Le Jeune Marquis (13/x) - histoire érotique

Presque trois semaines plus tard, grâce à sa solide constitution, au repos et aux soins très attentifs de sa belle-mère, Amaury pouvait remonter à cheval. Ils avaient fait de courtes balades avec la Comtesse, et elle avait vérifié l'amélioration de sa jambe en lui demandant de la prendre debout dans les bois. En courageux soldat, il s'y était employé et le couple avait partagé un énorme plaisir au grand air. Alors qu'il était encore profondément enfoncé en elle, Charlotte avait dévoré sa bouche et tout son visage de baiser avant de lui dire combien il lui manquerait.
En rentrant de cette délicieuse promenade, ils trouvèrent un message de l'hôpital qui convoquait le lieutenant pour enlever son plâtre et lui faire passer des examens médicaux en vue de sa réintégration dans son unité. Charlotte rédigea un message pour sa fille afin qu'elle le loge le jour de sa venue.
Pendant cette convalescence, Amaury avait reçu la visite de ses parents et son père en tant qu'ancien Lieutenant Colonel du sixième Dragon, avait été chargé par l'état major de lui remettre sa promotion au grade de Lieutenant. Aymard s'était montré très fier de cette mission et le Comte et la Comtesse avaient été ravis de les recevoir pour la circonstance. Ce jour là, Géraldine avait demandé à son fils de l'emmener voir les aménagements que son épouse et lui, avaient fait faire au bord du Lac.
Leur voiture était à peine sortie de la cour du grand manoir, que Géraldine s'était mise à dévorer la bouche de son fils. Rapidement, elle s'était agenouillée devant lui et avait sorti son sexe pour le sucer frénétiquement. Très rapidement, Amaury éjacula abondamment dans la bouche de sa mère, qui avala avec délice le sperme épais de son fils. Se retroussant jusqu'à la taille, elle se plaça, la poitrine sur la banquette en face de son garçon et l'invita à la prendre. Amaury caressa la fente de sa mère du bout de son gland, puis il s'enfonça dans le vagin brûlant de la femme qu'il préférait en s'accrochant à ses hanches. Les cahots de la route s'ajoutant aux pénétrations du jeune mâle, le couple fut emporté peu de temps après par un formidable orgasme…
Les amants eurent juste le temps de rectifier leur tenue avant d'arriver chez le jeune couple. Ils entrèrent dans le hall pour saluer les domestiques, puis Amaury revêtit une tenue plus pratique pour une promenade et sa mère se débarrassa de ses jupons pour être plus à l'aise, et ils se rendirent devant l'écurie où Bastien avait préparée la calèche légère. Le soleil brillait, l'air était doux et le couple partit en plaisantant et semblant parler de la pluie et du beau temps.
Ils arrivèrent au bord du lac, où les jeunes mariés avaient fait construire une belle cabane pour leur permettre de se changer après un éventuel bain dans le lac. Géraldine se montra très enjouée par l'idée de cette cabane, et sauta au cou de son fils dès qu'ils eurent refermé la porte derrière eux. Après l'avoir embrassé à pleine bouche, elle dénuda son fils fébrilement puis de dévêtit complètement et s'offrit à lui dans le plus simple appareil. Amaury la coucha sur le grand canapé et la pénétra d'un seul coup, pétrissant ses seins gonflés, et les suçant goulument. Géraldine imprima un tempo soutenu et jouit une première fois avec un râle. Tournant le dos au jeune mâle, elle se plaça à quatre pattes devant lui, et lorsqu'il présenta son sexe dur devant son intimité, elle le prit à pleine main et le guida vers son fondement en disant :
- Va doucement, je n'ai pas l'habitude, mais je veux tout te donner, et ceci t'évitera une progéniture trop nombreuse.
Amaury mouilla don gland turgescent dans la fente mouillée de sa mère, puis il l'appuya sur l'anus froncé pour la pénétrer. Comme elle faisait la grimace il dit :
- Maman, es tu certaine de vouloir que je fasse ça ?
- Oui, il faut juste que je me détende un peu, tu as un membre très épais et je ne suis pas habituée, mais ainsi, je serai toute à toi… continue…
Le garçon appuya un peu plus, et le gland franchit le passage… La mère émit un soupir de satisfaction et l'encouragea à accélérer ses pénétrations. Rapidement, on n'entendit plus que les soupirs de la femme et le bruit des couilles du fils sur les fesses de sa mère.
Géraldine se sentait embrochée profondément et haletait sous les assauts de son fils. Décidément, ce garçon était plein de ressources, il la remplissait par tous les trous, et dans tous les cas elle en tirait un énorme plaisir. Brusquement, elle sentit le flot de foutre brûlant lui inonder le fondement et ne put résister à un énorme orgasme. Elle avait déjà été sodomisée plusieurs fois, mais n'avait jamais eu de plaisir. Là, elle s'effondra de tout son long sur l'épais tapis, son fils collé à son dos et toujours profondément enfoncé dans son cul.
- Amaury, je t'aime ! Maintenant, je suis totalement à toi. Dorénavant, tu peux me prendre comme tu veux et me demander ce que tu veux, j'accepterai. J'adore cet inceste, je n'en parlerai à personne si tu veux bien continuer à me donner autant de plaisir.
- Géraldine, tu es la femme idéale, tu m'as donné la vie, tu m'as tout appris, et aujourd'hui tu me donnes tout de toi et de ton corps … JE t'aime comme un fou. J'ai éduqué Caroline, grâce à toi et j'ai même fait l'amour avec Charlotte sans la moindre arrière pensée… Je t'aime, et je suis ton chevalier servant, ton amant, ton mâle dévoué… je ne suis plus capable de te voir comme ma maman !
Les deux amants restèrent un long moment dans les bras l'un de l'autre, savourant ces retrouvailles. Une fois bien reposés, ils se rhabillèrent et partirent faire une petite promenade à pieds.
En revenant, la Marquise fit allonger son fils sur l'épais tapis et après avoir libéré son membre, elle le mouilla de sa salive et vint s'empaler sur lui sans même se déshabiller. Elle le chevaucha comme une furie, le regardant dans les yeux, jusqu'à ce qu'elle soit submergée par un puissant orgasme lorsque son fils se vida dans son intimité surchauffée.

Après avoir repris leur souffle, ils reprirent la calèche et retournèrent au manoir retrouver la Comtesse.