Le jeune Denis Ep06 Obsession
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le jeune Denis Ep06 Obsession
Bon, là ça l'avait calmé. Deux bites dans le cul pour une première fois, ça calme même les plus énervés. En plus c'était aussi la première fois qu'un mec le touchait. Il n'avait jamais ne serais-ce que flirté, et là brusquement il se faisait péter la rondelle deux fois de suite. Remarquez, c'est vrai que c'était pas prévu.
Enfin il l'a senti passer. Il l'a senti pendant plusieurs jours, au niveau de sa cage, il ne bandait plus pendant au moins … une journée entière …
On peut prendre son pied de cette manière là mais il faut y aller en douceur, et là il y était allé un peu fort. Il savait qu'il recommencerait, il savait qu'il pourrait y prendre un immense plaisir mais il savait aussi qu'il lui faudrait un peu de temps. Beaucoup même peut être.
Denis avait parfaitement compris qu'il ne retirerait peut être jamais son dispositif. Il l'avait accepté. Maintenant il découvrait que ne serait pas un rejet du plaisir, il pouvait connaître l'orgasme avec son cul.
Ce ne serait pas avec ces camarades puritains, mais il y avait les déviants. Jadis on lui avait appris à les mépriser mais là il commençait à s'intéresser à eux.
Dans la journée, dans le cadre protégé de la pension tout se passait calmement. La journée se passait sans qu'on ait besoin de ne penser à rien, sauf quand un érection sauvage se manifestait. Mais seule la personne concernée s'en rendait compte. Les dispositifs de chasteté sont diaboliques et même sous la douche on ne montre rien.
Parfois la queue gonfle un peu et peut prendre toute la place mais il n'y a pas forcément de la pression. La peau peut faire des bourrelets qui ressortent par les trous d'aération, ce n'est pas forcément la marque d'une grosse pression dans la cage. Le plus souvent ça reste très confortable. Seul le porteur peut savoir si c'est désagréable ou pas.
Donc même sous la douche, pour ceux qui la prennent dans la salle commune, il est impossible en voyant leurs cage de déterminer ce qu'ils ressentent. La règle était de ne pas se plaindre, sauf bien sûr si le gêne ou la douleur n'était pas normal.
Denis se comportait comme on attendait qu'il le fasse mais quand il sortait de la pension, pour une balade en forêt ou au village là, c'était différent. Il avait bien fini par comprendre que les neufs dixièmes de personne qui portaient une cage à bite était un chiffre très exagéré, c'était pourtant le chiffre annoncé par sa communauté. La proportion réelle n'était peut être même pas l'inverse.
En fait les porteurs étaient ultra minoritaires, presque une exception, mais la communauté était tellement soudée et refermée que, vu de l'intérieure on pouvait y croire. Denis y avait cru mais il se rendait compte que tout ça, c'était des conneries.
Quand il sortait de la colonie, Denis était aux aguets, il regardait, fixait même quelquefois, le cul des gens qu'il croisait. Les femmes ne l'intéressaient pas vraiment mais les hommes oui. La force et l'épaisseur de leurs cuisses. La musculature de leurs bras, la largeur de leurs épaules mais surtout la bosse qu'il avaient entre leurs cuisses.
Il tentait de deviner si l'homme qu'il rencontrait portait ou pas un dispositif de chasteté. Il tentait de deviner à leurs comportements s'ils étaient actif, c'est à dire non porteur, ou passif.
Quelquefois ça ne faisait aucun doute, surtout sous les vêtements de sport, les maillot de bain en particulier, on devinait une forme longue qui se terminait par le gland, c'était là une forme caractéristique qui ne trompait pas.
Le maillot de bain devenait un vêtement terriblement sexy. ( pas que pour lui remarquez, NDL ). Mais pour lui, voir un sexe masculin au travers d'un tel vêtements, enfin quand je dis voir, apercevoir, avoir l'impression de pouvoir deviner lui mettait la cervelle en ébullition.
