Le Gode violet 1/11 - histoire érotique

Bonjour,
Encore une preuve que je saute du coq à l'âne, je sais cest un défaut... Et je m'en excuse !
Une petite précision à faire...
Bon, cette histoire ici, n'a rien à voir avec mon "vécu", ou devrai-je dire NOTRE vécu.
Comme vous le savez, je suis père d'une fille et d'un garçon et c'était à l'époque où ma petite chérie devenait jeune fille et que ma femme me racontait les premiers pas de notre princesse dans le monde des jeunes demoiselles (cycle menstruel, épilation, choix de soutifs...)
Bref,
C'est des notions que je ne connais pas surtout que je suis d'une famille de 3 garçons...
Donc je me suis mis à m'imaginer, imaginer le comportement d'un père célibataire qui a une fille... Comment il sera capable de lui expliquer les choses de la vie, lui parler de sexualité... Et de là, mon imagination est partie faire un tour (j'avais mis plus de deux semaines pour écrire ce texte, à raison de 2-3h par jour) et mon imagination a, entre temps, rencontré ma perversion d'où ce texte que je veux bien partager avec vous !
Donc cette histoire est une pure fiction!!

Rappel important :
Tous les rapports qui peuvent être réalisé entre 2 personnes concentantes, doit obligatoirement être fait sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Même si cela n'est pas toujours précisé dans mes histoires, pour une raison ou une autre, sachez que la meilleure protection pour celui, ou celle, qui a plusieurs partenaires sexuels est l'usage d'un préservatif. Il est bête de titiller la mort juste pour assouvir ce qui doit être un moment de pur plaisir.
Alors, maximiser votre orgasme en vous protégeant !


Maintenant voici l'histoire :

Être un père célibataire comporte de nombreux défis, surtout quand on a une fille.
La mère de Nicole est partie depuis juste après son premier anniversaire, donc nous n'avons été que tous les deux durant toutes ses années (18 pour être précis).
J'avoue que reprendre la vie avec une nouvelle dame, était pour moi hors de question tellement ma séparation avec ma femme m'a brisé.
Bien sûr, comme tout homme, j'ai connu de belles demoiselles mais j'en ai jamais aimé une, assez fort, pour qu'elle ait la chance de partager notre vie, â moi et à ma fille.
Voilà pour vous planter le décor de ma vie.
Après le choc du depart de la mère de ma fille, ce n'était pas facile au début, mais j'ai réussi à fournir, à Nicole, un foyer stable et une assez bonne éducation familiale et scolaire pour en faire une fille sage, responsable et brillante.
J'avoue qu'elle était un peu un garçon manqué, mais elle était en bonne santé et heureuse. Elle avait de bons résultats à l'école, et nous nous entendions très bien toutes les deux.
Malheureusement, cela ne veut pas dire que j'étais bien préparé pour passer cet examen de la puberté et répondre à toutes ses questions.
La puberté masculine, je connais mais pour celle des filles, ma connaissance est purement théorique.
Et... C'était quelque chose à laquelle j'ai, volontairement, évité de penser, mais avant de m'en rendre compte, elle était là. Ma petite fille devenait une femme avant que je sois prêt. C'est à moi qu'incombait la tâche d'avoir «La Discussion» avec elle. Il m’a fallu une semaine pour trouver le courage de lui dire ce que j’allais lui dire : comment fonctionne la vie, expliquer les principes et l'importance de la religion, c'est quoi l'amour, le sexe...
Surtout le sexe... Car tout tourne autour de ce truc et tellement il est compliqué que personne n'en parle et à chaque fois que je demande de l'aide, ils casent cela dans la rubrique : "sujets tabous".

J’étais très mal à l’aise quand j'ai dû lui en parler pour la première fois, mais la curiosité naturelle de Nicole et sa personnalité ouverte ont transformé ce qui aurait pu être une conversation douloureusement, gênante... En un moment spécial qui nous a, en fait, rapproché encore plus.

Ensuite, bien sûr, il y a eu le reste. J’ai essayé de rendre cela aussi normal que possible, mais un père qui emmène sa fille faire du shopping au centre commercial pour un soutien-gorge pour la première fois, était pour moi, une journée inhabituelle.
Et cela n’est rien quand il était question, de lui expliquer ce qu’est un tampon et tout ce qui va avec et cette danse mensuelle et les petits problèmes d'humeur qu'elle va traverser. Apprendre à un fils à se raser le visage est une chose, mais croyez-moi, apprendre à votre fille à se raser les jambes en est une autre.

Vous pourriez penser que j’avais surmonté les obstacles les plus difficiles dans l’éducation d’une jeune fille dans son parcours vers l’âge adulte, et c’est ce que je pensais aussi, jusqu’à ce que ma belle fille de 18 ans vienne me voir un jour avec une demande inattendue :

— Papa, j’ai besoin que tu m’aides pour quelque chose.

