Le gourdin de tonton. 8
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le gourdin de tonton. 8
Le gourdin de tonton. 8
-Merde les filles ! S’exclame-t-il après un instant de sursaut. Vous êtes quand même culottées. Je vois bien où vous voulez en venir vu la façon dont vous êtes fagotées, de vraies petites trainées. L’autre jour, je ne savais plus quoi faire chez vos parents. De vraies petites salopes !
Mais ne tenant pas compte de ses récriminations, nos mains sont maintenant réunies sur son entrejambe, pétrissant l’objet de nos désirs. Mais il ne se laisse pas faire et nous repousse.
-Bordel de merde ! J’ai assez chaud comme ça ! Laissez-moi que j’aille prendre une douche pour me rafraichir…
Suite :
La parole est maintenant à Julie :
Je viens d’arriver juste pour voir tonton suivi par mes sœurs comme deux toutous rentrer dans la maison. Je les suis et entre dans le salon juste pour voir tonton se diriger vers la salle de bain. Mes sœurs attendent quelques minutes avant de se dévêtir entièrement dans le couloir et entrer à leur tour dans la salle de bain. Je me rapproche et profite du reflet du grand miroir en pied pour observer ce qui se passe dans la grande douche à l’italienne de tonton. Avec un sacré culot, elles se glissent derrière tonton que je ne vois que de dos. Je découvre un morceau de sa verge entre ses cuisses légèrement écartées. Mes deux sœurs s’avancent chacune d’un coté de tonton et commence à lui caresser le dos puis s’enhardissant poussent jusqu’à ses tétons, enfin peut-être puisque que je ne peux le voir.
-Mais vous êtes pire que des chiennes en chaleur ! Quand vous avez mordu une proie, vous ne lâchez plus jamais, putain !
Mes sœurs continuent de « laver » tonton de sa sueur comme des aides-soignantes consciencieuses n’écoutant que leur abnégation. Je m’aperçois soudain que je ne vois pratiquement plus le sexe de tonton entre ses cuisses, puis très vite plus rien du tout. Il se retourne soudain et je le vois de trois-quarts, les filles comme si de rien n’était, continuent de caresser tonton sans jamais approcher les mains à moins de vingt centimètres de sa verge qui grossit, alimentée par des contractions qui injectent du sang dans l’instrument sans pour autant qu’il ne se redresse beaucoup plus. Mais quelques secondes plus tard, le boudin blanc à la forme courbe se transforme en une saucisse de Morteau droite comme un I. J’admire, stupéfaite, cette colonne de chair animée d’une vie propre dont l’angle formé avec le corps de tonton change sans cesse par petits paliers presque imperceptibles. De 45 degrés par rapport à la verticale, elle est maintenant pratiquement à l’horizontal. Mais ce n’est pas fini et l’ascension continue pour enfin se stabiliser à pratiquement 135% par rapport au sol, mais la « chose » est vivante et ne reste jamais immobile, oscillant sans arrêt sur plus ou moins dix degrés.
Je savais à quoi m’attendre ayant vu les vidéos mais je suis estomaquée devant ce jonc si vigoureux. Je ne peux plus me retenir et avance pour avoir une vue directe sur ce braquemard de compétition.
Je n’ai encore jamais vu une teub de cette taille en vrai et je dois dire que je suis gâtée. Tonton a vraiment une énorme bite !
Mes sœurs se sont savonné les mains et maintenant caressent dans un ensemble parfait son gourdin pendant que lui de son côté malaxe leurs seins, pince leurs tétons durcis ou, caressant leur vulve, glisse des doigts inquisiteurs dans leur vagin.
-De vraies putes, je vous dis, j’ai les doigts déjà trempés de votre cyprine. Ecoutez, je sais que je ne pourrai me débarrasser de vous que d’une seule façon, mais pas ici. Sortez de la et je vous retrouve dans ma chambre le temps de finir de me laver.
Il y a une grande penderie avec des portes coulissantes dans la chambre de tonton, je me dépêche d’aller m’y cacher mais pas assez rapidement pour que Brigitte ne le voit. Elle vient s’adosser juste à côté et murmure :
-Tais-toi et prends des leçons, tu ne bouges-pas tant que je ne viens pas te chercher
Tonton vient de pénétrer dans la pièce, précédé par une épée tendue d’un bon double centimètre, toujours aussi raide, toujours aussi grosse. Il ordonne à mes deux sœurs de se coucher en travers du lit, la tête pendant en arrière et lâche :
-Avant d’aller plus loin, je vais vous punir pour ce que vous avez fait lors du repas. Vous vouliez ma queue ? Eh bien vous allez être gâtées ! Ouvrez la bouche et interdit de toucher !
