Le gynéco de mon amie ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-03-2015 dans la catégorie Plus on est
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Le gynéco de mon amie ...
- J’aimerais te demander conseil Amélie…
- A quel sujet Claudie ?
- C’est délicat, mais nous somment assez amies pour pouvoir parler de tout
- Ah, je vois, tu as un amant ?
- Pas encore, mais suivant ce que tu vas me répondre ce n’est pas exclus
- J’adore ce genre de confidence, dit moi tout ma chérie
- Julien se plaint que je mouille trop
- Il est fou ? la plupart des mecs se plaignent que leur femme est trop sèche !
- Il dit qu’il ne sent rien, que je suis trop large
- Si je me souviens c’est lui qui t’as dépucelée ? à ce moment là il ne s’est pas aperçu que tu avais une entrée de gare ? laisse-moi rigoler ! et siiiii ??…
- Et si quoi ?
- Et si c’est lui qui avais la bite trop fine ? comment est-il monté ?
- Beenn, je n’en ai jamais vue d’autre que la sienne… mais c’est vrai que sur certaines revues j’en ai vues de bien plus grosses
- Il ne t’a jamais demandé de visionner de film porno avec lui
- Non, il dit que c’est des frimeurs, que ce n’est pas la réalité
- Tu m’étonne ! je comprends pourquoi, il ne veut pas que tu réalise que c’est lui qui en a une toute petite, tu connais ses dimensions ?
- Ben non
- A vue d’œil ? dessine là moi sur ce papier …
- A peu de choses prés ça doit faire ça …
- C’est tout ? ça fait quoi ? douze ? treize centimètres ? et en grosseur ? fait un rond ?….hoooouuuuuaaaaaaah !!! deux ou trois centimètres, ma pauvre … c’est sûr que si tu mouille bien, ce qui est tout à fait normal, il ne sent pas les bords de ta chatte !
- Peut être que j’ai quelque chose de déréglé et que je fournis trop de cyprine ?
- C’est possible aussi …
- À moins que je n’ai une entrée de métro ?
- Tu veux que l’ont compare ?
- Comparer nos vagins ?
- Pourquoi pas ? tu me mets un ou deux doigts moi je fais pareil avec toi ?
- Si tu es d’accord allons-y …
Nous quittons nos culottes, j’ai honte, rien qu’a l’idée que ma copine va me toucher la mienne est déjà tachée, debout l’une devant l’autre les pieds bien écartés nos bras se croisent, j’y vais au hasard car je n’ose pas regarder directement sa toison, trois doigts suffisent, deux pour séparer les poils et les lèvres, l’autre pour trouver la fente, sa chatte est encore collée, la mienne est déjà entrouverte, de la sève s’en échappe, ses doigts n’ont aucune peine a pénétrer dans ma vulve
- Hooouuuu, c’est vrai que tu mouille beaucoup, mais ton trou n’est pas exagérément large, je dirais même que tu es étroite par rapport a moi !
- C’est vrai, je ne trouve pas de différence entre nos chattes …peut être que je lubrifie anormalement ? tout simplement les glandes déréglées ??
- Dans ce cas si tu veux consulter, je peux te recommander à mon gynéco...
- Il est bien ? je veux dire, compétent ?
- Il est les deux, même un peut plus …il est spécial !
- Ah bon ?
- Si tu sors de chez lui avec encore du désir entre les cuisses c’est que tu n’es pas normale …
- Explique toi bon-sang !
- Lorsque j’y vais il m’attache les poignets et les chevilles, ça fait un effet ! j’te dis pas !
- Il te viole ?
- Je ne dirais pas ça puisque je suis consentante …
- Tu baise avec ton gynéco ???
- Oui …et aussi avec son assistant ….
- NOOOON ??????
- J’y vais seulement tous les deux mois, mais j’ai un équilibre en béton !
- Je vois, justement je me demandais ce qui te donnait une telle pêche …
- Alors qu’attends-tu pour essayer ? je lui téléphone ?? tu ne vas pas passer ta vie à te faire ‘baisouiller’ par une p’tite bite ?
