LE GITE NATURISTE . 13 Premières prises dans un film porno
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 554 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Mlkjhg39 ont reçu un total de 4 214 010 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2018 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 5 587 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
LE GITE NATURISTE . 13 Premières prises dans un film porno
Le gîte. Premières prises d’un film porno.
Suite à l’invitation du « vieux beau », nous nous apprêtons pour aller dîner.
Le soir venu, nous nous habillons et allons chercher le vieux beau. Il se prénomme Jules. On doit retrouver ses amis directement au resto.
C’est un couple charmant mais qui ne pratique pas le naturisme. Le repas commence et les conversations s’engagent. Stéphanie m’avoue que ce n’est pas elle qui ne veut pas sauter le pas, mais son mari Léo qui est très pudique (malgré sa profession).
Patrick est assis à coté de moi. Il prend ma main et la glisse sous la table. Il la pose sur son pantalon que je découvre baillant. Je sors sa bite et commence à la caresser. Sa queue devient énorme. Je continue à le branler tout en prenant part à la conversation. Il n’y a que quelques interludes quand je m’occupe de mon assiette.
Jules nous apprend qu’il a été longtemps dans le cinéma comme acteur puis derrière la caméra. Il a réalisé pas mal de film pornos.
Ses amis sont des diffuseurs. C’est comme ça qu’ils se sont connus. Et ce genre de film est une valeur sûre dans ce commerce.
Le repas se termine. Patrick n’en peut plus, il a des difficultés à tenir la conversation sans se trahir. Mais il tient le coup jusqu’à la fin. Je ne sais pas comment il a fait pour rentrer son matériel dans le pantalon.
Nous prenons congé du couple et reprenons la route pour le gîte.
-Je ne vais pas vous cacher, annonce Jules, que je vous ai observé au camping. Je cherche pour varier un peu mes films où il n’y a souvent que des belles poupées et des gravures de mode, des acteurs un peu plus « Madame et Monsieur tout le monde ». Je commence à en avoir marre de ces jeunes qui se croient plus malins et plus beaux les uns que les autres.
Un couple de quinqua comme vous ferait le buzz. Anne, malgré les années, vous avez un corps que ne renieraient pas certaines de mes actrices. Et pour vous, Patrick, on voit au premier coup d’œil ce qui intéresserait les femmes qui visionneraient vos films. Et votre réputation n’est plus à faire sur le gîte.
-Si vous voulez- poursuit-il- on pourrait faire un petit bout d’essai demain. Réfléchissez-y cette nuit et vous me donnerez votre réponse demain.
Je caresse la queue de Patrick, je ne sais pas si Jules se rend compte de mon manège dans la semi-pénombre de l’habitacle, elle reprend très vite une consistance prometteuse.
A peine arrivés à la caravane, Patrick arrache sa chemise et se jette sur moi. Je lèche son torse couvert d’une fine sueur. J’approche mon visage du pantalon d’où un effluve enivrant s’échappe et me fait mouiller mon string. J'ouvre la braguette, descend le pantalon déformé sur le devant et me retrouve face à son sexe tendu comme un arc. Je me lève et verrouille la porte, me tourne vers lui et fais tomber ma robe puis dégrafe mon soutif, dénudant ma poitrine.
-Que tu es belle, Anne !
Surexcité, il me serre dans ses bras, m'embrasse en caressant ma poitrine.
-Tes seins sont magnifiques !
Il aspire mes tétons dressés l’un après l’autre. Mon cœur s’emballe sous ce compliment et ma chatte en feu trempe encore un peu plus mon string. Ma fente en avale la ficèle.
Je m'empare de ce mat orgueilleux et le flatte en le frottant sur mes joues, mon cou, mes seins, exacerbant son impatience.
- Qu’est ce que tu attends pour me sucer, bordel ?!
Je titille le gland du bout de la langue, caresse ses couilles. Je lèche la hampe depuis sa base en remontant, et sans crier gare, enfourne le champignon gonflé. Ma bouche descend le plus bas qu’elle peut avant que je le pompe à toute vitesse.
Des ses deux mains, il pousse ma tête le plus loin qu’il peut à chaque aller/retour :-Espèce de chienne ! Tu aimes ça hein ? Aaahhh ! Ne t’arrête-pas, je t’en supplie !
Je prends mon courage à deux mains (mais le terme est un peu inapproprié en parlant de ma bouche) et enfile cette queue interminable en entier dans ma bouche. C’est un exploit avec lui mais je jubile d’y arriver, et reste sans bouger un petit moment pour savourer le moment avant d’étouffer.