Un peu comme ce jour ou on ne se souvient plus trop à quelle occasion avec plusieurs de ses camarades ils s'étaient retrouvés à la piscine municipale. Elle était bien pleine, Denis regardait toutes ces bosses, sous un maillot de bain, elle ressortaient bien. Denis devinait facilement si celui-ci portait une cage ou pas …
Aucun des gens croisés ce jour là ne portaient un tel dispositif, ça ne faisait aucun doute, sauf peut être le gros balaise. Qui faisait des longueurs de piscine. Quand il sortait de l'eau Denis ne parvenait pas à savoir. Il montrait une très belles bosse bien ronde, bien ferme, sans aucun relief.
Denis se posait des questions et ça l'agaçait. Sa queue le torturait mais il n'en montrait rien. Ce jeune homme était vraiment magnifique, il avait des muscles un peu partout mais surtout des muscles très bien proportionnés.
Le regard insistant de Denis finissait par le faire remarquer.
La piscine était extérieure, il y avait un jardin à proximité, le beau garçon bien bâti se dirigeait vers un coin discret du jardin, Denis le suivait. ( Et après ça il va encore se plaindre NDL )
Le nageur disparaissait derrière un buisson, Denis s'approchait. On le saisissait par le bras avec force, Denis sursautait, c'était le nageur que Denis suivait, il le faisait distraitement certes mais il le suivait. Le garçon était costaud et Denis n'avait de toutes façons pas la force pour résister.
Son cœur battait vite, très vite, c'était un instant de panique qui l'envahissait. Une panique qu'il recherchait, une panique qui lui plaisait. Là il ne contrôlait plus rien.
– J'ai bien l'impression que c'est moi que tu suis, tu me veux quoi bonhomme ?
– Heu ! Parvenait à bafouiller Denis. ( Ah il est fort Denis, il arrive à bafouiller en ne prononçant qu'une seule syllabe … NDL )
Le nageur glissait sa main dans son slip de bain, le rabaissait et en sortait son sexe.
– Si c'est ça que tu veux, il suffit de demander.
Denis avait la tête en feu. De prêt il était encore plus beau que de loin, et son sexe était magnifique. Il ne portait pas de cage, il avait simplement relevé ses couilles qui formaient une grosse boule. Ça le mettait très en valeur sans pour autant laisser apparaître une forme trop explicite. Ça lui donnait une bosse ronde et de forme douce.
Denis fondait de désir en voyant la queue de ce jeune homme se développer, se détendre, elle était de belle taille, il était circoncis. Il remuait sa bite qui rapidement affichait près de vingt centimètre sur une belle longueur.
Denis avait la tête en feu, et pour ça cage, ça n'allait pas mieux. Sans rien montrer sa queue forçait contre la cage, c'était un peu douloureux mais Denis commençait à avoir l'habitude. Il se penchait et sans hésiter, c'était bien cela qu'il voulait. Il prenait la queue du jeune sportif dans la bouche, et la caressait avec sa langue.
– Il me semblait bien que c'était ça que tu voulais. Commentait le nageur.
Ils étaient dans un coin discret, de gros buissons les cachaient à la vue du public. Le nageur s'installait, assis les jambes écartées et le dos appuyé contre un petit arbre. Il regardait ce jeune homme qu'il ne connaissait pas mais qui semblait vouloir lui faire plaisir.
Denis se souvenait comment on se masturbe, ce n'était pas si vieux que ça pour lui. Et puis la branlette, c'est un peu comme la bicyclette, ça ne s'oublie pas.
Il humectait généreusement le gland de ce très bel homme puis le caressait avec la main, il le caressait aussi avec la langue.
Il appuyait sa tête et tentait de tout bien avaler. C'était une première pour Denis, il sentait la queue entrer dans sa bouche, elle était large. Il sentait aussi le gland glisser dans sa gorge.
Là il ne s'y attendait pas mais ça devenait dur. Il ne pouvait plus respirer. Il devait se calmer. Il fallait qu'il marque des poses sous peine de s'étouffer. Mais quand il forçait, son nez finissait par toucher le ventre de son partenaire.