Pendant une ou deux minutes, je le vois introduire son gourdin surdimensionné qui est très vite couvert de salive dans la bouche de mes sœurs. Il attend que la bave soit surabondante sur les trois quarts de la hampe et prend la tête de Brigitte entre ses mains, penche encore plus sa tête en arrière, lui ordonne de prendre une grande respiration et donne un coup de reins lent, très lent. Je suis horrifiée en voyant disparaître centimètre après centimètre la tige pharaonique entre les lèvres de ma sœur, les yeux exorbités, jusqu’à ce que ses bourses cachent les yeux de Brigitte. Il attend qu’elle tape sur le lit comme un karatéka avouant sa défaite avant de se retirer.
-Brave fille, mais tu ne perds rien pour attendre, bon maintenant à ta sœur…
Il recommence avec Chantal mais doit s’y reprendre à trois fois avant de réussir sa « gorge profonde ». Elle a les yeux embués de larmes et un filet de bave relie sa bouche au chibre de tonton. Je suis déjà impressionnée par la longueur de cette verge, mais comment font-elles avec une bite si massive ? Brigitte lui propose alors un deal :
-Tonton, si tu acceptes, je voudrais que tu acceptes que je te bande les yeux. Tu nous connais maintenant suffisamment bien mais je voudrais savoir à quel point. On va te sucer et te branler et tu devras deviner laquelle de tes nièces préférées est en plein ouvrage, tu veux, dis ? Tu veux ?
Etonné, il prend un moment pour répondre, pourquoi-pas ? Ça peut-être instructif. Ça fera un amuse-gueule pour moi, ah, ah, ah !!!
Il est debout, bien campé sur ses deux jambes et mes sœurs varient les « papouilles » et les fellations et tonton ne se trompe pratiquement jamais. Brigitte se relève en douce et vient me chercher, me fait mettre à genoux à coté de Chantal et prend ma main droite pour la poser sur la hampe massive de tonton. Que c’est chaud ! Que c’est doux et pourtant si dur. Je suis encore plus petite que Chantal et ma main parait minuscule sur ce pal. Je commence doucement à branler tonton sous la direction de la main de Brigitte. Je m’y prends un peu mal et j’entends tonton se plaindre.
-A quoi tu joues Chantal ? Mets-y un peu plus de cœur, bordel !
Je prends sa verge entre mes deux mains et branle plus rapidement ce dard d’étalon.
-Ahhh ! C’est beaucoup mieux ! Suce-moi en même temps, petite pute !
Pour ne pas me trahir, j’ouvre grand la bouche pour saisir entre mes lèvres le bout rosé de ce formidable bélier, mais ma bouche grande ouverte arrive à peine à gober le gland de tonton.
-Mais qu’est ce qui t’arrive, Chantal ? Pourquoi tu n’écartes-pas plus tes mâchoires ?
J’ai déjà sucé un garçon, mais jamais un homme monté comme tonton. Je suis prête à abandonner mais Brigitte ne l’entend pas de cette oreille et appuie sur l’arrière de ma tête, me forçant à avaler bien quinze centimètres de ce chibre qui bute sur ma glotte. Mais comment font-elles pour prendre dans leur bouche ce que je tiens encore fermement dans mes mains pour ne pas que sa formidable teub n’aille plus loin ?
-Ah c’est beaucoup mieux Brigitte, mais tu m’avais habitué à mieux. C’est la gorge-profonde de tout à l’heure qui t’a stressée autant ? J’y suis peut-être allé un peu fort, excuse-moi.
Je m’enhardie et essaie de faire bonne impression sans même me rendre compte que plus rien ne m’y force car Brigitte s’est mise à genoux à côté de moi et pétrit les boules de tonton pendant que Chantal glisse une main entre ses cuisses pour enfoncer son majeur dans l’anus de tonton qui s’exclame :
-Là, je vous reconnais plus. Mais, mais c’est bizarre… Brigitte, comment fais-tu pour placer tes mains comme ça ? Tu es vraiment souple.
