Le Jeune Marquis (10/x)
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Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (10/x)
Lorsque Caroline entra dans le box, la Marquise était en train de bouchonner la Jument et Amaury de l'autre côté de la monture se rajustait discrètement sans qu'on puisse le voir.
- Mère nous attend pour nous remettre officiellement les clés du manoir. Elle est très formelle et profite de la présence de Madame la Marquise pour en faire une petite cérémonie…
Ils partirent tous les trois vers le manoir et Géraldine fut ravie de voir l'excellent état des écuries et l'agencement du petit parc jouxtant. Les domestiques dorénavant dévoués au jeune couple avaient préparé des boissons rafraichissantes, et la Comtesse leur lut un petit compliment pour la circonstance. Après quelques plaisanteries un peu lestes encourageant les jeunes mariés à procréer rapidement, les deux nouvelles belles-mères prirent congé de leurs jeunes pour regagner leurs domiciles respectifs.
Dans la voiture, la Comtesse se serra contre Géraldine et continua ses allusions en posant sa main sur la cuisse ferme de la Marquise sans obtenir le succès escompté.
Lorsqu'elle se retrouva dans sa propre voiture pour retourner chez elle, Géraldine fut submergée par une vague de tristesse. Son fils chéri, qui était devenu son amant préféré, allait vivre loin d'elle, et elle ne pourrait plus bénéficier de ses caresses et de sa virilité … elle devrait chercher un autre amant, car Aymard la négligeait de plus en plus. Les larmes aux yeux, elle souleva sa robe et glissa sa main dans l'ouverture de sa culotte. Délicatement elle caressa sa vulve en pensant à son garçon, à la façon qu'il avait de la caresser, faisant monter son envie au paroxysme. Les jambes écartées elle appuya de la paume de sa main sur son clitoris qui gonflait rapidement. Glissant ses doigts dans la fente de son sexe de plus en plus mouillé, elle bascula sur le côté et posa son pied droit sur le dossier de la banquette où elle était assise en écartant les jambes au maximum.
Son pied gauche posé sur le plancher du véhicule, elle imaginait Amaury en train de la lécher et elle introduisit deux doigts dans son vagin. Se pénétrant de ses doigts sur un rythme rapide, elle eut l'impression de sentir le membre gonflé d'Amaury entrer jusqu'au fond de son intimité ruisselante. La main trempée de cyprine, elle jouit brutalement avec un rugissement profond. Heureusement, le bruit des roues sur la route couvrit son cri, laissant le cocher ignorer son plaisir…
Une dizaine de jours plus tard, tous les quotidiens se firent l'écho d'une horrible nouvelle ; le France entrait en guerre …
Géraldine reçut la nouvelle comme une formidable gifle. Son fils bien aimé allait partir pour défendre le pays… Elle se précipita dans la petite chapelle du château pour prier et demander à la Vierge Marie d'épargner son garçon.
Le soir même, le Marquis dit à son épouse :
- Géraldine, faites savoir à Amaury qu'il sera incorporé dans le sixième Dragon comme moi. Qu'il vienne dîner demain soir ici, car je le conduirai moi-même après demain matin à Versailles. Dites à la cuisinière de nous préparer un repas léger qui sera servi de bonne heure, car j'ai une réunion demain soir et je veux parler à Amaury avant.
- Il part si tôt ?
- Oui, en tant qu'officier, il doit préparer la venue de ses hommes.
Le lendemain soir, Amaury se présenta chez ses parents avec un léger bagage. Le repas fut servi de bonne heure et son père lui expliqua :
- Avec ma patte folle, je ne peux plus aller au combat. J'ai donc demandé que tu sois incorporé dans mon ancien régiment. J'ai fait la connaissance du Colonel qui dirige le régiment et nous avons parlé. Je t'expliquerai certaines choses demain pendant le trajet. Ce soir, je dois me rendre à une réunion qui me retiendra une bonne partie de la nuit. Mais je tiens à t'accompagner demain. Sur ce, je me sauve … cette période de crise ne mobilise pas que les jeunes et les officiers au rencart comme moi, se doivent d'organiser la défense.
