Le Harem 3 Fin
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Harem 3 Fin
Le Harem 3
Petit retour en arrière : une jeune étudiante quitte tout pour suivre un aventurier, Max en Afrique saharienne.
Son compagnon est tué, prisonnière de nomades, elle se retrouve dans un harem quelque part dans un pays du Golfe.
Une ancienne photographe suédoise de dix ans son aînée est chargé de son éducation.
Elle découvre le Harem et son fonctionnement et subit une visite médicale poussée entre les mains d'un médecin vicieux.
Comme la visite médicale a été éprouvante, elles ont besoin de détente.
Aussi Olga la conduit au hammam. C’ est dans une autre partie du palais,. Il est très vaste et possède plusieurs entrées. Il y a une pièce principale avec des douches froides pour se rafraichir et une autre pièce sombre avec des alcôves pour s'isoler. Ce lieux est propice aux jeux saphiques.
Cela est visiblement encouragé pour meubler la solitude, exacerber la libido et apaiser les tensions. Ces lieux sont aussi propices aux règlements de compte.
Il y a des tensions ethniques et religieuses. Deux filles ont été jugées à huis clos, la sentence va être appliquée ce soir.
Nous pénétrons dans les premières pièces du hammam où plusieurs femmes sont allongées ou adossées sur des banquettes carrelées , d'autres se rincent dans une petite piscine, certaines se font masser et d'autres teindre au henné ou épiler.
Il y a une douzaine de femmes au sexe glabre, plantureuse pour certaines, jeunes pour la plupart. On entend un pépiement feutré, mélange d'arabe, persan, tamoul ou hindi….
Nous allons dans une seconde pièce plus confidentielle où elle m’étale du savon noir, me masse et me lave, me rince et racle ma peau au gant de crin avant de m'appliquer une lotion parfumée à l'huile d' amande. Je lui fais la même chose, j'en profite pour m'attarder sur les articulations et les zones sensibles.
A proximité, ce sont rires et soupirs mais dans le brouillard et l'obscurité, nous ne voyons personne, aussi on en profite pour caresser nos zones érogènes et nous embrasser.
Nous sommes maintenant l'une sur l'autre et nous nous frottons corps à corps, seins contre seins, cuisses contre vulve. Nos mains ne sont pas inactives, ses doigts crochètent mon vagin et font des va et vient rapides et je jouis brutalement en l'embrassant.
Toujours allongée sur le dos, les jambes fléchies, elle s'offre à moi, je glisse ma main ouverte jusqu'à la paume et tourne dans son vagin, elle frotte son clitoris frénétiquement et jouit. Ma main ressort dégoulinante. Nous restons un long moment allongées, silencieuse.
Puis toutes devons rejoindre la pièce principale.
Deux filles sont attachées jambes et bras en croix face à face à quelques mètres de distance.
Le docteur est présent, debout, il fait signe aux deux gardes de commencer. Ils frappent chacun leur tour, d'abord avec le fouet. Nous ne savons pas le nombre de coups ni les instruments qu'ils vont utiliser. Nous sommes simplement que les témoins.
La lanière claque sur le dos et s'enroule au niveau des seins, laissant des marques rouges. Les bourreaux s'encouragent mutuellement à chaque coup cherchant à se dépasser. Nous entendons crier puis pleurer les suppliciėes. Le sang perle, leur dos est entièrement rouge, le médecin va d'un visage à l'autre, il est fasciné par l'expression de la douleur. Au vingtième coup, elles sont détachées et conduite à l'infirmerie.
Deux très jeunes asiatiques les accompagnent. Si certaines sont effrayées par le spectacle d'autres sont excitées.
Elles raconteront le lendemain que le médecin a commencé par les sodomiser à tour de rôle avant de jouir sur leur visage pendant que les suppliciées attachées dos à dos criaient, assises dans un bain antiseptique.