Heureusement que tonton ne s’est pas rendu compte de la main gauche de Chantal posée sur sa cuisse droite car en comptant bien ; les deux miennes sur son chibre plus une sur ses couilles, et une dont le doigt est dans son cul plus celle sur sa cuisse, ça fait cinq ! Chantal retire aussitôt la main surnuméraire pour soi-disant deux nièces. Brigitte me demande si je veux aller plus loin aujourd’hui avec tonton mais c’est trop pour moi. Je n’aurais jamais cru déjà avoir la chance si l’on peut dire de mettre un nom sur l’acteur des vidéos et d’en goûter le chibre. Je me relève et vais regagner mon poste de vigie pour observer la suite, juste à temps d’ailleurs car tonton vient de retirer son bandeau, les yeux froncés, comme s’il venait de réaliser quelque chose sans savoir quoi. J’en profite pour tout filmer.
-Vous me cachez quoi, les filles ? j’ai une drôle d’impression, le sentiment d’un truc pas catholique mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus.
Pour noyer le poisson, mes deux sœurs passent à l’attaque, poussent tonton sur le lit et se le partagent. Brigitte lui donne du plaisir en l’embrassant fougueusement pendant que Chantal fait de même avec sa bouche sur le sexe langoureusement posé sur son bas-ventre, elle attrape la queue qui n’a pas encore lâché son jus et s’empresse de le pomper, humidifiant la verge avec sa salive, redonnant un peu de verdeur à ce nœud aux veines grosses comme mon auriculaire sculptées le long de la hampe. Chantal a comme moi du mal à engloutir la moitié de cet obélisque. Il a vraiment une bite de cheval, tonton ! Elle décalotte complètement son gland qui ressemble à une grosse prune qu’elle gobe avec gourmandise pendant que Brigitte qui est venu elle aussi à la curée fait de même avec ses couilles grosses comme deux abricots.
-Y a vraiment que ma queue qui vous intéresse, hein les filles ?
- Oui tonton, c’est une brave fille courageuse et on ne demande qu’à la gorger de ta laitance super abondante !
A suivre…
-Merde les filles ! S’exclame-t-il après un instant de sursaut. Vous êtes quand même culottées. Je vois bien où vous voulez en venir vu la façon dont vous êtes fagotées, de vraies petites trainées. L’autre jour, je ne savais plus quoi faire chez vos parents. De vraies petites salopes !
Mais ne tenant pas compte de ses récriminations, nos mains sont maintenant réunies sur son entrejambe, pétrissant l’objet de nos désirs. Mais il ne se laisse pas faire et nous repousse.
-Bordel de merde ! J’ai assez chaud comme ça ! Laissez-moi que j’aille prendre une douche pour me rafraichir…
Suite :
La parole est maintenant à Julie :
Je viens d’arriver juste pour voir tonton suivi par mes sœurs comme deux toutous rentrer dans la maison. Je les suis et entre dans le salon juste pour voir tonton se diriger vers la salle de bain. Mes sœurs attendent quelques minutes avant de se dévêtir entièrement dans le couloir et entrer à leur tour dans la salle de bain. Je me rapproche et profite du reflet du grand miroir en pied pour observer ce qui se passe dans la grande douche à l’italienne de tonton. Avec un sacré culot, elles se glissent derrière tonton que je ne vois que de dos. Je découvre un morceau de sa verge entre ses cuisses légèrement écartées. Mes deux sœurs s’avancent chacune d’un coté de tonton et commence à lui caresser le dos puis s’enhardissant poussent jusqu’à ses tétons, enfin peut-être puisque que je ne peux le voir.
-Mais vous êtes pire que des chiennes en chaleur ! Quand vous avez mordu une proie, vous ne lâchez plus jamais, putain !
