Le Jeu (cinquième partie) - histoire érotique

Si la lecture du début de cette partie de strip poker n'est pas indispensable, elle est chaudement recommandée. Vous la trouverez ici :http://www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=21930

Espérant l'emporter au tour suivant avec les deux paires que j'ai récoltées dans les cartes que je viens de découvrir et considérant que je ne veux pas perdre trop vite , sachant que je ne porte plus que ma chemise ouverte et mon boxer, je propose un gage : un massage sensuel et érotique suivi d'un cunnilingus.

Marc propose lui aussi un gage, à croire qu'il a du jeu et qu'il revient dans la partie : il annonce qu'il est prêt à tester le nouveau jouet que Sophie a acheté. Je garde pour moi mon interrogation sur ce jouet et me tourne vers Sophie, qui se trémousse dans son fauteuil :
S : alors messieurs, vous êtes prêts à tout ça ?
Marc et Moi : Ben oui !
Sophie : Alors à vous de jouer, annonce-t-elle tout sourire en posant sur la table son carré de 8
Marc est dégouté en lançant son brelan de roi sur la table :M : je n'y crois pas !
S : Hé si… mais je vais te laisser te faire à l'idée, c'est Phil qui va commencer.

Et se tournant vers moi
S : A mon tour de jouir… viens on va se mettre dans la chambre.

Je la suis et elle sort une huile dédiée aux massages de sa table de chevet et me la tend, puis s'allonge sur le ventre sur le lit conjugal, toujours vêtue de ses bas et sa guêpière. Marc nous a emboité le pas et s’installe sur la chaise dans le coin de la chambre.

Après avoir enlevé mon boxer, je m’assiois sur les jolies cuisses et défais une à une les agrafes de la guêpière dont j'écarte le tissu. Je fais ensuite glisser les bretelles sur ses bras pour dévoiler sa peau nue. Faisant couler de l’huile dans son dos, je l’étale et commence à masser délicatement les épaules, le cou et la nuque où je m’attarde avec les pouces, caressant plus que je ne masse. Sophie se détend tandis que mon sexe durci et frotte contre ses fesses dénudées.

Mes mains glissent sur cette belle peau douce longuement et lentement, descendant des épaules jusqu’aux reins, remontant en appuyant délicatement mes pouces les long de sa colonne vertébrale, tandis que mes autres doigts effleurent ses côtés, des hanches jusqu’aux côtes puis aux épaules. Je répète ce mouvement plusieurs fois, lentement, alternant la pression, redescendant en effleurant ses omoplates du bout des doigts, remontant de façon plus appuyée.

En redescendant, cette fois je ne m’arrête pas au bassin. Je glisse mes fesses plus bas sur ses jambes et mes mains continuent jusqu’à son beau cul, mes pouces dans sa raie, je comprime les rondeurs dans mes mains, joue avec, les caresse délicatement, les écartes, ouvrant son anus et son sexe dont je note qu'il coule sur le lit, offrant à ma vue cette chatte que j’aimerais emplir et ce petit trou que j’aimerais forcer.

Mon sexe tendu frotte entre ses jambes serrées tandis que mes bourses sont collées sur la peau de ses mollets. J’en profite pour me caresser un peu sur elle, ma peau nouvellement imberbe rendant ces sensations très agréables.

Je continue à jouer avec ses fesses mais mes doigts se rapprochent de cette fente humide et je ne peux m’empêcher de caresser chacune de ses grandes lèvres, de l’anus, au clitoris, en de lents allers et retours. Je lisse les petites lèvres en les écartant, profitant de sa lubrification pour cela. Elle se cambre et tend ses fesses vers moi mais je ne veux pas aller trop vite.
Je descends donc sur ses cuisses, faisant glisser ses bas jusqu’aux genoux après les avoir dégrafés, puis lui enlevant lentement en les roulant.

