Le gourdin de tonton. 7 - histoire érotique

Le gourdin de tonton. 7


Sacré tonton ! Il devra se lever tôt, le petit copain qui voudra essayer de battre tonton. Ça va être dur pour ma sœur et moi à l’avenir de côtoyer un tel étalon sachant ce qui sommeille entre ses cuisses et ne plus avoir droit d’y toucher, si ce n’est avec les yeux… Dur-dur… Comme sa bite !!!!!!!
Ce qui nous fait marrer et nous rend fières, c’est quand les copains et les copines regardent et commentent les vidéos de tonton. On fait les blasées devant eux, mais nous, on a pas à se branler en fantasmant, on sait de quoi il est capable, tonton !

Suite :
Bien sûr, nous avons promis à tonton tout ce qu’il voulait. Mais qui tient sa promesse ? Fontaine, je ne boirai pas de ton eau… Souvent nous revisionnons ses vidéos et le succès est toujours là, pour l’une les 43 000 se sont transformés en 62 000 et pour l’autre les 82 000 se sont changés en 94 000 vues. Décidément il a toujours autant d’afficionados, tonton !
A la fac nous avons un succès fou avec les copines car tonton nous a autorisé à charger de petites vidéos privées qu’il n’avait pas diffusées sur le net, l’une où il tronche une fille et une autre où il s’occupe de trois bombes sexuelles en même temps. Elles ne peuvent les voir que sur nos smartphones et même des garçons les visionnent avec envie et jalousie et nous courtisent par la même occasion. Ils ne se sont même pas rendu compte qu’il n’y a pas les logos des sites en surimpression sur ces petits films. On serait bêtes de se priver d’en profiter… Je me suis tapé trois des plus beaux gosses de la fac mais malgré qu’ils ne se défendent pas si mal au pieu, je n’ai pas retrouvé le plaisir orgasmique que j’ai connu avec tonton. Chantal m’a avoué qu’elle non plus.

Nos parents ont invité tonton pour l’anniversaire de Julie, notre sœur cadette un peu nunuche qui fête ses 18 printemps. Chantal et moi nous sommes arrangées pour être de chaque côté de tonton. A mesure que se déroule le repas, nous nous enhardissons et pendant qu’il essaie de repousser les avances de l’une, l’autre réussit à pousser plus loin son avantage, glissant la main sur sa cuisse pour enfin atteindre l’objectif final, sa queue ! Il résiste vaillamment pendant presque dix minutes avant de s’avouer vaincu et nous laisser faire, essayant de soutenir la conversation avec maman ou papa.
Le pantalon ne peut plus cacher ce qui se déroule à l’intérieur et une bosse révélatrice annonce notre victoire. Je m’enhardis et baisse le zip, mais comme à son habitude, Chantal en profite aussitôt pour prendre les devants, ou plutôt pour glisser sa main dans le pantalon pour en extraire après moults péripéties l’épi de tonton qui peut enfin prendre ses aises. Nous sommes maintenant à deux mains sur sa verge qui a tellement forcie comme une asperge sortant de terre que le gland atteint presque le bord de la table. Tonton s’avance le plus qu’il peut sur sa chaise avant la catastrophe, cachant sa verge sous la table. Le plus dur pour ma sœur et moi c’est de donner le change aux autres, lâchant tour à tour l’obélisque pour reprendre sa fourchette ou son couteau et prendre ce qu’il y a dans notre assiette et le porter à notre bouche.
Mais ce que l’on voudrait à cet instant avoir entre les lèvres, c’est le formidable gourdin de tonton…
Ce petit jeu dure un bon moment avant que tonton y mette fin en repoussant nos mains et en disant à maman pour que nous comprenions :
-Claire, ta purée de marron est délicieuse, si je ne me retenais pas, j’en reprendrais mais ça ne serait pas raisonnable, je me réserve donc pour le dessert.

Si je comprends bien le message, il a interrompu nos « papouillages » sur son mandrin sinon il n’aurait pas pu se retenir et aurait crépi le dessous de la table de sa propre purée, futé tonton…
Le repas est enfin fini et il a bien fallu un quart-heure avant que tonton puisse faire réintégrer dans son pantalon son mandrin qui ne voulait plus débander car si on le laissait tranquille, de temps en temps on prenait chacune l’une de ses mains à tour de rôle pour la poser sur notre puits d’amour qui avait détrempé nos petites culottes, merci les tampons hygiéniques pour absorber nos débordements un peu trop abondants pour un repas d’anniversaire. Julie qui est juste en face de tonton a une drôle d’expression, se doute-elle de quelque chose ? Je l’ai vu se baisser tout à l’heure.

La soirée est finie, Julie vient me retrouver dans ma chambre où je discute avec Chantal mais nous ne la remarquons pas tout de suite.
-Tonton était en forme ce soir, je lance à Chantal, mais ce n’est pas à un vieux bouc qu’on apprend à faire la grimace.
-Tu as raison, Brigitte, souligne Chantal, et voyant Julie, le boudin blanc était exquis mais toujours trop copieux. Ah Julie, viens t’asseoir à coté de nous.
-Vous me prenez pour une cruche, grogne Julie. Vous croyez que je n'ai pas remarqué votre manège lors du repas ? Qu'est-ce que vous vous passiez sous la table en embêtant tonton ? J'ai mal vu quand je me suis penchée pour récupérer ma serviette mais vous teniez dans vos mains quelque chose.
-Maintenant que tu es une grande fille, il va falloir que l'on te dessale un peu, la coupe Chantal, on ne se passait rien sous la table mais on s'occupait de tonton. Pour mieux te faire comprendre de quoi je parle, je vais te montrer, si tu ne les connais pas déjà, le best-seller de l’année à la fac.