Elle avait toujours tendance à m’appeler «papa» quand elle voulait quelque chose de moi, parce que ça marchait toujours.

— Je t’ai donné ton argent de poche il y a deux jours.
— Ce n’est pas ça... Tu sais que j’ai rompu avec Olivier le mois dernier, n’est-ce pas ?

Elle s’assied sur l’accoudoir de mon fauteuil. J’appuis sur le bouton pause de la télécommande pour ne rien rater de ce que faisaient les madrilèns.

— Eh bien, continue-t-elle, j’ai décidé qu’avec l’école, le bac et le basket-ball, je n’avais pas vraiment trop le temps pour en plus, supporter un petit ami en ce moment.
— J’adore cette réflexion ! Dis-je.

Elle me pince le bras.

— Écoute, je suis sérieuse à ce sujet... Je ne veux pas de petit ami, mais ça veut dire que j’ai toujours un problème.
— Et ce problème est… ?

Ma fille se déplace, mal à l’aise, à côté de moi.

— Bon, tout d’abord, tu sais que je ne suis plus vierge, n’est-ce pas ?

Waouh ! La conversation a pris une tournure inattendue. Soudain, je n'ai aucune idée de ce qu’elle voulait dire.

— Je n’en étais pas tout à fait sûre, mais bon, maintenant je suis !
— Mon Dieu, papa, ne sois pas si horrifié... Ce n’est pas comme si j’étais une vraie salope, ou quelque chose dans ce genre. C’était seulement avec Olivier et personne d'autre... Ok ?

Elle se mord la lèvre et détourne le regard alors qu’une légère rougeur colorie ses joues.

— D'accord... On a fait ça... Beaucoup de fois !

Exactement ce que tout père a peur d'entendre. Puis j’ai compris où elle voulait en venir.

— Oh, mon Dieu, tu es enceinte ?
— Non ! Elle me frappe l’épaule. Accorde-moi un peu plus de crédit que ça. Je prends la pilule et nous avons toujours utilisé des préservatifs !
— Et... Depuis combien de temps prends-tu la pilule ?
— Je ne sais pas, genre un an. De toute façon, ce n’est pas le sujet.

Je suis soulagé et un peu blessé en même temps.

— Quel est le sujet alors ?
— Je sais que tu ne veux probablement pas entendre ça, mais j’ai vraiment aimé faire l’amour !

Elle avait raison, je ne voulais pas l'entendre.

— Et ça me manque vraiment, vraiment..

Je me bouche les oreilles et ferme les yeux. Peut-être que ce n'était qu'un mauvais rêve et que j'allais me réveiller d'une seconde à l'autre. Nicole écarte mes mains.

— Papa, arrêtes. J'essaie de te dire que je suis vraiment excitée et que j'ai besoin de ton aide.
— Je ne t'entends pas ! Réponds ai-je en essayant de me boucher les oreilles, mais elle me tient fermement les poignets.
— Tais-toi et arrêtes de faire le bébé ! Me gronde-t-elle en riant. Et comme je ne veux pas de petit ami, et que je ne veux pas désespérer et en arriver à sortir avec des mecs au hasard, j'ai besoin de m'acheter quelque chose !
— Un billet pour un couvent ?
— Crois-moi, si je n'avais pas à te le demander, je ne le ferais pas, mais j'ai besoin... D'un gode !
— Hein ?

Je l'ai bien entendue, mais je ne l'ai pas vraiment compris.

— Un gode, papa... Tu sais ? C'est comme une fausse bite.
— Je sais ce qu'est un gode. Mais… mais pourquoi ???

Elle me lança un de ses regards qui dit :
«comment tu peux être aussi stupide ?»
Ou
«À ton avis... Pour me brosser les dents ?»
Nicole me tient toujours les poignets et je prends soudain conscience de sa proximité.

— C’est plus embarrassant pour moi que pour toi, papa, mais je ne sais pas quoi faire d’autre. Je ne peux pas vraiment l’expliquer, mais maintenant que j’ai couché avec un garçon, j’ai l’impression qu’il me manque quelque chose quand je le fais toute seule...

Est-ce que ma petite fille adorée disait honnêtement ce que je pense qu’elle dit ?

— Je ne… euh… quoi… ah… Je suis entrain d'échouer lamentablement à tous mes examens. Je me dois de me reprendre et... Je pensais, que peut-être si j’avais un gode, j’aurais plus l’impression de coucher avec un garçon, et je pourrais mieux me concentrer sur les choses à l’école au lieu d’être si excitée tout le temps.
— Tout cela semble très raisonnable, ma petite princesse chérie, mais tu dois admettre que ce n’est pas le genre de chose qu’un père veut entendre de sa fille.
— Je sais, je suis désolée... Mon papa chéri !