- Tout de même, tromper julien …tant pis, appelle-le …
- Crois moi, tu ne le regretteras pas … allo ? Jean-Claude ? c’est Amélie, dit moi j’ai ma copine Claudie qui aurait besoin de ‘tes bons soins’, tu vois de quoi il s’agit ? elle mouille trop ! …c’est ça ! tu peux lui faire confiance elle est très discrète ? …. Lundi matin neuf heures, hors consultations bien sûr ? d’accord, et moi ? dans huit jours, pas plus ? bien ! au revoir monsieur le gynécologue ! …et voilà tu vas en consultation lundi ma vieille !
- J’ai la trouille et … je mouille encore plus !!!
- Il est urgent que tu jouisses…et si nous finissions l’une et l’autre ? je te masturbe tu me masturbe !
Enlacées, nos doigts se sont agités dans nos chattes jusqu'à déclencher l’orgasme simultané qui nous a bien fait rire une fois la tension retombée, Amélie m’a fais promettre de lui raconter en détails ma visite chez son gynéco, il ne reste plus qu’a trouver le prétexte a raconter a julien pour justifier ma visite chez un spécialiste , il a gobé ma première explication vaseuse
Avant mon départ pour le cabinet j’ai pris la précaution d’insérer un protège slip entre ma moule et mon string car a la simple pensée que j’allais me faire charcuter la chatte a suffit à déclencher ‘les grandes eaux‘
‘Sonnez et entrez’ … c’est fait !
C’est la première fois que je vais montrer ma chatte à un autre homme que julien et ce n’est ‘spécialement’ pour un acte médical, la porte s’ouvre j’ai l’impression que mon cœur va bondir de ma poitrine, l’homme est grand le visage carré presque chauve, pas séduisant du tout mais il respire la virilité par tous les pores de sa peau
- Bonjour vous avez rendez vous ?
- Je suis Claudie l’amie d’Amélie …
- Ha oui, j’avais oublié, entrez, asseyez vous et expliquez moi ce qui se passe
- Hé bien voilà … je lubrifie trop
- Comment ? parlez plus fort, détendez vous que diable !
- Je crois que je mouille trop !
- Qu’est ce qui vous fait dire ça ?
- Mon mari ne ressent rien dans mon vagin
- Impossible, je n’ai jamais vu ça, je vais vous visiter, déshabillez vous, j’appelle mon stagiaire
- Entièrement ?
- Bien sûr, je veux examiner vos seins aussi, dépêchez vous je n’ai pas que vous a voir ce matin
Ce rustre s’adresse à moi comme à un chien j’ai envie de faire demi-tour, après cette réflexion désagréable il me semble qu’il a fait stopper net l’hémorragie de ma chatte, devant son bureau il appui sur une touche… je vais avoir deux hommes à examiner ma chatte, un jeune et un ‘presque’ vieux, ma mouille reprend de plus belle et je n’ai plus de protection pour cacher mon intimité !
- Vincent ? Venez de suite préparer une patiente s’il vous plait, installez vous sur la table Claudie, Vincent arrive
- Bien monsieur …
La honte m’envahis lorsque je dois écarter les jambes pour les poser dans les gouttières, mes poils sont saturés de rosée intime chaude et odorante, mes lèvres doivent êtres dilatées et séparées, mon œillet doit palpiter, je ne parles pas de mes pointes de seins tendues comme pour donner la tétée
J’essaie d’imaginer ce que cache la blouse blanche du praticien lacée dans son dos, si j’en crois Amélie c’est un gourdin fait pour apaiser certaines clientes, a quoi sert le stagiaire ?? La réponse va arriver car un jeune homme à peine sorti de l’acné entre
- Sanglez madame et préparez le matériel
- Vous allez m’attacher ??
- Oui, j’en ai marre que certaines femmes cherchent à échapper a l’examen au risque de se blesser irrémédiablement la craquette
- Détendez vous madame, posez vos avant bras ici
- Les bras aussi ?
- Oui ne bougez plus, je serre modérément…ça va ?
- Oui, il faut bien
- Je passe aux chevilles… avancez vous un peu … voilà, c’est fait monsieur
- Bien, prenez votre lampe frontale et commencez sans moi
- Je vérifie d’abord les organes extérieurs ?
- Comme d’habitude, commentez moi je prends des notes, n’oubliez pas d’allumer l’écran, je veux suivre votre contrôle en direct, avancez la caméra …essuyez moi cette chatte ont y vois rien avec toute cette écume, vous mouillez toujours autant ou bien c’est la situation ?