Je prends un pied, ensuite l’autre, et les masse et tandis que je commence à remonter, elle se tourne face à moi. Je veux m’assoir à nouveau sur ses jambes, mais elle les écarte, m’obligeant à m’agenouiller entre, tandis qu'elle retire complètement sa guêpière.

Je remets un peu d’huile au creux de mes mains et prend ses deux chevilles, les mains plaquées sur sa peau et remonte lentement, d’abord ses jambes, ses genoux puis ses cuisses où je m’attarde, faisant rouler un peu sa peau et ses muscles, remontant assez haut, puis redescendant. Elle apprécie et écarte un peu plus ses jambes en les relevant. Son sexe est complètement ouvert, le mien à 50 centimètres, tendu et prêt à la pénétrer mais je me retiens. Nos regards se croisent et je lis l'excitation dans ses yeux brillants alors qu'elle se mord la lèvre. Je souris, tout aussi excité qu'elle l'est.

Mes mains remontent pour caresser l'intérieur de ses cuisses, là où sa mouille a coulée plus tôt. J'effleure l’aine, le pli entre ses lèvres et ses cuisses. Mes pouces descendent jusqu’à l’anus et y caresse doucement les replis, l’écartant un peu.

Elle ouvre encore ses jambes, remontant les genoux et ouvrant plus encore son sexe qui coule abonnement, lubrifiant son petit trou et faisant une nouvelle auréole sur le drap sous elle.

Je lisse maintenant ses petites lèvres, lentement, très lentement, les planquant contre les grandes pour ouvrir plus encore sa chatte trempée et je dirige mes doigts jusqu’au clitoris que je découvre, tournant autour, pour mieux ensuite le chatouiller d'un pouce, puis de l’autre. Son bassin ondule à ces 2 caresses mais je ne m’y attarde pas et continue à remonter sur son pubis, écarte mes caresses vers ses aines, et remonte au nombril, abandonnant son sexe qu'elle pousse vers moi. Sa grotte m'appelle mais je tiens bon.

Je joue rapidement avec son ventre, puis l'enjambant pour m'assoir sur son coté, remonte à ses seins.

En me décalant, je remarque Marc assis dans son coin, qui profite de la vue tout en massant nonchalamment son sexe en érection qu'il a de nouveau sorti de son jeans.

Je remets un peu d’huile sur sa poitrine, et y décrit des larges cercles du bout des doigts, dessinant ses rondeurs, puis prend chacun au creux de mes mains, les pelotant doucement avant de les relâcher pour frotter les mamelons durcis avec ma paume.

Je redessine ensuite ses aréoles du bout de mes index, puis tire sur le mamelon délicatement.

Sophie respire intensément, je vois son buste se soulever à chacune de ses profondes inspirations, et je cadence mes pincements sur ce rythme, l’abandonnant à chaque expiration rapide et tirant doucement alors qu’elle remplit ses poumons d’air.

Je sens soudain sa main qui me cherche, se pose sur mon genoux et remonte jusqu’à mon sexe auquel elle s’agrippe, et je suppose qu’elle voulait vérifier l’intensité de mon excitation compte tenu de ses yeux fermés, mais elle ne me lâche pas et m’enserre, atténuant sa pression puis la renforçant au même tempo que le mien.

Je délaisse un temps sa poitrine, pour venir caresser son buste, son cou et ses épaules, puis mes mains redescendent, caressant ses deux flancs pour marquer un temps d’arrêt sur ses hanches.

Ma main droite part en direction de son pubis où elle se plaque, puis descends lentement couvrir son sexe. Je fais quelques lents mouvements, la main appuyant fermement sur sa fente, puis remonte en n’effleurant les grandes lèvres qu’avec deux doigts.

Je répète ce mouvement une autre fois, puis une autre et à la suivante, mes deux doigts glissants de sa mouille abondante se regroupent et je les enfonce en elle en frottant son clitoris sur toute leur longueur tandis que je tire sur son téton.

