Le Jeune Marquis (ç/x)
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Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (ç/x)
Depuis une semaine, le jeune Marquis passait des nuits torrides avec son épouse. Cette dernière, chaude comme la braise, semblait vouloir rattraper le temps perdu. Amaury, bien plus jeune qu'elle, lui retransmettait ce que lui avait enseigné sa mère et à plusieurs reprises Caroline avait demandé à son jeune époux, qui l'avait guidé sur le chemin du plaisir. Amaury avait invoqué la discrétion, disant juste que la personne qui lui avait tout appris était bien sûr plus agée…
Ce matin là, Caroline rappela à son jeune époux qu'ils devaient se rendre chez ses parents pour que ceux-ci les accompagnent au manoir qu'ils avaient fait préparer pour leur installation. La Marquise avait mis son équipage à leur disposition et Caroline l'avait invitée à venir avec eux. Géraldine avait accepté avec joie et tous trois avaient embarqué en emportant les bagages des jeunes mariés.
A leur arrivée, ils furent accueillis par le Comte et la Comtesse du Plessis Ricourt.
- Marquise, nous sommes très honorés de vous recevoir chez nous dit le Comte avec un grand sourire
- Tout le plaisir est pour moi monsieur le Comte, l'association de nos deux familles est un vrai bonheur
- Je souhaite ardemment que nos enfants nous donnent rapidement des héritiers, dit à son tou la Comtesse en prenant la Marquise par le bras
Les deux femmes gravirent les quelques marches du perron et la Comtesse entraîna Géraldine en lui disant :
- Venez très chère, allons nous assurer que notre collation est prête…
Dans le couloir menant à l'office, la Comtesse arrêta la Marquise et se plaçant face à elle, elle posa ses mains sur les hanches de la brune et lui dit à voix basse :
- Je sais que votre beauté est pour beaucoup dans le choix de ma fille …
- En effet, elle me l'a dit… Bien que j'ai été surprise de ce choix inhabituel, j'en ai été ravie…
- J'aurais fait le même choix Marquise, vous êtes une femme très attirante …
La Comtesse se plaqua contre le ventre de la Marquise et lui tendit les lèvres. Géraldine posa un petit baiser sur la bouche tendue et s'esquiva en souplesse.
- Allons voir où en est notre collation… Et pour ce qui concerne les héritiers, je pense que nos jeunes mariés s'y emploient…
Peu après, elles gagnèrent le salon où le Comte et Amaury, consultaient les documents de propriété du manoir où ils devaient résider dorénavant.
Leur légère collation terminée, la Comtesse emmena Géraldine et les jeunes mariés vers le "Manoir du Lac" pour installer le couple dans leur nouvelle demeure.
Pendant que la Comtesse guidait Caroline pour lui montrer les derniers aménagements réalisés, le majordome guida Amaury et sa mère vers les écuries, où il les laissa visiter à leur guise.
Main dans la main, Géraldine et son fils examinèrent les stalles où trois belles montures attendaient patiemment. Reconnaissant une jument que le Marquis avait cédée au Comte, ils entrèrent dans la stalle pour flatter la bête. Après avoir vérifié que personne n'était dans l'écurie, Géraldine se colla à son file et glissant sa main dans le pantalon du jeune homme, lui dit :
- Tu vas me manquer mon fils. Je commençais à m'habituer à tes caresses … Ton père est de plus en plus absent, et te sentir en moi est vraiment un grand bonheur …
- Le garçon posa un baiser brûlant sur la bouche de sa mère et releva sa robe pour caresse son entrejambes.
La Marquise titillait la virilité de son fils du bout des doigts, provocant chez lui une belle érection. Amaury plaqua sa mère contre la cloison du box, et releva le bord de sa robe jusqu'à sa bouche. Tout en ouvrant le pantalon de son fils, Géraldine prit le tissus entre ses dents pour retenir le vêtement relevé, puis elle souleva son genou gauche jusqu'à sa poitrine, offrant son sexe au jeune mâle. Le garçon frotta son gland le long de la fente déjà mouillée de sa mère. Géraldine eut un frisson et son fils s'enfonça lentement dans son vagin ruisselant. Rapidement le garçon prit un rythme plus rapide et besogna sa mère avec toute son énergie. Géraldine se laissa aller et jouit violemment.
