Le harem
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Le harem
Le Harem 1
Sportive en cette fin d'été, avant la rentrée universitaire, je m'étais promise d'effectuer une randonnée de plusieurs jours dans les Cévennes.
Fin septembre, les jours raccourcissent et je m'étais légèrement écartée de mon itinéraire prévue.
J'arrive sur un plateau avec une ferme en travaux et là , en contre-jour m'apparaît un dieux grec, qui prenait sa douche en plein air.
Il me vit et se tourna vers moi en me souhaitant la bienvenue.
Il sortit de sa baignoire de récupération, se sècha et me proposa un bain. Je m'étais sommairement lavée dans la rivière le matin mais après cinq heures de marche éprouvante, je n'attendais que cela.
Je hochais la tête, il prit des bidons noirs sur un muret et remplit consciencieusement la baignoire. Profitant qu'il avait le dos tourné, je me déshabille promptement, m'approche pour constater que l'eau était à point et très claire. J'enjambe et me plonge voluptueusement.
Lorsque je relève la tête, il est face à moi, il prend un savon de Marseille et un gant. Il commence par me savonner le dos, les épaules, le cou et s'empare de mes seins. Ses gestes sont doux, il est rassurant, prévenant, il me relève, lave mes fesses et mes jambes, me retourne pour s'occuper de mes pieds.
Sous sa serviette, je vois un mat s'ériger, il caresse alors mon ventre.
Je prends le gant, plonge dans l'eau et quand je ressors, il me tend un drap pour m'enrouler.
Subitement, instinctivement, je prends sa serviette, m'essuie la tête et l'embrasse fougueusement.
Je saisis son sexe qui est légèrement retombé, il est large et droit, je m'agenouille et le prends délicatement en bouche. Il met ses mains sur ma tête et imprime un mouvement lent. De ma langue, je titille son urètre, écrase, son gland contre mon palais, je tiens ses testicules dans ma main que je fais rouler puis j'imprime à nouveau un rythme soutenu sur sa verge, butant sur son pubis. Je sens qu'il va jouir, je dégouline aussi, il s'arrache, me prend dans ses bras et me transporte sur un lit à même le sol.
Il me couche et sa bouche s'empare de ma vulve. Il m'aspire, me boit, sa langue me pénètre puis s'attaque à mon clitoris. Il lape très fort, suce, aspire, je vais jouir, je reprends sa queue en bouche et lui redonne de la vigueur. Il se tourne, soulève légèrement le bassin et me pénètre d'un coup, profondément. Une dizaine de va et viens qui butent sur mon utérus et il se répand en moi. Je sens qu'il m'inonde. Je n'ai pas joui mais je ressens une grande satisfaction. Je sens nos fluides couler le long de mes cuisses.
Je mets une robe chasuble légère. C'est ainsi qu’il m'invite à partager son repas. Puis nous nous endormons tendrement enlacés après un petit joint, à la lueur des bougies parfumées.
Le lendemain matin, il est en pleine forme et me fait l'amour divinement, nous jouissons de concert, je suis repue.
Finalement, je resterai quinze jours avec lui. Il retape une ferme familiale au milieu des châtaigners mais surtout il prépare son Land Rover pour une traversée du Sahara.
Il travaille aussi comme maçon et répare les machines agricoles.
Je remonte à Paris pour mettre mes affaires en ordre, j'interromps mes études de psychologie et rends les clés de mon studio.
Un mois plus tard je suis dans les Cévennes et nous finissons de ramasser les châtaignes, la forêt est magnifique, un océan de jaunes parsemé ça et là de tâches vertes des résineux. En bas c'est les vignes et les oliviers. Nous avons droit à un été indien.
Nous faisons l'amour tous les jours et même matin et soir. Max pour Maxime est infatigable, son sexe même pendant son sommeil est dure et droit. Dès mon réveil, je le caresse, le prends en bouche avec délectation. Il m’interrompt à son tour, m'embrasse, me caresse, prends mes seins dans ses mains, les triture, agace les pointes, les suce, je me frotte à lui et je craque. Assis en tailleur sur le lit, face à lui je m'empale, imprimant le rythme puis il me bascule en arrière et vient sur moi. Il prend les commandes avec des mouvements lents et profonds puis rapides en variant l'angle du bassin. Mon plaisir monte, j'halète, je geins, ma vue s'embrouille et j'explose avant lui qui se retire et jouit sur mon ventre. J'aime cette pratique j'aime voir sa semence gicler, éclabousser mes seins et parfois mon menton.
Il m'arrive d’en prendre un peu et le porter à mes lèvres. J'aime sa texture, sa consistance, son goût salé et un peu âcre. Bref, je l'aime avec son look de viking et d'homme des bois.
