Le jeune Marquis (1/x)
Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le jeune Marquis (1/x)
Nous sommes au tout début du vingtième siècle, dans un splendide manoir en plein cœur de la Sologne. Géraldine Brochant de l'Herbier Mouchet est une très jolie femme qui approche de la quarantaine. Issue d'une famille de gros commerçants, elle a été mariée à l'âge d'à peine dix sept ans, à Aymard Brochant de l'Herbier Mouchet son aîné de vingt cinq ans. Ce mariage, arrangé par les familles, était uniquement destiné à donner une descendance à la famille Brochant de l'Herbier Mouchet, afin que le marquisat puisse perdurer, et que les domaines de la famille continuent d'être menés d'une unique main ferme et avisée.
Donc, Géraldine est la marquise, et en ce début de printemps, elle est un peu stressée. Ce n'est pas la gestion des différents domaines, ni celle du manoir, qui lui pose problème, pour ça les domestiques et Aymard sont là, et c'est d'ailleurs la seule chose que Monsieur fasse pour sa famille, le reste du temps, il chasse ou pêche. Géraldine ne le voit que lorsqu'il y a une réception au manoir, ou lorsqu'ils doivent honorer une invitation dans le "grand monde"...
Ce qui la préoccupe, c'est le mariage de son fils Amory. Ce garçon, seul et unique héritier acceptable de la famille, devait prendre pour épouse, Caroline du Plessis Ricourt, une héritière d'une branche majeure de la famille des Bourbon Savoie. La jeune fille sans aucun charme, ni aucune vivacité d'esprit, avait été choisie par Aymard, après qu'il eut pris connaissance de la confortable dot associée au mariage, et il avait négocié comme un maquignon pour parvenir à ses fins.
Pour sa part, Géraldine aurait préféré une bru plus mignonne et plus vive d'esprit, fut elle d'extraction plus modeste, mais ... En attendant, le mariage devait avoir lieu le jeudi de la semaine suivante, suivi d'une réception réunissant deux cent personne de la haute société...
Comme les deux jeunes gens ne s'étaient rencontrés qu'à deux brèves occasions en présence de leurs parents,
Géraldine souhaitait discuter avec lui pour savoir s'il était prêt pour une nouvelle vie. Elle avait donc demandé à Emilie, sa femme de chambre, d'amener le garçon jusqu'à ses appartements, bien entendu séparés de ceux de Monsieur son époux.
Le garçon toqua à la porte, et avoir été invité à rentrer, il demanda à sa mère :
- Vous m'avez demandé, mère ?
- Oui, je voulais que nous parlions de ton mariage
- Soit, je dirais que je suis à la fois impatient et désappointé
- Pourquoi désappointé ?
- Pardonnez moi mère, mais ma future épouse n'est pas vraiment celle que j'aurais choisi...
- Ah bon ! sans doute aurais tu préféré la petite Sophie Bertin de Ribières ...
- Oui, Sophie est très belle et fait preuve d'une vivacité d'esprit et d'un humour piquant
- Je dois reconnaître que c'est une jeune fille très agréable
- Alors, pourquoi suis-je obligé d'épouser Caroline ?
- Parce que ton père en a décidé ainsi. Pour tout te dire, ce mariage permettra à notre famille d'étendre son influence dans la société
- Mais caroline est insipide et moche
- Ne sois pas grossier. Certes, elle n'a pas le jolis minois ni les formes attirantes de Sophie ...
- Je n'ai pas vraiment examiné ses formes comme vous dites ...
- Tu as tort, comme disent vulgairement certains hommes "elle est plutôt bien roulée"...
- Oh ! Mère, quel langage
- Je sais comment les hommes parlent des femmes dans l'intimité
- Père parle ainsi ?
- Non, pas ton père, mais certains de ses amis... En attendant, je vais te poser quelques questions précises pour savoir où tu en es du point de vue des relations maritales.
- Oui Mère, je vous écoute...
- As-tu déjà couché avec une femme ?
- Qu'entendez vous par là Mère ?
- As-tu déjà fait l'amour avec une femme ?
- Heu ! je ne comprends pas Mère ...
- Ah ! ... As-tu déjà flirté avec une jeune fille ?
- Flirté, c'est quoi ?
- Embrasser, caresser, ...
- Oui j'ai donné un baiser à Sophie ...