Ensuite, elles les ont bandées avec des cataplasmes dans du film transparent, seule la tête émergeait de la chrysalide puis elles ont été suspendues dans une chambre froide.
Ma relation avec Olga est devenue fusionnelle, nous aimions nager et entretenions notre forme à la salle sport. Nous faisions des parties de squash, du water polo, de la natation synchronisée…
Nous avons aussi beaucoup lu, perfectionné notre anglais, regardé la télévision et recevions même des journaux suédois, anglais et français.
Elle m'a raconté que le Prince voyage beaucoup et ne devrait pas tarder à me connaître . C'est un homme magnifique, cultivé et subtil mais aussi brutal et autoritaire. Il organise des orgies où sous l'emprise de l'alcool et de drogue, ses invités se livrent à toutes sortes d'excès dont les images compromettantes sont conservées en lieu sûr.
Les russes et les chinois sont les plus redoutés.
Ils aiment humilier et sont violents.
Elle me conseille de tout faire pour séduire le Prince et échapper à ces orgies débridées.
J'ai pu assisté par vidéo à quelques scènes. Les deux filles étaient face à face sur une tablette et devaient s'embrasser, les deux hommes les besognaient en levrette, ils avaient pris de la cocaïne et du viagra, autour, il y avait des miroirs qui démultipliaient la scène. Ils ne s'arrêtaient pas de violenter les filles en s'encourageant, on voyait qu'ils avaient déjà jouis sur leurs visages.
D’autrres ont pris la place, après quelques minutes, ils se sont retirés et les ont brutalement sodomisées puis elles se sont allongées et ils leur ont éjaculé dessus. Ensuite elles ont dû se lécher et montrer ce qu'elles avaient recueilli.
Sur une autre vidéo, on voit trois filles au sol et cinq asiatiques éjaculer puis leur uriner dessus.
La scène s'était déroulée dans pièce carrelée adaptée aux circonstances.
Cependant les filles qui participaient aux orgies étaient particulièrement soignées après.
Elles avaient été formées pour être des jouets sexuels, des courtisanes séductrices et perverses.
Elles doivent être élégantes, pratiquer le chant, la danse, les activités physiques, être maquillées et parfumées, ce sont de parfaites courtisanes rompues et entraînées à toutes les pratiques sexuelles même les plus dégradantes. Certaines ont été violentées des leur plus jeune âge, d'autres ont exercé le plus vieux métier du monde pour survivre.
Certaines sont ouvertement masochistes, d'autres se satisfont d'être des jouets sexuels entretenues et choyées plutôt que de vivre dans la misère.
Le Prince, lui a sû me séduire, nous avons dîné en tête à tête dans ses appartements devant les jardins éclairés.
Pour l'occasion, j'avais été particulièrement soignée, coiffée, manucurée, bien sûr, lavée et épilée, revêtue d'une robe magnifique sertie de bijoux, parfumée, j'étais une reine.
J'avais en tête les conseils d'Olga, mais je suis tombée immédiatement sous son charme.
Il m'a fait visiter ses appartements me montrant ses plus belles pièces, sa bibliothèque aux livres rares, puis nous avons conversé devant des apéritifs dans des fauteuils moelleux. Il voulait tout savoir de moi-même si avec le temps , je suis persuadé qu'il avait enquêté sur mes origines.
Il m'a parlé de son éducation en Angleterre , de ses activités sans mentionner le nom de sa famille, son pays et ses titres. Il m'a dit qu'il m'avait certes acheté mais il m'avait sauvé la vie comme celles de beaucoup de mes congénères.
Si je n'étais pas morte dans le désert de maladie ou de dénutrition, j'aurais été otage de rebelles et finir égorgée devant une caméra.
Je lui ai parlé d'Olga. Il m'a répondu qu'elle était ici, au secret car elle avait photographié des rencontres compromettantes pour les gouvernements occidentaux.
