Le Jeune Marquis (16/x)
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Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (16/x)
Le lendemain matin, le Comte passa récupérer son épouse et son gendre pour les ramener au manoir. Charlotte annonça la bonne nouvelle de la grossesse de sa fille à son mari, qui montra sa joie et félicita son gendre.
Pendant que le Comte vaquait à ses occupations, la Comtesse rendit quelques visites à son gendre qui s'était établi un programme d'exercices physiques pour être au mieux au retour dans son unité. Ce matin là, Charlotte arriva au bord de l'étang, d'où elle vit sortir le soldat en caleçon mouillé, après un bain malgré l'eau très fraiche. La femme l'accompagna dans la maison et se colla à lui dès que la porte fut refermée.
- Attention Comtesse, vous allez mouiller votre robe …
- Peu importe, viens fit elle el l'entrainant vers la chambre. Elle alla rapidement vers le cabinet de toilette et dit à son gendre :
- Attend, je vais te sécher…
Elle commença à essuyer son dos, puis sa poitrine et s'agenouilla en faisant glisser le caleçon mouillé le long des jambes et s'empara de la virilité pour la sucer. Amaury gémit de satisfaction et se laissa faire.
La Comtesse se releva, puis se plaçant dos au lit, elle releva très haut sa robe, découvrant ses jambes nues et sa féminité uniquement couverte de sa toison. Amaury la fit basculer sur le lit et la pénétra brutalement.
Surprise par cette délicieuse agression, Charlotte gémit de plaisir, en relevant très haut ses jambes. Amaury se redressa, puis fit se retourner sa partenaire en relevant la robe pour découvrir ses fesses. Il commença à frotter son gland durci tout le long de la fente, du pubis au dessus de l'anus froncé … la femme se mit à plat ventre sur le lit en remontant ses genoux sur les côtés, afin de mieux goûter les pénétrations du membre imposant … Le jeune homme posa son gland sur le petit trou de la femme et poussa lentement…
Charlotte émit une protestation en disant qu'on ne lui avait jamais fait ça, mais Amaury s'enfonça irrémédiablement dans le fondement de sa belle-mère. Accélérant peu à peu ses profondes pénétrations, le jeune mâle s'accrochait aux hanches de la femme, lui arrachant des plaintes qui n'avaient plus rien à voir avec des protestations.
Lorsqu'elle sentit le flot de sperme brûlant au fond d'elle, la Comtesse ne put résister et hurla sa jouissance dans l'épais dessus de lit. L'homme se retira et donna une claque sur les fesses découvertes. La Comtesse sursauta et dit :
- Amaury, vous êtes un homme incroyable. Vous venez de me faire découvrir un paisir inconnu de moi jusqu'à ce jour. Ma va être heureuse avec vous … Et j'espère sincèrement que vous prendrez soin de moi aussi…
- Pour l(instant, j'espère sortir vivant de cette salle guerre. Mais dans le doute, je vais passer la fin de ma convalescence chez mes parents … j'ai envoyé un message à mon père en ce sens…
- Je suis encore plus contente de l'énorme plaisir que tu m'as donné…
Après un baiser brûlant, la Comtesse remonta dans son cabriolet pour retourner au manoir. Le large sourire qui illuminait son visage, ne laissait aucun doute sur le plaisir que lui avait procuré cette expérience.
Amaury prépara ses affaires, sachant que le Marquis l'accompagnerait directement au sixième Dragon, à la fin de son congé. Dans l'après midi, la calèche de ses parents arriva au bord du lac et le cocher descendit pour saluer le jeune Lieutenant et prendre son bagage.
- Lorsque Amaury monta dans la voiture, il eut la surprise d'y trouver sa mère qui l'attendait avec impatience…
- Enfin mon fils ! Tu me manquais tellement !
Mère, comme c'est gentil de venir me chercher
La Marquise tapa contre la porte et l'équipage prit le chemin du château. Géraldine prit son garçon dans ses bras et lui donna un baiser volcanique qui n'avait rien de maternel.
- Amaury, tu me manques à un point que j'ai du mal à exprimer… J'ai eu beau convaincre ton père de me faire l'amour, mais je n'ai éprouvé qu'une énorme déception. Il ne m'a pas fait jouir et une fois qu'il a eu terminé, il m'a avoué qu'il préfère les toisons blondes. Je l'ai interrogé sur ses maitresses, et il m'a dit qu'une d'elles était complètement rasée, comme une fillette …
- Je ne comprends pas, tu es une très belle femme, tu as des seins magnifiques et fermes comme ceux d'une jeune femme, ta toison est un trésor d'ébène, et tes fesses sont sublimes.
- As-tu trouvé d'autres partenaires que ton épouse ?
- Oui, j'ai défloré Isabelle, la cousine de Caroline, et j'ai fait l'amour avec la comtesse qui est une véritable ogresse, elle aussi délaissée par le Comte.
