Le gourdin de tonton. 5 - histoire érotique

Le gourdin de tonton. 5
-Dommage qu’on n’ait pas pu aller plus loin ce matin. Les filles, je vous autorise à enlever le gode. Je vous donne rendez-vous la semaine prochaine. Je vous enverrai l’adresse et le jour car chez moi, c’est trop risqué comme ce matin. Vous remettrez votre gode avant car cette fois-ci, je vous enculerai.
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-T’as déjà fait ça ? Me demande Chantal.
-Oui, avec Léo. C’est spécial mais j’ai bien aimé. La seule différence avec tonton, c’est que la teub de Léo en érection est égale à celle de tonton au repos, tu vois où je veux en venir ?
-Oui très bien, me reprend ma sœur. J’ai eu moi aussi une expérience d’un jour avec Hervé, tu connais ? Son chibre est presque aussi long, mais rien de comparable question diamètre avec le gourdin de tonton. On va souffrir…
Suite :Le jour dit à l’heure dite, nous allons ensemble à l’adresse indiquée. Il nous fait entrer dans ce que l’on appelle vulgairement « une garçonnière ». Je commence à comprendre où tonton passe ses « absences ». Je lui fais remarquer.
-C’est là que tu amènes tes conquêtes. Tu en as beaucoup à ton tableau de chasse ?
-Pas mal… Mais je ne vais pas à la chasse, c’est elles qui viennent d’elles-mêmes se jeter dans mes filets. Beaucoup de gens me contactent par mail après avoir visionné mes vidéos, des hommes et des femmes. Je n’ai que l’embarras du choix entre les filles. Pour me convaincre de les inviter, elles m’envoient des photos d’elles dénudées et essaient de me draguer lors d’échanges de propos souvent très hot. Mais on n’est pas là pour ça les filles, à poil et j’espère que vous avez toujours le gode dans le cul pour l’aléser un peu, sinon vous allez dérouiller.
Une fois que nous sommes dévêtues, il vient contrôler d’une main experte la présence du gode dans notre anus et les fait bouger d’une main experte.
-Bien-bien… On va passer à la taille supérieure.
Il s’éloigne et revient avec des godes d’un diamètre plus gros qu’il enduit de vaseline, nous fait pencher en avant et l’une après l’autre, alèse encore plus notre trou du cul.
-Venez me mettre en forme le temps que vos culs se dilatent un peu. Nous ordonne tonton.

Pendant que Chantal lui retire son tee-shirt, je déboucle la ceinture de son jean, descend la fermeture-éclair et baisse son pantalon sur ses chevilles, il n’a rien dessous.
Je gobe son pénis en semi-érection et lui administre une pipe d’enfer, secondée par Chantal. Il nous pelote les seins, presse les tétons, les malaxe pour en faire durcir les pointes. Sa queue aussi durcit et prend sa taille maximum. Tonton grogne de plaisir.
- Vous savez y faire, les filles, mais je me réserve pour vos culs. A quatre pattes et cambrez-vous pour bien faire saillir votre popotin.
Nous lui obéissons, côte à côte… Il nous donne quelques bonnes claques sur les fesses et prend le temps d’enduire copieusement nos petits trous de lubrifiant puis introduit son gland dans ma chatte, juste le gland. Tonton retire ensuite le gode et présente aussitôt l’extrémité de sa pine à l’entrée de mon cul et se met à pousser.
-Tu es encore serrée du cul Brigitte!
- Tu as une telle massue tonton, t’es bien trop gros, arrête!

L'épaisseur plus que la longueur de l'énorme pal de tonton est affreuse. Mais son gland force sans difficulté pour lui le chemin vers mes entrailles et Tonton prend tout son temps. La pénétration se fait au ralenti pour engouffrer son énorme mandrin dans mon petit conduit, l’intromission se fait doucement, et centimètre par centimètre, la matraque est entièrement avalée jusqu'au fond de mon fondement. Lorsque ses couilles s’écrasent sur ma fente, je sais que tonton est allé aussi loin qu'il le pouvait. Je ne croyais pas qu’il m’aurait sodomisée avec autant de facilité comme précédemment dans ma chatte. Maintenant qu’il a son engin toujours bien au fond de mon cul, tonton commence un va et vient que je paie cher. Je prends conscience dans la douleur de cette colonne de chair épaisse, bien ancrée dans mon cul appartient à mon tonton qui me faisait sauter sur ses genoux il n’y a pas si longtemps. J'ai affreusement mal malgré la préparation de mon cul. Il fait ressortir doucement son chibre de mon anus, me faisant couiner de douleur. La souffrance se calme à la sortie de l'énorme mandrin de tonton qui se déplace pour se positionner derrière Chantal.
-A toi maintenant, j’espère que tu n’es pas plus serrée que ta sœur.