Le partenaire posait une main sur la tête de Denis et au début lui caressait les cheveux. C'est ainsi encouragé que Denis redoublait d'efforts, il inspirait bien à fond puis appuyait sa tête le plus possible. Le gland de son partenaire glissait dans sa gorge.
Denis ne parvenait même plus à déterminer à quel endroit la queue de son camarade glissait, c'était dans sa gorge, dans son cou. Il devait synchroniser parfaitement sa respiration pour ne pas vomir. Mais il en voulait le jeune Denis, il en voulait et c'était évident qu'il y prenait un vrai plaisir.
Le jeune nageur qui se faisait sucer gémissait par moment, d’où il était, il pouvait sans se faire remarquer regarder tout autour de lui. Et si quelqu'un venait à s'approcher, il le remarquerait.
Je jeune Denis appuyait la tête et la relevait en accélérant le mouvement, il glissait sa langue contre le gland du jeune sportif dès qu'il passait. Il forçait et appuyait de toutes ses forces avec sa langue, le jeune nageur tremblait par moment.
Il commençait à explorer le corps de Denis.
– On dirait que tu ne bandes pas ! Faisait-il remarquer.
Il continuait, sa main arrivait sur les couilles de Denis, il semblait désorienté mais rapidement il comprenait.
– Mince alors ! Tu es un puritain ! C'est la première fois que je tombe sur un puritain. On m'avait bien dit que vous aimez sucer mais là je ne m'y attendais pas.
Il laissait Denis continuer, et Denis encourager par les caresses sur ses cheveux tentait de se surpasser.
– Je t'aurais bien pété le cul mais là on se ferait remarquer.
Denis ne savait pas s'il devait se réjouir ou pas. La dernière fois ça lui avait fait mal, mais vraiment très mal. Il savait que ça pouvait faire du bien aussi, il savait, il l'avait deviné, ça pouvait aussi faire jouir. Et là il avait envie de recommencer.
Il continuait à sucer, il appuyait sa tête et quand il la relevait il caressait avec force la queue du jeune nageur. Puis il recommençait de plus en plus vite. Denis bavait, il ne se retenait plus, il ne se contrôlait plus, il était pris par une frénésie quand brusquement son partenaire appuyait sur la tête pour l'empêcher de la relever.
Denis ne comprenait pas mais dans la seconde qui suivait, il recevait un jet de sperme dans la gorge, il ne s'y attendait pas et tentait de se retirer mais le jeune homme le retenait.
– Ne bouge pas bonhomme, avale ! Tu ne voudrait pas qu'on en mette partout. C'est un coup à se faire remarquer.
Il continuait à éjaculer un autre puis encore un autre jet de sperme, ils devaient être important, Denis ne savais pas, ne savait plus. Il relevait la tête mais pas totalement, le garçon l'obligeait à conserver son gland dans sa bouche.
– Avale je te dis, il ne faut rien perdre.
Toujours serviable ou peut être seulement obéissant, Denis faisait ce que lui disait son beau nageur. Il avalait, il avalait tant qu'il pouvait. Finalement il ne laissait rien passer.
Il suçait toujours, et il avalait toujours tout ce qu'il pouvait quand il relevait la tête. Il avait évité toutes les fuites. Le nageur était content en relevant son maillot de bain.
Là on pouvait voir une forme allongée de grosse taille.
– On va attendre un peu. Disait le nageur. Alors tu viens souvent ici. La prochaine fois je t'emmène chez moi et je te pète le cul.
Denis ne disait rien et continuait à avaler sa salive, il essuyait son visage avec la main.
– Tu me montres ton truc ? Demandait le beau nageur.
Toujours sans rien dire, Denis baissait son maillot de bain. Son camarade s'amusait à lui tripoter les couilles et s'amusait quelques secondes avec la cage.
– Cool ce genre de truc, c'est pas pour moi mais c'est cool !
Peu après ils se sont séparé, Denis s'est glissé sous la douche. Quand il en est sorti son beau nageur avait disparu. Il traînait encore un petit moment. Il regardait avec toujours le même regard avide toutes les bosses de tous les garçons. On était dans une piscine, c'était l'endroit idéal, avec les maillots de bain, il y en avait partout.
