Le gode violet 3/11

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Le gode violet 3/11 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gode violet 3/11
Bonjour,
Une petite précision à faire...
Bon, cette histoire ici, n'a rien à voir avec mon "vécu", ou devrai-je dire NOTRE vécu.
Comme vous le savez, je suis père d'une fille et d'un garçon et c'était à l'époque où ma petite chérie devenait jeune fille et que ma femme me racontait les premiers pas de notre princesse dans le monde des jeunes demoiselles (cycle menstruel, épilation, choix de soutifs...)
Bref,
C'est des notions que je ne connais pas surtout que je suis d'une famille de 3 garçons...
Donc je me suis mis à m'imaginer, imaginer le comportement d'un père célibataire qui a une fille... Comment il sera capable de lui expliquer les choses de la vie, lui parler de sexualité... Et de là, mon imagination est partie faire un tour et a, entre temps, rencontré ma perversion d'où ce texte (cela m'avait pris deux semaines pour l'écrire) que je veux bien partager avec vous !

Donc cette histoire est une pure fiction!

Rappel important :
Tous les rapports qui peuvent être réalisé entre 2 personnes concentantes, doit obligatoirement être fait sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Même si cela n'est pas toujours précisé dans mes histoires, pour une raison ou une autre, sachez que la meilleure protection pour celui, ou celle, qui a plusieurs partenaires sexuels est l'usage d'un préservatif. Il est bête de titiller la mort juste pour assouvir ce qui doit être un moment de pur plaisir.
Alors, maximiser votre orgasme en vous protégeant !

Voilà la suite :


Je n'arrête pas de me dire que c'est une phase passagère et que les choses reviendront bientôt à la normale. Et cela aurait été le cas si ma fille n'a pas été aussi follement désinhibée

Un matin, en allant à la salle de bain, je me suis arrêté net. Le gode de Nicole est posé là, sur le bord droit du lavabo.
L'avait-elle lavé et laissé derrière elle ? Ou l'avait-elle utilisé ici ?
Il semble plus gros que dans mon souvenir. Mon cœur bat fort.
Cette chose avait été dans la chatte de ma fille et pas qu'une fois.
Je ne peux m'empêcher de me demander quelle odeur il a, elle a. Peut-être que si elle ne l'avait pas fait, je peux sentir...

— Hé, papa, as-tu vu mon gode ? Oups, il est là !

En me retournant, je vois qu'elle est en culotte et en soutien-gorge et voilà qu'elle se saisit de son "jouet".

— Je ne veux pas, je ne peux pas te perdre mon cochon ! Lui a-t-elle dit en l'embrassant.
— J'espère que tu n'emmènes pas cette chose avec toi à l'école ! Ai-je plaisanté.
— Pas aujourd'hui ! A-t-elle répondu en baissant les yeux pendant une seconde.

Elle m'a adressé un de ses sourires narquois et a fermé la porte de la salle de bain en partant.
Je baisse les yeux et j'aperçois qu'une tente s'est dressée dans mon bas de pyjama. Cette petite chipie va me tuer. Je me suis branlé sous la douche comme un adolescent excité. Le temps de finir, Nicole est partie à l'école. Je me dirige vers sa chambre et pousse la porte.
L'odeur du déodorant qu'elle avait mis avant de partir flotte encore dans l'air. Le gode est posé sur son lit. Elle n'a même pas fait l'effort de le cacher. Je suis une fois de plus étonné de voir à quel point les enfants étaient ouverts à ce genre de choses de nos jours. Je me sens comme un parfait salaud, mais je ne peux m'empêcher de le ramasser et de le renifler rapidement. Il sentait le savon et le latex.
Elle a sûrement dû le laver. C'est embarrassant de voir à quel point j'étais déçu.
Je repose le jouet là où je l'ai trouvé, mais je n'ai pas pu me résoudre à partir. Je laisse tomber ma serviette et j'attrape ma bite. Je suis debout au-dessus du lit en me disant que c'est ici où ma petite fille joue avec son amant. C'est ici, l'endroit où elle se fait jouir. Ma bite se raidi en quelques secondes.

— Tu es une petite femelle très excitée, n'est-ce pas, Nicole ? Dis-je à voix haute tout en me sentant comme un idiot.
— Tu aimes te faire baiser avec le jouet que papa t'a acheté ?

Je frappe ma bite plus fort.

— Tu aimes te masturber ta petite chatte chaude, n'est-ce pas ?

