LE JEU 4 - histoire érotique

(Suite du JEU 3)

Nous reprîmes tranquillement nos esprits en nous souriant avec connivence, je me dis que le weekend end n’était pas terminé, et me demandais ce qui allait se passer ensuite. Je n’avais jamais été ainsi soumise à quelqu’un, et pour deux jours consécutifs, cela me donnait une impression étrange, d’être ainsi dépendante de mon Maitre pour autant de temps. Je ne n’avais pas l’habitude mais je décidais d’apprécier la tranquillité d’esprit que cela me donnait, je faisais confiance, tout s’était bien passé, et j’avais découvert des jouissances extrêmes. Mon Maitre me proposa de passer à la salle de bain avec amabilité, et je jouis d’un bain délassant avec grand plaisir. Puis je le rejoignis dans le grand lit pour une nuit reposante et calme, nous étions bien fatigués de nos ébats endiablés. Je me couchai avec plaisir près de cet inconnu, il avait pris soin de moi sans mal je dormis en confiance, et me réveillais le lendemain avec le sourire, une nouvelle journée emplie de découvertes inédites démarrait.

Nous prîmes un petit déjeuner l’un en face de l’autre en devisant tranquillement, puis rangeâmes les lieux comme un couple ordinaire. Mon Maître reprit son apparence dominante qui me surprit par la rapidité de changement d’ambiance que cela apportait. Je redevins sa soumise aussitôt. Il m’ordonna de me présenter à lui dans une nouvelle tenue parmi celles que j’avais amenées, et je décidais de le surprendre. Je me parai de liens qui faisaient de moi une vraie soumise, comme une résille de cuir noir qui enserrait ma taille, mes seins et soulignait mes fesses de façon très érotique. Je pris une laisse entre mes dents, et soignant mon entrée, je me mis de moi-même à quatre pattes et entrai dans le salon ou il m’attendait ainsi, comme sa chienne bien dressée….

J’étais très fière de mon idée et sûre de mon effet, et je progressai vers lui en ondulant de la croupe, je sentais mes seins bouger sous moi et j’allai à lui en le regardant dans les yeux pour voir sa réaction. Il était étendu complètement nu, imposant et silencieux. Il resta impassible, mais je sus qu’il aimait cela. Il me félicita brièvement, et me tirant à lui par mes liens, il attira ma tête à son sexe et dit de sa voix impérieuse qui ne souffrait aucune discussion…
- Allez petite chienne, à ta place, lèche ma bite et fais-le bien, allez, lèche et dis-moi que tu l’aimes ...

Il me secoua la tête par les cheveux, pour me faire répondre à cette phrase que je n’aimais pas du tout, et expérimentée par la veille je me dépêchai de répondre, soumise à sa main dont j’avais déjà senti la force.

- Oui Maitre, je suis à ma place et je fais mon travail de chienne…

Il m’était difficile de dire de telles choses, mais le plaisir de sentir sa main me flatter le cul comme sa petite pouliche fit passer cette impression, et j’entrepris de lécher et sucer avec soin sa queue qui se dressait et durcissait sous ma langue agile, tandis que ma croupe ondulait sous sa main caressante, puis cuisante. Il avait pris ma laisse de ma bouche et m’en fouetta un peu les fesses, plaisir intense qui grandissait au fond de mon ventre, je mouillais déjà, j’avais si envie qu'il me prenne, tandis que je le suçais, j’attendais avec impatience qu’il s’y décide enfin…Il se tourna sur le côté et me prenant la tête avec force, me fit avaler son sexe devenu durci tout au fond de ma gorge, me grondant à nouveau en sentant ma résistance, j’avais peur d’étouffer, et je le sentais au fond de ma gorge si fortement que j’avais des haut-le-cœur. Il me fessa et insista jusqu’à ce que je me soumette, essayant de me détendre pour accepter sa queue ainsi en moi. Il me baisa ainsi un long moment, tandis que j’étais à genoux devant lui…
Enfin satisfait mon Maitre me fit lever et placer à genoux sur le canapé devant lui, et me chevaucha avec force et vigueur, enfonçant son membre dans ma chatte brûlante et affamée de le sentir enfin en elle, déclenchant en moi des spasmes de plaisir… je jouis de chaque seconde, à sentir ses mains à mes hanches, sa main à ma crinière pour me cambrer, la laisse à mon cou pour me tenir, ses coups de reins poussant sa queue en moi, et toujours ses mots qui me soumettaient, que je devais répéter, mots humiliants qui semblaient ajouter à mon excitation. Puis il me ramena les mains au dos qu’il tint encore avec force, sans me faire mal au contraire dans un lien de jouissance mêlée qui me fit encore aller plus haut dans le plaisir. Je jouis plusieurs fois en criant, secouée de tout mon corps, tandis que je l’entendais râler de plaisir lui aussi, nous étions en pleine jouissance partagée.

Soudain Mon Maitre se retira de moi, tandis que je tenais à peine sur mes jambes, prise de tremblements et de spasmes. Sans un mot, il me tourna sur le dos et me tirant au bord du siège, jusqu’a ce que ma tête tombe en arrière il me baisa encore longtemps ainsi, enfonçant sa queue au fond de ma gorge, et me baisa la bouche ainsi, tandis que je me laissais aller en essayant de le satisfaire, sans me crisper. Puis me retournant encore, me mit à genoux devant lui et me commanda de le boire, tandis qu’il me tenait à deux mains contre son ventre, fermement, il jouit en moi, tandis que je buvais avec effort sa semence abondante, âcre et salée à ma langue. Puis me tenant encore aux cheveux il commanda…
- Suce la bien ma bite, c’est ton rôle de soumise, tu es ma chienne, nettoie la bien… Répète !
- Oui Maitre, je suis votre chienne… Répondis-je avec effort, partagée entre plaisir et effort de le satisfaire.

Alors il me relâcha, et me laissa prendre un peu de repos, partant se rafraichir, après un baiser qui me fit plaisir, comme s'il était satisfait de moi. Je m’empressai d’aller aussi me rafraichir et de boire un peu, pour enlever le goût sauvage de sa sève de male. J’avais joui si fort que la tête me tournait, et me regardant dans le miroir de la salle de bain, je ne me reconnus pas. Était-ce bien moi cette femme indécente et soumise qui avait fait tant de choses qu’elle n’aurait pas imaginé auparavant… ?

Je me souris avec fierté, oui c’était bien moi, et c’était un grand moment inoubliable.