Le gourdin de tonton: 11
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gourdin de tonton: 11
Le gourdin de tonton. 11
Je l’enfonce profondément entre mes lèvres. Enfin quand je dis profondément, j'en prends ce que je peux, c'est à dire à peine plus du quart, à l’impossible nul n’est tenu… J’alterne en le branlant avec mes toutes petites mains ou en m’appliquant sur ma fellation. Son engin est si épais que je n'imagine pas pouvoir faire autre chose que de sucer son gland ou ses couilles ce qui semble déjà bien lui plaire. Mais je sais qu'il en voudra beaucoup plus. Il me demande de me mettre debout pour finir de me dévêtir et pouvoir profiter de tout mon corps puis de le déshabiller.
Suite :
Enfin je soupèse ses bourses, lourdes, énormes, bien proportionnées par rapport à la branche porteuse de ces merveilleux fruits gorgés. J’ai déjà branlé des garçons mais jamais de ma vie je n'ai tenu de bite aussi imposante. L’autre jour avec mes sœurs et les mains surnuméraires, je ne pouvais me rendre compte de l’obélisque dressé. J’ai comme un mouvement de recul et lâche son gourdin ce qui fait sursauter tonton, mais sa réaction laisse bien vite place à un petit sourire de satisfaction et d’inquiétude, partagé entre cette fierté idiote les hommes à afficher le volume de leur virilité elle la peur bien compréhensible de mon appréhension à accepter de se faire prendre par un engin hors normes.
N'écoutant que mon instinct, je regarde la branche de chair qui pendait sous son poids tout à l’heure en arc de cercle comme celle d'un saule pleureur et qui maintenant se dresse fièrement. La queue n'a plus rien de la branche fragile d’un saule mais s’apparente plus maintenant à celle d'un chêne centenaire fier et indéracinable.
Je projette mes deux mains pour attraper ce pieu qui s'agite en soubresaut d'excitation. Comment peut-on être monté ainsi ? Telle une alpiniste chevronnée cherchant une voie d’escalade, je regarde ce pic, cet éperon ne sachant pas par quelle face l'attaquer. Je finis par me décider et décalotte le gland, un beau fruit bien dessiné d’une couleur rouge/violacée m’apparait en entier.
J'aime les glands qui présentent ce carénage sur le dessus, cette courbe oblongue qui vient se terminer par la couronne au niveau du frein. Les petites plissures fripées de la muqueuse se sont évanouies et le fruit est devenu une grosse quetsche lisse et brillante. Je pose mes lèvres sur ce mastodonte ouvrant mes mâchoires au maximum en faisant bien attention à ne pas faire de dégâts avec mes incisives sur cette peau si délicate et suce cet abricot juteux avec précaution et délectation.
L’excitation que je ressens à ce moment-là est indescriptible. Je me fantasme dans les vidéos de tonton diffusées sur la toile, je m'imagine faire une « gorge profonde » avec des caméras et les techniciens autour de moi filmant la scène de mon exploit buccal, se voyant à la place de l’acteur.
Je suce aussi longtemps que possible son jonc mais j’attrape une crampe aux articulations de ma mandibule tellement je dois l’ouvrir à son maximum. Tonton me félicite et voit ma détresse, il m'aide à me relever, il me console en me disant que peu de femmes sont déjà parvenues à le sucer aussi longtemps et aurait bien voulu que je lui fasse une « gorge profonde ». Mais là pour moi, c'est mission impossible car je ne suis pas un boa qui peut se décrocher les mâchoires.
Pour me remercier, il entreprend un cuni, le meilleur de ma jeune vie de vraie femme. Tonton est doux et son approche est lente et toute en sensualité pour me faire monter au septième ciel, monter et monter encore et lorsque sa langue fouille une fois de trop la lisière de mon bourgeon d’amour, je me sens toute drôle et jouis avec force. Je ne peux retenir des contractions qui me vrillent le bas-ventre et expulse une quantité incroyable de cyprine comme jamais ça ne m’était arrivée avant, noyant la bouche de tonton qui boit goulûment à la source trempée de mouille et de sa salive avant de me féliciter :
-Tu es encore plus chaude que tes sœurs. Tu sais que c’est rare de tomber sur une femme fontaine.
Ton « Christophe » a dû être comblé. Maintenant, mets un chapeau à Popaul et après tu auras le champ libre pour faire ce que tu veux !
