Le gode violet 2/11

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Le gode violet 2/11 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gode violet 2/11
Bonjour,
Encore une preuve que je saute du coq à l'âne, je sais cest un défaut... Et je m'en excuse !
Une petite précision à faire...
Bon, cette histoire ici, n'a rien à voir avec mon "vécu", ou devrai-je dire NOTRE vécu.
Comme vous le savez, je suis père d'une fille et d'un garçon et c'était à l'époque où ma petite chérie devenait jeune fille et que ma femme me racontait les premiers pas de notre princesse dans le monde des jeunes demoiselles (cycle menstruel, épilation, choix de soutifs...)
Bref,
C'est des notions que je ne connais pas surtout que je suis d'une famille de 3 garçons...
Donc je me suis mis à m'imaginer, imaginer le comportement d'un père célibataire qui a une fille... Comment il sera capable de lui expliquer les choses de la vie, lui parler de sexualité... Et de là, mon imagination est partie faire un tour (j'avais mis plus de deux semaines pour écrire ce texte, à raison de 2-3h par jour) et mon imagination a, entre temps, rencontré ma perversion d'où ce texte que je veux bien partager avec vous !
Donc cette histoire est une pure fiction!!

Rappel important :
Tous les rapports qui peuvent être réalisé entre 2 personnes concentantes, doit obligatoirement être fait sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Même si cela n'est pas toujours précisé dans mes histoires, pour une raison ou une autre, sachez que la meilleure protection pour celui, ou celle, qui a plusieurs partenaires sexuels est l'usage d'un préservatif. Il est bête de titiller la mort juste pour assouvir ce qui doit être un moment de pur plaisir.
Alors, maximiser votre orgasme en vous protégeant !

Voici la suite de l'histoire :

Quand elle voit que je suis restée bouche bée, elle éclate de rire et me donne un coup de poing dans le bras.

— Ce n’est pas parce que je suis "excitée" que je suis complètement obsédée par le sexe, papa. Je prévois de l’utiliser normalement. Peut-être trois ou quatre fois par semaine. Sûrement plus au début...

Des visions de ma fille chérie étalée sur son lit, les jambes écartées, en train de faire l’amour avec son nouveau jouet ont surgi dans mon esprit sans que je m’y attende. Je veux être le papa cool et soutenir ma fille, mais cela allait me ruiner en tant que père.

— Tant que tu l’utilises avec modération, je ne pense pas que tu devras t’inquiéter de ta sensibilité.
— Bien, alors je vais en acheter un qui vibre pour pouvoir l'utiliser sur mon clitoris.

Il me semble qu'elle utilise délibérément un langage provocateur. Elle s'amuse probablement à me torturer comme ça.

— Maintenant, nous devons déterminer quelle forme serait bonne. Ils en ont toutes sortes de bizarres comme celui-là, celui-là ou celui-là !

Elle clique sur un, qui a une extrémité bulbeuse et une tige en tire-bouchon, puis sur un autre qui était une série de renflements sphériques de plus en plus gros.

— Et puis ils ont ceux qui ont la forme d'un pénis !

Elle cliqua à nouveau et sélectionne l'une des répliques réalistes.
Je ne peux pas oublier que je suis assis dans mon salon à regarder une collection d'énormes godes avec ma fille. C'est fou, mais je ne voulais pas admettre qu'il y a une partie de moi qui commence à apprécier ça. Surtout une partie très spécifique de moi.

— Je suppose qu'ils ont tous les deux leurs avantages, ose ai-je dire d'un ton lamentable.
— Ok, Monsieur "Culture-Science", je pense que vous dites qu'un pénis serait mieux !
— Je ne sais pas avec certitude, mais on ne peut pas trop se tromper avec un modèle éprouvé !

Elle y réfléchit en cliquant sur quelques autres vibromasseurs de l’ère spatiale.

— C’est une bonne remarque. Je sais ce que ça fait d’avoir une bite… oups, pardon, je veux dire un pénis à l’intérieur de moi, mais je ne sais pas ce que ça ferait d’enfoncer un de ces autres trucs dans mon vagin. Dommage qu’on ne puisse pas les tester avant de se décider.