Il a lu pas mal, a fait khâgne et philo puis Mai 68 est arrivé. Il a tout lâché pour faire le tour du monde et je suis prêt à tout pour le garder.
Fin octobre, tout est terminé et nous prenons la route. D'abord l'Espagne. Franco est mort et c'est la Movida. Partout c'est la fête, nous longeons la côte méditerranéenne malheureusement déjà un peu bétonnée mais au sud de Valence, nous restons plusieurs jours dans un paysage de rêve. Nous nous baignons dans une eau limpide et et chaude. Le soir, nous faisons des feux de camp pour les grillades et dansons au chant des guitares. La sangria coule à flot. Sea sex sun est notre mantra. Nous sommes une vingtaine de routards de tous les horizons.
Mon viking a beaucoup de succès, il est non seulement charmant et beau, il a aussi beaucoup de compétences en mécanique.
Nous dormons à la belle étoile sur des couvertures de l'armée pendant que le feu rougeoit.
Nous copulions tendrement tandis que je sentis une main étrangère caresser mon dos, c'était Maria, une petite brunette pétillante de Murcie qui venait chercher un peu de reconfort après sa séparation. Elle était sous la coupe de Miguel, un mauvais garçon qui trempait dans des affaires louches. Il la rudoyait et en avait fait sa domestique.
Me séparant de Max, je la pris dans mes bras et je l'embrassais tendrement sur la joue. Elle me sourit, me sert contre elle et me murmure à l'oreille des mots doux. ‘Te quiero"….
L'émotion, la sympathie que j'avais pour elle, le climat, notre insouciance, l'époque, les circonstances, l’alcool…. Je fis ce que je n'avais jamais fait sous l'œil amusé et complice de Max, je m'emparais de ses lèvres.
Elle répondit à mon baiser et s'abandonnait. Max vint lui pétrir les seins, je lui enlevais sa robe et me jetais sur sa vulve. Hargneusement, je cherchais son clitoris. Je pétrissais ses fesses, inserrais mes doigts dans sa vulve que j'agitais frénétiquement. Max debout, lui présenta sa verge qu'elle engloutit aussitôt. Il lui baisait la tête puis il prit ma place et la pénétra directement à fond. J'entendais le clapotement de son sexe et vit la montée de son plaisir. Nous nous endormimes ensemble sous les étoiles.
Au petit matin, Marie se leva à son habitude, comme si nous avions toujours été ensembles. Je pris Max par la main pour une franche explication sur la plage. Il me dit que la situation que j'avais initiée , l'avait rendu fou et que Marie ne l'intéressait pas vraiment.
La pauvre Marie pleura tout son soul, elle voulait partir avec nous et elle dit qu'elle m'aimait depuis le premier jour.
Nous reprimes la route. Traversée à Algeciras, découverte de Tanger, Meknes, Fez, Marrakech, Agadir, nous arrivons au Sahara espagnol récemment annexé par le Maroc. Nous sommes bloqués plusieurs jours puis sous escorte militaire conduit à quelques kilomètres de la frontière mauritanienne.
Les gardes mauritaniens refusent notre entrée, la région n'est pas sûre et notre escorte a disparu. Des nomades nous indique un village, nous rebroussons chemin et établissons notre campement pour la nuit.
Nous veillons à tour de rôle. Nous ne sommes pas armé.
Au petit matin c'est l'attaque, mon compagnon est égorgé sous mes yeux. Malgré mes hurlements une ombre se jette sur moi, sa main écrase ma gorge, il relève son vêtement et le mien et je suis transpercée, mon ventre est en feu, un deuxième homme prend sa place, je me débats puis c'est le noir complet.
Quand je réveille, je suis allongée dans une cabane sombre, une vieille femme édentée et muette me donne un peu d'eau, me tamponne le front, elle a mis un cataplasme sur mon sexe. Plus tard j'apprendrai qu'il est à base d'urine et excréments de dromadaire.
Je suis courbaturée de partout, couverte d'ecchymoses. Je suis restée plusieurs jours à reprendre vie, nourrie de lait de chamelle et de mil, de dattes et de miel.
Puis, une caravane m'a emmené à pied dans le désert. Ce sont des nomades avec des troupeaux de moutons et de chèvres à la recherche de pâturages après la saison des pluies.
Plus de Land Rover, plus de papiers ni d'effets personnels et bien sûr plus de compagnon.
J'étais habillé comme un homme du désert, maintenue à l'écart mais bien traitée. On me nourrissait et j'avais une outre d'eau. Les enfants me tenaient compagnie mais j'étais devenue mutique. J'étais moralement morte, une coquille vide, l'ombre de moi-même. Nous allions vers l'est à la limite de l'Algérie et du Niger sur des centaines de kilomètres.
Un soir, nous sommes arrivés dans une oasis, après avoir bu mon thé à la menthe une douce torpeur m'envahit et je m'endors comme une masse.
