Le jeune Denis Ep01 Denis met sa cage
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 677 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 604 263 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 906 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le jeune Denis Ep01 Denis met sa cage
Le jeune Denis Ep01
Denis met sa cage
J'avais atteint l'âge. Nous avions fêté mon anniversaire seulement trois semaines plus tôt. J'attendais en surveillant par la fenêtre. Mon confesseur devait passer, sa présence était indispensable. J'avais accepté sans faire de difficulté, j'avais bien un peu d’appréhension mais tout le monde m'avait rassuré.
Le temps pour moi était venu de devenir sage, la masturbation devait cesser. On m'avait expliqué que ce n'était pas bien grave quand on était petit, mais que quand on devenait grand il fallait économiser le sperme sacré.
Mon frère était plus âgé et il le vivait très bien. Il était fiancé, quand il aurait fini ses études, il se marierait. On donnerait alors la clé de son dispositif de chasteté et c'est sa femme qui le gérerait.
On m'a dit que nombre d'hommes ne le portent plus jamais ou presque.
J'en étais pas là, je surveillais les arrivées, il n'y avait pas grand monde. La calèche du médecin venait d'arriver, mon père allait le saluer et l'accueillir. Il était prévu qu'il examine tous ceux qui dans la maison aurait besoin d'une consultation. On l'installait dans la bibliothèque.
– Monsieur Denis ! Me criait une femme de ménage. Le docteur vous attend dans la bibliothèque.
C'est moi qui passait en premier, je n'étais pas malade mais c'était une obligation, ça faisait partie du protocole. Un examen médical avant de mettre la cage.
Je me rendais rapidement à la bibliothèque.
– Entre Denis, entre, alors comment vas-tu mon garçon ?
Il commençait comme ça et ensuite on a longuement discuté, pendant plus de trois quart d'heure au total. Il me posait tout un tas de question, certaines très embarrassante. Du genre …
– Tu te masturbes souvent ? Là je faisais non de la tête, il me regardait avec gentillesse et me souriait.
– Tu peux me dire la vérité, tu sais, c'est inutile de mentir. Rajoutait-il.
– Touslesjours ! Bafouillais-je.
– Voilà, là je te crois ! Tu n'as pas trop peur de ne plus pouvoir le faire ?
Je faisais non de la têt d'un mouvement très rapide et je rajoutais.
– Bein oui un peu quand même !
– Tu as déjà vu quelqu'un porter ce genre de dispositif ?
– Non jamais !
Dans mon milieu nous n'avions pas l'habitude, quand nous étions adultes, de nous montrer nus les uns aux autres. On était très, comment dire, prudes.
Il me demandait de me déshabiller entièrement. C'était mon médecin, il n'y avait donc aucun mal. Puis il m’auscultait. Tout y est passé, les yeux, le nez, la bouche, les oreilles, les épaules les articulations mais aussi mes organes génitaux.
Rapidement je bandais. Là je l'ai senti je suis devenu tout rouge, lui ne semblait pas désorienté, il en profitait pour faire des mesures. C'était un comble, enfin c'est ce que j'ai ressenti.
– Il ne faudrait pas que ça t'arrive pendant la cérémonie. Me faisait-il remarquer avant de me dire fièrement et bien droit dans les yeux. Tout va très bien mon garçon, tu peux te rhabiller !
Il continuait en prenant des notes sans plus s'occuper de moi.
– Tient, tu vas me boire ça. Me disait-il en me donnant un petit verre d'une substance qui avait un drôle de goût. Ça t'évitera ce genre de réaction. Ne t'inquiète pas, c'est tout à fait normal.
J'ajustais mes vêtements et je sortais en le remerciant. On faisait entrer mon cousin Gaétan, c'était son jour à lui aussi. Et on faisait une double cérémonie.
Ma mère me demandait de me changer pour la cérémonie. Dans notre milieu, le jour ou on mettait son dispositif de chasteté, c'était quelque chose. Toute la famille était là, je me souviens cinq ans plus tôt je jour ou mon frère l'avait mis. On avait fait une grande réception, la famille immédiate et quelques amis très proches.
Là c'était pareil, la cérémonie serait double mais c'était la seule différence.
Nous avions fait venir le Maître Chastisan de la province. Qu'est ce que vous voulez, on a les moyens ou on les a pas. Nous, on les a.
Mon cousin me retrouvait dans ma chambre. Le valet de chambre nous apportait nos costumes de cérémonie. On était un peu gênés de nous montrer nus l'un à l'autre, mais là encore le valet nous rassurait, oui, lui avait l'habitude de nous voir nus mais lui ça ne comptait pas.
