Le jeune hétéro 3
Récit érotique écrit par Seitan [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le jeune hétéro 3
Voici le troisième épisode de mon histoire avec J. Donc plusieurs fois nous avons été
dérangé dans nos préliminaires. De plus, comme J vient toujours à l’improviste, je ne
peux rien prévoir.
Un soir, je passe la soirée avec mon ami d’enfance D, lui aussi est homo. Quand vers
minuit, on sonne à ma porte, je n’attends pourtant personne. C’est J, et bien sur, mon
ami au courant de
mes aventures, va le draguer toute la soirée pour « se le faire », mais J ne veut pas.
Mais plus tard ils l’on fait
Nous sommes sortie, puis à la fin de la soirée, J a voulu dormir chez moi. Nous avons
dormi, comme d’habitude, toujours en ayant un contact tendre et câlin. Le matin,
couché sur le côté gauche,
je suis réveillé par mon voisin de lit. Il est collé derrière moi et presse son bassin
contre le mien et je ressent aussi un truc dur au bas de mon dos. Bien vite je me
rends compte de la situation.
Après m’être bien réveillé, je commence a bouger mon cul pour que sa bite bien grosse
et dure glisse entre mes fesses. J’adore sentir une queue en érection et ardente qui
coulisse entre mes fesses
avant de me pénétrer. Ça m’excite terriblement et je sent mon anus se dilater. Ça rend
aussi J, fou de désir quand j’ondule mon bassin, en écartant et serrant mes fesses sur
sa bite.
Ces préliminaires vont durer de longues minutes. Il souffle dans mon dos.
- j’ai envie de toi.
J’attrape un préservatif et du gel dans la table de nuit et je lui demande de
l’enfiler, pendant que moi je m’enduit copieusement le cul de gel. Puis, je passe une
main derrière mon dos et j’enduis sa
queue du reste du gel que j’ai sur la main. Je place son gland chaud sur mon anus
brulant. Je pousse mon bassin vers lui et son gland écarte les parois de mon cul, mon
anus s’ouvre pour laisser rentrer
sa queue dans mon conduit. J accompagne mon mouvement pour me pénétrer jusqu’au
couilles. Je sent ses poils pubien sur mes fesses, il est au plus profond de moi. Je
pousse un long soupir de satisfaction
si proche de la douleur. Je le sens bien, il reste immobile pendant quelques minutes,
pour que je m’ habitue à la grosseur de l’engin, avant d’entamer de longs va et
vient. Très lentement, il va faire
monter la pression et je commence déjà a gémir de bonheur. Il me relève la jambe
droite pour aller encore plus loin dans mon cul. Petit à petit, ses mouvements
deviennent de plus en plus puissant et il
respire de plus en plus fort. Puis, Il me prends fermement par les hanches et me
bourre comme un forcené, je cri de bien être. Je sens que du bout de ma queue,
s’écoule du liquide séminale et je commence
a me masturber. Et, J, de quelques derniers coups de reins pourfendeur, avec un cri
très rauque, jouit en criant et giclant abondement sa semence qui se repend dans le
réservoir du préservatif.
J’ai l’impression de sentir son sperme brulant dans mon cul, ce qui me fait jouir
immédiatement, j’éjacule tout mon jus sur les draps. Puis il se retire enfin. On reste
allongés sans bouger pendant
de longues minutes, histoire de reprendre nos esprits.
Ce petit con (qu’il me fait dire) me dira :
- alors heureuse ?
J’aime pas qu’il me mette au féminin, je lui réponds :
- non, comblé et dans les deux sens.
Puis il va prendre une douche, se rhabiller et partir.
Depuis, il est repassé chez moi, mais il ne s’est encore rien passer d’autre. Je sait
qu’il en meurt d’envie, mais j’aime le faire patienter, comme ça il sait que c’est moi
qui décide et quand j’ai envie ou pas.
Seithan.
dérangé dans nos préliminaires. De plus, comme J vient toujours à l’improviste, je ne
peux rien prévoir.
Un soir, je passe la soirée avec mon ami d’enfance D, lui aussi est homo. Quand vers
minuit, on sonne à ma porte, je n’attends pourtant personne. C’est J, et bien sur, mon
ami au courant de
mes aventures, va le draguer toute la soirée pour « se le faire », mais J ne veut pas.
Mais plus tard ils l’on fait
Nous sommes sortie, puis à la fin de la soirée, J a voulu dormir chez moi. Nous avons
dormi, comme d’habitude, toujours en ayant un contact tendre et câlin. Le matin,
couché sur le côté gauche,
je suis réveillé par mon voisin de lit. Il est collé derrière moi et presse son bassin
contre le mien et je ressent aussi un truc dur au bas de mon dos. Bien vite je me
rends compte de la situation.
Après m’être bien réveillé, je commence a bouger mon cul pour que sa bite bien grosse
et dure glisse entre mes fesses. J’adore sentir une queue en érection et ardente qui
coulisse entre mes fesses
avant de me pénétrer. Ça m’excite terriblement et je sent mon anus se dilater. Ça rend
aussi J, fou de désir quand j’ondule mon bassin, en écartant et serrant mes fesses sur
sa bite.
Ces préliminaires vont durer de longues minutes. Il souffle dans mon dos.
- j’ai envie de toi.
J’attrape un préservatif et du gel dans la table de nuit et je lui demande de
l’enfiler, pendant que moi je m’enduit copieusement le cul de gel. Puis, je passe une
main derrière mon dos et j’enduis sa
queue du reste du gel que j’ai sur la main. Je place son gland chaud sur mon anus
brulant. Je pousse mon bassin vers lui et son gland écarte les parois de mon cul, mon
anus s’ouvre pour laisser rentrer
sa queue dans mon conduit. J accompagne mon mouvement pour me pénétrer jusqu’au
couilles. Je sent ses poils pubien sur mes fesses, il est au plus profond de moi. Je
pousse un long soupir de satisfaction
si proche de la douleur. Je le sens bien, il reste immobile pendant quelques minutes,
pour que je m’ habitue à la grosseur de l’engin, avant d’entamer de longs va et
vient. Très lentement, il va faire
monter la pression et je commence déjà a gémir de bonheur. Il me relève la jambe
droite pour aller encore plus loin dans mon cul. Petit à petit, ses mouvements
deviennent de plus en plus puissant et il
respire de plus en plus fort. Puis, Il me prends fermement par les hanches et me
bourre comme un forcené, je cri de bien être. Je sens que du bout de ma queue,
s’écoule du liquide séminale et je commence
a me masturber. Et, J, de quelques derniers coups de reins pourfendeur, avec un cri
très rauque, jouit en criant et giclant abondement sa semence qui se repend dans le
réservoir du préservatif.
J’ai l’impression de sentir son sperme brulant dans mon cul, ce qui me fait jouir
immédiatement, j’éjacule tout mon jus sur les draps. Puis il se retire enfin. On reste
allongés sans bouger pendant
de longues minutes, histoire de reprendre nos esprits.
Ce petit con (qu’il me fait dire) me dira :
- alors heureuse ?
J’aime pas qu’il me mette au féminin, je lui réponds :
- non, comblé et dans les deux sens.
Puis il va prendre une douche, se rhabiller et partir.
Depuis, il est repassé chez moi, mais il ne s’est encore rien passer d’autre. Je sait
qu’il en meurt d’envie, mais j’aime le faire patienter, comme ça il sait que c’est moi
qui décide et quand j’ai envie ou pas.
Seithan.
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