Nous avons parlé de tout dans un français impeccable, il m'a raconté des anecdotes amusantes concernant les grands de ce monde. Nous avons fait le tour de la planète et des évolutions récentes de l'actualité diplomatique .
Nous n'avons même pas fait l'amour car tombant de sommeil, il m'a couché toute habillée dans une chambre du Palais.
La fois suivante, il m'a fait venir avec Olga dans l'après midi. Sur un grand lit rond, il a voulu vérifier nos talents de lesbiennes. Il s'est assis à quelques mètres et nous avons commencé par nous embrasser longuement. Nous nous dévorions amoureusement, nos langues emmêlées, nos souffles profonds à l'unisson, nous restions collées l'une à l'autre.
Nos mains sont passées sous nos étoffes légères pour s'emparer du corps de l'autre. Nous nous sommes caressées, frottés l'une contre l'autre.
Nous nous sommes longuement caressées les seins, les mains remontant vers les pointes tout en continuant à s'embrasser puis nos mains ont caressé le ventre, les cuisses, la vulve avant que nos doigts pénètrent le vagin puis saisissent le clitoris.
Olga a quitté ma bouche, est descendue me téter les seins avant de prendre en bouche mon sexe.
A ce moment là, le Prince a sorti une mentule bien érigée et l'a approché de mes lèvres. Je m'en suis saisis, effectué quelques va et viens avant de l'avaler. Olga lapait consciencieusement mon sexe et me procurait beaucoup de plaisir tandis que je dévorais celui du Prince.
Au bout de plusieurs minutes, Il se retira, me prit la main pour me placer en levrette. Il s'introduisit dans mes chairs humides en attente d'être saillies. Il me besogna avec fougue, claquant son pubis contre ma vulve, puis me claquant la fesse. J'haletais sous les coups de boutoir, il me perforait et j'étais heureuse que l'on calme le feu en moi. Olga s'était glissée sous moi et titillait de la pointe de sa langue mon clitoris.
Je goutais enfin au coït viril et masculin. Proche de l'orgasme, il sortit de moi pour me tourner et me prit à nouveau, j'avais les jambes sur ses épaules et le bassin relevé quand je jouis brutalement il se retira et jouit à son tour sur mon ventre.
Olga vint à mes côtés caresser mon front en sueur, puis nettoyer mon amant avant de lécher mon ventre.
Plus tard, elle m'avoua son homosexualité exclusive, son côté garçon manqué qui l'avait amené à être photographe de mode puis de guerre.
Sa relation avec le Prince avait mal débuté. Il l'avait sodomisé brutalement et menacé d'un prochain gangbang si elle ne faisait pas au moins l'effort de le boire.
Finalement, elle avait passé un accord, celui d'être uniquement spermophile et de pratiquer en public tous les jeux saphiques avec toutes les filles qu'on lui désignerait.
Une autre fois, il est revenu accompagné de plusieurs dignitaires chinois. Après une après midi de travail, s'en est suivi un grand repas en ma compagnie. Une immense vitre donnait sur la piscine où évoluaient des nageuses nues, qui menées par Olga, produisaient des scènes saphiques sous l'eau.
Cela donnait une couleur irréelle à la pièce, puis nos dignitaires ont été l'objet de toutes les attentions, les verres toujours pleins, ils ont été déshabillés et mes coreligionnaires se sont déchaînées. A même le sol l'une chevauchait sa bouche et se faisait lécher le vagin tandis qu’une autre chevauchait son bassin en coïtant. Le plus souvent, elles pratiquaient une fellation en même temps qu'elles étaient prises vaginalement ou sodomisées.
Ce n'était que soupirs et gémissements de plaisir.
Mon prince échauffé par le spectacle m'a entraîné dans une chambre contiguë munie d'une glace sans tain pour me pénétrer sauvagement. L'orgie battait son plein sous nos yeux et Il m'a sodomisé après m'avoir préparé. J'ai aimé sa fougue, l'avoir au plus profond de moi, d'être sa chose, sa putain.
