Le jeune Denis Ep03 La pension est confortable
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le jeune Denis Ep03 La pension est confortable
Plus personne ne parlait pendant le reste du voyage, il restaient plusieurs heures qui passaient lentement au rythme du balancement de la calèche. Elle était confortable et les deux jeunes se seraient certainement endormis sans cette pression douloureuse au niveau de leur cage à bite.
Le pression ne baissait pas vraiment. Pour Denis, ça avait commencé au moment du réveil, puis elle s'était maintenue et depuis qu'ils avaient vu le cocher se branler devant eux, rien que pour leurs yeux et son propre plaisir, ils restaient en érection.
La cage était définitivement trop petite. Les deux jeunes ne disaient rien mais ils ne parvenaient toujours pas à se détendre au moment ou ils arrivaient à la ville. Le cocher comme prévu les conduisait directement à la gare et repartait.
Ils déposaient leurs bagages à la consigne puis cherchaient un endroit ou se restaurer. C'est qu'on était déjà au début de l'après midi. La calèche, c'est bien, c'est confortable, on est bercé, c'est moderne aussi mais … Ça va pas vite et il y a de nombreux kilomètres de la maison à la ville.
Avant d'aller plus loin, ils se restauraient, il y avait une brasserie très chic juste à côté de la gare. Puis ils faisaient un peu de lèche vitrine, il se promenaient dans le quartier puis tranquillement revenaient à la gare. Leur compartiment était prêt, ils voyageaient en première et comme ils avaient réservé une couchette, ils pouvaient profiter d'un compartiment rien que pour eux.
Le contrôleur leur souhaitait un bon voyage avant de refermer la porte du compartiment. Les compartiments ne communiquaient pas entre eux par un couloir comme c'est le cas sur les trains plus modernes. Là chaque compartiment avait une porte qui ouvrait directement sur la voie.
A l'heure prévue le train la STER ( Société des Trains En Route ) tenait beaucoup à sa réputation de ponctualité et ne les aurait pas attendu. Ils se penchaient par la fenêtre pour faire au revoir à tout le monde. Ils ne connaissaient personne mais les autre voyageurs le faisaient alors, il le faisaient également. Ensuite ils s'installaient et discutaient.
– Ça va mieux toi ? Demandait Charles.
– Moi ? Mais ça va toujours. Pourquoi tu me demandes ?
– Tu ne vas pas me dire que tu n'as pas un peu de pression au niveau de ta cage. – Moi c'est l'enfer depuis que l'autre s'est branlé devant nous.
– Ce sale type doit être méchant. Répondait Denis.
– Pourquoi tu dis ça ?
– Il avait une grosse bite !
– Tu dois avoir raison ! Acquiesçait Charles.
Le train roulait à sa vitesse maximum, les deux jeunes aimaient regarder le paysage et se pencher par la fenêtre, le déplacement produisait un vent qui les amusait. Ils étaient dans la seconde voiture après la locomotive. Elle entraînait le convoie à la vitesse vertigineuse de plus de quatre vingt kilomètres heures.
– A une telle vitesse on y sera avant demain matin. Faisait remarquer Charles.
Ils finissaient par oublier leurs cages, ils se détendaient et se sentaient mieux. Leurs queues se dégonflaient et leur cages reprenaient une taille plus adapté à leur morphologie.
– Alors on mange quoi ce soir ? Demandait Denis en prenant le menu repas.
– Ça marche comment ça ? Demandait Charles.
– C'est simple, on remplie le menu, on le donnera au contrôleur au prochain arrêt et à l'arrêt de vingt heures, on viendra nous servir lors de l'arrêt détente avant la nuit.
Ils s'activait à remplir leur menu, déjà ils salivaient rien que d'y penser. Bien vous l'aviez compris, ce service n'était disponible que pour les premières. Les secondes, troisièmes et quatrièmes classe devaient se débrouiller. Il y avait des stands à sandwich dans toutes les gares, mais le choix n'était pas garanti.
Tout se passait comme prévu, au dernier arrêt avant la nuit, on venait les chercher pour leur proposer un verre dans le bar des première, c'était dans la gare, pas dans le train. Pendant ce temps des employés s'activaient pour leur préparer les couchettes et leur servir leur repas qu'ils retrouvaient sur une table pliante dans leur compartiment.