-Qui ? (Ah oui Christophe, le mensonge…) Non ! Il n’est jamais parvenu à me faire jouir comme ça, c’est la première fois que ça m’arrive tu sais tonton. J’en ai encore les boyaux tout retournés.
Il me tend une capote que je déroule sur sa verge. Le diamètre du condom est un peu juste et ne couvre que les trois-quarts de son chibre malgré sa taille XXL. J'avoue que je n’ai jamais été aussi fébrile en équipant une queue d’une telle taille et je me demande comment elle va franchir le seuil de mes lèvres intimes. Je tremble, frissonnante comme un oiseau qu’on vient de capturer.
Tonton s’est allongé, le dos sur la table. Je monte dessus et place un pied de chaque côté de son corps, positionne son gland à l'entrée de ma vulve, plie les genoux et pousse doucement ma vulve sur le mât dressé et commence à m’empaler avec délice. Dans cette position, sans supporter son poids, je peux à ma convenance régler mes mouvements pour que son curseur entre à mon rythme dans mon pertuis en geignant comme une accidentée de la route.
A mon grand étonnement (et soulagement), ma chatte gobe ce monstre de chair avec une facilité déconcertante bien qu’un peu douloureuse. Un horrible bruit d’air compressé qui s’échappe sous la pression s’élève dans l’air. C’est comme une fille faisant du 40 qui veut rentrer dans un pantalon slim en 36. Je crois avoir englouti toute sa queue en moi et ne bouge plus en attendant que mon vagin s'adapte à ce phénomène. Je sens enfin mes muscles intimes se détendre, mon antre s’ouvre un peu plus, ma mouille est toujours aussi abondante. Je me mets à onduler du bassin et c’est divin. mon fourreau est entièrement distendu. Les sensations de frottements autour de mon clitoris de la « bête » s’ajoutent à mon plaisir. Le gland de tonton bute sur une zone hypersensible de mon intimité. C’est le pied.
Je fais disparaître le gland dans ma chatte, puis me retire et recommence mon manège encore et encore. Je n’en peux plus et lui hurle ; "vas-y ! baise-moi ! Plante-la-moi bien profond ! défonce-moi ! ".
Accédant à mon désir, il donne un coup de reins, sa queue entre davantage en moi. Elle est si massive que même mouillée comme je le suis, je la sens me distendre les parois vaginales à leurs maximums. Il se retire puis replonge encore un peu plus profondément, ressort à nouveau et me la plante dans le ventre jusqu'à la garde. Je baisse alors les yeux et m’aperçois de mon erreur car de nombreux centimètres sont encore à l’air libre, ceux qui n’ont pu être recouvert par le préservatif.
Il se redresse, m’entrainant avec lui et commence à me limer, il entre et sort doucement presque entièrement, alternant les coups de boutoir doux et puissants. Je gémis comme une folle.
Mon vagin l’absorbe, la tige coulisse facilement dans mon conduit, le gland butte au fond, déclenchant de ma part des contractions de ma chatte.
-Putain que tu es serrée Julie ! C’est un fait, tu as beaucoup moins d’heures de vol que tes sœurs. Tu me broies la bite et la sensation est incroyable. Je n’aurais pas cru qu’une si frêle jeune fille puisse me faire un tel effet.
Il passe ses mains sous mes fesses, me tire à lui, je m’accroche à son cou. Sa pine toujours en moi, il me fait monter et descendre sur son pieu comme je l’ai vu faire avec mes sœurs, la sensation est divine bien que très douloureuse quand il ne se maitrise pas et va un peu trop loin en moi et que je crie de douleur. On dirait qu’il adore cette position où deux corps ne reposent que sur deux jambes robustes. Comme je suis plus légères que mes sœurs, je fais du cheval sans qu’il ne s’appuie sur un mur. Il doit fatiguer car au bout de plusieurs minutes il me repose au sol et me pilonne à nouveau. Je contracte les muscles du vagin, le serre à l’intérieur de moi pour bien le sentir, je mouille terriblement, pousse des petits cris inarticulés, lui souffle comme une forge et grogne comme un animal ponctué de, han, han, han à chaque coup de sa formidable bite qu’il m’administre. On forme un sacré concert ! Au bout d’une bonne dizaine de minutes d’acharnement dans mon bas ventre et quelques orgasmes de ma part, il est en nage, halète et annonce enfin qu’il va jouir.
Un « tchac, tchac » très bruyant accompagne chaque rencontre entre nos deux corps dénudés. Je le supplie :
-Oh putain ce que je déguste, mais que c’est bon. Plus fort tonton, encore plus fort !!!