Denis n'était pas calmé, au contraire même. Il avait un peu mal à la mâchoire mais il en voulait encore plus, ce qu'il voulait c'était un coup de bite dans le cul, même si ça devait lui faire très mal.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Enfin il l'a senti passer. Il l'a senti pendant plusieurs jours, au niveau de sa cage, il ne bandait plus pendant au moins … une journée entière …
On peut prendre son pied de cette manière là mais il faut y aller en douceur, et là il y était allé un peu fort. Il savait qu'il recommencerait, il savait qu'il pourrait y prendre un immense plaisir mais il savait aussi qu'il lui faudrait un peu de temps. Beaucoup même peut être.
Denis avait parfaitement compris qu'il ne retirerait peut être jamais son dispositif. Il l'avait accepté. Maintenant il découvrait que ne serait pas un rejet du plaisir, il pouvait connaître l'orgasme avec son cul.
Ce ne serait pas avec ces camarades puritains, mais il y avait les déviants. Jadis on lui avait appris à les mépriser mais là il commençait à s'intéresser à eux.
Dans la journée, dans le cadre protégé de la pension tout se passait calmement. La journée se passait sans qu'on ait besoin de ne penser à rien, sauf quand un érection sauvage se manifestait. Mais seule la personne concernée s'en rendait compte. Les dispositifs de chasteté sont diaboliques et même sous la douche on ne montre rien.
Parfois la queue gonfle un peu et peut prendre toute la place mais il n'y a pas forcément de la pression. La peau peut faire des bourrelets qui ressortent par les trous d'aération, ce n'est pas forcément la marque d'une grosse pression dans la cage. Le plus souvent ça reste très confortable. Seul le porteur peut savoir si c'est désagréable ou pas.
Donc même sous la douche, pour ceux qui la prennent dans la salle commune, il est impossible en voyant leurs cage de déterminer ce qu'ils ressentent. La règle était de ne pas se plaindre, sauf bien sûr si le gêne ou la douleur n'était pas normal.
Denis se comportait comme on attendait qu'il le fasse mais quand il sortait de la pension, pour une balade en forêt ou au village là, c'était différent. Il avait bien fini par comprendre que les neufs dixièmes de personne qui portaient une cage à bite était un chiffre très exagéré, c'était pourtant le chiffre annoncé par sa communauté. La proportion réelle n'était peut être même pas l'inverse.
En fait les porteurs étaient ultra minoritaires, presque une exception, mais la communauté était tellement soudée et refermée que, vu de l'intérieure on pouvait y croire. Denis y avait cru mais il se rendait compte que tout ça, c'était des conneries.
Quand il sortait de la colonie, Denis était aux aguets, il regardait, fixait même quelquefois, le cul des gens qu'il croisait. Les femmes ne l'intéressaient pas vraiment mais les hommes oui. La force et l'épaisseur de leurs cuisses. La musculature de leurs bras, la largeur de leurs épaules mais surtout la bosse qu'il avaient entre leurs cuisses.
Il tentait de deviner si l'homme qu'il rencontrait portait ou pas un dispositif de chasteté. Il tentait de deviner à leurs comportements s'ils étaient actif, c'est à dire non porteur, ou passif.
Quelquefois ça ne faisait aucun doute, surtout sous les vêtements de sport, les maillot de bain en particulier, on devinait une forme longue qui se terminait par le gland, c'était là une forme caractéristique qui ne trompait pas.
Le maillot de bain devenait un vêtement terriblement sexy. ( pas que pour lui remarquez, NDL ). Mais pour lui, voir un sexe masculin au travers d'un tel vêtements, enfin quand je dis voir, apercevoir, avoir l'impression de pouvoir deviner lui mettait la cervelle en ébullition.
Un peu comme ce jour ou on ne se souvient plus trop à quelle occasion avec plusieurs de ses camarades ils s'étaient retrouvés à la piscine municipale. Elle était bien pleine, Denis regardait toutes ces bosses, sous un maillot de bain, elle ressortaient bien. Denis devinait facilement si celui-ci portait une cage ou pas …
Aucun des gens croisés ce jour là ne portaient un tel dispositif, ça ne faisait aucun doute, sauf peut être le gros balaise. Qui faisait des longueurs de piscine. Quand il sortait de l'eau Denis ne parvenait pas à savoir. Il montrait une très belles bosse bien ronde, bien ferme, sans aucun relief.