Mes sœurs continuent de « laver » tonton de sa sueur comme des aides-soignantes consciencieuses n’écoutant que leur abnégation. Je m’aperçois soudain que je ne vois pratiquement plus le sexe de tonton entre ses cuisses, puis très vite plus rien du tout. Il se retourne soudain et je le vois de trois-quarts, les filles comme si de rien n’était, continuent de caresser tonton sans jamais approcher les mains à moins de vingt centimètres de sa verge qui grossit, alimentée par des contractions qui injectent du sang dans l’instrument sans pour autant qu’il ne se redresse beaucoup plus. Mais quelques secondes plus tard, le boudin blanc à la forme courbe se transforme en une saucisse de Morteau droite comme un I. J’admire, stupéfaite, cette colonne de chair animée d’une vie propre dont l’angle formé avec le corps de tonton change sans cesse par petits paliers presque imperceptibles. De 45 degrés par rapport à la verticale, elle est maintenant pratiquement à l’horizontal. Mais ce n’est pas fini et l’ascension continue pour enfin se stabiliser à pratiquement 135% par rapport au sol, mais la « chose » est vivante et ne reste jamais immobile, oscillant sans arrêt sur plus ou moins dix degrés.
Je savais à quoi m’attendre ayant vu les vidéos mais je suis estomaquée devant ce jonc si vigoureux. Je ne peux plus me retenir et avance pour avoir une vue directe sur ce braquemard de compétition.
Je n’ai encore jamais vu une teub de cette taille en vrai et je dois dire que je suis gâtée. Tonton a vraiment une énorme bite !
Mes sœurs se sont savonné les mains et maintenant caressent dans un ensemble parfait son gourdin pendant que lui de son côté malaxe leurs seins, pince leurs tétons durcis ou, caressant leur vulve, glisse des doigts inquisiteurs dans leur vagin.
-De vraies putes, je vous dis, j’ai les doigts déjà trempés de votre cyprine. Ecoutez, je sais que je ne pourrai me débarrasser de vous que d’une seule façon, mais pas ici. Sortez de la et je vous retrouve dans ma chambre le temps de finir de me laver.
Il y a une grande penderie avec des portes coulissantes dans la chambre de tonton, je me dépêche d’aller m’y cacher mais pas assez rapidement pour que Brigitte ne le voit. Elle vient s’adosser juste à côté et murmure :
-Tais-toi et prends des leçons, tu ne bouges-pas tant que je ne viens pas te chercher
Tonton vient de pénétrer dans la pièce, précédé par une épée tendue d’un bon double centimètre, toujours aussi raide, toujours aussi grosse. Il ordonne à mes deux sœurs de se coucher en travers du lit, la tête pendant en arrière et lâche :
-Avant d’aller plus loin, je vais vous punir pour ce que vous avez fait lors du repas. Vous vouliez ma queue ? Eh bien vous allez être gâtées ! Ouvrez la bouche et interdit de toucher !
Pendant une ou deux minutes, je le vois introduire son gourdin surdimensionné qui est très vite couvert de salive dans la bouche de mes sœurs. Il attend que la bave soit surabondante sur les trois quarts de la hampe et prend la tête de Brigitte entre ses mains, penche encore plus sa tête en arrière, lui ordonne de prendre une grande respiration et donne un coup de reins lent, très lent. Je suis horrifiée en voyant disparaître centimètre après centimètre la tige pharaonique entre les lèvres de ma sœur, les yeux exorbités, jusqu’à ce que ses bourses cachent les yeux de Brigitte. Il attend qu’elle tape sur le lit comme un karatéka avouant sa défaite avant de se retirer.
-Brave fille, mais tu ne perds rien pour attendre, bon maintenant à ta sœur…
Il recommence avec Chantal mais doit s’y reprendre à trois fois avant de réussir sa « gorge profonde ». Elle a les yeux embués de larmes et un filet de bave relie sa bouche au chibre de tonton. Je suis déjà impressionnée par la longueur de cette verge, mais comment font-elles avec une bite si massive ? Brigitte lui propose alors un deal :
-Tonton, si tu acceptes, je voudrais que tu acceptes que je te bande les yeux. Tu nous connais maintenant suffisamment bien mais je voudrais savoir à quel point. On va te sucer et te branler et tu devras deviner laquelle de tes nièces préférées est en plein ouvrage, tu veux, dis ? Tu veux ?
Etonné, il prend un moment pour répondre, pourquoi-pas ? Ça peut-être instructif. Ça fera un amuse-gueule pour moi, ah, ah, ah !!!