- Un baiser sur la bouche ?
- Non non, je n'aurais pas osé
- Donc tu n'as pas flirté. Tu lui as touché la poitrine ou les fesse ou même le sexe ?
- Voyons Mère, je ne suis pas un goujat !
- Très bien, mais dans ce cas, comment feras tu un enfant à ton épouse ?
- Heu...je ne sais pas ...
Donc, Géraldine est la marquise, et en ce début de printemps, elle est un peu stressée. Ce n'est pas la gestion des différents domaines, ni celle du manoir, qui lui pose problème, pour ça les domestiques et Aymard sont là, et c'est d'ailleurs la seule chose que Monsieur fasse pour sa famille, le reste du temps, il chasse ou pêche. Géraldine ne le voit que lorsqu'il y a une réception au manoir, ou lorsqu'ils doivent honorer une invitation dans le "grand monde"...
Ce qui la préoccupe, c'est le mariage de son fils Amory. Ce garçon, seul et unique héritier acceptable de la famille, devait prendre pour épouse, Caroline du Plessis Ricourt, une héritière d'une branche majeure de la famille des Bourbon Savoie. La jeune fille sans aucun charme, ni aucune vivacité d'esprit, avait été choisie par Aymard, après qu'il eut pris connaissance de la confortable dot associée au mariage, et il avait négocié comme un maquignon pour parvenir à ses fins.
Pour sa part, Géraldine aurait préféré une bru plus mignonne et plus vive d'esprit, fut elle d'extraction plus modeste, mais ... En attendant, le mariage devait avoir lieu le jeudi de la semaine suivante, suivi d'une réception réunissant deux cent personne de la haute société...
Comme les deux jeunes gens ne s'étaient rencontrés qu'à deux brèves occasions en présence de leurs parents,
Géraldine souhaitait discuter avec lui pour savoir s'il était prêt pour une nouvelle vie. Elle avait donc demandé à Emilie, sa femme de chambre, d'amener le garçon jusqu'à ses appartements, bien entendu séparés de ceux de Monsieur son époux.
Le garçon toqua à la porte, et avoir été invité à rentrer, il demanda à sa mère :
- Vous m'avez demandé, mère ?
- Oui, je voulais que nous parlions de ton mariage
- Soit, je dirais que je suis à la fois impatient et désappointé
- Pourquoi désappointé ?
- Pardonnez moi mère, mais ma future épouse n'est pas vraiment celle que j'aurais choisi...
- Ah bon ! sans doute aurais tu préféré la petite Sophie Bertin de Ribières ...
- Oui, Sophie est très belle et fait preuve d'une vivacité d'esprit et d'un humour piquant
- Je dois reconnaître que c'est une jeune fille très agréable
- Alors, pourquoi suis-je obligé d'épouser Caroline ?
- Parce que ton père en a décidé ainsi. Pour tout te dire, ce mariage permettra à notre famille d'étendre son influence dans la société
- Mais caroline est insipide et moche
- Ne sois pas grossier. Certes, elle n'a pas le jolis minois ni les formes attirantes de Sophie ...
- Je n'ai pas vraiment examiné ses formes comme vous dites ...
- Tu as tort, comme disent vulgairement certains hommes "elle est plutôt bien roulée"...
- Oh ! Mère, quel langage
- Je sais comment les hommes parlent des femmes dans l'intimité
- Père parle ainsi ?
- Non, pas ton père, mais certains de ses amis... En attendant, je vais te poser quelques questions précises pour savoir où tu en es du point de vue des relations maritales.
- Oui Mère, je vous écoute...
- As-tu déjà couché avec une femme ?
- Qu'entendez vous par là Mère ?
- As-tu déjà fait l'amour avec une femme ?
- Heu ! je ne comprends pas Mère ...
- Ah ! ... As-tu déjà flirté avec une jeune fille ?
- Flirté, c'est quoi ?
- Embrasser, caresser, ...
- Oui j'ai donné un baiser à Sophie ...
- Un baiser sur la bouche ?
- Non non, je n'aurais pas osé
- Donc tu n'as pas flirté. Tu lui as touché la poitrine ou les fesse ou même le sexe ?
- Voyons Mère, je ne suis pas un goujat !
- Très bien, mais dans ce cas, comment feras tu un enfant à ton épouse ?
- Heu...je ne sais pas ...
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Belle introduction