Denis se posait des questions et ça l'agaçait. Sa queue le torturait mais il n'en montrait rien. Ce jeune homme était vraiment magnifique, il avait des muscles un peu partout mais surtout des muscles très bien proportionnés.
Le regard insistant de Denis finissait par le faire remarquer.
La piscine était extérieure, il y avait un jardin à proximité, le beau garçon bien bâti se dirigeait vers un coin discret du jardin, Denis le suivait. ( Et après ça il va encore se plaindre NDL )
Le nageur disparaissait derrière un buisson, Denis s'approchait. On le saisissait par le bras avec force, Denis sursautait, c'était le nageur que Denis suivait, il le faisait distraitement certes mais il le suivait. Le garçon était costaud et Denis n'avait de toutes façons pas la force pour résister.
Son cœur battait vite, très vite, c'était un instant de panique qui l'envahissait. Une panique qu'il recherchait, une panique qui lui plaisait. Là il ne contrôlait plus rien.
– J'ai bien l'impression que c'est moi que tu suis, tu me veux quoi bonhomme ?
– Heu ! Parvenait à bafouiller Denis. ( Ah il est fort Denis, il arrive à bafouiller en ne prononçant qu'une seule syllabe … NDL )
Le nageur glissait sa main dans son slip de bain, le rabaissait et en sortait son sexe.
– Si c'est ça que tu veux, il suffit de demander.
Denis avait la tête en feu. De prêt il était encore plus beau que de loin, et son sexe était magnifique. Il ne portait pas de cage, il avait simplement relevé ses couilles qui formaient une grosse boule. Ça le mettait très en valeur sans pour autant laisser apparaître une forme trop explicite. Ça lui donnait une bosse ronde et de forme douce.
Denis fondait de désir en voyant la queue de ce jeune homme se développer, se détendre, elle était de belle taille, il était circoncis. Il remuait sa bite qui rapidement affichait près de vingt centimètre sur une belle longueur.
Denis avait la tête en feu, et pour ça cage, ça n'allait pas mieux. Sans rien montrer sa queue forçait contre la cage, c'était un peu douloureux mais Denis commençait à avoir l'habitude. Il se penchait et sans hésiter, c'était bien cela qu'il voulait. Il prenait la queue du jeune sportif dans la bouche, et la caressait avec sa langue.
– Il me semblait bien que c'était ça que tu voulais. Commentait le nageur.
Ils étaient dans un coin discret, de gros buissons les cachaient à la vue du public. Le nageur s'installait, assis les jambes écartées et le dos appuyé contre un petit arbre. Il regardait ce jeune homme qu'il ne connaissait pas mais qui semblait vouloir lui faire plaisir.
Denis se souvenait comment on se masturbe, ce n'était pas si vieux que ça pour lui. Et puis la branlette, c'est un peu comme la bicyclette, ça ne s'oublie pas.
Il humectait généreusement le gland de ce très bel homme puis le caressait avec la main, il le caressait aussi avec la langue.
Il appuyait sa tête et tentait de tout bien avaler. C'était une première pour Denis, il sentait la queue entrer dans sa bouche, elle était large. Il sentait aussi le gland glisser dans sa gorge.
Là il ne s'y attendait pas mais ça devenait dur. Il ne pouvait plus respirer. Il devait se calmer. Il fallait qu'il marque des poses sous peine de s'étouffer. Mais quand il forçait, son nez finissait par toucher le ventre de son partenaire.
Le partenaire posait une main sur la tête de Denis et au début lui caressait les cheveux. C'est ainsi encouragé que Denis redoublait d'efforts, il inspirait bien à fond puis appuyait sa tête le plus possible. Le gland de son partenaire glissait dans sa gorge.