Comme pour moi, il commence par la saillir pour la mettre en condition, retire dans un « plop » sonore le gode pour avoir la voie libre. Pendant qu'il la complimente, tonton lui caresse les fesses, ses doigts vont de la chatte pleine de mouille à l’anus encore entrouvert. Il enfonce un doigt dans sa corolle fripée.
- Tu es bonne à enculer petite garce!
- Oh oui tonton, continue!
-Ton cul est encore plus serré que celui de Brigitte, tu vas gueuler.
Tonton crache sur son anus, prend de la mouille pour enduire son cul, il la maintient par les fesses qu’il écarte à deux mains. Il engage son gland et la pénètre doucement, comme il avait fait avec moi. Je vois la petite corolle s'ouvrir, se dilater sous l'effet du forcing de ce défonce-cul qui plie sous l’effort. La douleur doit être violente, comme pour moi.
-Aaahhh arrête ça fait trop mal ! Ta queue est trop grosse pour mon petit cul.
-Arrête de geindre comme une gamine, tu vas adorer te faire enculer. Brigitte, viens lubrifier ma bite.

Il tient dans sa main sa teub qu’il présente à ma bouche. J’ai comme un mouvement de recul en pensant où a trainé ce zob mais il me prend par les cheveux et me force à le sucer. Je bave abondamment dessus, je crache sur sa bite enflée pour la lubrifier davantage. Il recueille le filet de liquide gluant dégoulinant de ma bouche, en enduit le sphincter de Chantal et représente sa pine.
- Encule-la tonton !
- Vous êtes vraiment deux cochonnes! Pas une pour rattraper l’autre ! Et toi Chantal, pousse comme pour chier, ça rentrera plus facilement, car que tu le veuilles ou non, je vais défoncer ton charmant petit trou.
- Oui tonton, pette-lui le cul !
Ma sœur me regarde en m’implorant mais lui obéit en poussant. J’en profite pour lui taquiner son bourgeon de mon majeur, exacerbant son clito distendu puis j’écarte ses fesses de mes mains pour offrir la vue de son petit trou à tonton qu’il défoncera bientôt. Il plonge son poteau démesuré dans l’antre du cul de Chantal, lui arrachant de nouveaux hurlements.
- Aaahhh, tu me fais mal! Gueule-t-elle, mais il continue à s'enfoncer en elle et force l’entrée de ce sanctuaire, y allant doucement en s’aidant d’une main sur son chibre. Je l’encourage de la voix :- Allez tonton encule-la comme moi ! Déchire-lui son cul!
Tonton donne un coup de boutoir faisant hurler Chantal de douleur. Il me regarde goguenard :- Ça te va comme ça ??? Je suis rentré jusqu’aux burnes !

N’attendant pas de réponse de ma part, il commence alors un lent et puissant mouvement de va-et-vient au fond de ce boyau anal. Toujours à quatre pattes, Chantal, le cul pris d'assaut par ce mandrin au diamètre hors-normes, hurle sa douleur le temps que son cul accepte l’intrus. Comment la nature peut-elle fournir un tel mandrin à un homme ? J’ai du mal à concevoir que ce gourdin de chair a déjà visité mon anus, dilaté ma rondelle qui heureusement pour moi avait assez d’élasticité pour laisser pénétrer son jonc massif. Sinon, J’étais bonne pour aller me faire recoudre aux urgences.
Tonton la sodomise difficilement mais proprement, sa bite coulissant de mieux en mieux aux travers des parois du cul enfin dilaté de Chantal. J'entends les premiers soufflements de plaisir à travers les gémissements de ma sœur. On dirait que tonton commence à lui faire du bien! C'est de la folie!
Chantal finit même par l’encourager :-Enfonce-toi en moi! Continue! Ouuuiii!