Il m'interrogeait souvent sur la vie du harem et me demandait mon avis. Bien sûr, la place que j'occupais créait des envies, des jalousies, mais aussi du respect et beaucoup d'attention à mon égard.
Une fois, je lui ai rapporté les attitudes inacceptables d'une « ancienne » qui a été convoquée immédiatement en catimini. Cela s'est passé à l'infirmerie. Bâillonnée, elle a reçu cinq coups de cravache puis j'ai dû m'harnacher d'un gode ceinture de bonne dimensions et la sodomiser à sec et on lui a enduit le vagin d'une substance urticante à base de piment. Elle a dû reprendre ses activités avec une ceinture de chasteté lui interdisant d’y toucher pendant plusieurs jours. De surveillante, elle est redevenu simple servante.
Associée de plus se plus à la vie du harem, j'en vins à organiser moi-même la mise en scène des rencontres et ses a côtés.
C'est ainsi que je fis aménagé une salle de spectacle, un casino avec bar, pool dance et scène de striptease. J'organisais de véritables tableaux vivants, spectacles érotiques.
J'étais devenu une tenancière de bordel des années vingt, où les filles défilaient devant les clients. J'ai fait aménagé aussi un Sexodrome à la mode allemande. J'organisais, je planifiais les rencontres, les soirées en suivant les recommandations de mon seigneur et maître.
A la fin du XXe siècle, la situation politique et internationale a évolué et le Prince a fermé le Harem et mit fin à mes activités.
Munie d'une nouvelle identité, je devins une paisible veuve arpentant les hôtels de luxe, friande de jeunes hommes. Olga aussi a refait sa vie en épousant un oligarque russe, ex client par ailleurs, dont elle connaît tous les besoins…..
Petit retour en arrière : une jeune étudiante quitte tout pour suivre un aventurier, Max en Afrique saharienne.
Son compagnon est tué, prisonnière de nomades, elle se retrouve dans un harem quelque part dans un pays du Golfe.
Une ancienne photographe suédoise de dix ans son aînée est chargé de son éducation.
Elle découvre le Harem et son fonctionnement et subit une visite médicale poussée entre les mains d'un médecin vicieux.
Comme la visite médicale a été éprouvante, elles ont besoin de détente.
Aussi Olga la conduit au hammam. C’ est dans une autre partie du palais,. Il est très vaste et possède plusieurs entrées. Il y a une pièce principale avec des douches froides pour se rafraichir et une autre pièce sombre avec des alcôves pour s'isoler. Ce lieux est propice aux jeux saphiques.
Cela est visiblement encouragé pour meubler la solitude, exacerber la libido et apaiser les tensions. Ces lieux sont aussi propices aux règlements de compte.
Il y a des tensions ethniques et religieuses. Deux filles ont été jugées à huis clos, la sentence va être appliquée ce soir.
Nous pénétrons dans les premières pièces du hammam où plusieurs femmes sont allongées ou adossées sur des banquettes carrelées , d'autres se rincent dans une petite piscine, certaines se font masser et d'autres teindre au henné ou épiler.
Il y a une douzaine de femmes au sexe glabre, plantureuse pour certaines, jeunes pour la plupart. On entend un pépiement feutré, mélange d'arabe, persan, tamoul ou hindi….
Nous allons dans une seconde pièce plus confidentielle où elle m’étale du savon noir, me masse et me lave, me rince et racle ma peau au gant de crin avant de m'appliquer une lotion parfumée à l'huile d' amande. Je lui fais la même chose, j'en profite pour m'attarder sur les articulations et les zones sensibles.
A proximité, ce sont rires et soupirs mais dans le brouillard et l'obscurité, nous ne voyons personne, aussi on en profite pour caresser nos zones érogènes et nous embrasser.
Nous sommes maintenant l'une sur l'autre et nous nous frottons corps à corps, seins contre seins, cuisses contre vulve. Nos mains ne sont pas inactives, ses doigts crochètent mon vagin et font des va et vient rapides et je jouis brutalement en l'embrassant.