La façon dont elle n’arrêtait pas de dire «nous» me rends fou. Et par là, je veux dire fou dans le bon sens du terme, ce qui est très mauvais. Elle fait de moi, consciemment ou inconsciemment, un genre de partenaire dans sa vie sexuelle privée. C'est un endroit où aucun père n'est censé y être. C'était peut-être une erreur de ne pas m'être remarier pour que Nicole puisse avoir une figure maternelle pour la guider dans ce genre de situations.

— En ce qui concerne les godes, je pense qu’ils doivent s’en tenir à une politique du «pour l'essayer, tu dois l'acheter».

Nous avons tous les deux ri nerveusement à ma blague pas très drôle.

— Et celui-là ? Demande ai-je en désignant un vibromasseur en forme de pénis, tout à fait au hasard.
— Euuuh, trop maigre. Je veux quelque chose avec un peu de circonférence, mais pas trop gros, tu sais ? Quelque chose comme ça serait bien, mais je ne sais pas pour les boules. Qu'est-ce que tu en penses ?
— Pour les boules ? Je suis fan.
— Maintenant, tu te moques de moi. C'est une grande décision, papa. Je veux m'assurer d'avoir le bon.
— Très bien, alors, voyons... Je clique sur l'un des modèles avec testicules inclus... En ce qui concerne un gode, d'après ce que je peux dire, les boules n'ajoutent pas grand-chose à l'expérience. Peut-être qu'elles te donnent quelque chose à quoi t'accrocher quand tu es... Tu sais... Mais je pense qu'elles sont plus à des fins esthétiques qu'autre chose.
— Hmmm...

Je vois que ma fille pèse le pour et le contre.

— À vrai dire... Je suis aussi fan des boules - des vraies - mais je ne pense pas qu’on en ait besoin sur mon gode.

Elle se déplace sur l’accoudoir de ma chaise et je remarque quand un petit vent passe entre nos corps à quel point elle est chaude, du moins le contact de nos corps... Bahhh !

— À quoi sert la ventouse en bas ?
— Je ne sais pas. Peut-être pour pouvoir la coller au mur de la douche et y aller les mains libres.
— Intéressant... Dit-elle penseuse à tes les possibilités qui se présentent à elle... Mais, pour l’instant, tout ce dont j’ai besoin, c’est d’un gode avec le bon diamètre.

Elle retourne à la page principale affichant des dizaines de jouets sexuels phalliques. J’entends ma fille respirer près de mon oreille. Elle se déplace à nouveau et je remarque qu’elle semble serrer ses jambes assez fort. Je suis tellement concentré à contrôler ma propre excitation que je n’ai pas pris le temps de considérer qu’elle aussi peut être excitée par tout cela. J’ai cru pendant un moment que ce n'est rien de plus qu’une virée shopping virtuelle pour elle, mais j’ai clairement pris conscience qu’elle était peut-être aussi excitée sexuellement que moi. J’ai essayé de chasser ces pensées de ma tête.

— Qu'est-ce que tu penses de celui-là ?
Dis-je en pointant du doigt l'écran et c'est alors que par inadvertance, mon bras effleurer l'un des petits seins de Nicole. Au lieu de s'éloigner, elle se penche un peu plus.
— Je l'aime bien, mais je ne suis pas sûre de la couleur. Ceux qui ont la couleur chair ont l'air d'avoir été coupés sur le corps un pauvre type. Ça me fait un peu flipper. Peut-être quelque chose comme...Ce violet !
— Hum, ouais, ça a l'air d'être un bon.
— Ceux en verre ont l'air assez cool aussi ! Me dit Nicole après avoir cliquer sur la page suivante et en parcourant la fiche détaillée avec les longueurs, les formes et tailles variées... Je parie que ceux-là seraient agréables même s'ils ne vibrent pas.
— Peut-être que... Si tu es une bonne fille, le Père Noël t'en apportera un cette année !