-Si c’est ce que tu veux !
Il se déchaîne alors et je grimace quand même au rythme de cet empalement maximum. Je ne suis qu’une volaille empalée sur sa broche pendant qu’il me retient fermement avec une main sous mes fesses et un bras dans mon dos avant de me donner une bonne claque sur la croupe. C’est lui l’étalon mais c’est moi qui reçois les coups de cravaches. Je me caresse mon clitoris et je coule littéralement en profitant du rodéo et en entendant le claquement de sa main contre mes fesses.
- Ah tonton ! Que c’est bon de chevaucher un tel étalon ! Mais putain que je dérouille avec ton gourdin ! Je pisse ! Aaah je pisse !
Plusieurs fois, je me vide, je suis une vraie fontaine et ma cyprine dégouline sur ses cuisses. Mes contractions sont si fortes sur sa lance qu’il arrive enfin à l’orgasme. Je n’ai jamais été tronchée aussi longtemps car Valentin fait son affaire en moins de cinq minutes, lui.
Il me repose sur la table où je m’allonge, repue de fatigue. Tonton retire le condom et se branle le manche quelques secondes pour faire monter la sauce. Un premier jet décevant de quelques centimètres et vite supplanté par le suivant. J’ai les yeux fixés sur son chibre et vois un filet de foutre ininterrompu s’envoler dans les airs et me zébrer le corps des seins jusque dans mes cheveux et même au delà. Les suivants de moins en moins forts prolongent la souillure sur ma peau laissant sur mon corps comme les trainées laissées dans le ciel bleu par les avions. Comment à son âge peut-il encore avoir autant de semence ? Il me demande alors :
-Oh et puis merde ! Tu prends la pilule, Julie ?
Je fais oui de la tête. Mais pourquoi me demande-t-il ça maintenant ? J’ai vite la réponse. Sa verge à peine débandée, il replonge dans mon cloaque, déclenchant de nouveau des contractions vaginales que je ne peux contrôler qui ont un effet immédiat sur sa verge qui reprend en moins d’une minute toute sa dureté et il me pine à nouveau avec une lenteur et une douceur particulièrement plaisante, nous permettant de récupérer quelques forces.
A suivre …
Je l’enfonce profondément entre mes lèvres. Enfin quand je dis profondément, j'en prends ce que je peux, c'est à dire à peine plus du quart, à l’impossible nul n’est tenu… J’alterne en le branlant avec mes toutes petites mains ou en m’appliquant sur ma fellation. Son engin est si épais que je n'imagine pas pouvoir faire autre chose que de sucer son gland ou ses couilles ce qui semble déjà bien lui plaire. Mais je sais qu'il en voudra beaucoup plus. Il me demande de me mettre debout pour finir de me dévêtir et pouvoir profiter de tout mon corps puis de le déshabiller.
Suite :
Enfin je soupèse ses bourses, lourdes, énormes, bien proportionnées par rapport à la branche porteuse de ces merveilleux fruits gorgés. J’ai déjà branlé des garçons mais jamais de ma vie je n'ai tenu de bite aussi imposante. L’autre jour avec mes sœurs et les mains surnuméraires, je ne pouvais me rendre compte de l’obélisque dressé. J’ai comme un mouvement de recul et lâche son gourdin ce qui fait sursauter tonton, mais sa réaction laisse bien vite place à un petit sourire de satisfaction et d’inquiétude, partagé entre cette fierté idiote les hommes à afficher le volume de leur virilité elle la peur bien compréhensible de mon appréhension à accepter de se faire prendre par un engin hors normes.
N'écoutant que mon instinct, je regarde la branche de chair qui pendait sous son poids tout à l’heure en arc de cercle comme celle d'un saule pleureur et qui maintenant se dresse fièrement. La queue n'a plus rien de la branche fragile d’un saule mais s’apparente plus maintenant à celle d'un chêne centenaire fier et indéracinable.
Je projette mes deux mains pour attraper ce pieu qui s'agite en soubresaut d'excitation. Comment peut-on être monté ainsi ? Telle une alpiniste chevronnée cherchant une voie d’escalade, je regarde ce pic, cet éperon ne sachant pas par quelle face l'attaquer. Je finis par me décider et décalotte le gland, un beau fruit bien dessiné d’une couleur rouge/violacée m’apparait en entier.