- Je lubrifie beaucoup, c’est pour cela que je viens vous voir, mais je dois avouer que ça me perturbe de montrer mes fesses a ce jeune homme
- Ne vous en faites pas, il en a vu d’autres et a l’âge légal pour forniquer ! n’est-ce pas Vincent ?
- Oui monsieur
- Allez ouvre moi ce vagin avec tes doigts, que voit- tu ?
- De la cyprine, beaucoup de cyprine
- Inutile de laisser perdre ça, nettoie lui avec ta langue ….et ensuite enfonce la caméra bien profond entre les muqueuses
J’ai beau tirer sur mes liens ça n’empêche pas le jeune de mettre son nez sur ma chatte et de séparer les lèvres avec sa langue, je n’ai plus qu’a fermer les yeux et savourer la léchouille, ce petit vaurien profite de mon incapacité a bouger pour m’enfoncer un doigt dans l’anus, caresse peu pratiquée par mon mari, aussi la mouille repart en cascade
- Ne profitez pas trop de la situation Vincent, dés qu’elle est prête dites le moi je vais l’examiner
- J’enfonce la caméra ?
- Je vais m’en occuper, laissez nous je n’ai plus besoin de vous
- Bien monsieur
Vexé de ne pas pouvoir assister le jeune homme grommelle des mots grossiers a l’intention du gynéco entre ses dents, ceci augure le genre d’examen que je vais ‘subir’
Le stagiaire sortit l’homme s’approche de moi un sourire qui lui fend la bouche d’une oreille a l’autre
- Enfin seuls, ne nous voilons pas la face, si c’est Amélie qui vous recommande c’est pour passer un bon moment, je me trompe ?
- Non … je suis là pour jouir, mon mari n’en est pas capable
- Et vous allez jouir, je vous le promets ! je suppose que vous voulez voir ce qui va vous faire décoller ?
- J’aimerais bien …mais je suis attachée ?
- Inutile de me peloter les couilles, a la limite je peux vous la fourrer dans la bouche, juste pour un aller retour, comme je vous l’ai dit je suis pressé
- Ça me va …
- Regardez ….
Le gynéco relève le devant de sa blouse comme il le ferait pour un lever de rideau au théâtre, un cylindre de chair qui ferait fuir une vierge décalottée se redresse a l’horizontale, avec le poids qu’il doit faire se toucher son ventre est chose impossible
La blouse savamment coincée pour ne pas gêner, il attrape le membre à sa base et lui fait décrire des ronds, vus comme ça ce n’est pas un membre mais une véritable matraque qu’il manipule, au bout du gland congestionné et luisant sa sève ‘d’amour’ file vers le sol
- Tourne la tête et ouvre très grand la bouche, j’arrive
- Voouuooommmmmmuuuummmmm !
- AH ça t’en bouche un coin hein ?
Tandis qu’il fourre difficilement son sabre dans mon palais il trifouille ma chatte avec ses doigts comme pour s’assurer que je suis assez ouverte
- Ça va, le petit t’a bien préparée allons y
- C’est tout ?
- Tu reviendras en consultation pour les amuses gueule, priorité a ta chatte, je vais placer la caméra prés de ta moule ainsi tu vas pouvoir suivre les évolutions a l’écran
- Chouette ! oohhh dans quel état est ma vulve !
- En sortant d’ici tu ne la reconnaitras plus ! je ne te conseille pas de laisser ton cocu de mari t’approcher ce soir et demain !
- Bien docteur …
- Elle me plaît bien cette cramouille …regarde tes lèvres s’ouvrir …elles deviennent blanches
- Vous n’allez jamais pouvoir me mettre tout ça !
- C’est seulement vingt quatre centimètres de bon saucisson, tu me sens ?
- Je suis tellement étirée que je ne sais plus
- Quand je serais au fond tu vas frétiller comme une anguille, je continue à pousser ?
- Hooooouuuuuiiiiiii ça devient booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn
A l’écran je vois la queue ressortir presqu’entièrement et réinvestir mon ventre dans un coup de rein violent, si j’avais dût déchirer ce serait fait, mon manchon s’est bien moulé sur cette bite phénoménale, sa paire de couilles tape sur mon anus ajoutant un rein de plaisir, ça suffit à déclencher un orgasme d’une ampleur jusque là inconnue, avant de me laisser emporter dans ce tourbillon j’ai une pensée pour le bon conseille d’Amélie
C’est les carambolages rapprochés des pubis qui me ramènent a la réalité, sanglée comme un goret qu’ont va égorger je subis les assauts de mon baiseur qui cherche visiblement à jouir, il marmonne des onomatopées qui laissent à penser qu’il me prend pour une pute
- VINCENT ???? Arrive en vitesse !