Le Marquis quitta la pièce laissant son épouse et son fils rêveurs… La Marquise, la mine triste se leva et dit :
- Je n'ai plus faim, lorsque tu auras fini, viens me trouver dans mes appartements…
- Oui Mère, je prends un dessert et je vous rejoint…
Lorsqu'il eut fini son repas, Amaury passa dans le salon récupérer une bouteille de fine champagne et deux verres et alla toquer à la porte de sa mère. Cette dernière lui ouvrit la porte en restant derrière le battant. Quand il fut entré, elle referma soigneusement et il put la découvrir vêtue d'un déshabillé noir vaporeux. Immédiatement, elle le prit dans ses bras et lui donna un baiser torride, puis le conduisit dans la chambre. Le jeune homme eut à peine le temps de poser la bouteille et les verres sur le guéridon avant qu'elle ne se colle à lui et lui dévore à nouveau la bouche. La prenant par la taille, il se rendit compte qu'elle était complètement nue sous son déshabillé.
Géraldine frottait son ventre contre celui de son fils et à ce régime, il ne tarda pas à développer une bandaison féroce. La femme glissa une main entre eux et libéra le membre fièrement dressé, puis se pendant à son cou, elle se souleva et descendit sur la virilité dure jusqu'à ce qu'elle soit complètement enfoncée en elle.
Fais moi l'amour mon chéri, tu me manques tant. Depuis que tu es parti au Manoir du Lac, je rêve de toi chaque nuit et je me caresse jusqu'à la jouissance en m'imaginant que tu t'enfonce au plus profond de mon corps…
Amaury passa ses mains sous les fesses de sa mère et la souleva en rythmes jusqu'à ce qu'elle se tétanise avec un grognement guttural. Le jeune mâle, toujours profondément enfoncé dans sa partenaire, la porta jusqu'au lit, où il la déposa délicatement. Puis il reprit ses pénétrations lentes et profonde arrachant des gémissements de plaisir à sa mère qui avait pris ses jambes derrières ses genoux pour écarter les cuisse au maximum.
Géraldine se sentait complètement remplie. Elle contractait son vagin au rythme des pénétrations de son fils. Très rapidement Amaury n'y tint plus et se répandit abondamment dans l'intimité de sa génitrice avec un long râle .
- Merci mon amour, je suis complètement folle, mais je ne peux plus me passer de toi. Surtout fais attention à toi …
- Oui Mère, je vous promets d'être prudent, je raffole de votre corps. Caroline a bien changé en peu de temps, mais c'est avec vous que je suis le mieux… vos seins sont merveilleux, vos hanches pleines un vrai rêve, vos fesses sont un merveilleux paysage, et votre sexe est le temple de l'amour et du plaisir…
Comme Amaury s'était retiré d'elle, Géraldine bascula sur le côté et se leva pour dévêtir son fils, en posant des baisers sur son corps au fur et à mesure. Quand il fut complètement nu, elle prit son membre gonflé en bouche et le suça, le lécha des couilles jusqu'au gland turgescent. Prenant un peu de recul elle dit :
- Ta virilité est un cadeau. Je voudrais mourir empalée sur ton sexe. Tu peux me faire ce que tu veux, ça sera un plaisir pour moi.
Le repoussant sur le lit, elle le fit coucher sur le dos et vint le chevaucher en donnant la cadence. Pendant que sa mère se soulevait avec un tempo rapide, il triturait les pointes durcies des seins de sa maman. Géraldine jouit à nouveau et s'abattit sur sa poitrine toujours intimement collée à lui. Dès qu'elle eut repris son souffle, elle, elle lui tourna le dos dans le laisser sortir de son vagin et lui dit :
- Ainsi tu pourras voir mon cul…
- Oui Mère, il est si beau votre cul …
- Je t'en prie Amaury, appelle moi Géraldine et tutoie moi. Tu me baise comme un Dieu, tu as donc ce droit et tous les autres. Nous devons être discrets, mais lorsque nous sommes seuls, je t'appartiens tout entière…
Les amants passèrent la nuit la plus torride de leur vie, se réveillant après un court sommeil pour recommencer et jouir, jouir et jouir encore l'un de l'autre. Tot le matin Amaury retourna dans sa chambre pour finir cette nuit inoubliable.