Il est debout, bien campé sur ses deux jambes et mes sœurs varient les « papouilles » et les fellations et tonton ne se trompe pratiquement jamais. Brigitte se relève en douce et vient me chercher, me fait mettre à genoux à coté de Chantal et prend ma main droite pour la poser sur la hampe massive de tonton. Que c’est chaud ! Que c’est doux et pourtant si dur. Je suis encore plus petite que Chantal et ma main parait minuscule sur ce pal. Je commence doucement à branler tonton sous la direction de la main de Brigitte. Je m’y prends un peu mal et j’entends tonton se plaindre.
-A quoi tu joues Chantal ? Mets-y un peu plus de cœur, bordel !
Je prends sa verge entre mes deux mains et branle plus rapidement ce dard d’étalon.
-Ahhh ! C’est beaucoup mieux ! Suce-moi en même temps, petite pute !
Pour ne pas me trahir, j’ouvre grand la bouche pour saisir entre mes lèvres le bout rosé de ce formidable bélier, mais ma bouche grande ouverte arrive à peine à gober le gland de tonton.
-Mais qu’est ce qui t’arrive, Chantal ? Pourquoi tu n’écartes-pas plus tes mâchoires ?
J’ai déjà sucé un garçon, mais jamais un homme monté comme tonton. Je suis prête à abandonner mais Brigitte ne l’entend pas de cette oreille et appuie sur l’arrière de ma tête, me forçant à avaler bien quinze centimètres de ce chibre qui bute sur ma glotte. Mais comment font-elles pour prendre dans leur bouche ce que je tiens encore fermement dans mes mains pour ne pas que sa formidable teub n’aille plus loin ?
-Ah c’est beaucoup mieux Brigitte, mais tu m’avais habitué à mieux. C’est la gorge-profonde de tout à l’heure qui t’a stressée autant ? J’y suis peut-être allé un peu fort, excuse-moi.
Je m’enhardie et essaie de faire bonne impression sans même me rendre compte que plus rien ne m’y force car Brigitte s’est mise à genoux à côté de moi et pétrit les boules de tonton pendant que Chantal glisse une main entre ses cuisses pour enfoncer son majeur dans l’anus de tonton qui s’exclame :
-Là, je vous reconnais plus. Mais, mais c’est bizarre… Brigitte, comment fais-tu pour placer tes mains comme ça ? Tu es vraiment souple.
Heureusement que tonton ne s’est pas rendu compte de la main gauche de Chantal posée sur sa cuisse droite car en comptant bien ; les deux miennes sur son chibre plus une sur ses couilles, et une dont le doigt est dans son cul plus celle sur sa cuisse, ça fait cinq ! Chantal retire aussitôt la main surnuméraire pour soi-disant deux nièces. Brigitte me demande si je veux aller plus loin aujourd’hui avec tonton mais c’est trop pour moi. Je n’aurais jamais cru déjà avoir la chance si l’on peut dire de mettre un nom sur l’acteur des vidéos et d’en goûter le chibre. Je me relève et vais regagner mon poste de vigie pour observer la suite, juste à temps d’ailleurs car tonton vient de retirer son bandeau, les yeux froncés, comme s’il venait de réaliser quelque chose sans savoir quoi. J’en profite pour tout filmer.
-Vous me cachez quoi, les filles ? j’ai une drôle d’impression, le sentiment d’un truc pas catholique mais je n’arrive pas à mettre le doigt dessus.
Pour noyer le poisson, mes deux sœurs passent à l’attaque, poussent tonton sur le lit et se le partagent. Brigitte lui donne du plaisir en l’embrassant fougueusement pendant que Chantal fait de même avec sa bouche sur le sexe langoureusement posé sur son bas-ventre, elle attrape la queue qui n’a pas encore lâché son jus et s’empresse de le pomper, humidifiant la verge avec sa salive, redonnant un peu de verdeur à ce nœud aux veines grosses comme mon auriculaire sculptées le long de la hampe. Chantal a comme moi du mal à engloutir la moitié de cet obélisque. Il a vraiment une bite de cheval, tonton ! Elle décalotte complètement son gland qui ressemble à une grosse prune qu’elle gobe avec gourmandise pendant que Brigitte qui est venu elle aussi à la curée fait de même avec ses couilles grosses comme deux abricots.
-Y a vraiment que ma queue qui vous intéresse, hein les filles ?
- Oui tonton, c’est une brave fille courageuse et on ne demande qu’à la gorger de ta laitance super abondante !
A suivre…
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Les avis des lecteurs
Beau tenon
10/10