Et elle enroule ses bras autour de mon cou et me serre dans ses bras. Je peux sentir la douceur d’un de ses seins pressé contre mon épaule. J’essaie de l’ignorer, mais échoue.
Elle poursuit en disant :

— Ce n’est pas comme si j’avais une mère à mes côtés pour demander de l’aide pour ce genre de choses. Même si tu avais au moins une petite amie, je pourrais lui en parler.
— N'abordons pas ce sujet maintenant !

Cela doit être sérieux si elle me joue la carte de la mère.

— Allez, papa, c’est toi qui m’as appris des choses sur les oiseaux et les abeilles et tout ça. Tu savais que je ne serais pas vierge pour toujours... Et là... Je ne suis plus une petite fille !

Elle joue avec mes cheveux tout en parlant, les arrangeant comme elle le veut. C’était exactement le genre de contact intime dont j’avais peur à ce moment-là.

— C’est toi qui m’as appris que le sexe est une belle chose et que la masturbation fait partie intégrante de la croissance. Tu m’as aussi toujours dit que je pouvais venir te voir si j’avais des questions ou des problèmes concernant le sexe, alors me voilà !

J’avais toujours parlé de sexe avec ma fille de manière très abstraite, mais là, c'est du réel. En tant que père, je sais que je dois tout faire pour l’aider, mais en tant qu’homme, je ne peux pas contrôler ma réaction physique à l’idée que ma fille soit si désespérément excitée, qu’elle doit me demander un gode pour se masturber... Je fais de mon mieux pour ne pas penser à mon érection grandissante et je me serre les dents, les mains et tout ce que je peux serrer pour qu’elle disparaisse (et ma fille et mon érection) avant... Le coming-out.

— Tu as raison, ai-je concédé. C’est difficile pour moi d’accepter que ma petite fille soit devenue une petite femme sexy... Vas chercher mon portefeuille.
— Oh, papa ! Merci, merci, merci !

Elle m’embrasse sur la joue à chaque remerciement et s’enfuit en poussant un cri de joie.
J’en profite pour essayer de cacher mon érection afin qu’elle ne soit plus si visible.
Mais... Quel genre de père suis-je ?
C'est déjà assez pénible de payer pour que ma fille s'achète des jouets sexuels, mais avoir une érection en plus est tout simplement mal.

— J’ai fait quelques recherches... Crie ma fille qui est revenue plus vite que prévu, me laissant à moitié couchée.

Elle pose son ordinateur portable sur mes genoux. Je suis d’abord soulagé car cela cache la bosse très inappropriée dans mon pantalon, mais ensuite j’ai une vue détaillé de ce qu’il y a sur l’écran : une gamme de godes et de vibromasseurs aux couleurs acidulées !

— Ce site a une grande sélection de... Jouets, de bons prix et la livraison gratuite.

Elle se réinstalle sur l’accoudoir de mon fauteuil et se penche contre moi pour que nous puissions tous les deux voir l’écran de l’ordinateur. Bon sang, elle sent bon.

— Et si je te donnais ma carte de crédit et que tu puisses prendre ce que tu veux ?
— Non, tu dois m’aider à choisir le bon. Je n’ai jamais eu de gode avant, je ne sais pas quoi prendre !
— Je n’ai jamais eu de gode avant moi aussi... Comment suis-je censée savoir ce dont tu as besoin ?
— Parce que tu sais tout, papa !

Elle tend la main et utilise le pavé tactile pour faire défiler la page Web. Sa main plane sans le savoir à quelques centimètres au-dessus de ma bite à moitié dressée.

— Ok, donc la première chose que je dois déterminer est si je veux juste un gode simple ou un qui vibre. Qu'en penses-tu ? Demande t-elle.
— Je suppose que cela dépend... Tu veux, euh… ou tu préfères !!

Je me tortille mal à l'aise.

— Allez, papa, ne sois pas si prude. Dis juste ce que tu essaies de dire. Je suis une grande fille, je peux le supporter.
— Ce n'est pas pour toi que je m'inquiète !

Je pris une profonde inspiration et décide de faire ce qu'elle demande et de parler directement malgré mon instinct qui me disait de ne pas le faire.

— Voilà... Je suppose que les godes simples seraient bons pour les orgasmes par pénétration, tandis que les vibromasseurs peuvent également stimuler le clitoris.

Nicole glousse et m'embrasse sur la joue.

— Tu n'as pas besoin d'être trop technique. Tu peux juste dire clito...

Elle se penche en avant pour regarder de plus près l’écran, posant une main sur ma cuisse pour ne pas tomber.

— J’ai entendu dire que les vibromasseurs peuvent rendre moins sensible.
— Tu prévois de l’utiliser cinq fois par jour ?
— Au moins cinq, mais probablement plus ! Qu'elle dit sans sourciller.

Quand elle voit que je suis resté bouche bée, elle éclate de rire et me donne un coup de poing dans le bras.

— Ce n’est pas parce que je suis "excitée" que je suis complètement obsédée par le sexe, papa. Je prévois de l’utiliser normalement. Peut-être trois ou quatre fois par semaine. Sûrement plus au début...

À suivre...