Elle rit et me donne une petite poussée enjouée avec son corps. L'idée d'acheter un jouet sexuel à ma fille pour Noël me fait sentir un picotement inconvenant dans les testicules. J'avais toujours été fier d'être un père bon et responsable, mais en l'espace de quelques minutes, tout cela a été mis en péril.
Nicole est retournée à la page précédente et clique sur le modèle violet.

— J'aime la taille de la tête de celui-ci, et la façon dont il se courbe un peu vers le haut à la fin.
— Est-ce qu'il est, euh... Assez gros pour toi ? Pas trop fin ?
— Non, ça semble juste ! Me dit-elle en se léchant les lèvres sans s'en rendre compte - Voyons voir... Trois vitesses, résistant à l'eau, deux piles AA et côté plaisir... Mmm, je ne les avais pas remarquées. Qu'est-ce que tu en penses, papa, tu aimes celui-ci ?
— Bien sûr ! Réponds ai-je en me raclant la gorge, prenant conscience que j'étais complètement dur et ressentant le besoin de faire quelque chose à ce sujet - Celui-là a l'air de faire l'affaire.

Elle s'est accrochée à mon épaule pendant que je parcours le processus de commande, que j'entre mon numéro de carte de crédit et que j'appuie sur le bouton de paiement.

— Génial ! J'ai vraiment hâte ! Gazouille-t-elle en me jetant à nouveau les bras autour du cou... Merci de m'avoir apporté ma propre bite, papa !
— De rien, chérie. Profite-en bien, car je t'en achèterai pas un autre !
— Oh, je le ferai.

Elle m'embrasse plusieurs fois sur la joue, attrape son ordinateur portable et se précipite dans sa chambre. Heureusement, elle était tellement pressée qu'elle n'a pas remarqué la bosse allongée dans mon pantalon.

Dès que j'entends la porte de la chambre de Nicole se fermer, je me précipite dans ma propre chambre et je sors ma bite. Je n'ai pas perdu de temps et j'ai immédiatement commencé à me branler. Je sais, c'est mal et dégoûtant, mais je ne peux pas m'en empêcher. Je suis presque sûr et certain que ma fille est dans sa chambre à ce moment précis en train de faire exactement la même chose. J'essaye de ne pas l'imaginer avec sa culotte baissée à ses chevilles et ses doigts enfouis dans sa douce chatte, mais il n'y avait aucun moyen de l'éviter.

Je peux encore sentir la façon dont elle pressait son corps contre moi. La chaleur de ses respirations rapides sur mon cou. Le doux contact de sa poitrine contre mon bras. Le son des mots comme "gode" et "bite" sur ses lèvres chéries. Ma petite fille excitée.
Mes couilles se serrent et une fontaine de sperme jaillit de ma queue. Je gicle partout sur le tapis sans même m'en soucier. Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai joui aussi vite. Je n'arrête pas de me branler, tirant encore plus sur ma réserve de sperme de mes couilles douloureuses. Putain, c'est bon. Trop bon. Je suis un porc répugnant.

Nicole était venue me demander de l'aide parce qu'elle me fait confiance. Elle compte sur moi pour résoudre un problème très personnel, et là, je me branle comme un décolier pervers. Elle serait horrifiée de savoir que son propre père se masturbe en pensant à elle entrain de jouer avec sa chatte.

J'ai pris une serviette dans la salle de bain et j'ai essuyé le bout de ma bite. Je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer que j'étais toujours dur - un état post-orgasme inhabituel à mon âge. J'ai tamponné ce que j'ai pu sur le tapis, me sentant de plus en plus humilié par la preuve biologique de ma propre dépravation.

C'est un moment de faiblesse. Un événement unique qui ne se reproduira plus. Il me faut juste me ressaisir et remettre mes idées en place et tout rentrera dans l'ordre maintenant que j'ai fait le tri. C'est tout ce qu'il y a à faire.

Du moins, c'est ce que je pensais.