Je sais qu’il adore être avalé à fond et que peu de ses conquêtes en sont capables.
Il se retire un peu et arrose mes amygdales. Son sperme est un doux nectar. Je me régale et continue de le pomper pendant qu’il noie ma bouche d’un flot séminal abondant.
Nous continuons par une rapide partie de jambes en l’air avant de décider de notre réponse à Jules: « Pourquoi-pas faire un essai? »Le lendemain, nous lui transmettons notre réponse. Il nous donne rendez-vous pour la soirée dans la maison de ses amis qui ont un petit studio dans leur sous-sol.
Nous passons la journée à nous faire bronzer et le soir venu, nous prenons la route.
J’ai mis un ensemble assorti porte jarretelles, string et soutien gorge balconnant très fin qui laisse mes seins nus et des bas couleur chair. J’ai passé une robe à se faire violer dans le métro et des talons aiguilles vertigineux.
-Tu as une tenue de vraie petite salope en quête de sexe ! S’exclame Patrick.
Je n’étais pas comme ça avant, mais Patrick m'a dépravée. Je ne peux plus résister à ces instants de plaisir passés à sucer des bites, J’ai même pris goût à me faire mettre dans mes différents orifices.
J’aime que les hommes me matent au gîte, qu’ils me désirent.
Depuis que je le connais, je suis devenue une femme folle à la libido déchainée.
Nous partons à notre rendez-vous et arrivons devant une villa isolée. Le couple nous accueille et nous guide vers le studio très bien équipé. Nous avons la surprise d’y retrouver Jean qui discute avec le vieux beau.
Quand Jules nous aperçoit, il se dirige vers nous et m’avoue :-Après votre virée au bois, j’ai demandé à Jean s’il voulait lui aussi participer, il a dit oui ! Si vous n’y voyez pas d’objections ?
Je demande à Patrick.
-Qu’en penses-tu ?
Il hausse les épaules et nous répond :-C’est plus à toi qu’il faut demander cela. Tu sais que ça ne ma gène pas et ce ne sera pas la première fois. Mais pour toi ?
-Pour moi, ça sera une première ! Je lui rétorque. Mais comme j’ai déjà « pratiqué » avec vous deux…-Que je vous explique. Déclare Jules. Stéphanie, son mari et moi allons vous filmer pour avoir des plans différents pour le montage final. Les écrans de contrôle que vous voyez là diffusent en direct ce qui est filmé. Je vous laisse l’initiative mais vous donnerez de temps en temps des directives.
Pour commencer, vous prenez une coupe de champagne et Anne s’occupe de vos sexes !
Jean s'occupe du champagne pendant que Patrick présente sa queue à ma bouche.
Stéphanie s’approche et filme en gros plan. Je regarde le retour sur le moniteur et me vois, salope accroupie en talons aiguilles, en train de sucer une bite magnifique. Si vous vous êtes déjà vues en vidéo, l’écran vous renvoie souvent une image ou on se trouve plus gros. Et la vision de ce pal entre mes lèvres décuple mes ardeurs.
Jules fait remarquer au couple :-Quand je vous avais dis que c’est un vrai étalon ! Et je ne l’ai vu que débandé, le bonhomme !
Jean me tend une coupe, je la bois et garde le champagne dans ma bouche avant d’enfourner de nouveau le manche de Patrick. Le champagne bien frais l'émoustille et sa verge gonflée de désir ramone avec douceur ma bouche. Jean me présente lui aussi son engin. J’ai enfin sous les yeux les bites de mes deux amants. Elles sont aussi épaisses l’une que l’autre mais celle de Patrick bat de quelques centimètres sa concurrente.
Ils ont une vue plongeante sur mon décolleté. Mes seins débordent allègrement des bonnets de mon soutien-gorge.
Je retire leurs vêtement, ils ne portent pas de slip. Les deux queues dressées sont devant mon visage, elles sont superbes. J’en prends une dans chaque main et les fais rouler sur mes joues. Deux sacrés beaux morceaux.
Je commence à sucer Jean en branlant Patrick. Tour à tour, ils profitent de mes caresses buccales et semblent apprécier mes efforts si j'en juge par la dureté de leurs organes.
Je dégouline de plaisir avec ces deux mâles, ma chatte en feu mouille tellement mon string qu’il se réduit à une ficelle qui me rentre dans la raie.
Je pompe le bel engin de Patrick et l'enfonce au fond de ma gorge, Telle une salope, je les suce à tout de rôle mais insiste plus sur celle de Patrick que sur la queue de Jean car je sais qu’il ne tiendra pas la distance et je veux les faire jouir en même temps.