On portait une chemise blanche qui s'arrêtait à peu près au niveau de la ceinture, un pantalon bien ajusté mais qui laissait un peut d'espace au niveau de notre entre-jambe. Et une ceinture en tissus blanc très large qui faisait plusieurs tours, c'était pour qu'on ne puisse pas voir notre ventre, entre la chemise un peu courte et le pantalon.
Nous n'avions pas de sous vêtements, mais étrangement ni lui, ni moi n'avions la moindre érection alors que moins d'une heure plus tôt j'avais bien un peu peur que ça ne se produise.
Ce devait être la décoction que le médecin m'avait donné, il en avait donné à mon cousin également. Ensuite on attendait.
Les calèches se suivaient. C'était mon frère Tifan qui arrivait avec sa fiancée. Il me regardait et me faisait un clin d’œil en me lançant un grand sourire.
Gaétan et moi étions très intimidé, la fête, la cérémonie était pour nous. Le médecin passait encore quelques heures pour terminer ses consultations. Tout le monde s'était réuni dans le jardin, les hommes nous encourageaient Gaétan et moi. Tout se passerait bien, tout se passait toujours bien.
Le Maître Chastisan prenait le temps de bien discuter avec nous, longuement. Il nous montrait différents modèles qu'il avait apporté, on pouvait choisir. C'est sans hésiter que je choisissais un modèle couleur ivoire.
– C'est un très bon choix. Me disait-il. Ivoire de Dentosaure. Commentait le Maître Chastisan. C'est très luxueux, c'est ce qui se fait de mieux. C'est toujours à la bonne température et surtout très confortable. Ça peut durer une vie …
Une vie, il avait dit une vie. J'espérais bien ne pas le garder aussi longtemps, selon la tradition, on le met, quand on se marie on donne les clés à sa femme qui le retire pour pouvoir faire l'amour avec son mari. Ensuite on ne le porte plus.
Enfin c'est une des versions qu'on nous avait servi, l'autre semblait moins drôle. Gaétan choisissait le même modèle. Ils étaient très chers mais on nous avait clairement dit qu'on avait les moyens.
Ces dispositifs étaient vraiment très beau, ils resteraient de couleur ivoire, ils ne se décoloreraient pas. Un oncle nous félicitait pour ce choix, c'est ce qu'il portait également.
On nous préparait pour la cérémonie, on devrait se montrer nu, enfin presque nu. On ne retirerait que notre pantalon, c'est pour cela que nous n'avions pas de sous vêtement, il faut savoir rester pratique.
Ensuite c'est nous qui devions enfiler le dispositif. Seuls les mâles étaient acceptés pour la cérémonie, et uniquement s'il en portaient un eux-même.
À l'heure prévue, le médecin arrivait il avait terminé ses consultations. Et tous les hommes adultes, ceux qui avaient passé l'âge et portaient. Oui tous les hommes de la maison. Même le personnel de maison portait ce genre de dispositif. C'était bien plus qu'une tradition, c'était la marque d'un certain standing autant que d'une certaine morale.
Les invités s'installaient dans le grand salon. Quelques valets prenaient position, ils préparaient les verres, pour l'apéritif qui devait suivre. Bien sûr ils portaient eux même un tel dispositif. Certains le portaient depuis plusieurs années. Mariés ou pas pour travailler dans une telle maison il fallait être porteur.
Le moment était solennel, Gaétan et moi retirions notre pantalon mais gardions notre chemise. Aucun de nous n'avait la moindre réaction déplacée. La petite mixture que le médecin nous avait donné marchait bien.
Notre taille avait été calculée dans le passé, c'était le médecin qui avait fait les mesures. Et tout reposait sur les qualités du Chastisan. Il n'avait pas droit à l'erreur, sinon il serait nécessaire de retirer le dispositif pour en mettre un mieux adapté.
Trop grand le dispositif serait non sécurisé, ils serait aussi inconfortable, tout comme s'il était trop petit mais là alors il peut devenir très douloureux et même provoquer des blessures. C'est tout un art que de trouver la bonne taille au premier coup. Vous savez, le métier de Chastisan est très respecté, très bien payé aussi bien sur. Mais il faut savoir faire de la promotion pour le produit. Il faut en porter un en permanence.
