal avec ses poils et intéressant avec son sexe court et épais. Patrick a une bite splendide mais je crois que Jean le bat un peu au niveau grosseur. A vérifier !
On traverse les prés et entrons dans la forêt, le chemin est large, on marche côte-à-côte et on bavarde. Il est un peu curieux.
- Patrick est votre compagnon?
- Non c'est un ami.
- Un ami que vous fréquentez beaucoup ?
- Oui c'est disons un ami de mon couple, Pierre mon homme, vient dans 2 jours..
- Un ami de votre couple, intime et régulier ?
- Oui, on se retrouve souvent pour des moments sympas de complicité.
- Et pourquoi ici ?
- Car lui et moi et mon homme sommes naturistes.
Et je sens qu'il est de plus en plus intéressé.
- C'est un bel homme, ce Patrick.
- Oui il me plait et me convient.
- Et il vous comble ?
- Vous êtes bien curieux, dis-je rougissant.
Alors il se tourne vers moi, on s'arrête et il me dit froidement :
- Avec ce qu'il a entre les jambes vous devez le sentir passer.
Moi je suis estomaquée, ne sais pas quoi lui répondre, je me reprends et provocatrice je lui lâche :
- Rassurez-vous, cela me fait beaucoup de bien là où il passe, il me comble.
Le laissant dans le doute.
Cette fois-ci c'est lui qui semble surpris par ma hardiesse et pour détendre l'ambiance je poursuis en flattant son ego :
- Vous êtes très séduisant aussi et avez deux choses que Patrick n'a pas.
- Quoi donc ?
- Vous êtes poilu comme un ours et votre sexe semble plus épais que le sien.
Alors sans que je m'y attende, il me prend mes deux mains, en pose une sur son poitrail velu et l'autre sur son sexe.
- Touche et caresse, me dit-il.
C'est ce que je fais sans honte, sans gêne, face à face, au milieu de cette forêt.
Son pénis grossit, épaissit. C'est ce que je pensais, un sexe court et épais mais ma main me servant de mesure, je me rends compte que son sexe est de même calibre que celui de Patrick. Le contraste de longueur me l’avait fais paraître plus gros. Je passe mon autre main sur ses tétons, son ventre, il a des poils partout. Je lui demande :
-Tourne-toi, adoptant comme lui le tutoiement et je lâche son sexe.
Je suis face à son dos et ses fesses pleines de poils aussi. Je passe mes mains des épaules jusqu’aux cuisses, c'est super, c'est animal, c'est bestial.
-Lève les bras.
Moi derrière lui je le caresse, le touche des bras aux mollets, en me baissant. Je veux apprécier cette toison qui le couvre.
J'en ai des frissons et aussi une humidité qui apparaît entre mes cuisses. J’interromps les caresses, me remets face à lui, me colle à lui et ose lui dire :
- Tu es super, j'ai envie de toi.
Il me prend par la main et on s'enfonce dans la forêt. Il ne parle plus, il semble pressé, moi aussi car mon ventre me tiraille, je suis "chaude".
Un banc en bois apparaît et sans me demander mon avis, il m'allonge sur le dos sur ce banc rustique et froid. Je vois Jean devant moi, son sexe est dur, dur et terriblement gros. J'en suis surprise mais c'est son allure d'homme des cavernes qui me donne le plus d'excitation je crois.
Etre prise par cet être poilu, dans cette forêt feuillue, terrible !
Je m'accroche avec mes deux bras au bois du banc. Jean lui ne prends pas de gants, pas de préliminaires. Je vois dans ses yeux qu'il me veut et il me prend entrant vigoureusement en moi.
Heureusement je suis trempée et mes tissus vaginaux sont encore très souples.
Je le sens en moi. Il va et vient. Il coulisse et j'explose, je jouis car son gros sexe qui est en moi coulisse contre mon point G.
Je crie, je secoue la tête et sens son sperme chaud m'inonder.
Oui il vient d'éjaculer en moi et continue à me "travailler". Puis il se calme, je me calme aussi, il redevient doux me caressant les joues. Dommage que ça n’ait pas duré plus longtemps. Là il marque un mauvais point comparé à Patrick.
- J'en avais trop envie, excuse-moi mais je me rattraperai une autre fois pour les câlins. M’avoue-t-il.
- Ce fut super et j'ai joui comme une folle, merci à toi. Dis-je sincèrement.
Nous revenons en marchant main dans la main, je sens le sperme couler le long de mes cuisses, je vois le sexe de Jean qui a surtout raccourci mais qui reste épais. Belle image!
A l'approche du bungalow du vieux beau qui est assis sur une chaise à l'extérieur, on lâche nos mains et en passant à côté de lui, il nous demande en souriant si la promenade a été bonne.
-Oh oui, lui répondons-nous en cœur et il se permet de rajouter :
-Demain pensez à moi, je viendrais bien aussi.
A ces mots je rougis car une pensée coquine traverse mon esprit.
-Prenez place, dit-il nous présentant deux chaises.
Jean, peut être gêné par son sexe qui est entouré de secrétions, annonce :
-Merci mais je vais aller me doucher.
Jean s'éloigne. Moi me retrouvant seule je me suis assise. Il engage la conversation sur des banalités, le temps, la nature, regardant régulièrement bien sûr mes seins mais aussi mon entre-jambe.
Mes têtons pointent, j'assume, mais ma fente "coule" ce qui me trouble plus. Je suis sûre qu'il a remarqué mais bien élevé il ne fait aucune allusion.
Et alors que je m'apprête à repartir, il me fait une proposition que je trouve sympa et élégante. Il me propose:
-Ce soir je sors, je vais dîner dans un restaurant sympa de la ville voisine. J'aimerais bien que vous et votre ami, vous savez le grand avec qui vous étiez hier soir, veniez avec moi. On pourrait sympathiser et mieux se connaître.
-A voir ! Lui dis je, j'en parlerai à Patrick.
Et je pars vers mon mobil home. Il est déjà 18 heures. Je retrouve Patrick et lui dis que j'ai fais une balade sympa dans la forêt avec Jean et que nous irons dîner dehors sans lui en dire plus.
-Alors, raconte, je suis sûr que ça ne c’est pas arrêté là, ma belle infidèle, mais ce que je veux savoir, c’est qui a fait le premier pas.
- C’est lui, mais je n’ai rien fait pour étouffer ses instincts de mâle en rut. Ça a l’air d’être un bon coup et je suis sûre qu’en le poussant un peu, on pourra faire une partie à trois. Et toi ? Que te voulait le mari d’Ida ?
- Il m’a demandé de baiser sa femme en sa présence et traduisait à mesure ce que nous racontions, c’était assez bizarre.
- Oui, peut-être, mais te connaissant, ça ne t’as pas empêché de la troncher par tous les trous.
-Oh, comment le sais-tu ?
Nous nous regardons et éclatons de rire.
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