Le Jeune Marquis (19/x) - histoire érotique

La mère et le fils remontèrent l'étroit escalier menant aux appartements du jeune homme. Comme Géraldine le précédait, Amaury en profita pour glisser une main sous la robe légère pour caresser les fesss de sa partenaire préférée.
- Sois patient, jeune voyou, nous avons toute la nuit devant nous …
- Je veux profiter de votre corps chaque minutes où nous sommes ensemble …
Arrivés dans la chambre la femme posa ses vêtements lentement et dit à son fils :
- Regarde, ne me touche pas déshabille toi aussi et écoute moi.
Le garçon pinça les lèvres et se dévêtit à son tour, bouillant d'impatience de serrer la femme dans ses bras.
- Voilà donc ce que je propose : le manoir des parents de Sophie est à presque une journée d'ici alors que celui du Comte Gontrand est à moins d'une heure. Donc, pour le mariage, j'ai proposé à la Baronne Ferrand de Sabran, de venir loger ici pour les noces. De plus, c'est moi qui habillerai Sophie pour le grand jour…
- Vous avez de la chance Mère, vous la verrez en petite tenue…
- Ne t'en fais pas mon chéri, tu auras droit toi aussi au charmant spectacle…
- J'en serai ravi, maintenant que j'ai vu votre corps, j'imagine mieux celui de Sophie …
- J'installerai donc Sophie dans cette aile du château et ses parents près des appartements de ton père… Tu pourras donc rejoindre la future mariée pour faire d'elle une femme…
- Et Gontrand ne s'apercevra de rien ?
- Aucun risque, il sera saoul le soir de la noce. De plus nous lui ferons croire qu'il a fait son devoir comme tout bon mari, et le tour sera joué …
- Vous êtes diabolique …
- Et toi, tu seras l'amant de Sophie et j'espère le géniteur de son fils … En attendant, maintenant, tu peux faire de moi ce que tu veux …
- Vous pensez que le Comte Gontrand n'en est pas capable ?
- J'ai eu des informations de son médecin. Non seulement il est sans doute stérile, mais aussi impuissant et le médecin lui donne peu de temps à vivre … Tu auras donc, une épouse homosexuelle et une maîtresse dévouée … sans oublier ta chère maman, qui t'ouvrira ses bras, et le reste, le plus souvent possible…
Sa phrase à peine terminée, la Marquise s'est agenouillée devant son fils et a pris le sexe dodelinant en bouche. Amaury se mit à bander beaucoup plus dur, il baisa la bouche maternelle un court instant, puis faisant relever sa maman, il la prit dans ses bras, la souleva en la collant contre lui, et la laissa glisser contre son ventre pour qu'elle s'empale sur sa virilité dressée …
Lorsqu'elle sentit la puissante verge la pénétrer profondément, la femme émit un long gémissement de plaisir. Amaury la porta jusqu'au lit où il l'allongea pour mieux pouvoir la fouiller de sa verge… La marquise gémissait de plus en plus fort sous les assauts de son fils. Le bougre variait le rythme de ses coups de reins et Géraldine devenait folle de plaisir.
Les amants se donnèrent à corps perdu faisant varier les positions jusqu'au moment où ils s'effondrèrent épuisés et follement heureux.
- Je suis ravie que tu sois marié à une femme inintéressante. Comme ça, je suis certaine que tu viendras faire l'amour à ta maman chérie …
- J'avoue que je suis ravi de ce qui nous arrive, même si c'est totalement anormal …
- Tant pis pour les bien pensants, ça ne sort pas de la famille …
Au petit matin, Géraldine donna un dernier baiser enflammé à son fils et regagna ses appartements, nue, ses vêtements sur le bras par l'escalier secret.

En fin de matinée, comme convenu Aymard arriva, et dès qu'il fut dans le hall, il demanda que son fils le rejoigne dans son bureau.