Les maîtres Chastisans fabriquent souvent eux même leurs propres modèles. C'était le cas pour ces deux modèles. Faits maison, faits sur commande, faits sur mesures. Les dispositif étaient parfaits.
Nous procédions. Je glissais mes couilles dans l'anneau, mon cousin Gaétan faisait comme moi. J'étais surpris mais je n'avais pas la moindre réaction, aucune érection, même pas une toute petite. Pour mon cousin, c'était pareil, on en a reparlé après.
On glissait ensuite notre queue dans l'anneau, ça devait passer juste. Juste mais ça ne devait pas coincer. C'est sérieux, mais quand j'y repense je me dis qu'en fait, nous étions au repos et c'était la meilleure situation pour s'assurer que tout était parfait.
On prenait notre temps pour bien ajuster l'anneau, le Chastisan nous conseillait et prenait le temps de bien s'assurer que tout allait bien que la taille était parfaite.
Toujours aucune réaction, toujours pas d'érection. Au début j'avais un peu peur que ça me prenne, là je me sentais rassuré. Mon cousin était comme moi.
Ensuite on nous présentait la cage. Là c'est pas bien compliqué, il faut glisser sa queue dedans et refermer la cage sur l'anneau. Mon père me tendait la serrure, je verrouillais mon dispositif et lui rendais la clé.
C'était fait.
Il n'y avait rien de fantastique dans cette cérémonie. Rien de scabreux, je dirais même rien de sexuel. Ma queue ne réagissait toujours pas, la situation était confortable. Gaétan avait pareil en même temps, on se regardait, on se souriait.
Maintenant on était des grands.
Notre vie allait changer. Progressivement nous aurions de nouvelles responsabilités, de nouvelles libertés aussi. Progressivement nous serions traités comme des adultes. C'était le premier pas.
On nous applaudissait. Pendant que nous remettions nos pantalons on servait du champagne. Ensuite tout le monde venait nous féliciter. C'était joyeux, c'était détendu.
Mon cousin et moi nous sentions bien, on avait le sourire.
Comme vous pouvez le voir, il n'y avait rien d'extraordinaire dans cette cérémonie. On traînait un peu avec un verre à la main. Puis nous passions au jardin pour le repas.
Avant, Gaétan et moi repassions dans ma chambre pour nous changer, puis on revenait. Je ne sentais toujours pas la cage. J'étais toujours parfaitement détendu.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Denis met sa cage
J'avais atteint l'âge. Nous avions fêté mon anniversaire seulement trois semaines plus tôt. J'attendais en surveillant par la fenêtre. Mon confesseur devait passer, sa présence était indispensable. J'avais accepté sans faire de difficulté, j'avais bien un peu d’appréhension mais tout le monde m'avait rassuré.
Le temps pour moi était venu de devenir sage, la masturbation devait cesser. On m'avait expliqué que ce n'était pas bien grave quand on était petit, mais que quand on devenait grand il fallait économiser le sperme sacré.
Mon frère était plus âgé et il le vivait très bien. Il était fiancé, quand il aurait fini ses études, il se marierait. On donnerait alors la clé de son dispositif de chasteté et c'est sa femme qui le gérerait.
On m'a dit que nombre d'hommes ne le portent plus jamais ou presque.
J'en étais pas là, je surveillais les arrivées, il n'y avait pas grand monde. La calèche du médecin venait d'arriver, mon père allait le saluer et l'accueillir. Il était prévu qu'il examine tous ceux qui dans la maison aurait besoin d'une consultation. On l'installait dans la bibliothèque.
– Monsieur Denis ! Me criait une femme de ménage. Le docteur vous attend dans la bibliothèque.
C'est moi qui passait en premier, je n'étais pas malade mais c'était une obligation, ça faisait partie du protocole. Un examen médical avant de mettre la cage.
Je me rendais rapidement à la bibliothèque.
– Entre Denis, entre, alors comment vas-tu mon garçon ?
Il commençait comme ça et ensuite on a longuement discuté, pendant plus de trois quart d'heure au total. Il me posait tout un tas de question, certaines très embarrassante. Du genre …
– Tu te masturbes souvent ? Là je faisais non de la tête, il me regardait avec gentillesse et me souriait.
– Tu peux me dire la vérité, tu sais, c'est inutile de mentir. Rajoutait-il.
– Touslesjours ! Bafouillais-je.
– Voilà, là je te crois ! Tu n'as pas trop peur de ne plus pouvoir le faire ?
Je faisais non de la têt d'un mouvement très rapide et je rajoutais.
– Bein oui un peu quand même !