- C'est affreux ! Ces femmes vont t'arracher à moi …
- Il n'y a aucun risque. Faire l'amour avec toi est sublime, et je ne pourrais pas m'en passer… Parfois, je me dis que c'est un vilain inceste, mais peu m'importe, c'est toi que j'aime caresser et pénétrer jusqu'à l'épuisement.
- Hmmm, je t'aime mon fils … Je t'aime tellement et tu me manques tellement que le soir, je me caresse en pensant à toi …
- C'est gentil, Mère. Le soir au campement, j'essaierai de t'imaginer …
- Pour aider ton imagination, je vais te monter, regarde …
La Marquise se plaça sur le siège face à son fils. Elle posa ses pieds sur la banquette, et les cuisses largement ouvertes, elle releva très haut sa robe, sur sa féminité nue.
- Tu vois, en pensant à toi, je n'ai pas mis de culottes…
- Merci Mère, votre féminité offerte est un spectacle merveilleux
Géraldine posa sa main sur son pubis et commença à caresser sa fente de son médius. De son pouce elle agaçait son clitoris qui gonflait à vue d'œil, et la cyprine commença à s'écouler de son vagin. La Marquise enfonça profondément deux doigts dans son intimité ruisselante en regardant son fils droit dans les yeux. Elle grognait de plaisir à chaque pénétration et léchait ses lèvres gourmandes. N'y tenant plus, elle accéléra sa caresse jusqu'au moment où elle poussa un long gémissement, heureusement couvert par le bruit des roues sur les pavés.
Rouvrant les yeux elle regarda l'énorme bosse entre les jambes de son garçon et lui dit :
- Viens boire à ma source, c'est toi qui m'as fait jouir… Je suis impatiente que nous arrivions, je vais te dévorer. Je vais sucer ton vit jusqu'à ce qu'il crache son bonheur dans ma bouche…
Le jeune homme se mit à genoux devant sa mère et lui lécha l'entre cuisses avec délice. Lorsqu'il commença à téter le clitoris gonflé, la marquise eut un sursaut et jouit à nouveau en serrant les dents pour éviter d'être entendue …
- Tu es le Diable et j'aime ça …
Le carrosse entra dans la cour du château et le cocher gara la voiture, juste au pied du perron.après que Géraldine ai remis de l'ordre dans sa tenue, ils gagnèrent le grand hall ou tous les domestiques accueuillirent le jeune Lieutenant avec joie.
Pendant que le Comte vaquait à ses occupations, la Comtesse rendit quelques visites à son gendre qui s'était établi un programme d'exercices physiques pour être au mieux au retour dans son unité. Ce matin là, Charlotte arriva au bord de l'étang, d'où elle vit sortir le soldat en caleçon mouillé, après un bain malgré l'eau très fraiche. La femme l'accompagna dans la maison et se colla à lui dès que la porte fut refermée.
- Attention Comtesse, vous allez mouiller votre robe …
- Peu importe, viens fit elle el l'entrainant vers la chambre. Elle alla rapidement vers le cabinet de toilette et dit à son gendre :
- Attend, je vais te sécher…
Elle commença à essuyer son dos, puis sa poitrine et s'agenouilla en faisant glisser le caleçon mouillé le long des jambes et s'empara de la virilité pour la sucer. Amaury gémit de satisfaction et se laissa faire.
La Comtesse se releva, puis se plaçant dos au lit, elle releva très haut sa robe, découvrant ses jambes nues et sa féminité uniquement couverte de sa toison. Amaury la fit basculer sur le lit et la pénétra brutalement.
Surprise par cette délicieuse agression, Charlotte gémit de plaisir, en relevant très haut ses jambes. Amaury se redressa, puis fit se retourner sa partenaire en relevant la robe pour découvrir ses fesses. Il commença à frotter son gland durci tout le long de la fente, du pubis au dessus de l'anus froncé … la femme se mit à plat ventre sur le lit en remontant ses genoux sur les côtés, afin de mieux goûter les pénétrations du membre imposant … Le jeune homme posa son gland sur le petit trou de la femme et poussa lentement…
Charlotte émit une protestation en disant qu'on ne lui avait jamais fait ça, mais Amaury s'enfonça irrémédiablement dans le fondement de sa belle-mère. Accélérant peu à peu ses profondes pénétrations, le jeune mâle s'accrochait aux hanches de la femme, lui arrachant des plaintes qui n'avaient plus rien à voir avec des protestations.