Amaury, un peu étonné arriva rapidement
- Bonjour Père, vous m'avec demandé …
- Oui, bonjour mon garçon. Prends un siège, j'ai des informations à te donner ?
- Vous m'inquiétez Père …
- Première information : Ton épouse et sa cousine sont recrutées par l'armée, elles passent du statut de bénévoles à celui d'infirmières militaires. Depuis un certain temps, le Médecin Major leur confiait le rôle et elles ont montré une grande compétence. Compte tenu de la pénurie de soignant près du front, il les a immédiatement envoyées sur place.
- Elle m'avaient dit être très heureuses des tâches qu'on leur confiait
- Deuxième information : dès demain, tu te rendras dans ton unité et tu te présenteras au colonel.
- Mais j'ai encore dix jours de convalescence !
- Tu les feras, le Colonel souhaite s'entretenir avec toi d'urgence, et tu rentreras ici dès que tu l'auras vu.
- Pourquoi veut il me voir ?
- Je ne peux rien te dire, j'ai une idée sur le sujet, mais je ne suis sûr de rien. Donc, exécution mon Lieutenant !
- Bien mon Capitaine !
Lorsque le garçon quitta le bureau paternel, la Marquise l'attendait dans le grand hall. Amaury, cet après midi, je t'emmène visiter le pavillon de l'étang. Ton père a fait réaliser des travaux tres importants et très intéressants, tu seras surpris des innovations qu'il a fait apporter à ca qui n'était qu'une simple cabane de chasse.
Après leur repas, la Marquise avait fait préparer leurs montures, et ils partirent en direction du grand étang au sud de la grande propriété. En approchant de leur destination Amaury nota quelques changements importants.
- On dirait que le petit pavillon s'est étendu …
- En effet, ton père a fait ajouter des pièces qui m'ont surprise, mais que nous apprécierons, été comme hiver …
- Je vois qu'il a fait faire un ponton au bord de l'étang et qu'on a ajouté une grande terrasse. Je pense que je viendrai souvent ici l'été. Le lieu est calme et isolé, idéal pour les rendez vous …
- Je y'y rejoindrai volontiers quand tu y viendras seul…
Ils laissèrent leurs montures dans la grange attenante qui avait été agrandie pour y installes quatre stalles permanentes pour les chevaux.
Géraldine guida son jeune amant en le tenant par la main et lui fit les honneurs du pavillon modernisé.
- Regarde, ton père a fait remanier ce qui est maintenant un espace à vivre. La cheminée a été agrandie et le lourd buffet a été remplacé par cet ensemble de placards complètement dissimulés derrière ces jolies portes…
- En effet, c'est très astucieux et on peut y ranger plus de choses …
- J'y ai fait mettre de la vaisselle en porcelaine blanche et des verreries simples …
- Et là, la petite cuisinette a été bien améliorée …
- Suis moi, le clou du spectacle est ici … Il y a quelques temps, nous avons reçu deux officiers scandinaves
- De la nouveauté dans ta maison, en as-tu bien profité ?
- Pas du tout, ils sont homosexuels, très polis, plutôt charmants, mais pas du tout attirés par les femmes
- Pas de chance pour toi … fit le garçon en riant …
- Voila ! Nos hôtes nous ont parlé des pratiques nordiques. Les scandinaves aiment prendre des bains à plusieurs, ce qui explique la grande cuve que tu vois là, où on peut aisément tenir à quatre sans se bousculer. Et dans la petite pièce à côté, c'est ce qu'ils appellent un sauna c'est une pièce surchauffée où on passe un certain temps pour transpirer et se relaxer… j'ai essayé une fois sous la surveillance d'Emeline, c'est extraordinaire. La petite pièce à côté est un fait une sorte de chaufferie, où on peut faire chauffer l'eau pour la douche, le bain et l'air du sauna … Qu'en penses tu ?
- Voilà quelque chose d'inattendu et de fort intéressant. Je ne pensais pas que Père était un homme aussi moderne.