- Oui monsieur ?
- Ha tu n’étais pas loin, je te soupçonne de nous épier
- Ho non ! que voulez vous ?
- Je vais décharger, tu me remplace aussitôt afin qu’elle voit si elle peut jouir avec une bite normale maintenant que j’ai bien ramonées ses muqueuses
- Entendu ! merci monsieur !
Le gynéco se colle à mon entrejambes comme s’il voulait faire entrer ses testicules, une éruption brulante jaillit de son nœud, des saccades rapprochées percutent mon utérus, je repars pour un énième orgasme, le surplus de foutre se fraie un passage vers l’extérieur dans un gargouillis obscène
- A toi Vincent, montre a cette dame comment tu te sers de ton jeune chibre
- Je vais mettre du papier sur cette flaque de sperme
- Très bonne initiative sinon
- Je ne sais pas ! je ne sais plus ou je suis !
- Vous êtes sur la table d’examen et je vais vous baiser
Les yeux à nouveau rivés sur l’écran je vois le stagiaire enfoncer sa queue sans commune mesure avec celle de son patron, comparable à celle de mon mari mais je suis tellement devenue réceptive que sa verge me fait un bien inouï ! Sans chercher à me limer à outrance il trouve mon point G en bougeant de bas en haut et s’y maintient avec régularité pour une jouissance ininterrompue… je puis donc jouir avec mon époux
Mon amant est tellement excité qu’il décharge très vite accentuant la mare de foutre sur le sol, toujours fiché en moi il défait délicatement les sangles qui commençaient à attaquer mes chairs tellement je ruais
- La prochaine fois nous ne vous sanglerons pas
- Pas besoin, je ne me sauverais pas, c’est trop bon !
- Je vais vous laver l’entre jambes avant que vous ne vous rhabilliez
- Avec votre langue ? !!!!
Je suis repartie en marchant bizarrement, ma chatte a été sensible durant trois jours, le quatrième mon mari a été stupéfait de me voir jouir sous lui
- A quel sujet Claudie ?
- C’est délicat, mais nous somment assez amies pour pouvoir parler de tout
- Ah, je vois, tu as un amant ?
- Pas encore, mais suivant ce que tu vas me répondre ce n’est pas exclus
- J’adore ce genre de confidence, dit moi tout ma chérie
- Julien se plaint que je mouille trop
- Il est fou ? la plupart des mecs se plaignent que leur femme est trop sèche !
- Il dit qu’il ne sent rien, que je suis trop large
- Si je me souviens c’est lui qui t’as dépucelée ? à ce moment là il ne s’est pas aperçu que tu avais une entrée de gare ? laisse-moi rigoler ! et siiiii ??…
- Et si quoi ?
- Et si c’est lui qui avais la bite trop fine ? comment est-il monté ?
- Beenn, je n’en ai jamais vue d’autre que la sienne… mais c’est vrai que sur certaines revues j’en ai vues de bien plus grosses
- Il ne t’a jamais demandé de visionner de film porno avec lui
- Non, il dit que c’est des frimeurs, que ce n’est pas la réalité
- Tu m’étonne ! je comprends pourquoi, il ne veut pas que tu réalise que c’est lui qui en a une toute petite, tu connais ses dimensions ?
- Ben non
- A vue d’œil ? dessine là moi sur ce papier …
- A peu de choses prés ça doit faire ça …
- C’est tout ? ça fait quoi ? douze ? treize centimètres ? et en grosseur ? fait un rond ?….hoooouuuuuaaaaaaah !!! deux ou trois centimètres, ma pauvre … c’est sûr que si tu mouille bien, ce qui est tout à fait normal, il ne sent pas les bords de ta chatte !
- Peut être que j’ai quelque chose de déréglé et que je fournis trop de cyprine ?
- C’est possible aussi …
- À moins que je n’ai une entrée de métro ?
- Tu veux que l’ont compare ?
- Comparer nos vagins ?
- Pourquoi pas ? tu me mets un ou deux doigts moi je fais pareil avec toi ?