J'attrape mes couilles et continu à branler ma tige de toutes mes forces.

— Espèce de salope ! Espèce de magnifique petite salope si excitée... Si excitante !

J'ai eu à peine la présence d'esprit de récolter mon sperme avant qu'il aille s'écraser partout sur ses draps.
Je tombe à genoux, gémissant en trayant à nouveau ma bite dans ma main comme un pervers dégénéré.

Quelques semaines plus tôt, je n'aurais jamais eu de telles pensées déviantes, mais maintenant c'est à peu près tout ce à quoi je peux penser. Je dois me ressaisir pour le bien de ma fille. Je sais que je ne suis pas le meilleur père qui soit, mais je suis mieux que ça.

Ce n'est qu'une question de jours avant que ...

Le vendredi soir et je suis dans mon fauteuil à regarder la télévision après une semaine chargée au travail. Mon cerveau est out et après quelques bières, j'ai du mal à garder les yeux ouverts.
Nicole est rentrée de sa soirée, faisant un bruit assourdissant, sautant d'une pièce à l'autre en chantant une version fausse du dernier tube pop à la radio.

— Comment était le film ? Lui ai-je demandé.
— Il était nul à iéch ! Mais il y a eu une bagarre au cinéma, alors cela a compensé cool... Et toi...Qu'est-ce que tu regardes ?
— Les moments forts de l'émission "il n'y a rien à cacher"!
— Regardons un film ou quelque chose comme ça. Tu veux ?

Je ne laisse jamais passer une occasion de passer du temps avec ma fille, surtout quand c'est son idée.

— Bien sûr !
— Cool !

Elle se dirige vers sa chambre, puis je l'entendue prendre des boissons et des collations dans la cuisine. Elle revient avec son pyjama sur le dos et pieds nus, ses cheveux relevés en une jolie queue de cheval. Elle pose un verre de son jus sur la table basse à côté de moi et laisse tomber un sac de chips au fromage sur mes genoux (mes préférés). Elle s'effondre sur le canapé avec sa boisson et un sac de chips. Elle a pris la télécommande pour naviguer sur le menu et sélectionne un film.
J'ai réussi à rester conscient pendant les vingt premières minutes, puis je me suis assoupi.
Il y avait un bourdonnement. Je rêvais que Nicole utilisait à nouveau son jouet. Je devais arrêter de faire ça. Le bruit persistait, peu importe à quel point j'essayais de le chasser de mon esprit.
Attendez... Mais... Ce n'es pas dans mon rêvece bruit. Je ne me suis pas endormi. Le son était dans la pièce avec moi. Impossible.

J'ouvre les yeux. Le film est toujours en cours. Nicole est sur le canapé en pyjama, regardant distraitement l'écran. Elle a son gode dans sa main et le frotte doucement sur son entrejambe. Ses pieds sont sur le canapé, les genoux écartés... Elle se masse la chatte à travers le bas de son pyjama avec son vibromasseur... Non... Cela doit être un rêve.
Ses yeux se tournent vers moi et elle remarque que je suis sorti de mon sommeil.

— Oups !

Elle ferme rapidement les jambes et éteignit le jouet.

— Je pensais que tu étais endormi.
— Je l'étais, mais…

Je suis à moitié éveillé et à moitié inconscient.

— Je dois probablement aller me coucher pour que tu puisses être seul… — Non, tu n'es pas obligé d'y aller ! Me dit-elle rapidement. Je me calme !

Elle pose le gode sur la table basse. Elle hausse les épaules, me suppliant des yeux de rester avec elle.
Je ne suis certainement plus dans le monde des rêves. Mais je n'arrives pas à comprendre ce que je venais de voir, contrairement à ma bite qui a tout comprit. Je suis certain que le renflement de mon pantalon ne sera pas visible dans le noir qui nous entoure et je m'en fichais presque si c'est le cas.

Avec une gorgée de ma bière et une bouche pleine de chips, j'essaye tant bien que mal, de comprendre l'intrigue du film. Je ne peux m'empêcher de jeter des coups d'œil furtifs à ma fille. C'est difficile à dire avec le motif sur son pyjama, mais je pense pouvoir voir ses tétons qui pointent vers le haut. J'ai aussi, remarqué qu'elle me jette des coups d'œil furtifs quand je ne la regarde pas.
Que diable se passait-il ici ?