Et elle allume son smartphone, va sur le site diffusant les petites vidéos de tonton et lui montre le petit film ; « Comment mesurer sa bite » avant de reprendre :
-Avant qu’un jour peut-être tu rencontres un partenaire aussi bien monté, il va falloir trouver chaussure à ton pied, si je puis m’exprimer ainsi. Ne sois pas offusquée, je t’ai déjà surprise en train de regarder des choses qui n’étaient pas de ton âge et de te donner du plaisir, la main dans ta petite culotte. Je ne sais pas ce que tu as compris de notre conversation, mais ça ne te concerne pas, tu n’es pas de taille.
-Vous me prenez vraiment pour une cruche, s’emporte Julie. Vous croyez peut-être que parce qu'on n'a pas 18 ans, on ne regarde jamais des films de boules ? Oui, j'ai déjà regardé cette vidéo et d'autres aussi postées par celui qui se fait appeler mlkjhg39, mais je ne vois pas le rapport avec ce que vous faisiez tout à l'heure.
-Tu ne vois pas le rapport ? Je lui demande. Eh bien on va-t’en montrer une autre… et je lance sur mon smartphone la vidéo « belles éjaculations au ralenti ».

Julie regarde avec attention l'homme en train de se branler et d’éjaculer avec force avant de commenter :
-Je la connais aussi. Il est incroyable ce mec, non seulement il a une bite longue, massive et si rigide qu'il arrive à cracher son sperme vachement loin, j’ai rarement vu ça. Mais quel rapport avec tonton ?
-Petite idiote, lâche Chantal, comme pour les tours de magicien, tu ne vois que sa verge mais maintenant on va la repasser à nouveau et je te demande de regarder ce qu'il y a en arrière-plan. Elle remet la vidéo et Julie regarde avec attention tout ce qui se trouve derrière l'homme sur le film avant de s'écrier :
-Mais putain !!! Je, je connais, c'est, c'est le bureau de tonton avec tous ses trophées sur les rayons. Mais alors, ça voudrait dire que… que l'homme monté comme un âne, c'est tonton ? J’ai pourtant regardé cette petite vidéo plusieurs fois…
-Bonne déduction, reconnait Chantal. Oui, les deux vidéos les plus regardées sur ce site ont été réalisées par notre tonton chéri, si tu veux tout savoir, on ne se passait rien sous la table mais on branlait sa bite. Tu ne peux pas savoir comment elle est dure et chaude, un vrai tison ! Tu réalises enfin ce que tu avais sous les yeux quand on se baignait avec tonton, son slip de bain déformé sur le devant, moi aussi j’ai souvent cru qu’il devait bander mais là tu t’aperçois comme nous qu’on se trompait du tout au tout.
-Mais comment peut-il se laisser faire comme ça par vous ? Vous êtes de vraies petites putes. Pourquoi ne vous repousse-t-il pas ? Vous avez quand même un sacré culot.
-Il n'avait pas le choix, on connaissait son secret, affirme Chantal, et si tu crois qu'on s’est s'arrêté qu'à ça ? Tu sais que c'est un sacré amant, tonton. Mais ce n'est pas réservé à une petite nature comme toi, sa bite est si longue et si grosse qu’on ne peut en prendre qu'une partie dans sa bouche où sa chatte, il n'y a que dans le cul qu'on arrive à absorber la totalité de sa verge, et je dois t’avouer que ça ne se passe pas sans douleur, mon cul s’en souvient encore.
-Tu crois qu’il accepterait de me la montrer à moi aussi ? Demande Julie.
-Non ! Si on ne le force pas un peu, il ne voudra jamais, reprend Chantal, voilà ce que l’on va faire…

Tel que je la connais, elle va bien trouvé une solution, et ça n’a pas loupé. Quatre jours plus tard elle me demande de venir chez lui et dit à Julie de nous rejoindre une demi-heure plus tard. Il fait super chaud et tonton est en train de bricoler dans son jardin, il est torse-nu et la sueur dégouline sur son corps. Pour l’aguicher, nous portons un top et un short minuscule, un vrai appel au viol, heureusement que nos parents ne savent pas comment on est fringuées sinon qu’est-ce qu’on entendrait. On s’approche de lui par derrière et se colle à lui, nos mains caressent ses épaules puis descendent sur son torse et ses abdos.
-Merde les filles ! S’exclame-t-il après un instant de sursaut. Vous êtes quand même culottées. Je vois bien où vous voulez en venir vu la façon dont vous êtes fagotées, de vraies petites trainées. L’autre jour, je ne savais plus quoi faire chez vos parents. De vraies petites salopes !

Mais ne tenant pas compte de ses récriminations, nos mains sont maintenant réunies sur son entrejambe, pétrissant l’objet de nos désirs. Mais il ne se laisse pas faire et nous repousse.
-Bordel de merde ! J’ai assez chaud comme ça ! Laissez-moi que j’aille prendre une douche pour me rafraichir…

A suivre…