C'est un combat quotidien de garder le contrôle de mes pensées en présence de ma fille. Nicole se promène innocemment dans la maison dans son short et son t-shirt habituels, et j'ai l'impression qu'elle se promène dans la lingerie la plus sexy que j'ai jamais vue. La vue de ses longues jambes nues et galbées me fait toujours vibrer. Je ne peux m'empêcher de remarquer comment le tissu en coton de sa chemise drape ses petits seins fermes. Je peux toujours dire quand elle ne porte pas de soutien-gorge, pas à cause du rebond, mais parce que ses seins prennent une forme différente lorsqu'ils n'étaient pas attachés. Même la façon dont sa queue de cheval se balance quand elle bouge me fait penser à des pensées totalement inappropriées.

Je réprime ces transgressions mentales perverses dès que j'ai compris ce que je fais, et je me suis battu pour garder Nicole hors de mon esprit chaque fois que je me branle (ce qui semblait être plus fréquent depuis notre virée shopping de jouets sexuels). Une partie du problème est qu'il y a plus que sa sensualité physique.
J’ai un nouveau regard sur ma fille que je n’avais jamais eue auparavant. Bien sûr, je sais qu’elle aime les garçons et qu’elle sort avec.
Quand elle avait officiellement trouvé un petit ami stable, j’ai compris qu'elle avait grandit. Mais jusqu’à ce qu’elle me demande un gode, tout cela n’était qu’une notion vaguement abstraite. Maintenant, c'est réel - très, très réel. Ma fille se masturbe.
Elle a été pénétrée.
Elle aime visiblement ça.
Elle veut désespérément quelque chose de dur, bien dur, dans sa chatte pour pouvoir avoir de meilleurs orgasmes. Ma fille est devenue une créature sexuelle pleinement mature.
Cette dimension supplémentaire fait d’elle une femme plus que je ne suis prêt à l’accepter. Et, en tant que femme, elle est devenue la cible des désirs naturels qui accompagnent le fait d’être un homme. Le fait que nous soyons si proches et que je l’aime tellement ne semble qu’intensifier ces désirs illicites.

Elle n’a apparemment aucune idée de l’effet qu’elle a sur moi. Il n'est pas inhabituel pour Nicole de se promener dans la maison en short court ou même en culotte. Je n’y avais pas vraiment pensé avant, mais maintenant c'est une forme "splendide" de torture.

Je n’arrive toujours pas à croire qu’elle est venue me demander de l’aide pour acheter un gode. Certes, elle a raison de dire que je suis la seule personne vers qui elle pouvait se tourner pour ce genre de choses, mais cela ne rend pas la chose moins choquante.
Quand j’avais son âge, je n’aurais jamais prononcé le mot «masturbation» devant mes parents, et encore moins admettre ouvertement que je le faisais. Les enfants d’aujourd’hui ont une attitude complètement différente à ce sujet, comme si c’était aussi normal que de se brosser les dents. Je suppose que cela devrait être considéré comme une bonne chose. Ou peut-être que cela allait juste mener à des ennuis.

— C’est arrivé ! C’est là, c’est là !

Nicole est entrée en courant dans le salon avec une simple boîte en carton dans les mains.
Mon cœur s’est immédiatement mis à battre plus vite. Elle s’est effondrée par terre au pied de ma chaise et a commencé à déchirer la boîte. Elle ne va pas vraiment l’ouvrir devant moi, n’est-ce pas ?
Si. Si, elle va le faire. J'appuie sur le bouton muet et j'essaye de me calmer.

— Je ne t'ai jamais vu aussi excité, sauf le matin de Noël.

Elle me tire la langue et jette le papier bulle en boule. Les yeux écarquillés, elle sort respectueusement son nouveau trésor de la boîte. Il est là... Le gode de ma fille.

Il brille d'un violet fluo sous le plastique transparent de l'emballage à clapet. Elle le retourne dans ses mains comme si elle ne pouvait pas croire qu'il était réel. Elle lève les yeux vers moi avec un sourire radieux, avant d'essayer de l'ouvrir. L'emballage ne cédait pas à ses doigts impatients. Elle me le tendit :

— Papa, je n'arrive pas à l'ouvrir ! Gémit-elle plaintivement.