Lorsqu'elle sentit le flot de sperme brûlant au fond d'elle, la Comtesse ne put résister et hurla sa jouissance dans l'épais dessus de lit. L'homme se retira et donna une claque sur les fesses découvertes. La Comtesse sursauta et dit :
- Amaury, vous êtes un homme incroyable. Vous venez de me faire découvrir un paisir inconnu de moi jusqu'à ce jour. Ma va être heureuse avec vous … Et j'espère sincèrement que vous prendrez soin de moi aussi…
- Pour l(instant, j'espère sortir vivant de cette salle guerre. Mais dans le doute, je vais passer la fin de ma convalescence chez mes parents … j'ai envoyé un message à mon père en ce sens…
- Je suis encore plus contente de l'énorme plaisir que tu m'as donné…
Après un baiser brûlant, la Comtesse remonta dans son cabriolet pour retourner au manoir. Le large sourire qui illuminait son visage, ne laissait aucun doute sur le plaisir que lui avait procuré cette expérience.
Amaury prépara ses affaires, sachant que le Marquis l'accompagnerait directement au sixième Dragon, à la fin de son congé. Dans l'après midi, la calèche de ses parents arriva au bord du lac et le cocher descendit pour saluer le jeune Lieutenant et prendre son bagage.
- Lorsque Amaury monta dans la voiture, il eut la surprise d'y trouver sa mère qui l'attendait avec impatience…
- Enfin mon fils ! Tu me manquais tellement !
Mère, comme c'est gentil de venir me chercher
La Marquise tapa contre la porte et l'équipage prit le chemin du château. Géraldine prit son garçon dans ses bras et lui donna un baiser volcanique qui n'avait rien de maternel.
- Amaury, tu me manques à un point que j'ai du mal à exprimer… J'ai eu beau convaincre ton père de me faire l'amour, mais je n'ai éprouvé qu'une énorme déception. Il ne m'a pas fait jouir et une fois qu'il a eu terminé, il m'a avoué qu'il préfère les toisons blondes. Je l'ai interrogé sur ses maitresses, et il m'a dit qu'une d'elles était complètement rasée, comme une fillette …
- Je ne comprends pas, tu es une très belle femme, tu as des seins magnifiques et fermes comme ceux d'une jeune femme, ta toison est un trésor d'ébène, et tes fesses sont sublimes.
- As-tu trouvé d'autres partenaires que ton épouse ?
- Oui, j'ai défloré Isabelle, la cousine de Caroline, et j'ai fait l'amour avec la comtesse qui est une véritable ogresse, elle aussi délaissée par le Comte.
- C'est affreux ! Ces femmes vont t'arracher à moi …
- Il n'y a aucun risque. Faire l'amour avec toi est sublime, et je ne pourrais pas m'en passer… Parfois, je me dis que c'est un vilain inceste, mais peu m'importe, c'est toi que j'aime caresser et pénétrer jusqu'à l'épuisement.
- Hmmm, je t'aime mon fils … Je t'aime tellement et tu me manques tellement que le soir, je me caresse en pensant à toi …
- C'est gentil, Mère. Le soir au campement, j'essaierai de t'imaginer …
- Pour aider ton imagination, je vais te monter, regarde …
La Marquise se plaça sur le siège face à son fils. Elle posa ses pieds sur la banquette, et les cuisses largement ouvertes, elle releva très haut sa robe, sur sa féminité nue.
- Tu vois, en pensant à toi, je n'ai pas mis de culottes…
- Merci Mère, votre féminité offerte est un spectacle merveilleux
Géraldine posa sa main sur son pubis et commença à caresser sa fente de son médius. De son pouce elle agaçait son clitoris qui gonflait à vue d'œil, et la cyprine commença à s'écouler de son vagin. La Marquise enfonça profondément deux doigts dans son intimité ruisselante en regardant son fils droit dans les yeux. Elle grognait de plaisir à chaque pénétration et léchait ses lèvres gourmandes. N'y tenant plus, elle accéléra sa caresse jusqu'au moment où elle poussa un long gémissement, heureusement couvert par le bruit des roues sur les pavés.
Rouvrant les yeux elle regarda l'énorme bosse entre les jambes de son garçon et lui dit :
- Viens boire à ma source, c'est toi qui m'as fait jouir… Je suis impatiente que nous arrivions, je vais te dévorer. Je vais sucer ton vit jusqu'à ce qu'il crache son bonheur dans ma bouche…
Le jeune homme se mit à genoux devant sa mère et lui lécha l'entre cuisses avec délice. Lorsqu'il commença à téter le clitoris gonflé, la marquise eut un sursaut et jouit à nouveau en serrant les dents pour éviter d'être entendue …
- Tu es le Diable et j'aime ça …
Le carrosse entra dans la cour du château et le cocher gara la voiture, juste au pied du perron.après que Géraldine ai remis de l'ordre dans sa tenue, ils gagnèrent le grand hall ou tous les domestiques accueuillirent le jeune Lieutenant avec joie.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi agréable à lire sensuel et erotique à souhait on oublie l’inceste omniprésent. Daniel
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