- Si tu es d’accord allons-y …
Nous quittons nos culottes, j’ai honte, rien qu’a l’idée que ma copine va me toucher la mienne est déjà tachée, debout l’une devant l’autre les pieds bien écartés nos bras se croisent, j’y vais au hasard car je n’ose pas regarder directement sa toison, trois doigts suffisent, deux pour séparer les poils et les lèvres, l’autre pour trouver la fente, sa chatte est encore collée, la mienne est déjà entrouverte, de la sève s’en échappe, ses doigts n’ont aucune peine a pénétrer dans ma vulve
- Hooouuuu, c’est vrai que tu mouille beaucoup, mais ton trou n’est pas exagérément large, je dirais même que tu es étroite par rapport a moi !
- C’est vrai, je ne trouve pas de différence entre nos chattes …peut être que je lubrifie anormalement ? tout simplement les glandes déréglées ??
- Dans ce cas si tu veux consulter, je peux te recommander à mon gynéco...
- Il est bien ? je veux dire, compétent ?
- Il est les deux, même un peut plus …il est spécial !
- Ah bon ?
- Si tu sors de chez lui avec encore du désir entre les cuisses c’est que tu n’es pas normale …
- Explique toi bon-sang !
- Lorsque j’y vais il m’attache les poignets et les chevilles, ça fait un effet ! j’te dis pas !
- Il te viole ?
- Je ne dirais pas ça puisque je suis consentante …
- Tu baise avec ton gynéco ???
- Oui …et aussi avec son assistant ….
- NOOOON ??????
- J’y vais seulement tous les deux mois, mais j’ai un équilibre en béton !
- Je vois, justement je me demandais ce qui te donnait une telle pêche …
- Alors qu’attends-tu pour essayer ? je lui téléphone ?? tu ne vas pas passer ta vie à te faire ‘baisouiller’ par une p’tite bite ?
- Tout de même, tromper julien …tant pis, appelle-le …
- Crois moi, tu ne le regretteras pas … allo ? Jean-Claude ? c’est Amélie, dit moi j’ai ma copine Claudie qui aurait besoin de ‘tes bons soins’, tu vois de quoi il s’agit ? elle mouille trop ! …c’est ça ! tu peux lui faire confiance elle est très discrète ? …. Lundi matin neuf heures, hors consultations bien sûr ? d’accord, et moi ? dans huit jours, pas plus ? bien ! au revoir monsieur le gynécologue ! …et voilà tu vas en consultation lundi ma vieille !
- J’ai la trouille et … je mouille encore plus !!!
- Il est urgent que tu jouisses…et si nous finissions l’une et l’autre ? je te masturbe tu me masturbe !
Enlacées, nos doigts se sont agités dans nos chattes jusqu'à déclencher l’orgasme simultané qui nous a bien fait rire une fois la tension retombée, Amélie m’a fais promettre de lui raconter en détails ma visite chez son gynéco, il ne reste plus qu’a trouver le prétexte a raconter a julien pour justifier ma visite chez un spécialiste , il a gobé ma première explication vaseuse
Avant mon départ pour le cabinet j’ai pris la précaution d’insérer un protège slip entre ma moule et mon string car a la simple pensée que j’allais me faire charcuter la chatte a suffit à déclencher ‘les grandes eaux‘
‘Sonnez et entrez’ … c’est fait !
C’est la première fois que je vais montrer ma chatte à un autre homme que julien et ce n’est ‘spécialement’ pour un acte médical, la porte s’ouvre j’ai l’impression que mon cœur va bondir de ma poitrine, l’homme est grand le visage carré presque chauve, pas séduisant du tout mais il respire la virilité par tous les pores de sa peau
- Bonjour vous avez rendez vous ?
- Je suis Claudie l’amie d’Amélie …
- Ha oui, j’avais oublié, entrez, asseyez vous et expliquez moi ce qui se passe
- Hé bien voilà … je lubrifie trop
- Comment ? parlez plus fort, détendez vous que diable !
- Je crois que je mouille trop !
- Qu’est ce qui vous fait dire ça ?
- Mon mari ne ressent rien dans mon vagin
- Impossible, je n’ai jamais vu ça, je vais vous visiter, déshabillez vous, j’appelle mon stagiaire
- Entièrement ?
