Le jeune hétéro - histoire érotique

Me revoilà pour une autre histoire. Il y a quelques mois, j’étais dans un bar de nuit. Je buvais un verre avec des amis, quand, je remarque un jeune mec qui me regarde avec insistance, d’ailleurs un très beau regard. Comme c’est un bar mixte (homo/hétéro) je réponds à ses regards. Puis, voulant aller plus loin, je demande au serveur de lui offrir une coupe de ma part. La coupe servie, il vient à ma rencontre pour trinquer.
- bonsoir je m’appelle J.
-moi c’est S.
J - pourquoi tu m’offres un verre.
S - hé bien, nous nous regardons depuis plusieurs minutes et je n’aime pas les histoires sans paroles.
Il parait amusé de ma réponse et nous discutons très peu car il doit rentrer. Il me laisse son numéro de téléphone sur un bout de papier. D’habitude, je n’aime pas trop appeler les personnes, mais là, l’occasion est trop belle. Est il hétéro ou homo? Je veux en avoir le cœur net.
Quelques jours après, je l’appelle. Je tombe sur le répondeur, je laisse un message en lui demandant de me rappeler. Alors que je suis chez mes amis en soirée, mon téléphone sonne c’est J, je m’isole ce qui intrigue mes amis. Après les politesses d’usage, il me demande pourquoi je l’ai appelé. Je lui explique que je sort ce soir dans le bar où l’on s’est rencontré et que j’aimerais l’y voir pour qu’on fasse plus ample connaissance. Il me répond qu’il ne peux pas, il a autre chose de prévue et il me demande de le rappeler plus tard . Je réponds ok.
Quand nous allons, mes amis et moi au bar, surprise, il y est, en compagnie d’une superbe jeune fille et il fait mine de m’ignorer. Très bien… Je pense que c’est un petit con d’hétéro allumeur.
Bien plus tard, dans la soirée je décide de rentrer. Les verres d’alcool ingurgités et la fatigue me poussent a aller me coucher. Alors que je rentre chez moi, à pied ( le bar n’est pas loin de chez moi) j’entends derrière moi :
J - hé attends, où tu vas ?
Moi - je rentre chez moi, je suis fatigué et un peu saoul et de plus, tu m’ignore. Si tu crois que tu va t’amuser longtemps avec moi, tu te trompe.
J - non je ne m’amuse pas et si tu veux, je viens chez toi maintenant. On peux discuter, je préfère, c’est plus discret.
La peur de l’hétéro qui ne veux pas qu’on le voit avec un homo. Mais j’accepte. Bien évidemment, l’ opportunité est trop belle
Arrivé chez moi, je lui offre un verre et nous discutons un peu.
Une petite description de lui. Il a 25 ans, Il n’est pas très grand, mince, mais il parait bien dessiné. Je distingue de beaux biceps à travers son t-shirt et j’ai remarqué qu’il a un joli petit cul. Il a des cheveux bruns et des yeux bleus avec des sourcils très noirs et de longs cils, ce qui accentue son regard. Ce qui me plait le plus, c’est son sourire un peu gamin et sa voix si grave dans un si petit corps.
La discussion tourne autour de nous, ce que je fait, lui serveur en arrêt de travail. Ce que je suis, homo, hétéro, si je suis célibataire…
Je suis très fatigué et lui aussi, je lui dis& que je vais aller me coucher, il me demande :
- je peux dormir ici, j’ai pas envie de rentrer chez moi.
- ok, je te déplie le clic clac.
J - non, je peux dormir avec toi ? Mais tu ne me viole pas d’accord ?
J’hésite un instant. Je vous avez déjà expliqué que personne dort dans mon lit, mis à part moi, ou le mec avec qui je sort. A ce moment, je suis célibataire, de plus, j’ai pas le courage de défaire le clic clac et de toute façon je ne peux rien faire sexuellement. J’accepte, mais il me fait promettre de ne rien tenter.
On se couche, moi à poil, lui très discrètement avec son boxer. La peur que je vois, ou touche son petit oiseau. Mais je respecte toujours ma parole, j’ai promis.
Mais pendant la nuit, je vais suis surpris par la tendresse dont il va faire preuve. Durant toute la nuit, il va vouloir toujours un contact avec moi. Sa main sur mon torse, sa jambe sur la mienne, il va même se coller derrière moi. Bien sur, j’ai eu des érections, c’est sûr avec un minou qui me touche et me caresse. Mais je tient ma parole, je ne tente rien. J’avoue aussi que j’étais assez fatigué.
C’est au matin, vers 11h, je me réveil doucement, je sent qu’il est collé derrière moi. Il dort ou pas ? Mais je sent son souffle contre mon dos et petit à petit, je sens qu’il presse son bassin contre mes fesses. Je ne sens pas son sexe, il ne bande pas encore. Je me laisse faire et ses pressions deviennent plus fortes. Du coup, je réponds en cambrant doucement les reins. Sa réponse est immédiate, très vite, je sens un truc dur et chaud, grossir entre mes cuisses. Il a l’air bien membré. Il va longtemps continuer a presser son sexe sur mes fesses. Moi, bien excité, j’écarte un peu plus mes fesses en relevant une jambe, son sexe coulisse entre mes fesses. Je sent bien son gland se frotter conte mon anus, qui commence déjà a se dilater. La situation devient torride. Il me souffle dans le dos :
- j’ai envie que tu me suces.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je me retourne, il s’allonge sur le dos je me retrouve entre ses jambes, une bonne queue dans la bouche. Bien vite il grogne de plaisir, en me répétant que je suce très bien. Mais j’ai pas envie de seulement le sucer, je n’aime pas faire que ça. Je me place perpendiculairement à lui. Le message est clair, mais il me caresse seulement les fesses et presse ses doigts sur mon trou.
Il est tellement chaud qu’il me demande :
- t’a des préservatifs ?
- oui.
Je vais vite en chercher sans oublier le gel. Sa bite est hyper dure et prête à l’emploi. Je lui déroule un préservatif sur la bite et l’enduit abondamment de gel. Je lubrifie aussi mon anus ardent et je le chevauche, c’est moi qui dirige les opérations. Je prends son beau sexe turgescent et place son gland sur mon anus. Je m’assieds délicatement sur sa bite, qui rentre sans problèmes, l’excitation sans doute. Je sens ses poils pubiens sur mes fesses, ce qui veut dire qu’il est entièrement en moi, de plus, je ressens bien son engin dans mon cul. C’est si bon, nous gémissons de plaisir en cœur. Puis, je commence a monter et descendre sur son sexe raide, dur et brulant. C’est trop délicieux, je suis si excité que mes mouvements sont de plus en plus rapides. Je me baise moi-même sur son sexe. C’est divin, mais dans un cri de bonheur, je jouis en répandant une grosse quantité de sperme sur son ventre et son torse. Quelques gouttes vont même se perdre sur son cou et son menton. Superbe et irrésistible jouissance, je suis exténué. Je m’allonge à côté de lui un instant, puis vais chercher de quoi l’essuyer. Il va se laver et revient dans le lit. Dans son regard je perçois son envie de jouir lui aussi. Je me met à la tâche, je ne suis pas égoïste. Mais même si je le suce pendant longtemps à en avoir mal aux mâchoires, il n’a pas craché, il a même débandé. C’est bien la première fois que ça m’arrive.
Il me dit que c’est l’alcool et part en me faisant un tout premier baiser très doux.
A suivre.

Seithan.