Le Jeune Marquis (17/x) - histoire érotique

Après avoir salué les domestiques et les avoir remerciés pour leur accueil chaleureux, Amaury se rendit dans le bureau de son père qui l'avait fait demander.
- Bonjour Père, vous avez demandé à me voir ?
- Bonjour mon fils. Je suis très heureux de te voir presque totalement rétabli. Je dois me rendre à la garnison pour une réunion. Nous recevons un général dont je ne connais pas le nom. Il vient, parait il, pour nous présenter une nouvelle stratégie, afin de mettre un terme à cette guerre imbécile. Trop de jeunes gens de ton âge se font tuer inutilement. Ce général pense que de vieux briscards comme moi, pourront lui donner leur avis sur son plan. Espérons qu'il écoutera l'avis de vieux soldats qui ont déjà versé leur sang pour la patrie.
Je tenais aussi à te renouveler mes félicitations pour ton grade de Lieutenant, je sais que tu seras capable de t'en montrer digne, et je crois que tu accèderas rapidement au grade de Capitaine, tes supérieurs sont très contents de toi … Fais ton devoir, mais sois prudent et avisé, je compte sur toi pour gérer nos domaines.
Voilà, je vais me sauver immédiatement. Je dormirais au Cercle, et ne rentrerai que demain après midi. J'ai fait préparer un délicieux repas à ton attention, bonsoir mon fils.
- Bonsoir Père et merci pour ces compliments
- Tu les mérites. Prends soin de toi mon fils.
Amaury regagna le grand salon où la Marquise discutait avec une jeune domestique qu'il ne connaissait pas. Géraldine présenta la soubrette à son fils, et dès que la jeune fille fut sortie elle ajouta à voix basse …
- Quand tu me manques trop, je fais appel à elle, elle est très douce et surtout extrêmement discrète …
- Malheureusement, je n'ai pas la même …
- Dis donc, ton épouse, la comtesse et sa nièce Isabelle, c'est pas mal comme compensation …
- Seriez vous jalouse, Mère ?
- Quand il s'agit de toi, oui …
- J'en suis flatté chère … Géraldine
- Tu sais que Sophie va se marier ?
- Oui et je regrette amèrement que Père ait arrangé ce mariage avec Caroline …
- Ça ne s'arrange pas au lit avec ton épouse ?
- Elle aime bien la levrette, me fait quelques fellations, mais son corps n'a aucun intérêt. Elle n'a pas de fesses, et la poitrine d'une gamine pré-pubère …
- Et tu préfères les femmes faites ?
- Sa cousine Isabelle est bien faite, même si elle est inexpérimentée …
- Et la comtesse ?
- Vieillissante et un peu grasse …
- Hum … Pour en revenir à Sophie, la date du mariage est arrêtée …
J'ai eu des informations sur son futur mari, qui est vraiment en bout de course… Son médecin lui donne moins d'un an à vivre au grand maximum…
- Donc Sophie sera rapidement veuve, mais pourquoi se marie t il ?
- Il est seul sans aucune famille proche. Il laissera donc tous ses biens à Sophie, car il craint d'avoir un arrière petit cousin, par feu son neveu, un Baltard …
- Je comprends mieux…
- Aimerais-tu déflorer Sophie ?
- J'en rêve depuis longtemps, et j'en veux vraiment à Père d'avoir choisi l'argent …
- Viens avec moi, je t'expliquerai mon idée à ce sujet, mais pour l'instant, j'ai très envie de te sentir au fond de moi… allons dans tes appartements …
Le jeune homme précéda sa mère vers l'aile du château qui lui était réservée. Dès qu'ils eurent refermé la porte derrière eux, Géraldine le fit pivoter et le prenant dans ses bras, lui donna un baiser volcanique. Rapidement, elle dévêtit complètement, caressant sa peau nue avec délices. S'écartant un peu du jeune mâle, elle se déshabilla prestement, puis s'agenouilla devant lui pour prendre le membre qui commençait à se dresser en bouche.
Amaury glissa ses doigts dans la chevelure de sa mère, faisant s'effondrer sa coiffure sophistiquée, et baisa la bouche de la femme lentement et profondément. Géraldine était une experte de cet exercice, aussi le garçon ne tarda pas à éjaculer dans la bouche de sa douce maman, qui avala le flot brulant de la sève de son garçon en le regardant dans les yeux, et dit après avoir dégluti :
- Pour moi, ton sperme est une gourmandise…
Le garçon, fit relever sa mère sans rien dire, et la prit dans ses bras pour la porter jusqu'à son lit. Il la posa sur le couvre lit, complètement offerte, et se pencha pour déposer un baiser léger sous son nombril. Se redressant, il approcha sa virilité toujours tendue, du sexe maternel et dit à sa mère :
- J'ai toujours envie de toi Géraldine …
Puis il s'enfonça lentement dans le vagin brûlant, et commença des pénétrations lentes et profondes. Géraldine avait relevé ses jambes, les tenant derrière ses genoux. Elle écartait ses cuisses au maximum pour profiter au mieux des assauts virils de ce fils qu'elle aimait comme une folle. Elle le sentait glisser en elle et elle avait un hoquet à chaque fois que la verge venait taper au fond de son vagin surchauffé. Brusquement, elle fut emportée par une énorme vague de plaisir dans une longue plainte sonore. Si las appartements du garçon n'avaient pas été si éloignée du grand hall d'entrée, les domestiques se seraient précipités à l'aide.
Amaury, terriblement excité, accéléra la cadence. Il sentait l'intimité détrempée de sa mère palpiter autour de son membre, ce qui provoquait des vagues brûlantes dans ses reins. A son tour, il se laissa emporter par la jouissance et éjacula abondamment, avant de s'écrouler sur le ventre mouillé de transpiration de sa partenaire préférée…
Les deux amants s'embrassèrent avec fougue, encore profondément imbriqués l'un dans l'autre…
- Je crois que je suis devenue folle, je ne peux plus me passer de ton sexe, de tes caresses, de nos copulations incestueuses … je ne parviens pas à culpabiliser …
- Tu n'as pas à culpabiliser, tu es ma muse, dès que je te vois j'ai envie de te prendre dans mes bras et de te pénétrer. Je suis aussi fou que toi. Quand tu marches devant moi, je suis obligé de me retenir pour ne pas te trousser et te prendre séance tenante… ru me fais toujours bander …
Le jeune mâle roula sur le dos et la marquise le chevaucha, après l'avoir embrassé langoureusement. La virilité de son fils toujours tendue et profondément enfoncée au fond d'elle, elle recommença à onduler …
Amaury caressait les seins de sa mère, faisant rouler les tétons durcis entre ses doigts :
- Mère, tes seins sont magnifiques, ils sont beaux et durs. Je pense que les statues grecques doivent t'envier…
- Je les aime aussi. Je ne comprends pas comment ils restent aussi fermes alors que je t'ai allaité longtemps
- C'est sans doute pour ça que je les aime tant
- C'est sans doute aussi parce que tu me fais l'amour comme un Dieu, et je sens à nouveau le plaisir monter dans mon ventre… Ton sexe est énorme et me remplit complètement …
Géraldine contracta son vagin à plusieurs reprises et les deux amants furent emportés par un raz de marée de plaisir. Haletants et couverts de sueur, ils roulèrent sur le côté et se regardèrent dans les yeux en souriant.