Le Jeune Marquis (15/x) - histoire érotique

Charlotte fit placer la jeune fille debout sur le lit, un pied de chaque côté des hanche d'Amaury. Puis elle expliqua à sa nièce ce qu'elle devait faire et la jeune fille plia lentement les jambes pour placer sa vulve juste au dessus du pieu de chair dressé. Prenant la virilité de son gendre d'une main sure, Charlotte le branla avec un petit sourire, pour s'assurer de sa meilleure rigidité. Caroline chuchota à sa mère :
- Maman, tu es en train de branler ton gendre ! tu te rends compte ?
- Oui et c'est très agréable d'avoir une telle virilité dans la main. Ton père me délaisse, il me faut bien une petite compensation …
- Tu as envie de faire l'amour avec mon mari ?
- Et pourquoi pas ? Il est bien équipé pour m'apporter un gros plaisir …
Caroline se colla au dos de sa mère et glissa sa main sur la toison brune en soufflant :
- Tu ravives mon envie maman, j'aimerais bien voir ça…
La jeune mariée frotta très fort le clitoris de sa mère, faisant monter dans son ventre d'énormes vagues de chaleur. Pendant ce temps, Isabelle attendait au dessus du membre dressé. Charlotte, caressa d'une main la vulve de la jeune fille qui se mit à respirer plus lourdement. De son autre main, elle frotta le grand du jeune mâle contre la fente mouillée, puis elle demanda à isabelle de s'empaler lentement sur le pieu de chair.
Des qu'elle sentit le gros gland franchir l'entrée de son vagin, Isabelle resta tétanisée, la bouche grande ouverte, la respiration bloquée, toute vibrante. Dans son ventre, de grosses vagues de chaleur se succédaient, ne semblant jamais pouvoir s'arrêter.
Amaury commença très doucement un court va et vient dans la féminité inondée, provocant de petits gémissements chez la jeune fille. Le garçon amplifia peu à peu ses pénétrations et soudain, la jeune vierge laissa échapper un jappement sonore. Amaury arrêta ses mouvements en attendant que sa partenaire se sente mieux. Après quelques secondes, Isabelle recommença d'elle-même à bouger et son gémissement avait changé. Son partenaire bascula sur le côté et la plaçant sur le dos, il enfonça lentement son membre dur, jusqu'au fond du vagin de la fille et recommença son va et vient.
Chaque pénétration arrachait un gémissement de plaisir à la jeune femme. Brusquement elle se figea à nouveau, encerclant les hanches de son partenaire de ses jambes pour l'empêcher de bouger et lâcha un long grognement sonore.
Pendant ce coït, Charlotte avait entrainé sa fille sur le lit à côté des amants, et s'était placé tête bèche sur son corps pour lui dévorer la vulve. La jeune épouse, un peu surprise au début, s'était mise à lécher furieusement la fente maternelle sans plus aucune retenue. Le couple lesbien gémissait et semblait prendre un énorme plaisir dans cette étreinte familiale.
Amaury, ravi d'avoir défloré Isabelle, mais qui s'était retiré rapidement pour éviter "un accident", caressait les fesses de la Comtesse en récupérant de son effort. Il se redressa, se plaça derrière la femme et enfonça d'une seule poussée puissante son membre toujours raide au plus profond de l'intimité de sa belle-mère.
La Comtesse, surprise et ravie, grogna un oui de satisfaction, et jouit brusquement sous la double caresse du jeune couple. Caroline, stupéfaite de voir sa mère prise par son époux sans façon, se tortilla pour s'extraire de sous le couple et se dressa près du lit pour les regarder les yeux écarquillés. Amaury accéléra ses pénétrations, besognant la Comtesse comme l'aurait fait un soudard. Brusquement Charlotte glissa sur le ventre avec un énorme gémissement de jouissance. Amaury, toujours enfoncé au plus profond d'elle se laissa tomber sur sa partenaire avec un long grognement de plaisir.
Passant ses mains sous le corps de la femme, il la serra contre lui et bascula sur le dos, exposant son ventre aux regards des deux jeunes qui pouvaient admirer le membre planté dans la vulve de leur aînée…
L'homme prit les seins à pleine main de sa belle-mère et tordit les mamelons dressés. Tournant son visage vers les filles Charlotte dit à isabelle :
- Tu vois ma chérie, même ta vieille tante aime faire l'amour avec un mâle puissant.
Caroline tripotait les tétons de sa mère et les suçait à tour de rôle. Isabelle caressait la toison de sa tante, et de temps en temps, ses doigts glissaient sur le membre dur qui avait fait d'elle une vraie femme.
Charlotte se redressa brusquement, libérant la verge dure, et prit la main de sa nièce pour branler le gros vit, puis elle lui dit :
- Prends le dans ta bouche et suce le, il faut que tu apprennes tout …
Isabelle ouvrit d'abord les lèvres timidement, puis goba le membre encore dur comme elle avait vu sa cousine le faire. Très rapidement le Jeune Marquis, qui commençait à accuser le coup, éjacula à nouveau dans la jeune bouche, ce qui fit s'étouffer sa partenaire
- Avale, tu verras comme c'est bon dit la Comtesse
Puis elle changea de place et se mit à sucer son gendre avec frénésie. Changeant à nouveau, elle s'allongea les cuisses largement ouvertes et attira le jeune mâle entre ses jambes et lui demanda de la faire jouir à nouveau.
- Maman, c'est mon mari, laisse le moi un peu… protesta Caroline
- Non, attends, j'en peux plus de vivre comme une nonne… Ton homme est assez puissant pour nous satisfaire toutes les deux. … Quant à Isabelle, elle ferait bien de s'intéresser à son jeune frère, je l'ai vu nu, et il est fort bien monté aussi… D'ailleurs, si Amaury n'est pas jaloux, tu pourras aussi faire appel à lui pour changer un peu… Votre cabane au bord du lac pourrait faire un excellent baisodrome, et j'espère que le gamin m'honorera moi aussi …
Cessant son bavardage, elle se concentra au mâle qui la prenait profondément et dont le gland tapait au fond de son vagin… Amaury la retourna à nouveau, et la pris en levrette en prenant ses seins à pleines mains. Faisant varier le rythme de ses coups de reins arrachant a nouveau des gémissements aigus à la Comtesse qui finit par crier son bonheur lorsqu'elle sentit le sperme brûlant de son gendre se déverser en elle.
Amaury, épuisé de ces efforts, repoussa la Comtesse sur le coté du lit, et regarda les trois femmes nues qu'il venait de satisfaire, son épouse à la poitrine trop menue aux gros bouts, sa cousine plutôt bien faite aux seins un peu mous, sa belle mère un peu grosse mais expérimentée…
Les couilles bien vides, il ne tarda pas à s'endormir avec un sourire angélique sur ses lèvres encore parfumées des cyprines de ses partenaires… Un moment incroyable…