C'était un service haut de gamme mais ils étaient habitués à ça.
La fatigue provoquée par toutes ces émotions les mettait au lit très tôt. Ils n'ont pas trop mal dormi, bercé par le roulement de la voiture et le ronronnement de la locomotive mais réveillé, endoloris par leurs cages. Mais là aussi ils commençaient à être habitués.
Le lendemain, c'est la sirène du train qui les réveillait. Le train était en gare, ils étaient arrivés un peu plus tôt et seuls ceux qui en avaient fait la demande avaient été réveillé. La STER ( Société des Trains En Route ) avait laissé les passagers ( de première uniquement ) terminer paisiblement leur nuit.
Une calèche, les attendait. Le cocher venait récupérer leurs bagages, et les deux jeunes encore en partie endormis et endoloris par leur érection matinale s'installait à l'arrière.
– Mon frère m'a dit qu'on finissait pas supporter la cage le matin. Déclarait Denis.
– On m'a même dit que ça devenait agréable ! Rajoutais Charles.
– Je crois quelquefois qu'on nous raconte n'importe quoi ! Concluait Denis.
D'autres calèches attendait, ils n'étaient pas les seuls a venir à cette colonie de vacances, c'est finalement cinq voitures qui repartaient et se suivaient vers leur destination.
La maison ou ils se rendaient, la fameuse colonie de vacances, était une grande et belle maison. Plus d'une centaine de chambre, quatre lits par chambre. C'était un confort acceptable pour les vacances, surtout que ce serait une ambiance détendue.
Il y avait une bonne quarantaine d'employés, que des hommes et tous portaient une cage à bite bien sûr. Mais nous nous dispenserons de vérifier, ce serait déplacé !
Ils étaient tous alignés devant la porte principale. Plus loin un groupe moins coordonnés regardait les opérations, c'était le petit personnel, les jardiniers, les maçons, les charpentiers qui entretenaient la maison et faisaient les basses œuvres. Ils étaient tous des déviants, il était déconseillé de trop les approcher.
C'est eux que regardait Denis. Ils leur trouvait sans doute des charmes que ses camarades ne remarquaient pas.
A ce moment précis il sentait sa queue se réveiller, elle s'était un peu calmée depuis la gare, juste un peu mais ça fait tellement de bien.
Le pauvre Denis avait la chance, ou peut être la malchance d'être né dans une famille riche et puritaine. Son âme était protégée lui garantissant le paradis mais en attendant. Quelquefois, le paradis il s'en moquait, là il était en enfer.
Sa queue le torturait, et il y avait des tentations juste là. Denis les trouvait sexy, il pensait que eux, pouvait bander, se branler, se faire plaisir.
Mais que lui arrivait-il à ce pauvre garçon ?
Après s'être installé, Denis décidait de faire un tour dans le parc. Au fond du p arc il y avait un zone boisée, elle constituait une sorte de limite, c'était là que les employés déviants étaient logés, ceux qui justement constituaient le groupe en retrait au moment ou ils étaient arrivés.
Ils avaient des vêtements de travailleurs, un pantalon en laine, une chemise de bûcheron, épaisse et chaude. On était en été et les employés travaillaient torse nue le plus souvent. Ils avaient la peau mate, bronzée a souhaits.
Ils étaient beaux et viriles. Denis s'approchait de leur maisons sans se faire voir. Ils préparaient les outils et discutaient. Personne ne l'a vu. Il observait il se rinçait l’œil. Tous ces torses musclés et nus. Les jardiniers avaient des horaires bien particuliers. Ils ne devaient pas se faire remarquer par les habitants de la pension. Ils étaient des déviants et les hôtes étaient tous issus d'un milieu social élevé et tous étaient chastes.
Mais à ce moment Denis se moquait bien de tout ça. Il admirait, il contemplait ces corps minces et forts. Il faisait chaud et ils avaient une douche en plein air. Une pommeau de couche et rien autour, juste le minimum.
Un de ces hommes se déshabillait tranquillement, il retirait ce qui lui restait sur le dos, son pantalon. C'est entièrement nu qu'il passait sous la douche. C'était l'heure de la pose et tous étaient décontracté. Ils ne travailleraient pas avant le début de la soirée, heure ou il ferait plus frais.