Je lui prends l'objet d'une main tremblante pendant que je sors mon couteau de poche. Elle est à genoux et frappe des mains pendant que je coupe soigneusement le plastique tenace. Je maintiens le paquet ouvert et Nicole en sort le jouet sex-toys. Ce n'est plus une photo sur l'ordinateur, c'est définitivement le vrai.

— Oh, wow ! S’émerveille-t-elle. C’est un peu mou. Touche ! Dit-elle en me tendant le jouet en forme de phallus.

Je le presse timidement entre mon pouce et mon index.

— Sympa…
— Ouais, je pensais que ce serait comme du plastique dur, mais c’est mieux.

Elle passe ses doigts sur la tête de la chose et lui donne un pincement expérimental.
J’ai failli avoir une crise cardiaque quand elle l’a ensuite frotté contre sa joue pour le sentir sur sa peau. J’avais peur qu’elle commence à le sucer juste devant moi, mais heureusement, elle a recommencé à l’inspecter à la place. Elle a tourné le capuchon du bas.

— C’est là qu'on met les piles... Papa, tu peux m’en chercher ?

Je retire celles de ma télécommande et les lui tends. Après avoir réussit à installer les piles, je remarque que ses mains tremblent plus que les miennes. Nicole joue avec la manette. Sa bite violette prend vie et commence à vibrer.

Elle poussa un cri de joie.

— Oh mon Dieu, c'est tellement bizarre !

Ma fille toucha à nouveau sa joue avec son sextoy, puis le fait remonter le long de sa cuisse nue. Elle tend la main et touche ma jambe avec. Je me détourne brusquement et elle se moque de moi :

— N'ai pas peur, papa, ce n'est pas un vrai pénis !
— Je sais, mais quand même...

Elle lève le réglage au niveau moyen et son sourire s'élargit ; à grande vitesse, sa mâchoire tombe. Elle me regarde avec une joie incrédule. On aurait dit qu'elle veut dire quelque chose, mais qu'elle se retient, sachant que ce serait trop de partager cette joie avec son père. Elle manipule l'appareil jusqu'à ce qu'il soit silencieux.

— Je vais essayer ! Dit-elle en se levant d'un bond et me fait un gros câlin. Merci, papa, je t'aime tellement !

Et sur ce, elle court vers sa chambre. J'entends sa porte se fermer et une étrange sensation me parcourt. Malgré tous mes efforts pour me maîtriser, je ne peux m'empêcher d'imaginer ma fille en train de baisser son short, de sauter dans le lit, d'écarter les jambes et de glisser son nouveau jouet dans sa douce et jeune chatte. J'essaye de détourner mon attention et j'appuies sur la commande pour changer de chaîne plusieurs fois avant de me rendre compte qu'il n'y ai plus de piles dans la télécommande. Je me lève pour aller en chercher de nouvelles.

Au lieu de me diriger vers la cuisine où je gardes les piles de rechange, je me suis retrouvé à me diriger doucement vers la chambre de ma fille. Je me suis arrêté au bout du couloir à l'écoute. Tout est calme. Je me suis rapproché. Une fois arrivé à sa porte, je peux l'entendre. Ce bourdonnement bas et régulier. Elle le fait vraiment. Ma chérie est de l'autre côté de cette porte en train de se masturber avec son gode.

Ma bite est dure comme un roc dans mon pantalon. Je suis dégoûté. C'est déjà assez grave que je viole sa vie privée, mais en plus, avoir une érection à cause de cela est tout simplement répréhensible. Je dézippe mon jean et je sors ma bite.