— Papa, puis-je te poser une question ? — Bien sûr, chérie.
— C'est quelque chose de personnel !
— Je t'écoute.
— C'était quand que tu as été avec une femme pour la dernière fois ?

C’était pas une question à laquelle je m'attendais.

— Ah… Voyons. Je suis sortie avec quelques femmes il y a quelque temps, mais rien de sérieux.
— Je sais à ce sujet, a-t-elle dit. Ce que je veux dire, c'est combien de temps s'est-il écoulé depuis que tu as été AVEC une femme ?
— Tu veux dire la dernière fois que j'ai fait l'amour?
— Yoop ! Oui, que tu as baisé !

Elle passe sa main sur toute la longueur de sa queue de cheval et c'est à peu près la chose la plus sexy qu'elle aurait pu faire à ce moment-là.

— Allez, tu peux me le dire. »
— Ce n'est pas que ça te regarde, jeune fille, mais ça fait quelques années. Beaucoup d'années, en fait.
— Alors… Que fais-tu pour...
— Pour ?
— pour... Te soulager!
— Je ne sais pas. Je n'y pense pas.
— Mais tu ne te... Tu sais… Tu as parfois des envies ?

Si j'avais été intelligent, j'aurais mis un terme à cette conversation avant de m'attirer des ennuis.

— Je suppose que oui, comme tout le monde. Je ne pus m'empêcher de jeter un œil au sextoy posé entre nous.

— Alors, qu'est-ce que tu fais à ce moment là ?

Je vois bien ce qu'elle essaye de me faire dire, mais je n'en étais pas sûre.

— Qu'est-ce que tu veux dire ?
— Je veux dire, est-ce que tu… Me dit Nicole en tenant les doigts d'une main en cercle et les déplaçait de haut en bas de manière suggestive.

Je ne peux pas croire ce que je voi5. Ma fille est une petite créature audacieuse, je dois lui accorder ça.

— Je ne sais pas si c'est quelque chose dont nous devrions discuter.
— Ne sois pas si conne... Tout le monde le fait.
— Si tu le sais déjà, alors pourquoi me demandes-tu si je le fais ?
— Je ne sais pas... C'est quelque chose à laquelle je pense souvent ces derniers temps, c'est tout.

Elle a perdu tout intérêt pour le film. Je crains qu’elle arrive à voir le renflement que fait ma bite dure. Pourtant une partie de moi voulait qu’elle le voie.

— Si tu dois l’entendre, alors… Oui, je suis parfois excité et je me masturbe... OK ?

Ses yeux s’illuminent lorsque je prononce le dernier mot.

— Beaucoup ?
— Pas autant que toi... Je te rassure !

Ma fille me sourit et caresse à nouveau sa queue de cheval.
Mais ce qu’elle ne fait pas, c’est de nier mon constat.

— Effectivement... J’adore le jouet que tu m’as offert ! Dit-elle en le ramassant et en le serrant contre sa poitrine - Alors, est-ce que cela te prends de te branles tous les jours ?

Je dois rire. Elle ne va pas lâcher prise. Et je dois avouer que j’aime l’entendre une femme parler comme ça. Mon chapiteau se tend encore plus.

— Pas tous les jours... Mais presque ! Je ne veux pas être honnête avec elle à ce sujet.
— Moi... Je le fais presque tous les jours. Même quand je sortais avec Olivier... Tu penses que je suis bizarre ?
— Eh bien... Oui, tu es bizarre, mais pas à cause de ça !

J'essaye de garder une discussion légère pour qu'elle ne sache pas qu'elle me rend fou de désir.

— Parfois... J’ai peur d'être accro à ça ! Elle contemple le gode qu'elle tient - Je parie que tu te branlais beaucoup quand tu avais mon âge ?
— Je suppose que oui... Même si ce n'était pas quelque chose dont je pouvais parler avec mes parents !

Je ne faisais qu'une tentative timide pour ramener la conversation sur des eaux sûres.

— Je suis contente que nous puissions parler de ce genre de choses ! Me dit-elle en s'allongeant sur le canapé - C'est bien que cela ne soit pas un grand secret... Un tabou... Tu ne penses pas ? — Je suppose. La communication est toujours importante !

Je suis trop distrait par ce que fait ma fille pour réfléchir correctement.
Elle a saisit le gode d'une main de sorte que la base de celui-ci reposait sur son ventre. De l'autre main, elle passe ses doigts sur ses contours avec un toucher affectueux.
J'ai la bouche qui s'asséche et ma respiration s'accélère... Elle entoure son faux penis légèrement de sa main et commence à le caresser de haut en bas.