Toujours allongée sur le dos, les jambes fléchies, elle s'offre à moi, je glisse ma main ouverte jusqu'à la paume et tourne dans son vagin, elle frotte son clitoris frénétiquement et jouit. Ma main ressort dégoulinante. Nous restons un long moment allongées, silencieuse.
Puis toutes devons rejoindre la pièce principale.
Deux filles sont attachées jambes et bras en croix face à face à quelques mètres de distance.
Le docteur est présent, debout, il fait signe aux deux gardes de commencer. Ils frappent chacun leur tour, d'abord avec le fouet. Nous ne savons pas le nombre de coups ni les instruments qu'ils vont utiliser. Nous sommes simplement que les témoins.
La lanière claque sur le dos et s'enroule au niveau des seins, laissant des marques rouges. Les bourreaux s'encouragent mutuellement à chaque coup cherchant à se dépasser. Nous entendons crier puis pleurer les suppliciėes. Le sang perle, leur dos est entièrement rouge, le médecin va d'un visage à l'autre, il est fasciné par l'expression de la douleur. Au vingtième coup, elles sont détachées et conduite à l'infirmerie.
Deux très jeunes asiatiques les accompagnent. Si certaines sont effrayées par le spectacle d'autres sont excitées.
Elles raconteront le lendemain que le médecin a commencé par les sodomiser à tour de rôle avant de jouir sur leur visage pendant que les suppliciées attachées dos à dos criaient, assises dans un bain antiseptique.
Ensuite, elles les ont bandées avec des cataplasmes dans du film transparent, seule la tête émergeait de la chrysalide puis elles ont été suspendues dans une chambre froide.
Ma relation avec Olga est devenue fusionnelle, nous aimions nager et entretenions notre forme à la salle sport. Nous faisions des parties de squash, du water polo, de la natation synchronisée…
Nous avons aussi beaucoup lu, perfectionné notre anglais, regardé la télévision et recevions même des journaux suédois, anglais et français.
Elle m'a raconté que le Prince voyage beaucoup et ne devrait pas tarder à me connaître . C'est un homme magnifique, cultivé et subtil mais aussi brutal et autoritaire. Il organise des orgies où sous l'emprise de l'alcool et de drogue, ses invités se livrent à toutes sortes d'excès dont les images compromettantes sont conservées en lieu sûr.
Les russes et les chinois sont les plus redoutés.
Ils aiment humilier et sont violents.
Elle me conseille de tout faire pour séduire le Prince et échapper à ces orgies débridées.
J'ai pu assisté par vidéo à quelques scènes. Les deux filles étaient face à face sur une tablette et devaient s'embrasser, les deux hommes les besognaient en levrette, ils avaient pris de la cocaïne et du viagra, autour, il y avait des miroirs qui démultipliaient la scène. Ils ne s'arrêtaient pas de violenter les filles en s'encourageant, on voyait qu'ils avaient déjà jouis sur leurs visages.
D’autrres ont pris la place, après quelques minutes, ils se sont retirés et les ont brutalement sodomisées puis elles se sont allongées et ils leur ont éjaculé dessus. Ensuite elles ont dû se lécher et montrer ce qu'elles avaient recueilli.
Sur une autre vidéo, on voit trois filles au sol et cinq asiatiques éjaculer puis leur uriner dessus.
La scène s'était déroulée dans pièce carrelée adaptée aux circonstances.
Cependant les filles qui participaient aux orgies étaient particulièrement soignées après.
Elles avaient été formées pour être des jouets sexuels, des courtisanes séductrices et perverses.
Elles doivent être élégantes, pratiquer le chant, la danse, les activités physiques, être maquillées et parfumées, ce sont de parfaites courtisanes rompues et entraînées à toutes les pratiques sexuelles même les plus dégradantes. Certaines ont été violentées des leur plus jeune âge, d'autres ont exercé le plus vieux métier du monde pour survivre.