- Mère nous attend pour nous remettre officiellement les clés du manoir. Elle est très formelle et profite de la présence de Madame la Marquise pour en faire une petite cérémonie…
Ils partirent tous les trois vers le manoir et Géraldine fut ravie de voir l'excellent état des écuries et l'agencement du petit parc jouxtant. Les domestiques dorénavant dévoués au jeune couple avaient préparé des boissons rafraichissantes, et la Comtesse leur lut un petit compliment pour la circonstance. Après quelques plaisanteries un peu lestes encourageant les jeunes mariés à procréer rapidement, les deux nouvelles belles-mères prirent congé de leurs jeunes pour regagner leurs domiciles respectifs.
Dans la voiture, la Comtesse se serra contre Géraldine et continua ses allusions en posant sa main sur la cuisse ferme de la Marquise sans obtenir le succès escompté.
Lorsqu'elle se retrouva dans sa propre voiture pour retourner chez elle, Géraldine fut submergée par une vague de tristesse. Son fils chéri, qui était devenu son amant préféré, allait vivre loin d'elle, et elle ne pourrait plus bénéficier de ses caresses et de sa virilité … elle devrait chercher un autre amant, car Aymard la négligeait de plus en plus. Les larmes aux yeux, elle souleva sa robe et glissa sa main dans l'ouverture de sa culotte. Délicatement elle caressa sa vulve en pensant à son garçon, à la façon qu'il avait de la caresser, faisant monter son envie au paroxysme. Les jambes écartées elle appuya de la paume de sa main sur son clitoris qui gonflait rapidement. Glissant ses doigts dans la fente de son sexe de plus en plus mouillé, elle bascula sur le côté et posa son pied droit sur le dossier de la banquette où elle était assise en écartant les jambes au maximum.
Son pied gauche posé sur le plancher du véhicule, elle imaginait Amaury en train de la lécher et elle introduisit deux doigts dans son vagin. Se pénétrant de ses doigts sur un rythme rapide, elle eut l'impression de sentir le membre gonflé d'Amaury entrer jusqu'au fond de son intimité ruisselante. La main trempée de cyprine, elle jouit brutalement avec un rugissement profond. Heureusement, le bruit des roues sur la route couvrit son cri, laissant le cocher ignorer son plaisir…
Une dizaine de jours plus tard, tous les quotidiens se firent l'écho d'une horrible nouvelle ; le France entrait en guerre …
Géraldine reçut la nouvelle comme une formidable gifle. Son fils bien aimé allait partir pour défendre le pays… Elle se précipita dans la petite chapelle du château pour prier et demander à la Vierge Marie d'épargner son garçon.
Le soir même, le Marquis dit à son épouse :
- Géraldine, faites savoir à Amaury qu'il sera incorporé dans le sixième Dragon comme moi. Qu'il vienne dîner demain soir ici, car je le conduirai moi-même après demain matin à Versailles. Dites à la cuisinière de nous préparer un repas léger qui sera servi de bonne heure, car j'ai une réunion demain soir et je veux parler à Amaury avant.
- Il part si tôt ?
- Oui, en tant qu'officier, il doit préparer la venue de ses hommes.
Le lendemain soir, Amaury se présenta chez ses parents avec un léger bagage. Le repas fut servi de bonne heure et son père lui expliqua :
- Avec ma patte folle, je ne peux plus aller au combat. J'ai donc demandé que tu sois incorporé dans mon ancien régiment. J'ai fait la connaissance du Colonel qui dirige le régiment et nous avons parlé. Je t'expliquerai certaines choses demain pendant le trajet. Ce soir, je dois me rendre à une réunion qui me retiendra une bonne partie de la nuit. Mais je tiens à t'accompagner demain. Sur ce, je me sauve … cette période de crise ne mobilise pas que les jeunes et les officiers au rencart comme moi, se doivent d'organiser la défense.