- Bien sûr, je veux examiner vos seins aussi, dépêchez vous je n’ai pas que vous a voir ce matin
Ce rustre s’adresse à moi comme à un chien j’ai envie de faire demi-tour, après cette réflexion désagréable il me semble qu’il a fait stopper net l’hémorragie de ma chatte, devant son bureau il appui sur une touche… je vais avoir deux hommes à examiner ma chatte, un jeune et un ‘presque’ vieux, ma mouille reprend de plus belle et je n’ai plus de protection pour cacher mon intimité !
- Vincent ? Venez de suite préparer une patiente s’il vous plait, installez vous sur la table Claudie, Vincent arrive
- Bien monsieur …
La honte m’envahis lorsque je dois écarter les jambes pour les poser dans les gouttières, mes poils sont saturés de rosée intime chaude et odorante, mes lèvres doivent êtres dilatées et séparées, mon œillet doit palpiter, je ne parles pas de mes pointes de seins tendues comme pour donner la tétée
J’essaie d’imaginer ce que cache la blouse blanche du praticien lacée dans son dos, si j’en crois Amélie c’est un gourdin fait pour apaiser certaines clientes, a quoi sert le stagiaire ?? La réponse va arriver car un jeune homme à peine sorti de l’acné entre
- Sanglez madame et préparez le matériel
- Vous allez m’attacher ??
- Oui, j’en ai marre que certaines femmes cherchent à échapper a l’examen au risque de se blesser irrémédiablement la craquette
- Détendez vous madame, posez vos avant bras ici
- Les bras aussi ?
- Oui ne bougez plus, je serre modérément…ça va ?
- Oui, il faut bien
- Je passe aux chevilles… avancez vous un peu … voilà, c’est fait monsieur
- Bien, prenez votre lampe frontale et commencez sans moi
- Je vérifie d’abord les organes extérieurs ?
- Comme d’habitude, commentez moi je prends des notes, n’oubliez pas d’allumer l’écran, je veux suivre votre contrôle en direct, avancez la caméra …essuyez moi cette chatte ont y vois rien avec toute cette écume, vous mouillez toujours autant ou bien c’est la situation ?
- Je lubrifie beaucoup, c’est pour cela que je viens vous voir, mais je dois avouer que ça me perturbe de montrer mes fesses a ce jeune homme
- Ne vous en faites pas, il en a vu d’autres et a l’âge légal pour forniquer ! n’est-ce pas Vincent ?
- Oui monsieur
- Allez ouvre moi ce vagin avec tes doigts, que voit- tu ?
- De la cyprine, beaucoup de cyprine
- Inutile de laisser perdre ça, nettoie lui avec ta langue ….et ensuite enfonce la caméra bien profond entre les muqueuses
J’ai beau tirer sur mes liens ça n’empêche pas le jeune de mettre son nez sur ma chatte et de séparer les lèvres avec sa langue, je n’ai plus qu’a fermer les yeux et savourer la léchouille, ce petit vaurien profite de mon incapacité a bouger pour m’enfoncer un doigt dans l’anus, caresse peu pratiquée par mon mari, aussi la mouille repart en cascade
- Ne profitez pas trop de la situation Vincent, dés qu’elle est prête dites le moi je vais l’examiner
- J’enfonce la caméra ?
- Je vais m’en occuper, laissez nous je n’ai plus besoin de vous
- Bien monsieur
Vexé de ne pas pouvoir assister le jeune homme grommelle des mots grossiers a l’intention du gynéco entre ses dents, ceci augure le genre d’examen que je vais ‘subir’
Le stagiaire sortit l’homme s’approche de moi un sourire qui lui fend la bouche d’une oreille a l’autre
- Enfin seuls, ne nous voilons pas la face, si c’est Amélie qui vous recommande c’est pour passer un bon moment, je me trompe ?
- Non … je suis là pour jouir, mon mari n’en est pas capable
- Et vous allez jouir, je vous le promets ! je suppose que vous voulez voir ce qui va vous faire décoller ?
- J’aimerais bien …mais je suis attachée ?
- Inutile de me peloter les couilles, a la limite je peux vous la fourrer dans la bouche, juste pour un aller retour, comme je vous l’ai dit je suis pressé
- Ça me va …
- Regardez ….