Son anus ne doit plus lui poser aucune douleur car je la sens au comble de l’excitation.
Tonton entame une cavalcade régulière. Son mouvement s’accélère lentement et j’entends ses grosses couilles frapper bruyamment la chatte de Chantal. Il y va maintenant très brutalement, comme un animal en rut, à la manière d’un verrat qui bourre sa truie. Il décule soudainement. Chantal, s’entant s’échapper l’engin de ses fesses, pousse son cul en arrière pour le suivre. La verge sortie aux trois-quarts réinvestit d’un coup l’endroit et demeure au fond d’elle, l’ayant investie de toute la longueur de sa queue.
Tonton y va maintenant de toutes ses forces. Plusieurs fois, il décule et réinvestit à fond son braquemard sans que le sphincter n’ait le temps de se refermer. Chantal doit ressentir un plaisir de plus en plus intense vu la tache de cyprine qui s’étale sous elle, devinant son anus dilaté au maximum.
-Ça vient!! Putain!!
-Vide-toi en moi ! Remplis-moi de ton sperme ! Le supplie Chantal, voulant simplement qu’il lui remplisse le cul de sa laitance pour laisser une trace de son passage, épuisée de plaisir. Je n’avais jamais joui du cul avant.
Je demande à tonton :- Tu aimes enculer tes nièces?
- Oh oui!!! Mais je ne peux plus me retenir!!!
- Il me remplit ! S’écrit Chantal, c’est pas croyable Brigitte ! Je sens les contractions de sa lance qui crache sa semence épaisse au plus profond de mes boyaux.
Les sursauts de la teub de tonton se calment, il retire sa verge qui faisait office de bouchon de l’anus de Chantal. A chaque contraction de ses muscles anaux, un filet de crème blanchâtre s’en échappe et coule de chaque côté des lèvres pubiennes, y laissant des traces de crème poisseuse.

Après une petite douche pour se rafraichir, nous nous reposons couchées de chaque côté de tonton dont le mandrin a perdu du gourdin et repose négligemment sur ses bourses. Je l’interroge :-Tonton, comment en es-tu arrivé à poster des vidéos de toi sur des sites pornos ?
-Eh bien, me répond-t-il, une de mes maitresses adorait filmer nos ébats. Mais ce qu’elle préférait, c’est que je me branle devant elle pour pouvoir saisir sur le vif mes éjaculations. Ce qu’elle kiffait le plus, c’est que je ne tienne pas ma teub au moment de l’éjaculation, adorant voir ma pine monter et descendre, puis remonter pour projeter mon sperme le plus loin possible. Elle me disait qu’elle était en adoration devant le spectacle quand j’arrivais à jouir en propulsant ma crème à plus d’un mètre, me disant que s’il y avait des jeux olympiques de cette discipline, je serais sélectionné pour représenter la France. C’est elle qui a posté sans me le dire une de ces vidéos. Je l’ai engueulé comme pas permis. J’étais effrayé de ce qu’elle avait fait et regardais plusieurs fois le site par jour pour voir les réactions. Heureusement qu’elle avait fait attention que jamais mon visage n’apparaisse pour garder mon anonymat.
Je n’en revenais pas du nombre de vues, des notes et des commentaires élogieux. J’ai donc céder et lui ai autorisé à en poster d’autres avant de reprendre la main sur le site. Je n’en revenais pas du score obtenu par deux d’entre elles : « belles éjaculations au ralenti » et « comment mesurer sa bite », plus de 43 000 et 80 00 vues. Pas peu fier non plus que quand tu tapes ces termes sur ton clavier, c’est sur mes vidéos que tu tombes sur la première page si ce n’est la première proposition. Ensuite, je n’ai eu que l’embarras du choix suite aux propositions de rencontres de femmes plus belles les unes que les autres, car la plupart m’envoyaient des photos d’elles dénudées. Je crois que vous avez devinez maintenant pourquoi je m’absente si souvent.

A suivre…