Denis ne parvenait même plus à déterminer à quel endroit la queue de son camarade glissait, c'était dans sa gorge, dans son cou. Il devait synchroniser parfaitement sa respiration pour ne pas vomir. Mais il en voulait le jeune Denis, il en voulait et c'était évident qu'il y prenait un vrai plaisir.
Le jeune nageur qui se faisait sucer gémissait par moment, d’où il était, il pouvait sans se faire remarquer regarder tout autour de lui. Et si quelqu'un venait à s'approcher, il le remarquerait.
Je jeune Denis appuyait la tête et la relevait en accélérant le mouvement, il glissait sa langue contre le gland du jeune sportif dès qu'il passait. Il forçait et appuyait de toutes ses forces avec sa langue, le jeune nageur tremblait par moment.
Il commençait à explorer le corps de Denis.
– On dirait que tu ne bandes pas ! Faisait-il remarquer.
Il continuait, sa main arrivait sur les couilles de Denis, il semblait désorienté mais rapidement il comprenait.
– Mince alors ! Tu es un puritain ! C'est la première fois que je tombe sur un puritain. On m'avait bien dit que vous aimez sucer mais là je ne m'y attendais pas.
Il laissait Denis continuer, et Denis encourager par les caresses sur ses cheveux tentait de se surpasser.
– Je t'aurais bien pété le cul mais là on se ferait remarquer.
Denis ne savait pas s'il devait se réjouir ou pas. La dernière fois ça lui avait fait mal, mais vraiment très mal. Il savait que ça pouvait faire du bien aussi, il savait, il l'avait deviné, ça pouvait aussi faire jouir. Et là il avait envie de recommencer.
Il continuait à sucer, il appuyait sa tête et quand il la relevait il caressait avec force la queue du jeune nageur. Puis il recommençait de plus en plus vite. Denis bavait, il ne se retenait plus, il ne se contrôlait plus, il était pris par une frénésie quand brusquement son partenaire appuyait sur la tête pour l'empêcher de la relever.
Denis ne comprenait pas mais dans la seconde qui suivait, il recevait un jet de sperme dans la gorge, il ne s'y attendait pas et tentait de se retirer mais le jeune homme le retenait.
– Ne bouge pas bonhomme, avale ! Tu ne voudrait pas qu'on en mette partout. C'est un coup à se faire remarquer.
Il continuait à éjaculer un autre puis encore un autre jet de sperme, ils devaient être important, Denis ne savais pas, ne savait plus. Il relevait la tête mais pas totalement, le garçon l'obligeait à conserver son gland dans sa bouche.
– Avale je te dis, il ne faut rien perdre.
Toujours serviable ou peut être seulement obéissant, Denis faisait ce que lui disait son beau nageur. Il avalait, il avalait tant qu'il pouvait. Finalement il ne laissait rien passer.
Il suçait toujours, et il avalait toujours tout ce qu'il pouvait quand il relevait la tête. Il avait évité toutes les fuites. Le nageur était content en relevant son maillot de bain.
Là on pouvait voir une forme allongée de grosse taille.
– On va attendre un peu. Disait le nageur. Alors tu viens souvent ici. La prochaine fois je t'emmène chez moi et je te pète le cul.
Denis ne disait rien et continuait à avaler sa salive, il essuyait son visage avec la main.
– Tu me montres ton truc ? Demandait le beau nageur.
Toujours sans rien dire, Denis baissait son maillot de bain. Son camarade s'amusait à lui tripoter les couilles et s'amusait quelques secondes avec la cage.
– Cool ce genre de truc, c'est pas pour moi mais c'est cool !
Peu après ils se sont séparé, Denis s'est glissé sous la douche. Quand il en est sorti son beau nageur avait disparu. Il traînait encore un petit moment. Il regardait avec toujours le même regard avide toutes les bosses de tous les garçons. On était dans une piscine, c'était l'endroit idéal, avec les maillots de bain, il y en avait partout.
Denis n'était pas calmé, au contraire même. Il avait un peu mal à la mâchoire mais il en voulait encore plus, ce qu'il voulait c'était un coup de bite dans le cul, même si ça devait lui faire très mal.
A suivre
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