Un autre homme s'approchait de la douche et échangeait quelques mots avec le premier. Denis n'entendait rien mais il voyait tout. Le second retirait ses vêtements à son tour, puis il se glissait sous la douche à côté de son camarade, il se glissait tout contre son camarade. Lui savonnait le dos. Denis avait presque du mal à respirer sous l'effet de l'émotion. Sa cage le faisait souffrir, mais ça durait depuis la veille, ne lui donnant que quelques instants de répit.
Le second homme savonnait généreusement le dos de son camarade qui se présentait maintenant de face. Denis regardait avec un désir naissant qui lui était étranger. Un étrange sentiment qui naissait en lui. Sa queue se révoltait et le torturait alors que celle du premier homme pendait lourdement entre ses cuisses.
Son camarade derrière lui, le caressait, lui passant du savon sur tout le corps, tout le torse. Une mousse blanche se formais sur tout le torse brun de ce très bel ouvrier.
Son torse était mince, ferme et musclé. Il émanait de lui une force sauvage. Denis n'osait plus bouger, il était dans l'herbe, derrière un buisson, il était totalement invisible mais il n'osait pas bouger. Là il aurait risqué de se faire remarquer et … La honte … !
L'homme continuait se savonner. Un gros paquet de mousse se formait au niveau de son sexe. Denis ne pouvait plus respirer. Il a cru défaillir quand il a vu le bite de cette homme qui ressortait par dessus le tas de mousse. Il bandait.
'' Mais c'est incroyable ! Se disait Denis. Mais les déviants ne pensent qu'à ça !''. Sa queue se manifestait de nouveau avec une grande violence et sa cage lui répondait avec autant de violence. Il n'y avait aucune chance. Il voulait repartir, il savait que ce qu'il faisait n'était pas bien. Il savait que c'était ça qui provoquait ces érections chez lui, et la cage n'était là que pour le rappeler à l'ordre. N'était là que pour le punir de ces mauvaises pensées.
Mais si jamais il bougeait, on le verrait et ça il ne pouvait pas, il ne fallait pas. Il restait à regarder, il ne parvenait même pas à détourner les yeux.
L'homme qui était juste derrière continuait à savonner son camarade, mais à ce moment ses mains glissaient plus bas que le torse. Il les promenait sur le sexe de son camarade, le savonnait, le masturbait. La cervelle de Denis prenait feu et le pauvre Denis se sentait mal, il manquait d'air.
Le premier penchait sa tête en arrière contre l'épaule de son camarade qui le tenait dans ses bras. Ils s'embrassaient avec passion. Et le second continuait à masturber son camarade. Denis n'en pouvait plus, il avait la cervelle en feu, les couilles en feu, la cage le torturait. Pourtant il ne bougeait pas, il n'osait pas.
Pendant de très longue minutes, les deux hommes se caressaient, s'embrassaient et se masturbaient. Ils gémissaient de plaisir et le pire était qu'il le faisait devant leurs autres camarades. Denis n'en revenait pas.
Il se disait que les déviants n'étaient vraiment que des bêtes qui ne pensaient qu'au sexe … Contrairement à eux, les puritains, qui savaient garder la tête froide et rester calme en toutes circonstances.
Le gars que Denis admirait depuis un long moment maintenant poussait des cris de plaisir,son camarade continuait à le masturber. Ils se tortillaient l'un contre l'autre jusqu'au moment ou Denis voyait le premier homme cracher un jet de sperme. Il criait de plaisir, se raidissait, il éjaculait de nouveau puis se retournait vers son camarade et échangeait un gros câlin avec.
Les autres homme de cette étrange communauté de débauchés applaudissaient en voyant comment ça se terminait.
Denis était dégoûte, ils ne pensaient donc qu'au sexe. Lui par exemple n'y pensait plus, mais plus du tout. Il se demandait comment ses camarades à lui réagiraient quand il leur raconterait cette affaire.
Puis il se disait que finalement il ne leur raconterait peut être pas … Certainement pas. Comment pourrait-il justifier sa présence.
