Le Jeune Marqui (40/x)

- Par l'auteur HDS MaitreChat2 -
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Récit libertin : Le Jeune Marqui (40/x) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Jeune Marqui (40/x)
Le lendemain matin, aux premières lueurs de l’aube, Amaury se réveilla avec une énorme bandaison. Ouvrant des yeux dans la pénombre, il vit la Marquise, vêtue de sa robe de chambre dorée, venir du passage secret .
• Alors mon amour, as tu aimé la visites des religieuses de Notre Dame des Trois Trous ?
• C’était inattendu, et j’ai trouvé que le moment était délicieux …
• Je pense qu’Émeline est une partenaire intéressante, quand une de tes partenaires sera grosse, nous pourrons quand même faire l’amour à trois …
• Tu semble aimer avoir une compagne dans mon lit ...
• J’avoue que j’y prends goût, et tu es tellement endurant que tu me fais toujours jouir aussi fort, je pense qu’une compagne de plus apporte encore plus de piment à nos ébats …
En s’approchant un peu plus du lit, elle laissa tomber sa belle robe de chambre et apparut dans sa splendide nudité. En faisant tomber le drap qui couvrait encore le jeune homme, elle dit :
• Puis je prendre mon petit déjeuner d’amour avec mon fils unique et préféré ?
• Mais bien sur chère Marquise, mon corps est à votre disposition …
La femme monta sur le lit et se coucha sur son fils pour lui donner un baiser torride. Tout au long de l’interminable baiser Géraldine frotta son corps contre celui de son fils. Ses tétons étaient durs et gonflés, agacés par les poils drus la poitrine du jeune homme. Elle frottait sa vulve sur le membre dur qui glissait de temps en temps entre ses jambes, faisant naître des vagues brûlantes dans son intimité déjà mouillée. En l’embrassant passionnément, Amaury caressait le dos de sa partenaire, glissant ses pouces jusqu’aux tétons durs et faisant descendre ses doigts dans le sillon fessier de sa maîtresse préférée.
Géraldine gémissait doucement au rythme des vagues de plaisir qui envahissaient son ventre. Une fois encore, elle pensa que cette situation était aussi monstrueuse que formidablement gratifiante. Elle bénéficiait des faveurs d’un garçon bien plus jeune qu’elle et jouissait des caresses d’un amant performant, très bien équipé et formidablement endurant, ce qui lui permettait de se sentir vivre pleinement. En quelques mois d’une pratique intense, la virilité de son fils était devenue énorme et chacune de ses pénétrations lui procurait un plaisir énorme. Ni son mari, ni aucun de ses amants ne l’avaient aussi bien remplie. Pour elle c’était " l’Amant Idéal ", avec un grand A. Il était discret, et elle savait qu’elle lui donnait beaucoup de plaisir, même si il forniquait ailleurs, ce qui entretenait les formidables dimensions de sa verge.
Lui dévorant toujours la bouche, le jeune homme caressait plus souvent son sillon fessier. Elle écarta les jambes et il fit glisser ses doigts entre les lèvres de sa féminité. Amaury donna un coup de reins, et fit basculer sa mère sur le côté. Se positionnant sur le côté du lit, le jeune mâle entreprit de couvrir les corps de sa partenaire de baisers et de coups de langue. Il suça les tétons dressés puis déposa une ligne de petits baiser et de coups de langue sur son ventre jusqu’à ce qu’il arrive à la toison brune. D’un doigt, il écarta les lèvres intimes et y passa plusieurs fois sa langue. Géraldine gémissait sans discontinuer. Les caresses de son fils lui procuraient un plaisir intenses et elle avait l’impression de flotter au dessus de la couche. Quand Amaury prit son clitoris entre ses lèvres, elle poussa un profond feulement, déjà emportée par un violent orgasme. D’une main, elle retint la tête du garçon et dit d’une voix plaintive
• Viens, prends moi, je n’en peux plus …
Le jeune homme se coucha sur elle et souleva ses jambes. Géraldine guida l’énorme membre dur vers sa féminité ruisselante en écartant largement ses cuisses. Amaury donna une légère poussée et pénétra profondément dans le vagin maternel surchauffé. Après à peine quelques pénétrations profondes, la femme se cambra en poussant un rugissement de plaisir.
Amaury, la besogna sur un rythme féroce et finit par s’effondrer sur le ventre de sa mère avec un grognement profond
Quand ils eurent repris leur souffle la femme dit à l’oreille de son garçon
• Quel orgasme ! Je voudrais mourir dans tes bras pendant que tu me fais l’amour. Mourir pendant un orgasme comme celui ci serait la récompense suprême…