Elle gémit et se cambre, serrant plus fort mon sexe ce qui fait coulisser la peau et découvre mon gland, me procurant une onde de plaisir.

Mes doigts redescendent maintenant, caressant toujours son bouton, mais la courbure que je leur donne leur permet d’entrer dans cette grotte chaude et ouverte qui ne demandait que ça. Je m’enfonce lentement, frottant sa paroi antérieure, et jusqu’au fond, effleurant son utérus pour mieux me retirer.

Mes deux doits au fond d'elle, je pose mes lèvres sur son sein et commence à le lécher et le téter.

Je répète ce mouvement de sortie lente et complète, frôlant toujours son point sensible, pour mieux replonger à l’intérieur, plus rapidement. A chaque pénétration, j'aspire son téton et Sophie jette son bassin de plus en plus intensément sur mes doigts pour intensifier mes caresses. J’accélère tandis que ses gémissements se transforment en cris et que son sexe et son ventre vibrent sous mes caresses.

Après l'avoir fait jouir, je ralentis pendant que ma bouche glisse sur son ventre, son nombril, son pubis. Je sens son odeur de femme et cela m'enivre. Du bout de la langue, je dessine de petits cercles sur son pubis, descendant un peu plus à chaque fois pour enfin atteindre son clitoris.

A peine effleuré, elle se cambre, soulevant son bassin au-dessus du lit, en appui sur ses pieds.

Je la délaisse quelques secondes pour m'installer entre ses cuisses, passant mes bras sous ses jambes et commence à embrasser son sexe à pleine bouche, fouillant au plus loin pour récoler son liquide abondant et excitant.

Ma langue remonte en léchant son clitoris et je décris de nombreux allers et retours de bas en haut, la plaquant sur ce bourgeon qui darde.

J'empoigne ses deux seins et joue avec ces deux globes pendant que je prends son clitoris entre mes lèvres et, tout en l'aspirant, fait virevolter ma langue dessus, tandis qu'elle se cambre à nouveau en gémissant de plus en plus fort et de plus en plus vite.

Elle jouit de nouveau, en criant que c’est bon et je sens ses cuisses se resserrer sur ma tête pendant que de sa main elle me pousse contre son sexe pour s'assurer que je continue pendant que son corps est parcouru de spasmes.

Après un orgasme intense, elle se relâche et je peux continuer un peu mes caresses, plus lentement cette fois : Empoignant ses cuisses, je les relève, dégageant son petit trou vers lequel je dirige ma langue.

Je la lèche dans cet endroit interdit et elle semble apprécier. Après un long moment, je remonte une main et continue à dilater cet orifice du doigt en pressant doucement. Son étoile s'ouvre et mon index, lubrifié de sa mouille et de ma salive, glisse lentement au fond de son cul.

Je fais quelques va et viens puis glisse mon pouce dans sa fente.

Je branle maintenant les deux trous de Sophie, d'abord lentement puis accélérant. Elle recommence à gémir. Pendant que mes doigts s'activent, je viens téter son sein. Ces caresses la font cette fois-ci crier sans retenue pendant qu'elle jouit.

Son plaisir retombé et mes doigts retirés, rouvrant les yeux, Sophie me remercie et se redresse. Elle contemple son homme qui continue à se caresser négligemment. son regard reviens vers moi, d’abord sur mon membre, puis remonte à mes yeux avec un superbe sourire :
S : J’ai pris un sacré pied, et j'ai très envie de vos deux queues, mais ce n’est pas votre tour ! Et même si je vois que vous en avez-vous aussi très envie, c'est à toi Marc de remplir ton gage.

Elle retourne au chevet et en sort un godemiché rose dont la forme m'interroge : un long sexe assez fin et de l'autre côté une sorte de poignée en forme de poire, inclinée à 90 degrés.

S : Phil tu pourrais faire quelques photos pour cette première fois pour Marc ? dit Sophie en m'indiquant un petit appareil numérique posé sur l'autre chevet