J'aime les glands qui présentent ce carénage sur le dessus, cette courbe oblongue qui vient se terminer par la couronne au niveau du frein. Les petites plissures fripées de la muqueuse se sont évanouies et le fruit est devenu une grosse quetsche lisse et brillante. Je pose mes lèvres sur ce mastodonte ouvrant mes mâchoires au maximum en faisant bien attention à ne pas faire de dégâts avec mes incisives sur cette peau si délicate et suce cet abricot juteux avec précaution et délectation.
L’excitation que je ressens à ce moment-là est indescriptible. Je me fantasme dans les vidéos de tonton diffusées sur la toile, je m'imagine faire une « gorge profonde » avec des caméras et les techniciens autour de moi filmant la scène de mon exploit buccal, se voyant à la place de l’acteur.
Je suce aussi longtemps que possible son jonc mais j’attrape une crampe aux articulations de ma mandibule tellement je dois l’ouvrir à son maximum. Tonton me félicite et voit ma détresse, il m'aide à me relever, il me console en me disant que peu de femmes sont déjà parvenues à le sucer aussi longtemps et aurait bien voulu que je lui fasse une « gorge profonde ». Mais là pour moi, c'est mission impossible car je ne suis pas un boa qui peut se décrocher les mâchoires.
Pour me remercier, il entreprend un cuni, le meilleur de ma jeune vie de vraie femme. Tonton est doux et son approche est lente et toute en sensualité pour me faire monter au septième ciel, monter et monter encore et lorsque sa langue fouille une fois de trop la lisière de mon bourgeon d’amour, je me sens toute drôle et jouis avec force. Je ne peux retenir des contractions qui me vrillent le bas-ventre et expulse une quantité incroyable de cyprine comme jamais ça ne m’était arrivée avant, noyant la bouche de tonton qui boit goulûment à la source trempée de mouille et de sa salive avant de me féliciter :
-Tu es encore plus chaude que tes sœurs. Tu sais que c’est rare de tomber sur une femme fontaine.
Ton « Christophe » a dû être comblé. Maintenant, mets un chapeau à Popaul et après tu auras le champ libre pour faire ce que tu veux !
-Qui ? (Ah oui Christophe, le mensonge…) Non ! Il n’est jamais parvenu à me faire jouir comme ça, c’est la première fois que ça m’arrive tu sais tonton. J’en ai encore les boyaux tout retournés.
Il me tend une capote que je déroule sur sa verge. Le diamètre du condom est un peu juste et ne couvre que les trois-quarts de son chibre malgré sa taille XXL. J'avoue que je n’ai jamais été aussi fébrile en équipant une queue d’une telle taille et je me demande comment elle va franchir le seuil de mes lèvres intimes. Je tremble, frissonnante comme un oiseau qu’on vient de capturer.
Tonton s’est allongé, le dos sur la table. Je monte dessus et place un pied de chaque côté de son corps, positionne son gland à l'entrée de ma vulve, plie les genoux et pousse doucement ma vulve sur le mât dressé et commence à m’empaler avec délice. Dans cette position, sans supporter son poids, je peux à ma convenance régler mes mouvements pour que son curseur entre à mon rythme dans mon pertuis en geignant comme une accidentée de la route.
A mon grand étonnement (et soulagement), ma chatte gobe ce monstre de chair avec une facilité déconcertante bien qu’un peu douloureuse. Un horrible bruit d’air compressé qui s’échappe sous la pression s’élève dans l’air. C’est comme une fille faisant du 40 qui veut rentrer dans un pantalon slim en 36. Je crois avoir englouti toute sa queue en moi et ne bouge plus en attendant que mon vagin s'adapte à ce phénomène. Je sens enfin mes muscles intimes se détendre, mon antre s’ouvre un peu plus, ma mouille est toujours aussi abondante. Je me mets à onduler du bassin et c’est divin. mon fourreau est entièrement distendu. Les sensations de frottements autour de mon clitoris de la « bête » s’ajoutent à mon plaisir. Le gland de tonton bute sur une zone hypersensible de mon intimité. C’est le pied.
Je fais disparaître le gland dans ma chatte, puis me retire et recommence mon manège encore et encore. Je n’en peux plus et lui hurle ; "vas-y ! baise-moi ! Plante-la-moi bien profond ! défonce-moi ! ".
Accédant à mon désir, il donne un coup de reins, sa queue entre davantage en moi. Elle est si massive que même mouillée comme je le suis, je la sens me distendre les parois vaginales à leurs maximums. Il se retire puis replonge encore un peu plus profondément, ressort à nouveau et me la plante dans le ventre jusqu'à la garde. Je baisse alors les yeux et m’aperçois de mon erreur car de nombreux centimètres sont encore à l’air libre, ceux qui n’ont pu être recouvert par le préservatif.