– Tu as déjà vu quelqu'un porter ce genre de dispositif ?
– Non jamais !
Dans mon milieu nous n'avions pas l'habitude, quand nous étions adultes, de nous montrer nus les uns aux autres. On était très, comment dire, prudes.
Il me demandait de me déshabiller entièrement. C'était mon médecin, il n'y avait donc aucun mal. Puis il m’auscultait. Tout y est passé, les yeux, le nez, la bouche, les oreilles, les épaules les articulations mais aussi mes organes génitaux.
Rapidement je bandais. Là je l'ai senti je suis devenu tout rouge, lui ne semblait pas désorienté, il en profitait pour faire des mesures. C'était un comble, enfin c'est ce que j'ai ressenti.
– Il ne faudrait pas que ça t'arrive pendant la cérémonie. Me faisait-il remarquer avant de me dire fièrement et bien droit dans les yeux. Tout va très bien mon garçon, tu peux te rhabiller !
Il continuait en prenant des notes sans plus s'occuper de moi.
– Tient, tu vas me boire ça. Me disait-il en me donnant un petit verre d'une substance qui avait un drôle de goût. Ça t'évitera ce genre de réaction. Ne t'inquiète pas, c'est tout à fait normal.
J'ajustais mes vêtements et je sortais en le remerciant. On faisait entrer mon cousin Gaétan, c'était son jour à lui aussi. Et on faisait une double cérémonie.
Ma mère me demandait de me changer pour la cérémonie. Dans notre milieu, le jour ou on mettait son dispositif de chasteté, c'était quelque chose. Toute la famille était là, je me souviens cinq ans plus tôt je jour ou mon frère l'avait mis. On avait fait une grande réception, la famille immédiate et quelques amis très proches.
Là c'était pareil, la cérémonie serait double mais c'était la seule différence.
Nous avions fait venir le Maître Chastisan de la province. Qu'est ce que vous voulez, on a les moyens ou on les a pas. Nous, on les a.
Mon cousin me retrouvait dans ma chambre. Le valet de chambre nous apportait nos costumes de cérémonie. On était un peu gênés de nous montrer nus l'un à l'autre, mais là encore le valet nous rassurait, oui, lui avait l'habitude de nous voir nus mais lui ça ne comptait pas.
On portait une chemise blanche qui s'arrêtait à peu près au niveau de la ceinture, un pantalon bien ajusté mais qui laissait un peut d'espace au niveau de notre entre-jambe. Et une ceinture en tissus blanc très large qui faisait plusieurs tours, c'était pour qu'on ne puisse pas voir notre ventre, entre la chemise un peu courte et le pantalon.
Nous n'avions pas de sous vêtements, mais étrangement ni lui, ni moi n'avions la moindre érection alors que moins d'une heure plus tôt j'avais bien un peu peur que ça ne se produise.
Ce devait être la décoction que le médecin m'avait donné, il en avait donné à mon cousin également. Ensuite on attendait.
Les calèches se suivaient. C'était mon frère Tifan qui arrivait avec sa fiancée. Il me regardait et me faisait un clin d’œil en me lançant un grand sourire.
Gaétan et moi étions très intimidé, la fête, la cérémonie était pour nous. Le médecin passait encore quelques heures pour terminer ses consultations. Tout le monde s'était réuni dans le jardin, les hommes nous encourageaient Gaétan et moi. Tout se passerait bien, tout se passait toujours bien.
Le Maître Chastisan prenait le temps de bien discuter avec nous, longuement. Il nous montrait différents modèles qu'il avait apporté, on pouvait choisir. C'est sans hésiter que je choisissais un modèle couleur ivoire.
– C'est un très bon choix. Me disait-il. Ivoire de Dentosaure. Commentait le Maître Chastisan. C'est très luxueux, c'est ce qui se fait de mieux. C'est toujours à la bonne température et surtout très confortable. Ça peut durer une vie …
Une vie, il avait dit une vie. J'espérais bien ne pas le garder aussi longtemps, selon la tradition, on le met, quand on se marie on donne les clés à sa femme qui le retire pour pouvoir faire l'amour avec son mari. Ensuite on ne le porte plus.
Enfin c'est une des versions qu'on nous avait servi, l'autre semblait moins drôle. Gaétan choisissait le même modèle. Ils étaient très chers mais on nous avait clairement dit qu'on avait les moyens.
Ces dispositifs étaient vraiment très beau, ils resteraient de couleur ivoire, ils ne se décoloreraient pas. Un oncle nous félicitait pour ce choix, c'est ce qu'il portait également.