Sportive en cette fin d'été, avant la rentrée universitaire, je m'étais promise d'effectuer une randonnée de plusieurs jours dans les Cévennes.
Fin septembre, les jours raccourcissent et je m'étais légèrement écartée de mon itinéraire prévue.
J'arrive sur un plateau avec une ferme en travaux et là , en contre-jour m'apparaît un dieux grec, qui prenait sa douche en plein air.
Il me vit et se tourna vers moi en me souhaitant la bienvenue.
Il sortit de sa baignoire de récupération, se sècha et me proposa un bain. Je m'étais sommairement lavée dans la rivière le matin mais après cinq heures de marche éprouvante, je n'attendais que cela.
Je hochais la tête, il prit des bidons noirs sur un muret et remplit consciencieusement la baignoire. Profitant qu'il avait le dos tourné, je me déshabille promptement, m'approche pour constater que l'eau était à point et très claire. J'enjambe et me plonge voluptueusement.
Lorsque je relève la tête, il est face à moi, il prend un savon de Marseille et un gant. Il commence par me savonner le dos, les épaules, le cou et s'empare de mes seins. Ses gestes sont doux, il est rassurant, prévenant, il me relève, lave mes fesses et mes jambes, me retourne pour s'occuper de mes pieds.
Sous sa serviette, je vois un mat s'ériger, il caresse alors mon ventre.
Je prends le gant, plonge dans l'eau et quand je ressors, il me tend un drap pour m'enrouler.
Subitement, instinctivement, je prends sa serviette, m'essuie la tête et l'embrasse fougueusement.
Je saisis son sexe qui est légèrement retombé, il est large et droit, je m'agenouille et le prends délicatement en bouche. Il met ses mains sur ma tête et imprime un mouvement lent. De ma langue, je titille son urètre, écrase, son gland contre mon palais, je tiens ses testicules dans ma main que je fais rouler puis j'imprime à nouveau un rythme soutenu sur sa verge, butant sur son pubis. Je sens qu'il va jouir, je dégouline aussi, il s'arrache, me prend dans ses bras et me transporte sur un lit à même le sol.
Il me couche et sa bouche s'empare de ma vulve. Il m'aspire, me boit, sa langue me pénètre puis s'attaque à mon clitoris. Il lape très fort, suce, aspire, je vais jouir, je reprends sa queue en bouche et lui redonne de la vigueur. Il se tourne, soulève légèrement le bassin et me pénètre d'un coup, profondément. Une dizaine de va et viens qui butent sur mon utérus et il se répand en moi. Je sens qu'il m'inonde. Je n'ai pas joui mais je ressens une grande satisfaction. Je sens nos fluides couler le long de mes cuisses.
Je mets une robe chasuble légère. C'est ainsi qu’il m'invite à partager son repas. Puis nous nous endormons tendrement enlacés après un petit joint, à la lueur des bougies parfumées.
Le lendemain matin, il est en pleine forme et me fait l'amour divinement, nous jouissons de concert, je suis repue.
Finalement, je resterai quinze jours avec lui. Il retape une ferme familiale au milieu des châtaigners mais surtout il prépare son Land Rover pour une traversée du Sahara.
Il travaille aussi comme maçon et répare les machines agricoles.
Je remonte à Paris pour mettre mes affaires en ordre, j'interromps mes études de psychologie et rends les clés de mon studio.
Un mois plus tard je suis dans les Cévennes et nous finissons de ramasser les châtaignes, la forêt est magnifique, un océan de jaunes parsemé ça et là de tâches vertes des résineux. En bas c'est les vignes et les oliviers. Nous avons droit à un été indien.
Nous faisons l'amour tous les jours et même matin et soir. Max pour Maxime est infatigable, son sexe même pendant son sommeil est dure et droit. Dès mon réveil, je le caresse, le prends en bouche avec délectation. Il m’interrompt à son tour, m'embrasse, me caresse, prends mes seins dans ses mains, les triture, agace les pointes, les suce, je me frotte à lui et je craque. Assis en tailleur sur le lit, face à lui je m'empale, imprimant le rythme puis il me bascule en arrière et vient sur moi. Il prend les commandes avec des mouvements lents et profonds puis rapides en variant l'angle du bassin. Mon plaisir monte, j'halète, je geins, ma vue s'embrouille et j'explose avant lui qui se retire et jouit sur mon ventre. J'aime cette pratique j'aime voir sa semence gicler, éclabousser mes seins et parfois mon menton.
Il m'arrive d’en prendre un peu et le porter à mes lèvres. J'aime sa texture, sa consistance, son goût salé et un peu âcre. Bref, je l'aime avec son look de viking et d'homme des bois.
Il a lu pas mal, a fait khâgne et philo puis Mai 68 est arrivé. Il a tout lâché pour faire le tour du monde et je suis prêt à tout pour le garder.