En me penchant plus près, je m'efforce d'entendre davantage tandis que je commence à me caresser. Je suis plus bas que bas, mais je ne peux pas m'arrêter. Je ne peux penser qu'à cette grosse bite violette qui entre et sort de la chatte de ma fille.
Je veux voir l'expression de pur plaisir sur son visage alors qu'elle se masturbe.
Je veux voir son corps nubile se tordre sur son lit pendant qu'elle se fait plaisir.
Je veux voir le jus glissant couler de son petit trou alors qu'elle se fait jouir.
Le son d'un « Oh ! » de surpris résonne de l'autre côté de la porte. Un picotement parcourt mes couilles jusqu'à mon trou du cul.
Je me dis que je dois m'éloigner, mais au lieu de cela, je reste là, à branler ma bite raide avec mon pantalon baissé autour de mes genoux comme un sal pervers. Je l'entends à nouveau. C'est une série de petits gémissements qui se construisent rapidement vers quelque chose. Ma petite fille se fait jouir. C'est vraiment en train d'arriver. Et elle le fait avec le gode que son père lui avait acheté.
Un jet de sperme jaillit de ma bite et frappe la porte de la chambre de Nicole. Je mets rapidement ma main sur mon gland et récupère le reste dans ma paume alors que mes couilles se serraient et que plus de sperme jaillit. Je jouis avec ma fille. C'est tout simplement fantastique.

Ce n'est qu'une question de secondes avant que je reprenne mes esprits. Le flot de culpabilité et de honte qui avait été réprimé pendant que je me masturbais monte rapidement.
Oh mon Dieu, qu'est-ce qui n'allait pas chez moi ?
Je me tiens devant la chambre de ma fille avec mon pantalon baissé et une poignée de mon propre sperme. Le bourdonnement s'arrêta. Elle peut sortir d'une seconde à l'autre.
Je me précipite dans le couloir aussi silencieusement que possible, tenant mon pantalon d'une main et mon sperme dans l'autre tandis que mon érection rebondit librement. Si elle savait ce que j'avais fait, elle ne me reparlera plus jamais. Elle me fait confiance et je l'ai trahie. Il y aurait suffisamment de gars dans le monde essayant de profiter d'elle, la dernière chose dont elle a besoin était que son père soit l'un d'eux.

Une fois dans la cuisine, je me suis nettoyé, j'ai remis mon pantalon et je décide de ne plus laisser cela se reproduire. Je prends une nouvelle paire de piles AA du tiroir à bric-à-brac et je retourne à ma place. Il a fallu presque une demi-heure avant que Nicole n'entre en trombe et s'effondre sur le canapé. Ses joues sont roses et elle a un sourire rêveur.

— Eh bien, ça marche ! A-t-elle déclaré avec un petit rire timide. Je n'aurai certainement pas besoin d'un petit ami pendant un certain temps.

Je n'arrive toujours pas à croire qu'elle me parle de cette façon, mais je ne peux pas dire honnêtement que je déteste ça.

— Je suis content que tu sois heureuse, ma chérie !

Je me force à fixer la télévision et à ne pas reluquer le corps de ma fille.
Au bout de quelques minutes, elle commence à s'agiter, puis s'est levée et s'est dirigée à nouveau vers sa chambre.

— N'en fais pas trop le premier jour, chérie ! L'ai-je prévenue.
— Papa ! Je vais faire mes devoirs ! A-t-elle insisté sans être convaincante.
— Ouais, bien sûr ! L'ai-je taquiné. Amuse-toi bien.

Elle m'adresse un sourire narquois qui me fait comprendre que j'avais raison avant qu'elle ne se précipite dans sa chambre pour une autre partie avec son nouveau jouet.
Je réussi, enfin, à me contrôler assez bien au cours de la semaine suivante. C'est un supplice pendant les moments où je la soupçonne de s'y mettre, mais je gardes mes distances et lui accorde le respect qu'elle mérite. Cependant, je n'arrive pas à garder mes pensées entièrement sous contrôle. La nuit, lorsque j'essaye de m'endormir, je l'imagine en train de se masturber avec son gode dans la pièce voisine. Ma bite est dure en moins de temps qu’il faut pour le dire et je dois me branler en voyant les images qui remplissent ma tête.
Je n'arrête pas de me dire que c'est une phase passagère et que les choses reviendront bientôt à la normale. Et cela aurait été le cas si ma fille n'avait pas été follement désinhibée.

À la prochaine épisode...

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