Le Jeune Marquis (12/x) - histoire érotique

Un moment plus tard, Charlotte revint dans la chambre, un sceau d'eau chaude à la main, accompagnée de Bastien qui portait un cuvier et de Mélanie portant deux autres sceaux d'eau chaude. Lorsque les domestiques furent sortis, la Comtesse aida le soldat à se lever, puis elle fit tomber la robe de chambre à ses pieds et l'aida à monter dans le cuvier. Elle avait placé une serviette sur son bras pour éviter de mouiller son plâtre et comme Amaury la remerciait, elle prit un gant de toilette et commença à frotter le dos de son gendre en disant :
- Laisse toi faire, lorsque j'ai eu douze ans, j'ai aidé ma mère à prendre soin des blessés de guerre à l'hôpital. Maman, s'était jointe aux soignants qui étaient submergés de travail, et que mon père était au combat, j'ai suivi tout naturellement malgré l'effroi des bonnes sœurs …
- Je comprends mieux pourquoi Caroline et Isabelle se sont aussi engagées dans cette démarche solidaire
Charlotte lavait méticuleusement son gendre, sans laisser oublier le moindre recoin, lorsqu'elle lava sa virilité, il se mit à bander et s'en excusa, rouge de confusion…
- Ne t'excuses pas Amaury, je sais ce que les mains d'une femme attentive peuvent provoquer chez un homme viril…
Lorsqu'elle eut terminé sa toilette, elle l'aida à remettre la robe de chambre et l'invita à s'allonger sur le lit :
- Allonge toi sur le lit et plie ta jambe, ça sera plus pratique pour refaire ton pansement.
- Je vous remercie de prendre si bien soin de moi Comtesse
- C'est normal, si Caroline était là, c'est elle qui le ferait, et appelle moi Charlotte, après tout, nous sommes proches…
Le garçon replia sa jambe blessée, mais la robe de chambre s'ouvrit et il ne put rien faire pour qu'elle tienne fermée. Charlotte défit le pansement et examina la blessure.
- Ah oui, je vois, ce n'est pas grave, mais il y a des dégâts. Je vais chercher ce qu'il faut et refaire le pansement…
Elle s'absenta un court instant et revint avec le nécessaire pour le panser. En passant la bande Velpeau autour de la cuisse, elle effleura la virilité nue à plusieurs reprises. Amaury se remit à bander mais cette fois, son membre avait pris des proportions intéressantes. La Comtesse s'en amusa et frôla plusieurs fois volontairement le membre dressé. Lorsque le pansement fut fermé, elle posa sa main sur la verge dure et regarda Amaury dans les yeux. Lentement, elle prit le sexe dur à pleine main et le branlant doucement elle dit :
- J'imagine bien ton abstinence, il y a certainement très peu de femmes dans ce régiment…
Le garçon, le visage écarlate se laissait faire et commençait à sentir des vagues de chaleur dans tout le corps.
La femme lui fit allonger sa jambe malade, et prit la virilité dressée en bouche. Amaury l'avait attirée plus près de lui et passait ses doigts dans ses cheveux. La faisant se relever, il passa sa main derrière la tête de sa belle mère et lui donna un baiser brûlant. Relâchant la tête, sa main glissa sur la poitrine et il s'employa maladroitement à ouvrir son corsage. Charlotte se redressa et posa le vêtement découvrant une poitrine abondante bien qu'un peu tombante. Pendant que le jeune homme titillait les mamelons qui durcissaient, la femme fit tomber sa jupe et sa longue culotte fendue pour se trouver totalement nue près de lui.
- Ma fille n'est pas là, mais tant mieux ! c'est moi qui vais profiter de toi …
Elle monta sur le lit et chevauchant son visage, posa sa vulve sur la bouche de son gendre. Amaury la lécha et se mit à sucer le clitoris qui gonflait a vue d'œil. Charlotte donnait des coups de bassin vers le visage de celui qui allait devenir son amant. Le garçon fit si bien avec sa langue qu'elle jouit dans sa bouche avec un feulement. Puis cherchant la meilleure position pour ne pas lui faire mal, elle s'empala sur le pieu de chair…
- Va y soldat, baise moi, il y a si longtemps que je suis en jachère. Prend moi comme tu peux, mais prends moi toute…
- Amaury trouva d'autres positions pour pouvoir prendre sa belle-mère en profondeur et caresser sa poitrine en même temps. Les deux amants oublièrent le reste du monde pendant un long moment, et jouirent l'un de l'autre avec une grande intensité.
En reprenant son souffle, Charlotte dit à son amant :
- Je trouvais ma fille changée, mais maintenant, je sais pourquoi. Je sais qu'elle aime les femmes, mais je pense qu'avec toi elle a appris à aimer les hommes… tu es le parfait amant … Je vais devoir m'organiser pour pouvoir profiter un peu de toi, le père de Caroline ne me touche plus et il n'est pas évident de trouver un amant à mon âge. Ton membre est dur, épais, long et j'adore quand il m'ouvre et tape au fond de moi. Merci ! en y réfléchissant bien, j'espère même te réserver une surprise plus tard …