Fin octobre, tout est terminé et nous prenons la route. D'abord l'Espagne. Franco est mort et c'est la Movida. Partout c'est la fête, nous longeons la côte méditerranéenne malheureusement déjà un peu bétonnée mais au sud de Valence, nous restons plusieurs jours dans un paysage de rêve. Nous nous baignons dans une eau limpide et et chaude. Le soir, nous faisons des feux de camp pour les grillades et dansons au chant des guitares. La sangria coule à flot. Sea sex sun est notre mantra. Nous sommes une vingtaine de routards de tous les horizons.
Mon viking a beaucoup de succès, il est non seulement charmant et beau, il a aussi beaucoup de compétences en mécanique.
Nous dormons à la belle étoile sur des couvertures de l'armée pendant que le feu rougeoit.
Nous copulions tendrement tandis que je sentis une main étrangère caresser mon dos, c'était Maria, une petite brunette pétillante de Murcie qui venait chercher un peu de reconfort après sa séparation. Elle était sous la coupe de Miguel, un mauvais garçon qui trempait dans des affaires louches. Il la rudoyait et en avait fait sa domestique.
Me séparant de Max, je la pris dans mes bras et je l'embrassais tendrement sur la joue. Elle me sourit, me sert contre elle et me murmure à l'oreille des mots doux. ‘Te quiero"….
L'émotion, la sympathie que j'avais pour elle, le climat, notre insouciance, l'époque, les circonstances, l’alcool…. Je fis ce que je n'avais jamais fait sous l'œil amusé et complice de Max, je m'emparais de ses lèvres.
Elle répondit à mon baiser et s'abandonnait. Max vint lui pétrir les seins, je lui enlevais sa robe et me jetais sur sa vulve. Hargneusement, je cherchais son clitoris. Je pétrissais ses fesses, inserrais mes doigts dans sa vulve que j'agitais frénétiquement. Max debout, lui présenta sa verge qu'elle engloutit aussitôt. Il lui baisait la tête puis il prit ma place et la pénétra directement à fond. J'entendais le clapotement de son sexe et vit la montée de son plaisir. Nous nous endormimes ensemble sous les étoiles.
Au petit matin, Marie se leva à son habitude, comme si nous avions toujours été ensembles. Je pris Max par la main pour une franche explication sur la plage. Il me dit que la situation que j'avais initiée , l'avait rendu fou et que Marie ne l'intéressait pas vraiment.
La pauvre Marie pleura tout son soul, elle voulait partir avec nous et elle dit qu'elle m'aimait depuis le premier jour.
Nous reprimes la route. Traversée à Algeciras, découverte de Tanger, Meknes, Fez, Marrakech, Agadir, nous arrivons au Sahara espagnol récemment annexé par le Maroc. Nous sommes bloqués plusieurs jours puis sous escorte militaire conduit à quelques kilomètres de la frontière mauritanienne.
Les gardes mauritaniens refusent notre entrée, la région n'est pas sûre et notre escorte a disparu. Des nomades nous indique un village, nous rebroussons chemin et établissons notre campement pour la nuit.
Nous veillons à tour de rôle. Nous ne sommes pas armé.
Au petit matin c'est l'attaque, mon compagnon est égorgé sous mes yeux. Malgré mes hurlements une ombre se jette sur moi, sa main écrase ma gorge, il relève son vêtement et le mien et je suis transpercée, mon ventre est en feu, un deuxième homme prend sa place, je me débats puis c'est le noir complet.
Quand je réveille, je suis allongée dans une cabane sombre, une vieille femme édentée et muette me donne un peu d'eau, me tamponne le front, elle a mis un cataplasme sur mon sexe. Plus tard j'apprendrai qu'il est à base d'urine et excréments de dromadaire.
Je suis courbaturée de partout, couverte d'ecchymoses. Je suis restée plusieurs jours à reprendre vie, nourrie de lait de chamelle et de mil, de dattes et de miel.
Puis, une caravane m'a emmené à pied dans le désert. Ce sont des nomades avec des troupeaux de moutons et de chèvres à la recherche de pâturages après la saison des pluies.
Plus de Land Rover, plus de papiers ni d'effets personnels et bien sûr plus de compagnon.
J'étais habillé comme un homme du désert, maintenue à l'écart mais bien traitée. On me nourrissait et j'avais une outre d'eau. Les enfants me tenaient compagnie mais j'étais devenue mutique. J'étais moralement morte, une coquille vide, l'ombre de moi-même. Nous allions vers l'est à la limite de l'Algérie et du Niger sur des centaines de kilomètres.
Un soir, nous sommes arrivés dans une oasis, après avoir bu mon thé à la menthe une douce torpeur m'envahit et je m'endors comme une masse.
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