Il se redresse, m’entrainant avec lui et commence à me limer, il entre et sort doucement presque entièrement, alternant les coups de boutoir doux et puissants. Je gémis comme une folle.
Mon vagin l’absorbe, la tige coulisse facilement dans mon conduit, le gland butte au fond, déclenchant de ma part des contractions de ma chatte.
-Putain que tu es serrée Julie ! C’est un fait, tu as beaucoup moins d’heures de vol que tes sœurs. Tu me broies la bite et la sensation est incroyable. Je n’aurais pas cru qu’une si frêle jeune fille puisse me faire un tel effet.
Il passe ses mains sous mes fesses, me tire à lui, je m’accroche à son cou. Sa pine toujours en moi, il me fait monter et descendre sur son pieu comme je l’ai vu faire avec mes sœurs, la sensation est divine bien que très douloureuse quand il ne se maitrise pas et va un peu trop loin en moi et que je crie de douleur. On dirait qu’il adore cette position où deux corps ne reposent que sur deux jambes robustes. Comme je suis plus légères que mes sœurs, je fais du cheval sans qu’il ne s’appuie sur un mur. Il doit fatiguer car au bout de plusieurs minutes il me repose au sol et me pilonne à nouveau. Je contracte les muscles du vagin, le serre à l’intérieur de moi pour bien le sentir, je mouille terriblement, pousse des petits cris inarticulés, lui souffle comme une forge et grogne comme un animal ponctué de, han, han, han à chaque coup de sa formidable bite qu’il m’administre. On forme un sacré concert ! Au bout d’une bonne dizaine de minutes d’acharnement dans mon bas ventre et quelques orgasmes de ma part, il est en nage, halète et annonce enfin qu’il va jouir.
Un « tchac, tchac » très bruyant accompagne chaque rencontre entre nos deux corps dénudés. Je le supplie :
-Oh putain ce que je déguste, mais que c’est bon. Plus fort tonton, encore plus fort !!!
-Si c’est ce que tu veux !
Il se déchaîne alors et je grimace quand même au rythme de cet empalement maximum. Je ne suis qu’une volaille empalée sur sa broche pendant qu’il me retient fermement avec une main sous mes fesses et un bras dans mon dos avant de me donner une bonne claque sur la croupe. C’est lui l’étalon mais c’est moi qui reçois les coups de cravaches. Je me caresse mon clitoris et je coule littéralement en profitant du rodéo et en entendant le claquement de sa main contre mes fesses.
- Ah tonton ! Que c’est bon de chevaucher un tel étalon ! Mais putain que je dérouille avec ton gourdin ! Je pisse ! Aaah je pisse !
Plusieurs fois, je me vide, je suis une vraie fontaine et ma cyprine dégouline sur ses cuisses. Mes contractions sont si fortes sur sa lance qu’il arrive enfin à l’orgasme. Je n’ai jamais été tronchée aussi longtemps car Valentin fait son affaire en moins de cinq minutes, lui.
Il me repose sur la table où je m’allonge, repue de fatigue. Tonton retire le condom et se branle le manche quelques secondes pour faire monter la sauce. Un premier jet décevant de quelques centimètres et vite supplanté par le suivant. J’ai les yeux fixés sur son chibre et vois un filet de foutre ininterrompu s’envoler dans les airs et me zébrer le corps des seins jusque dans mes cheveux et même au delà. Les suivants de moins en moins forts prolongent la souillure sur ma peau laissant sur mon corps comme les trainées laissées dans le ciel bleu par les avions. Comment à son âge peut-il encore avoir autant de semence ? Il me demande alors :
-Oh et puis merde ! Tu prends la pilule, Julie ?
Je fais oui de la tête. Mais pourquoi me demande-t-il ça maintenant ? J’ai vite la réponse. Sa verge à peine débandée, il replonge dans mon cloaque, déclenchant de nouveau des contractions vaginales que je ne peux contrôler qui ont un effet immédiat sur sa verge qui reprend en moins d’une minute toute sa dureté et il me pine à nouveau avec une lenteur et une douceur particulièrement plaisante, nous permettant de récupérer quelques forces.
A suivre …
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Oui, sacré gourdin, non!
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On peut dire la même chose pour ses nièces
Une proie de plus à son tableau de chasse.