(A suivre)
Ps : Léo et Stéphanie est le couple qui m’a demandé de vous narrer « Les aventures sexuelles débridées de Patrick » déjà sur le site.
Suite à l’invitation du « vieux beau », nous nous apprêtons pour aller dîner.
Le soir venu, nous nous habillons et allons chercher le vieux beau. Il se prénomme Jules. On doit retrouver ses amis directement au resto.
C’est un couple charmant mais qui ne pratique pas le naturisme. Le repas commence et les conversations s’engagent. Stéphanie m’avoue que ce n’est pas elle qui ne veut pas sauter le pas, mais son mari Léo qui est très pudique (malgré sa profession).
Patrick est assis à coté de moi. Il prend ma main et la glisse sous la table. Il la pose sur son pantalon que je découvre baillant. Je sors sa bite et commence à la caresser. Sa queue devient énorme. Je continue à le branler tout en prenant part à la conversation. Il n’y a que quelques interludes quand je m’occupe de mon assiette.
Jules nous apprend qu’il a été longtemps dans le cinéma comme acteur puis derrière la caméra. Il a réalisé pas mal de film pornos.
Ses amis sont des diffuseurs. C’est comme ça qu’ils se sont connus. Et ce genre de film est une valeur sûre dans ce commerce.
Le repas se termine. Patrick n’en peut plus, il a des difficultés à tenir la conversation sans se trahir. Mais il tient le coup jusqu’à la fin. Je ne sais pas comment il a fait pour rentrer son matériel dans le pantalon.
Nous prenons congé du couple et reprenons la route pour le gîte.
-Je ne vais pas vous cacher, annonce Jules, que je vous ai observé au camping. Je cherche pour varier un peu mes films où il n’y a souvent que des belles poupées et des gravures de mode, des acteurs un peu plus « Madame et Monsieur tout le monde ». Je commence à en avoir marre de ces jeunes qui se croient plus malins et plus beaux les uns que les autres.
Un couple de quinqua comme vous ferait le buzz. Anne, malgré les années, vous avez un corps que ne renieraient pas certaines de mes actrices. Et pour vous, Patrick, on voit au premier coup d’œil ce qui intéresserait les femmes qui visionneraient vos films. Et votre réputation n’est plus à faire sur le gîte.
-Si vous voulez- poursuit-il- on pourrait faire un petit bout d’essai demain. Réfléchissez-y cette nuit et vous me donnerez votre réponse demain.
Je caresse la queue de Patrick, je ne sais pas si Jules se rend compte de mon manège dans la semi-pénombre de l’habitacle, elle reprend très vite une consistance prometteuse.
A peine arrivés à la caravane, Patrick arrache sa chemise et se jette sur moi. Je lèche son torse couvert d’une fine sueur. J’approche mon visage du pantalon d’où un effluve enivrant s’échappe et me fait mouiller mon string. J'ouvre la braguette, descend le pantalon déformé sur le devant et me retrouve face à son sexe tendu comme un arc. Je me lève et verrouille la porte, me tourne vers lui et fais tomber ma robe puis dégrafe mon soutif, dénudant ma poitrine.
-Que tu es belle, Anne !
Surexcité, il me serre dans ses bras, m'embrasse en caressant ma poitrine.
-Tes seins sont magnifiques !
Il aspire mes tétons dressés l’un après l’autre. Mon cœur s’emballe sous ce compliment et ma chatte en feu trempe encore un peu plus mon string. Ma fente en avale la ficèle.
Je m'empare de ce mat orgueilleux et le flatte en le frottant sur mes joues, mon cou, mes seins, exacerbant son impatience.
- Qu’est ce que tu attends pour me sucer, bordel ?!
Je titille le gland du bout de la langue, caresse ses couilles. Je lèche la hampe depuis sa base en remontant, et sans crier gare, enfourne le champignon gonflé. Ma bouche descend le plus bas qu’elle peut avant que je le pompe à toute vitesse.
Des ses deux mains, il pousse ma tête le plus loin qu’il peut à chaque aller/retour :-Espèce de chienne ! Tu aimes ça hein ? Aaahhh ! Ne t’arrête-pas, je t’en supplie !
Je prends mon courage à deux mains (mais le terme est un peu inapproprié en parlant de ma bouche) et enfile cette queue interminable en entier dans ma bouche. C’est un exploit avec lui mais je jubile d’y arriver, et reste sans bouger un petit moment pour savourer le moment avant d’étouffer.
Je sais qu’il adore être avalé à fond et que peu de ses conquêtes en sont capables.
Il se retire un peu et arrose mes amygdales. Son sperme est un doux nectar. Je me régale et continue de le pomper pendant qu’il noie ma bouche d’un flot séminal abondant.