Certaines sont ouvertement masochistes, d'autres se satisfont d'être des jouets sexuels entretenues et choyées plutôt que de vivre dans la misère.
Le Prince, lui a sû me séduire, nous avons dîné en tête à tête dans ses appartements devant les jardins éclairés.
Pour l'occasion, j'avais été particulièrement soignée, coiffée, manucurée, bien sûr, lavée et épilée, revêtue d'une robe magnifique sertie de bijoux, parfumée, j'étais une reine.
J'avais en tête les conseils d'Olga, mais je suis tombée immédiatement sous son charme.
Il m'a fait visiter ses appartements me montrant ses plus belles pièces, sa bibliothèque aux livres rares, puis nous avons conversé devant des apéritifs dans des fauteuils moelleux. Il voulait tout savoir de moi-même si avec le temps , je suis persuadé qu'il avait enquêté sur mes origines.
Il m'a parlé de son éducation en Angleterre , de ses activités sans mentionner le nom de sa famille, son pays et ses titres. Il m'a dit qu'il m'avait certes acheté mais il m'avait sauvé la vie comme celles de beaucoup de mes congénères.
Si je n'étais pas morte dans le désert de maladie ou de dénutrition, j'aurais été otage de rebelles et finir égorgée devant une caméra.
Je lui ai parlé d'Olga. Il m'a répondu qu'elle était ici, au secret car elle avait photographié des rencontres compromettantes pour les gouvernements occidentaux.
Nous avons parlé de tout dans un français impeccable, il m'a raconté des anecdotes amusantes concernant les grands de ce monde. Nous avons fait le tour de la planète et des évolutions récentes de l'actualité diplomatique .
Nous n'avons même pas fait l'amour car tombant de sommeil, il m'a couché toute habillée dans une chambre du Palais.
La fois suivante, il m'a fait venir avec Olga dans l'après midi. Sur un grand lit rond, il a voulu vérifier nos talents de lesbiennes. Il s'est assis à quelques mètres et nous avons commencé par nous embrasser longuement. Nous nous dévorions amoureusement, nos langues emmêlées, nos souffles profonds à l'unisson, nous restions collées l'une à l'autre.
Nos mains sont passées sous nos étoffes légères pour s'emparer du corps de l'autre. Nous nous sommes caressées, frottés l'une contre l'autre.
Nous nous sommes longuement caressées les seins, les mains remontant vers les pointes tout en continuant à s'embrasser puis nos mains ont caressé le ventre, les cuisses, la vulve avant que nos doigts pénètrent le vagin puis saisissent le clitoris.
Olga a quitté ma bouche, est descendue me téter les seins avant de prendre en bouche mon sexe.
A ce moment là, le Prince a sorti une mentule bien érigée et l'a approché de mes lèvres. Je m'en suis saisis, effectué quelques va et viens avant de l'avaler. Olga lapait consciencieusement mon sexe et me procurait beaucoup de plaisir tandis que je dévorais celui du Prince.
Au bout de plusieurs minutes, Il se retira, me prit la main pour me placer en levrette. Il s'introduisit dans mes chairs humides en attente d'être saillies. Il me besogna avec fougue, claquant son pubis contre ma vulve, puis me claquant la fesse. J'haletais sous les coups de boutoir, il me perforait et j'étais heureuse que l'on calme le feu en moi. Olga s'était glissée sous moi et titillait de la pointe de sa langue mon clitoris.
Je goutais enfin au coït viril et masculin. Proche de l'orgasme, il sortit de moi pour me tourner et me prit à nouveau, j'avais les jambes sur ses épaules et le bassin relevé quand je jouis brutalement il se retira et jouit à son tour sur mon ventre.
Olga vint à mes côtés caresser mon front en sueur, puis nettoyer mon amant avant de lécher mon ventre.