Mais c'est vrai que les déviants ne pensent qu'au sexe, il revenait vers la pension, sans se faire voir. Il regardait tous les hommes qu'il croisait à partir de ce moment avec un regard de désir et de curiosité. Il se demanderait toujours si l'homme qu'il avait devant lui portait ou pas un dispositif de chasteté.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Le pression ne baissait pas vraiment. Pour Denis, ça avait commencé au moment du réveil, puis elle s'était maintenue et depuis qu'ils avaient vu le cocher se branler devant eux, rien que pour leurs yeux et son propre plaisir, ils restaient en érection.
La cage était définitivement trop petite. Les deux jeunes ne disaient rien mais ils ne parvenaient toujours pas à se détendre au moment ou ils arrivaient à la ville. Le cocher comme prévu les conduisait directement à la gare et repartait.
Ils déposaient leurs bagages à la consigne puis cherchaient un endroit ou se restaurer. C'est qu'on était déjà au début de l'après midi. La calèche, c'est bien, c'est confortable, on est bercé, c'est moderne aussi mais … Ça va pas vite et il y a de nombreux kilomètres de la maison à la ville.
Avant d'aller plus loin, ils se restauraient, il y avait une brasserie très chic juste à côté de la gare. Puis ils faisaient un peu de lèche vitrine, il se promenaient dans le quartier puis tranquillement revenaient à la gare. Leur compartiment était prêt, ils voyageaient en première et comme ils avaient réservé une couchette, ils pouvaient profiter d'un compartiment rien que pour eux.
Le contrôleur leur souhaitait un bon voyage avant de refermer la porte du compartiment. Les compartiments ne communiquaient pas entre eux par un couloir comme c'est le cas sur les trains plus modernes. Là chaque compartiment avait une porte qui ouvrait directement sur la voie.
A l'heure prévue le train la STER ( Société des Trains En Route ) tenait beaucoup à sa réputation de ponctualité et ne les aurait pas attendu. Ils se penchaient par la fenêtre pour faire au revoir à tout le monde. Ils ne connaissaient personne mais les autre voyageurs le faisaient alors, il le faisaient également. Ensuite ils s'installaient et discutaient.
– Ça va mieux toi ? Demandait Charles.
– Moi ? Mais ça va toujours. Pourquoi tu me demandes ?
– Tu ne vas pas me dire que tu n'as pas un peu de pression au niveau de ta cage. – Moi c'est l'enfer depuis que l'autre s'est branlé devant nous.
– Ce sale type doit être méchant. Répondait Denis.
– Pourquoi tu dis ça ?
– Il avait une grosse bite !
– Tu dois avoir raison ! Acquiesçait Charles.
Le train roulait à sa vitesse maximum, les deux jeunes aimaient regarder le paysage et se pencher par la fenêtre, le déplacement produisait un vent qui les amusait. Ils étaient dans la seconde voiture après la locomotive. Elle entraînait le convoie à la vitesse vertigineuse de plus de quatre vingt kilomètres heures.
– A une telle vitesse on y sera avant demain matin. Faisait remarquer Charles.
Ils finissaient par oublier leurs cages, ils se détendaient et se sentaient mieux. Leurs queues se dégonflaient et leur cages reprenaient une taille plus adapté à leur morphologie.
– Alors on mange quoi ce soir ? Demandait Denis en prenant le menu repas.
– Ça marche comment ça ? Demandait Charles.
– C'est simple, on remplie le menu, on le donnera au contrôleur au prochain arrêt et à l'arrêt de vingt heures, on viendra nous servir lors de l'arrêt détente avant la nuit.
Ils s'activait à remplir leur menu, déjà ils salivaient rien que d'y penser. Bien vous l'aviez compris, ce service n'était disponible que pour les premières. Les secondes, troisièmes et quatrièmes classe devaient se débrouiller. Il y avait des stands à sandwich dans toutes les gares, mais le choix n'était pas garanti.
Tout se passait comme prévu, au dernier arrêt avant la nuit, on venait les chercher pour leur proposer un verre dans le bar des première, c'était dans la gare, pas dans le train. Pendant ce temps des employés s'activaient pour leur préparer les couchettes et leur servir leur repas qu'ils retrouvaient sur une table pliante dans leur compartiment.
C'était un service haut de gamme mais ils étaient habitués à ça.