Le gynéco relève le devant de sa blouse comme il le ferait pour un lever de rideau au théâtre, un cylindre de chair qui ferait fuir une vierge décalottée se redresse a l’horizontale, avec le poids qu’il doit faire se toucher son ventre est chose impossible
La blouse savamment coincée pour ne pas gêner, il attrape le membre à sa base et lui fait décrire des ronds, vus comme ça ce n’est pas un membre mais une véritable matraque qu’il manipule, au bout du gland congestionné et luisant sa sève ‘d’amour’ file vers le sol
- Tourne la tête et ouvre très grand la bouche, j’arrive
- Voouuooommmmmmuuuummmmm !
- AH ça t’en bouche un coin hein ?
Tandis qu’il fourre difficilement son sabre dans mon palais il trifouille ma chatte avec ses doigts comme pour s’assurer que je suis assez ouverte
- Ça va, le petit t’a bien préparée allons y
- C’est tout ?
- Tu reviendras en consultation pour les amuses gueule, priorité a ta chatte, je vais placer la caméra prés de ta moule ainsi tu vas pouvoir suivre les évolutions a l’écran
- Chouette ! oohhh dans quel état est ma vulve !
- En sortant d’ici tu ne la reconnaitras plus ! je ne te conseille pas de laisser ton cocu de mari t’approcher ce soir et demain !
- Bien docteur …
- Elle me plaît bien cette cramouille …regarde tes lèvres s’ouvrir …elles deviennent blanches
- Vous n’allez jamais pouvoir me mettre tout ça !
- C’est seulement vingt quatre centimètres de bon saucisson, tu me sens ?
- Je suis tellement étirée que je ne sais plus
- Quand je serais au fond tu vas frétiller comme une anguille, je continue à pousser ?
- Hooooouuuuuiiiiiii ça devient booooooooooonnnnnnnnnnnnnnn
A l’écran je vois la queue ressortir presqu’entièrement et réinvestir mon ventre dans un coup de rein violent, si j’avais dût déchirer ce serait fait, mon manchon s’est bien moulé sur cette bite phénoménale, sa paire de couilles tape sur mon anus ajoutant un rein de plaisir, ça suffit à déclencher un orgasme d’une ampleur jusque là inconnue, avant de me laisser emporter dans ce tourbillon j’ai une pensée pour le bon conseille d’Amélie
C’est les carambolages rapprochés des pubis qui me ramènent a la réalité, sanglée comme un goret qu’ont va égorger je subis les assauts de mon baiseur qui cherche visiblement à jouir, il marmonne des onomatopées qui laissent à penser qu’il me prend pour une pute
- VINCENT ???? Arrive en vitesse !
- Oui monsieur ?
- Ha tu n’étais pas loin, je te soupçonne de nous épier
- Ho non ! que voulez vous ?
- Je vais décharger, tu me remplace aussitôt afin qu’elle voit si elle peut jouir avec une bite normale maintenant que j’ai bien ramonées ses muqueuses
- Entendu ! merci monsieur !
Le gynéco se colle à mon entrejambes comme s’il voulait faire entrer ses testicules, une éruption brulante jaillit de son nœud, des saccades rapprochées percutent mon utérus, je repars pour un énième orgasme, le surplus de foutre se fraie un passage vers l’extérieur dans un gargouillis obscène
- A toi Vincent, montre a cette dame comment tu te sers de ton jeune chibre
- Je vais mettre du papier sur cette flaque de sperme
- Très bonne initiative sinon
- Je ne sais pas ! je ne sais plus ou je suis !
- Vous êtes sur la table d’examen et je vais vous baiser
Les yeux à nouveau rivés sur l’écran je vois le stagiaire enfoncer sa queue sans commune mesure avec celle de son patron, comparable à celle de mon mari mais je suis tellement devenue réceptive que sa verge me fait un bien inouï ! Sans chercher à me limer à outrance il trouve mon point G en bougeant de bas en haut et s’y maintient avec régularité pour une jouissance ininterrompue… je puis donc jouir avec mon époux
Mon amant est tellement excité qu’il décharge très vite accentuant la mare de foutre sur le sol, toujours fiché en moi il défait délicatement les sangles qui commençaient à attaquer mes chairs tellement je ruais
- La prochaine fois nous ne vous sanglerons pas
- Pas besoin, je ne me sauverais pas, c’est trop bon !
- Je vais vous laver l’entre jambes avant que vous ne vous rhabilliez
- Avec votre langue ? !!!!
Je suis repartie en marchant bizarrement, ma chatte a été sensible durant trois jours, le quatrième mon mari a été stupéfait de me voir jouir sous lui
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