Le Marquis quitta la pièce laissant son épouse et son fils rêveurs… La Marquise, la mine triste se leva et dit :
- Je n'ai plus faim, lorsque tu auras fini, viens me trouver dans mes appartements…
- Oui Mère, je prends un dessert et je vous rejoint…
Lorsqu'il eut fini son repas, Amaury passa dans le salon récupérer une bouteille de fine champagne et deux verres et alla toquer à la porte de sa mère. Cette dernière lui ouvrit la porte en restant derrière le battant. Quand il fut entré, elle referma soigneusement et il put la découvrir vêtue d'un déshabillé noir vaporeux. Immédiatement, elle le prit dans ses bras et lui donna un baiser torride, puis le conduisit dans la chambre. Le jeune homme eut à peine le temps de poser la bouteille et les verres sur le guéridon avant qu'elle ne se colle à lui et lui dévore à nouveau la bouche. La prenant par la taille, il se rendit compte qu'elle était complètement nue sous son déshabillé.
Géraldine frottait son ventre contre celui de son fils et à ce régime, il ne tarda pas à développer une bandaison féroce. La femme glissa une main entre eux et libéra le membre fièrement dressé, puis se pendant à son cou, elle se souleva et descendit sur la virilité dure jusqu'à ce qu'elle soit complètement enfoncée en elle.
Fais moi l'amour mon chéri, tu me manques tant. Depuis que tu es parti au Manoir du Lac, je rêve de toi chaque nuit et je me caresse jusqu'à la jouissance en m'imaginant que tu t'enfonce au plus profond de mon corps…
Amaury passa ses mains sous les fesses de sa mère et la souleva en rythmes jusqu'à ce qu'elle se tétanise avec un grognement guttural. Le jeune mâle, toujours profondément enfoncé dans sa partenaire, la porta jusqu'au lit, où il la déposa délicatement. Puis il reprit ses pénétrations lentes et profonde arrachant des gémissements de plaisir à sa mère qui avait pris ses jambes derrières ses genoux pour écarter les cuisse au maximum.
Géraldine se sentait complètement remplie. Elle contractait son vagin au rythme des pénétrations de son fils. Très rapidement Amaury n'y tint plus et se répandit abondamment dans l'intimité de sa génitrice avec un long râle .
- Merci mon amour, je suis complètement folle, mais je ne peux plus me passer de toi. Surtout fais attention à toi …
- Oui Mère, je vous promets d'être prudent, je raffole de votre corps. Caroline a bien changé en peu de temps, mais c'est avec vous que je suis le mieux… vos seins sont merveilleux, vos hanches pleines un vrai rêve, vos fesses sont un merveilleux paysage, et votre sexe est le temple de l'amour et du plaisir…
Comme Amaury s'était retiré d'elle, Géraldine bascula sur le côté et se leva pour dévêtir son fils, en posant des baisers sur son corps au fur et à mesure. Quand il fut complètement nu, elle prit son membre gonflé en bouche et le suça, le lécha des couilles jusqu'au gland turgescent. Prenant un peu de recul elle dit :
- Ta virilité est un cadeau. Je voudrais mourir empalée sur ton sexe. Tu peux me faire ce que tu veux, ça sera un plaisir pour moi.
Le repoussant sur le lit, elle le fit coucher sur le dos et vint le chevaucher en donnant la cadence. Pendant que sa mère se soulevait avec un tempo rapide, il triturait les pointes durcies des seins de sa maman. Géraldine jouit à nouveau et s'abattit sur sa poitrine toujours intimement collée à lui. Dès qu'elle eut repris son souffle, elle, elle lui tourna le dos dans le laisser sortir de son vagin et lui dit :
- Ainsi tu pourras voir mon cul…
- Oui Mère, il est si beau votre cul …
- Je t'en prie Amaury, appelle moi Géraldine et tutoie moi. Tu me baise comme un Dieu, tu as donc ce droit et tous les autres. Nous devons être discrets, mais lorsque nous sommes seuls, je t'appartiens tout entière…
Les amants passèrent la nuit la plus torride de leur vie, se réveillant après un court sommeil pour recommencer et jouir, jouir et jouir encore l'un de l'autre. Tot le matin Amaury retourna dans sa chambre pour finir cette nuit inoubliable.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours agréable et torride on attend la suite
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