La fatigue provoquée par toutes ces émotions les mettait au lit très tôt. Ils n'ont pas trop mal dormi, bercé par le roulement de la voiture et le ronronnement de la locomotive mais réveillé, endoloris par leurs cages. Mais là aussi ils commençaient à être habitués.
Le lendemain, c'est la sirène du train qui les réveillait. Le train était en gare, ils étaient arrivés un peu plus tôt et seuls ceux qui en avaient fait la demande avaient été réveillé. La STER ( Société des Trains En Route ) avait laissé les passagers ( de première uniquement ) terminer paisiblement leur nuit.
Une calèche, les attendait. Le cocher venait récupérer leurs bagages, et les deux jeunes encore en partie endormis et endoloris par leur érection matinale s'installait à l'arrière.
– Mon frère m'a dit qu'on finissait pas supporter la cage le matin. Déclarait Denis.
– On m'a même dit que ça devenait agréable ! Rajoutais Charles.
– Je crois quelquefois qu'on nous raconte n'importe quoi ! Concluait Denis.
D'autres calèches attendait, ils n'étaient pas les seuls a venir à cette colonie de vacances, c'est finalement cinq voitures qui repartaient et se suivaient vers leur destination.
La maison ou ils se rendaient, la fameuse colonie de vacances, était une grande et belle maison. Plus d'une centaine de chambre, quatre lits par chambre. C'était un confort acceptable pour les vacances, surtout que ce serait une ambiance détendue.
Il y avait une bonne quarantaine d'employés, que des hommes et tous portaient une cage à bite bien sûr. Mais nous nous dispenserons de vérifier, ce serait déplacé !
Ils étaient tous alignés devant la porte principale. Plus loin un groupe moins coordonnés regardait les opérations, c'était le petit personnel, les jardiniers, les maçons, les charpentiers qui entretenaient la maison et faisaient les basses œuvres. Ils étaient tous des déviants, il était déconseillé de trop les approcher.
C'est eux que regardait Denis. Ils leur trouvait sans doute des charmes que ses camarades ne remarquaient pas.
A ce moment précis il sentait sa queue se réveiller, elle s'était un peu calmée depuis la gare, juste un peu mais ça fait tellement de bien.
Le pauvre Denis avait la chance, ou peut être la malchance d'être né dans une famille riche et puritaine. Son âme était protégée lui garantissant le paradis mais en attendant. Quelquefois, le paradis il s'en moquait, là il était en enfer.
Sa queue le torturait, et il y avait des tentations juste là. Denis les trouvait sexy, il pensait que eux, pouvait bander, se branler, se faire plaisir.
Mais que lui arrivait-il à ce pauvre garçon ?
Après s'être installé, Denis décidait de faire un tour dans le parc. Au fond du p arc il y avait un zone boisée, elle constituait une sorte de limite, c'était là que les employés déviants étaient logés, ceux qui justement constituaient le groupe en retrait au moment ou ils étaient arrivés.
Ils avaient des vêtements de travailleurs, un pantalon en laine, une chemise de bûcheron, épaisse et chaude. On était en été et les employés travaillaient torse nue le plus souvent. Ils avaient la peau mate, bronzée a souhaits.
Ils étaient beaux et viriles. Denis s'approchait de leur maisons sans se faire voir. Ils préparaient les outils et discutaient. Personne ne l'a vu. Il observait il se rinçait l’œil. Tous ces torses musclés et nus. Les jardiniers avaient des horaires bien particuliers. Ils ne devaient pas se faire remarquer par les habitants de la pension. Ils étaient des déviants et les hôtes étaient tous issus d'un milieu social élevé et tous étaient chastes.
Mais à ce moment Denis se moquait bien de tout ça. Il admirait, il contemplait ces corps minces et forts. Il faisait chaud et ils avaient une douche en plein air. Une pommeau de couche et rien autour, juste le minimum.
Un de ces hommes se déshabillait tranquillement, il retirait ce qui lui restait sur le dos, son pantalon. C'est entièrement nu qu'il passait sous la douche. C'était l'heure de la pose et tous étaient décontracté. Ils ne travailleraient pas avant le début de la soirée, heure ou il ferait plus frais.