Plus tard, elle m'avoua son homosexualité exclusive, son côté garçon manqué qui l'avait amené à être photographe de mode puis de guerre.
Sa relation avec le Prince avait mal débuté. Il l'avait sodomisé brutalement et menacé d'un prochain gangbang si elle ne faisait pas au moins l'effort de le boire.
Finalement, elle avait passé un accord, celui d'être uniquement spermophile et de pratiquer en public tous les jeux saphiques avec toutes les filles qu'on lui désignerait.
Une autre fois, il est revenu accompagné de plusieurs dignitaires chinois. Après une après midi de travail, s'en est suivi un grand repas en ma compagnie. Une immense vitre donnait sur la piscine où évoluaient des nageuses nues, qui menées par Olga, produisaient des scènes saphiques sous l'eau.
Cela donnait une couleur irréelle à la pièce, puis nos dignitaires ont été l'objet de toutes les attentions, les verres toujours pleins, ils ont été déshabillés et mes coreligionnaires se sont déchaînées. A même le sol l'une chevauchait sa bouche et se faisait lécher le vagin tandis qu’une autre chevauchait son bassin en coïtant. Le plus souvent, elles pratiquaient une fellation en même temps qu'elles étaient prises vaginalement ou sodomisées.
Ce n'était que soupirs et gémissements de plaisir.
Mon prince échauffé par le spectacle m'a entraîné dans une chambre contiguë munie d'une glace sans tain pour me pénétrer sauvagement. L'orgie battait son plein sous nos yeux et Il m'a sodomisé après m'avoir préparé. J'ai aimé sa fougue, l'avoir au plus profond de moi, d'être sa chose, sa putain.
Il m'interrogeait souvent sur la vie du harem et me demandait mon avis. Bien sûr, la place que j'occupais créait des envies, des jalousies, mais aussi du respect et beaucoup d'attention à mon égard.
Une fois, je lui ai rapporté les attitudes inacceptables d'une « ancienne » qui a été convoquée immédiatement en catimini. Cela s'est passé à l'infirmerie. Bâillonnée, elle a reçu cinq coups de cravache puis j'ai dû m'harnacher d'un gode ceinture de bonne dimensions et la sodomiser à sec et on lui a enduit le vagin d'une substance urticante à base de piment. Elle a dû reprendre ses activités avec une ceinture de chasteté lui interdisant d’y toucher pendant plusieurs jours. De surveillante, elle est redevenu simple servante.
Associée de plus se plus à la vie du harem, j'en vins à organiser moi-même la mise en scène des rencontres et ses a côtés.
C'est ainsi que je fis aménagé une salle de spectacle, un casino avec bar, pool dance et scène de striptease. J'organisais de véritables tableaux vivants, spectacles érotiques.
J'étais devenu une tenancière de bordel des années vingt, où les filles défilaient devant les clients. J'ai fait aménagé aussi un Sexodrome à la mode allemande. J'organisais, je planifiais les rencontres, les soirées en suivant les recommandations de mon seigneur et maître.
A la fin du XXe siècle, la situation politique et internationale a évolué et le Prince a fermé le Harem et mit fin à mes activités.
Munie d'une nouvelle identité, je devins une paisible veuve arpentant les hôtels de luxe, friande de jeunes hommes. Olga aussi a refait sa vie en épousant un oligarque russe, ex client par ailleurs, dont elle connaît tous les besoins…..
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'ai beaucoup aimé et je vais lire les autres histoires
vous avez raison juste des scènes pornographiques alignées les une aux autres n'apporte pas grand choses
Merci pour le mot mentule que je ne connaissais pas
vous avez raison juste des scènes pornographiques alignées les une aux autres n'apporte pas grand choses
Merci pour le mot mentule que je ne connaissais pas
Série très bien écrite. Très excitant! Je vais lire vos autres histoires
Série très bien écrite. Très excitant! Je vais lire vos autres histoires