Nous continuons par une rapide partie de jambes en l’air avant de décider de notre réponse à Jules: « Pourquoi-pas faire un essai? »Le lendemain, nous lui transmettons notre réponse. Il nous donne rendez-vous pour la soirée dans la maison de ses amis qui ont un petit studio dans leur sous-sol.
Nous passons la journée à nous faire bronzer et le soir venu, nous prenons la route.
J’ai mis un ensemble assorti porte jarretelles, string et soutien gorge balconnant très fin qui laisse mes seins nus et des bas couleur chair. J’ai passé une robe à se faire violer dans le métro et des talons aiguilles vertigineux.
-Tu as une tenue de vraie petite salope en quête de sexe ! S’exclame Patrick.
Je n’étais pas comme ça avant, mais Patrick m'a dépravée. Je ne peux plus résister à ces instants de plaisir passés à sucer des bites, J’ai même pris goût à me faire mettre dans mes différents orifices.
J’aime que les hommes me matent au gîte, qu’ils me désirent.
Depuis que je le connais, je suis devenue une femme folle à la libido déchainée.
Nous partons à notre rendez-vous et arrivons devant une villa isolée. Le couple nous accueille et nous guide vers le studio très bien équipé. Nous avons la surprise d’y retrouver Jean qui discute avec le vieux beau.
Quand Jules nous aperçoit, il se dirige vers nous et m’avoue :-Après votre virée au bois, j’ai demandé à Jean s’il voulait lui aussi participer, il a dit oui ! Si vous n’y voyez pas d’objections ?
Je demande à Patrick.
-Qu’en penses-tu ?
Il hausse les épaules et nous répond :-C’est plus à toi qu’il faut demander cela. Tu sais que ça ne ma gène pas et ce ne sera pas la première fois. Mais pour toi ?
-Pour moi, ça sera une première ! Je lui rétorque. Mais comme j’ai déjà « pratiqué » avec vous deux…-Que je vous explique. Déclare Jules. Stéphanie, son mari et moi allons vous filmer pour avoir des plans différents pour le montage final. Les écrans de contrôle que vous voyez là diffusent en direct ce qui est filmé. Je vous laisse l’initiative mais vous donnerez de temps en temps des directives.
Pour commencer, vous prenez une coupe de champagne et Anne s’occupe de vos sexes !
Jean s'occupe du champagne pendant que Patrick présente sa queue à ma bouche.
Stéphanie s’approche et filme en gros plan. Je regarde le retour sur le moniteur et me vois, salope accroupie en talons aiguilles, en train de sucer une bite magnifique. Si vous vous êtes déjà vues en vidéo, l’écran vous renvoie souvent une image ou on se trouve plus gros. Et la vision de ce pal entre mes lèvres décuple mes ardeurs.
Jules fait remarquer au couple :-Quand je vous avais dis que c’est un vrai étalon ! Et je ne l’ai vu que débandé, le bonhomme !
Jean me tend une coupe, je la bois et garde le champagne dans ma bouche avant d’enfourner de nouveau le manche de Patrick. Le champagne bien frais l'émoustille et sa verge gonflée de désir ramone avec douceur ma bouche. Jean me présente lui aussi son engin. J’ai enfin sous les yeux les bites de mes deux amants. Elles sont aussi épaisses l’une que l’autre mais celle de Patrick bat de quelques centimètres sa concurrente.
Ils ont une vue plongeante sur mon décolleté. Mes seins débordent allègrement des bonnets de mon soutien-gorge.
Je retire leurs vêtement, ils ne portent pas de slip. Les deux queues dressées sont devant mon visage, elles sont superbes. J’en prends une dans chaque main et les fais rouler sur mes joues. Deux sacrés beaux morceaux.
Je commence à sucer Jean en branlant Patrick. Tour à tour, ils profitent de mes caresses buccales et semblent apprécier mes efforts si j'en juge par la dureté de leurs organes.
Je dégouline de plaisir avec ces deux mâles, ma chatte en feu mouille tellement mon string qu’il se réduit à une ficelle qui me rentre dans la raie.
Je pompe le bel engin de Patrick et l'enfonce au fond de ma gorge, Telle une salope, je les suce à tout de rôle mais insiste plus sur celle de Patrick que sur la queue de Jean car je sais qu’il ne tiendra pas la distance et je veux les faire jouir en même temps.
(A suivre)
Ps : Léo et Stéphanie est le couple qui m’a demandé de vous narrer « Les aventures sexuelles débridées de Patrick » déjà sur le site.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mlkjhg39
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...