Un autre homme s'approchait de la douche et échangeait quelques mots avec le premier. Denis n'entendait rien mais il voyait tout. Le second retirait ses vêtements à son tour, puis il se glissait sous la douche à côté de son camarade, il se glissait tout contre son camarade. Lui savonnait le dos. Denis avait presque du mal à respirer sous l'effet de l'émotion. Sa cage le faisait souffrir, mais ça durait depuis la veille, ne lui donnant que quelques instants de répit.
Le second homme savonnait généreusement le dos de son camarade qui se présentait maintenant de face. Denis regardait avec un désir naissant qui lui était étranger. Un étrange sentiment qui naissait en lui. Sa queue se révoltait et le torturait alors que celle du premier homme pendait lourdement entre ses cuisses.
Son camarade derrière lui, le caressait, lui passant du savon sur tout le corps, tout le torse. Une mousse blanche se formais sur tout le torse brun de ce très bel ouvrier.
Son torse était mince, ferme et musclé. Il émanait de lui une force sauvage. Denis n'osait plus bouger, il était dans l'herbe, derrière un buisson, il était totalement invisible mais il n'osait pas bouger. Là il aurait risqué de se faire remarquer et … La honte … !
L'homme continuait se savonner. Un gros paquet de mousse se formait au niveau de son sexe. Denis ne pouvait plus respirer. Il a cru défaillir quand il a vu le bite de cette homme qui ressortait par dessus le tas de mousse. Il bandait.
'' Mais c'est incroyable ! Se disait Denis. Mais les déviants ne pensent qu'à ça !''. Sa queue se manifestait de nouveau avec une grande violence et sa cage lui répondait avec autant de violence. Il n'y avait aucune chance. Il voulait repartir, il savait que ce qu'il faisait n'était pas bien. Il savait que c'était ça qui provoquait ces érections chez lui, et la cage n'était là que pour le rappeler à l'ordre. N'était là que pour le punir de ces mauvaises pensées.
Mais si jamais il bougeait, on le verrait et ça il ne pouvait pas, il ne fallait pas. Il restait à regarder, il ne parvenait même pas à détourner les yeux.
L'homme qui était juste derrière continuait à savonner son camarade, mais à ce moment ses mains glissaient plus bas que le torse. Il les promenait sur le sexe de son camarade, le savonnait, le masturbait. La cervelle de Denis prenait feu et le pauvre Denis se sentait mal, il manquait d'air.
Le premier penchait sa tête en arrière contre l'épaule de son camarade qui le tenait dans ses bras. Ils s'embrassaient avec passion. Et le second continuait à masturber son camarade. Denis n'en pouvait plus, il avait la cervelle en feu, les couilles en feu, la cage le torturait. Pourtant il ne bougeait pas, il n'osait pas.
Pendant de très longue minutes, les deux hommes se caressaient, s'embrassaient et se masturbaient. Ils gémissaient de plaisir et le pire était qu'il le faisait devant leurs autres camarades. Denis n'en revenait pas.
Il se disait que les déviants n'étaient vraiment que des bêtes qui ne pensaient qu'au sexe … Contrairement à eux, les puritains, qui savaient garder la tête froide et rester calme en toutes circonstances.
Le gars que Denis admirait depuis un long moment maintenant poussait des cris de plaisir,son camarade continuait à le masturber. Ils se tortillaient l'un contre l'autre jusqu'au moment ou Denis voyait le premier homme cracher un jet de sperme. Il criait de plaisir, se raidissait, il éjaculait de nouveau puis se retournait vers son camarade et échangeait un gros câlin avec.
Les autres homme de cette étrange communauté de débauchés applaudissaient en voyant comment ça se terminait.
Denis était dégoûte, ils ne pensaient donc qu'au sexe. Lui par exemple n'y pensait plus, mais plus du tout. Il se demandait comment ses camarades à lui réagiraient quand il leur raconterait cette affaire.
Puis il se disait que finalement il ne leur raconterait peut être pas … Certainement pas. Comment pourrait-il justifier sa présence.
Mais c'est vrai que les déviants ne pensent qu'au sexe, il revenait vers la pension, sans se faire voir. Il regardait tous les hommes qu'il croisait à partir de ce moment avec un regard de désir et de curiosité. Il se demanderait toujours si l'homme qu'il avait devant lui portait ou pas un dispositif de chasteté.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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Il ne va pas tarder à passer à la casserole le p'tit Denis...