Le couple avait adopté un tempo plus lent lorsqu'ils entendirent Caroline les appeler
- Amaury, Marquise, où êtes vous ?
Géraldine desserra les mâchoires pour laisser sa robe retomber et répondit
- Nous sommes là Caroline ! nous sommes venus câliner Fantasia, elle est si douce …
Ce matin là, Caroline rappela à son jeune époux qu'ils devaient se rendre chez ses parents pour que ceux-ci les accompagnent au manoir qu'ils avaient fait préparer pour leur installation. La Marquise avait mis son équipage à leur disposition et Caroline l'avait invitée à venir avec eux. Géraldine avait accepté avec joie et tous trois avaient embarqué en emportant les bagages des jeunes mariés.
A leur arrivée, ils furent accueillis par le Comte et la Comtesse du Plessis Ricourt.
- Marquise, nous sommes très honorés de vous recevoir chez nous dit le Comte avec un grand sourire
- Tout le plaisir est pour moi monsieur le Comte, l'association de nos deux familles est un vrai bonheur
- Je souhaite ardemment que nos enfants nous donnent rapidement des héritiers, dit à son tou la Comtesse en prenant la Marquise par le bras
Les deux femmes gravirent les quelques marches du perron et la Comtesse entraîna Géraldine en lui disant :
- Venez très chère, allons nous assurer que notre collation est prête…
Dans le couloir menant à l'office, la Comtesse arrêta la Marquise et se plaçant face à elle, elle posa ses mains sur les hanches de la brune et lui dit à voix basse :
- Je sais que votre beauté est pour beaucoup dans le choix de ma fille …
- En effet, elle me l'a dit… Bien que j'ai été surprise de ce choix inhabituel, j'en ai été ravie…
- J'aurais fait le même choix Marquise, vous êtes une femme très attirante …
La Comtesse se plaqua contre le ventre de la Marquise et lui tendit les lèvres. Géraldine posa un petit baiser sur la bouche tendue et s'esquiva en souplesse.
- Allons voir où en est notre collation… Et pour ce qui concerne les héritiers, je pense que nos jeunes mariés s'y emploient…
Peu après, elles gagnèrent le salon où le Comte et Amaury, consultaient les documents de propriété du manoir où ils devaient résider dorénavant.
Leur légère collation terminée, la Comtesse emmena Géraldine et les jeunes mariés vers le "Manoir du Lac" pour installer le couple dans leur nouvelle demeure.
Pendant que la Comtesse guidait Caroline pour lui montrer les derniers aménagements réalisés, le majordome guida Amaury et sa mère vers les écuries, où il les laissa visiter à leur guise.
Main dans la main, Géraldine et son fils examinèrent les stalles où trois belles montures attendaient patiemment. Reconnaissant une jument que le Marquis avait cédée au Comte, ils entrèrent dans la stalle pour flatter la bête. Après avoir vérifié que personne n'était dans l'écurie, Géraldine se colla à son file et glissant sa main dans le pantalon du jeune homme, lui dit :
- Tu vas me manquer mon fils. Je commençais à m'habituer à tes caresses … Ton père est de plus en plus absent, et te sentir en moi est vraiment un grand bonheur …
- Le garçon posa un baiser brûlant sur la bouche de sa mère et releva sa robe pour caresse son entrejambes.
La Marquise titillait la virilité de son fils du bout des doigts, provocant chez lui une belle érection. Amaury plaqua sa mère contre la cloison du box, et releva le bord de sa robe jusqu'à sa bouche. Tout en ouvrant le pantalon de son fils, Géraldine prit le tissus entre ses dents pour retenir le vêtement relevé, puis elle souleva son genou gauche jusqu'à sa poitrine, offrant son sexe au jeune mâle. Le garçon frotta son gland le long de la fente déjà mouillée de sa mère. Géraldine eut un frisson et son fils s'enfonça lentement dans son vagin ruisselant. Rapidement le garçon prit un rythme plus rapide et besogna sa mère avec toute son énergie. Géraldine se laissa aller et jouit violemment.
Le couple avait adopté un tempo plus lent lorsqu'ils entendirent Caroline les appeler
- Amaury, Marquise, où êtes vous ?
Géraldine desserra les mâchoires pour laisser sa robe retomber et répondit
- Nous sommes là Caroline ! nous sommes venus câliner Fantasia, elle est si douce …
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi chaud sacré marquise
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