— Ça doit être cool d'être un mec et d'avoir un pénis ! Dit-t-elle toute songeuse - D'avoir cette grosse chose puissante à laquelle tu peux t'accrocher quand tu veux. C'est ce que tu ressens, papa ?

Pourquoi me fait-elle ça ?
Je n'ai jamais imaginé une seconde, ma douce et innocente fille comme une tentatrice séduisante, mais c'est sûrement ce qu'elle est.
Sait-elle seulement ce qu'elle fait ?
A-t-elle la moindre idée de l'effet qu'elle a sur moi ?
Que Dieu ait pitié de mon âme misérable.

— Je n'y ai jamais vraiment pensé comme ça, mais... Ouais, je suppose que c'est plutôt cool... Mais être une femme a aussi ses avantages ! J'avale difficilement, car ma bouche est toujours asséché.

Elle agita le gode comme si elle avait sa propre bite et réfléchit à ce que je viens de dire et murmure :

— J'aime bien être une fille ! Concéde-t-elle en passant une main sur l'intérieur de sa cuisse.

Elle était dangereusement proche de franchir la ligne.

— As-tu voulu que je sois un garçon ?
— Jamais ! Lui ai-je dit honnêtement — Et... Je ne peux pas imaginer ma vie sans toi, ma chérie... Je n'aurais pas pu souhaiter une meilleure fille.

Elle ne répond pas, mais je sais qu'elle aime m'entendre dire ça. Et je pense chaque mot que je dis. Nicole est la raison pour laquelle je sors du lit le matin. Elle est la raison pour laquelle j'ai le courage de continuer alors que mon mariage s'était effondré seulement deux ans après avoir commencé. Elle est tout mon monde. Je vis pour lui donner tout ce qu'elle veut.

— Je suis désolée, papa. Je suis bizarre ce soir !

Elle tapota le bout de sa bite en plastique contre son menton en essayant de penser à ce qu'elle va dire ensuite :

— J’ai l’impression que je peux te parler de tout et que tu comprendras. Mes amis penseraient tous que je suis un monstre si je leur disais la moitié de ce que je ressens...

Elle me regarde pour s'assurer que je suis de son côté. Tout ce que je peux faire, c'est de sourire à la vue de ses grands yeux brillants dans la pièce pourtant assez sombre. Rien au monde n'est aussi précieux pour moi que cette fille, et rien ne le sera jamais.

— Tu ne seras jamais un monstre pour moi, peu importe ce que tu penses ou ressens. Je t’aime juste pour ce que tu es... Ma fille chérie !
— Je t’aime aussi, papa.

Elle embrassa le bout de la bite, apparemment sans se rendre compte de la juxtaposition de ses mots avec ses actes.
Elle se leva brusquement du canapé et s’approcha de ma chaise. Je bouge pour tenter de cacher mon érection. Elle me serre dans ses bras qu'elle a mis autour de mon cou et m’embrasse sur la joue.

— Ce film n'est pas si extra que ça !

Elle tapote son gode contre son ventre de manière provocante.

— Je vais aller dans ma chambre et me masturber, puis je vais dormir. Et toi ?
— Pareil, je m'imagine !

Cela la fait sourire.

— Cool !

Elle jeta un dernier regard prolongé à mon entrejambe avant de se retourner pour partir.

— Amuse-toi bien avec ton truc, papa !

J'entends le bruit de son vibromasseur bourdonner dès qu'elle quitte la pièce. Elle me taquine délibérément. J'entends la porte de sa chambre se fermer et je n'attends même pas. Je sors ma bite de mon pantalon et commence à m'astiquer la tige comme un homme possédé. Ce ne fut qu'une question d'environ une minute avant que je ne gicle de grosses giclées de sperme sur toute ma chemise.

Parler ouvertement de sexe avec ses enfants est une chose, mais là, ça devient ridicule. Je ne sais pas à quel jeu Nicole joue, mais je ne peux pas la laisser prendre le dessus comme ça. Je suis sensé être l'adulte responsable. Je dois garder le contrôle de mes réactions. Ce n'est pas parce qu'elle est curieuse et qu'elle explore les limites de notre relation que je dois céder à mes désirs les plus bas.

Rendez-vous très prochainement...

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