On nous préparait pour la cérémonie, on devrait se montrer nu, enfin presque nu. On ne retirerait que notre pantalon, c'est pour cela que nous n'avions pas de sous vêtement, il faut savoir rester pratique.
Ensuite c'est nous qui devions enfiler le dispositif. Seuls les mâles étaient acceptés pour la cérémonie, et uniquement s'il en portaient un eux-même.
À l'heure prévue, le médecin arrivait il avait terminé ses consultations. Et tous les hommes adultes, ceux qui avaient passé l'âge et portaient. Oui tous les hommes de la maison. Même le personnel de maison portait ce genre de dispositif. C'était bien plus qu'une tradition, c'était la marque d'un certain standing autant que d'une certaine morale.
Les invités s'installaient dans le grand salon. Quelques valets prenaient position, ils préparaient les verres, pour l'apéritif qui devait suivre. Bien sûr ils portaient eux même un tel dispositif. Certains le portaient depuis plusieurs années. Mariés ou pas pour travailler dans une telle maison il fallait être porteur.
Le moment était solennel, Gaétan et moi retirions notre pantalon mais gardions notre chemise. Aucun de nous n'avait la moindre réaction déplacée. La petite mixture que le médecin nous avait donné marchait bien.
Notre taille avait été calculée dans le passé, c'était le médecin qui avait fait les mesures. Et tout reposait sur les qualités du Chastisan. Il n'avait pas droit à l'erreur, sinon il serait nécessaire de retirer le dispositif pour en mettre un mieux adapté.
Trop grand le dispositif serait non sécurisé, ils serait aussi inconfortable, tout comme s'il était trop petit mais là alors il peut devenir très douloureux et même provoquer des blessures. C'est tout un art que de trouver la bonne taille au premier coup. Vous savez, le métier de Chastisan est très respecté, très bien payé aussi bien sur. Mais il faut savoir faire de la promotion pour le produit. Il faut en porter un en permanence.
Les maîtres Chastisans fabriquent souvent eux même leurs propres modèles. C'était le cas pour ces deux modèles. Faits maison, faits sur commande, faits sur mesures. Les dispositif étaient parfaits.
Nous procédions. Je glissais mes couilles dans l'anneau, mon cousin Gaétan faisait comme moi. J'étais surpris mais je n'avais pas la moindre réaction, aucune érection, même pas une toute petite. Pour mon cousin, c'était pareil, on en a reparlé après.
On glissait ensuite notre queue dans l'anneau, ça devait passer juste. Juste mais ça ne devait pas coincer. C'est sérieux, mais quand j'y repense je me dis qu'en fait, nous étions au repos et c'était la meilleure situation pour s'assurer que tout était parfait.
On prenait notre temps pour bien ajuster l'anneau, le Chastisan nous conseillait et prenait le temps de bien s'assurer que tout allait bien que la taille était parfaite.
Toujours aucune réaction, toujours pas d'érection. Au début j'avais un peu peur que ça me prenne, là je me sentais rassuré. Mon cousin était comme moi.
Ensuite on nous présentait la cage. Là c'est pas bien compliqué, il faut glisser sa queue dedans et refermer la cage sur l'anneau. Mon père me tendait la serrure, je verrouillais mon dispositif et lui rendais la clé.
C'était fait.
Il n'y avait rien de fantastique dans cette cérémonie. Rien de scabreux, je dirais même rien de sexuel. Ma queue ne réagissait toujours pas, la situation était confortable. Gaétan avait pareil en même temps, on se regardait, on se souriait.
Maintenant on était des grands.
Notre vie allait changer. Progressivement nous aurions de nouvelles responsabilités, de nouvelles libertés aussi. Progressivement nous serions traités comme des adultes. C'était le premier pas.
On nous applaudissait. Pendant que nous remettions nos pantalons on servait du champagne. Ensuite tout le monde venait nous féliciter. C'était joyeux, c'était détendu.
Mon cousin et moi nous sentions bien, on avait le sourire.
Comme vous pouvez le voir, il n'y avait rien d'extraordinaire dans cette cérémonie. On traînait un peu avec un verre à la main. Puis nous passions au jardin pour le repas.
Avant, Gaétan et moi repassions dans ma chambre pour nous changer, puis on revenait. Je ne sentais toujours pas la cage. J'étais toujours parfaitement détendu.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien écrit, original. J attends la suite avec impatience