• Nous ne sommes pas pressés ! J’espère que nous en aurons encore beaucoup comme ça …
• Si ton membre continue à grossir à la même vitesse, je ne pourrais plus le recevoir … tu me remplis comme aucun homme ne l’a jamais fait …
C’est drôle, quand tu étais enfant et que je te faisais ta toilette, tu bandais dès que je te touchais, ça me faisait rire. Je n’ai jamais pensé une seconde que tu me donnerais un jour du plaisir. Quand tu étais adolescent, te voir nu me gênait, et quand j’ai commencé à t’enseigner la vie, je ne pensais pas du tout à passer à l’acte avec toi un jour, ça s’est fait sans que j’y réfléchisse vraiment, mais maintenant je ne peux plus me passer de nos séances brûlantes …
• Moi, quand tu as commencé à m’initier à la sexualité, j’ai été pris dans un tourbillon de douceur, de sexe et d’incompréhension, un immense vertige … Aujourd’hui, faire l’amour avec toi me semble normal, un peu comme si nous étions mari et femme… Tu es ma femme, celle dont j’ai toujours envie ...
• Je suis ta femelle …
Amaury fit basculer sa mère sur le côté et chevauchant une de ses jambes, il tint l’autre soulevée et recommença ses va et viens dans la féminité inondée de cyprine et de son sperme … La femme plongea son regard dans celui de son garçon et contracta son vagin pour faire monter son plaisir. Amaury se pencha un peu sur elle et caressa les globes gonflés de sa poitrine, titillant les mamelons du bout de ses doigts. Géraldine ferma les yeux et commença à gémir au rythme des pénétrations. Le jeune mâle amplifia ses coups de reins, faisant toucher son gland au fond de la féminité. Soudain il se figea et déversa à nouveau un flot de sperme brûlant dans le ventre de sa génitrice. La femme se cambra avec un glapissement et se laissa aller avec un long gémissement.
• Tu es mon mâle … Si je n’étais pas ta mère, tu me ferais une ribambelle d’enfants, tous enfants de l’amour…
• Quand je reprendrai femme, je lui ferai tous les enfants que tu auras envie que je te fasse …
• Je crains qu’Isabelle ne soit grosse en permanence …
Le garçon se retira et Géraldine s’allongea sur le ventre en écartant les jambes. Lentement, en gardant sa poitrine sur la couche, elle plia ses jambes et pointa ses fesses vers le jeune homme…
• Maman, tu as des fesses sublimes et ton cul est splendide !
• Prends le, il est à toi comme tout le reste …
Le garçon se positionna derrière elle, puis il dirigea sa verge un peu amollie vers la féminité où il s’enfonça, re mouillant son sexe de leurs fluides. Géraldine eut un gros soupir, puis le jeune homme, à nouveau raide, badigeonna l’anneau froncé du bout de son gland qui regonflait à grande vitesse…
La Marquise écarta ses fesses de ses deux mains, et Amaury, saisissant les hanches de sa partenaire, poussa sur la rosette brune, s’enfonçant lentement jusqu’à ce que ses couilles entrent en contact avec les fesses tendues.
• Oui mon chérie, encule moi, fais moi jouir du cul, tu es le seul à avoir droit à ce trou …
• je ne suis pas un passionné de la sodomie, mais j’avoue que j’adore te fourrer comme ça … je sens que tu vibres …
• Oui, je vais jouir, tu me tues, j’aimerais avoir d’autres trous à te donner …
Le garçon, sentant son plaisir arriver, accéléra ses pénétrations, faisant claquer son ventre contre les belles fesses de sa mère, puis il se cambra tirant fort sur les hanches de la femme et lâcha un dernier jet de semence brûlante dans les entrailles offertes. La Marquise glissa sue le ventre avec un long soupir de plaisir, entraînant son fils encore totalement enfoncé dans son fondement.
• Je t’aime Amaury …
Les deux amants basculèrent sur le côté, toujours intimement collés l’un dans l’autre, les seins de la Marquise enveloppés dans les mains des son fils …

Après un court sommeil réparateur, Géraldine se réveilla en sursaut et se leva rapidement, ce qui réveilla la garçon.
• Je me sauve Amaury, je risque d’être en retard… Ton père et moi serons absents jusqu’à demain dans la matinée. En rentrant, je viendrai voir si tu veux bien me donner quelques caresses…
• Je dois retourner à ma nouvelle affectation et je copmte m’arrêter pour voir Gontrand, Sophie et le bébé …
• Peut être que Sophie est à nouveau opérationnelle … fais lui l’amour pour moi …
Après un gros baiser d’amour à son fils, la Marquise quitta la pièce nue avec sa robe de chambre dorée sur le bras et tortillant des fesses.

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