Le jeune Marquis (2/x) - histoire érotique

Géraldine découvrait l'ignorance de son fils avec stupeur. En principe, un garçon de son âge connaissait la sexualité, même si souvent ce n'était que théorique. Amaury ignorait tout et Aymard, n'avait rien fait en la matière. Il était donc urgent qu'elle lui apportât quelques informations…
- As-tu au moins vu une femme nue ?
- Oui, lorsque nous avons été au musée, il y avait des statues de femmes nues ...
- C'est déjà ça ... Je pense qu'il est extrêmement urgent de palier aux carences de ton père, car en principe, ce sont les pères qui mènent l'éducation sexuelle de leurs fils... Et il ne t'a jamais emmené au bordel je suppose ?
- Non, Frédéric Colin de Linières m'en a parlé, mais Père n'a jamais abordé le sujet.
- Bigre ! Moins d'une semaine pour faire de toi un homme... Pas le temps de négocier ça avec
Monsieur ton père... Viens avec moi fit elle en le prenant par la main pour franchir la porte de sa chambre.
Amaury était complètement désorienté. Sa mère lui parlait de sexualité, elle le questionnait sur ce qu'il avait peut être fait, et finissait par lui faire comprendre qu'elle allait lui apprendre ce qu'il fallait faire.
Une fois dans la chambre, elle referma soigneusement la porte et se tournant vers le garçon, lui ordonna de se déshabiller. Le jeune homme restant interdit, elle insista :
- Met toi entièrement nu, je vais t'expliquer
- Mais Mère, je ne peux pas être nu devant vous !
- Mais si ! Fais ce que je te demande, tu as perdu assez de temps. Et je t'ai vu nu depuis ta naissance jusqu'à il n'y a pas si longtemps ...
Le garçon obéît et se retrouva en caleçon devant sa mère.
- Allons ! Enlève tout, j'ai déjà vu un homme nu et ça ne me gêne pas ...
Très gêné, Amaury fit glisser son caleçon le long de ses jambes et cacha son sexe de ses mains.
- Bien, place toi face à moi et enlève tes mains de devant toi, que je puisse voir comment tu es outillé.
Elle tourna autour de lui, passa sa main dans le dos du jeune homme puis sur son torse, et fit descendre sa main sur le sexe. Amaury sursauta en faisant un petit pas en arrière, et Géraldine saisit le membre à pleine main en disant :
- N'aie pas peur, je ne vais pas le casser, il est joli et ta jeune épouse devrait apprécier...
- Mère, votre main me gêne... dit il en sentant venir une érection
- Ce n'est rien... Est-ce que tu te masturbes ?
- Me quoi ?
- Oui, est ce que tu caresses ta virilité, le bel objet que j'ai dans ma main ?
- Non ... parfois il se tend et grossit sans que je sache pourquoi...
Se plaçant sur son côté sans lâcher la verge qui prenait rapidement du volume elle commença à le masturber en disant :
- Tu vois, la masturbation c'est ça
Le garçon retenait sa respiration et elle lui dit en continuant :
- Ton sexe grossit parce que je le caresse, c'est une des façons d'avoir du plaisir. Sens tu le plaisir monter dans ton ventre ?
- Oui Mère, j'ai envie de bouger mon bassin, dois je faire ça à mon épouse ?
- Tu ne pourras pas le faire ainsi, car ton épouse n'a pas de pénis. Mais nous y viendrons plus tard...
- Oh Mère, c'est agréable je sens des vibrations dans mes reins dit il en donnant de grands coups de bassin. Puis il se figea avec un profond grognement et éjacula en animant le poignet de sa mère pour qu'elle continue de le branler.
- Bravo mon fils ! dit elle en relâchant le membre qui avait atteint une belle taille ...
- Oh Mère, c'était merveilleux ...
- Très bien, maintenant, nous allons voir ce qu'il en est des femmes...
Elle posa son joli gilet couvert de broderies multicolores, se trouvant en jupe et chemisier blanc. Elle approcha de son fils, et prenant les mains du jeune homme, elle les posa sur sa poitrine et les guida pour qu'elles couvrent bien ses rondeurs.
- Sous mon chemisier, il y a mes seins. Caresser les seins de ton épouse, lui procurera du plaisir...
- Vous ressentez du plaisir Mère ?
- Attends, je vais poser mes vêtements, délasse mon corset s'il te plait, fit elle en lui tournant le dos après avoir posé son chemisier de fine dentelle.
Lorsqu'il eut desserré les lacets, elle fit glisser le corset sur ses hanches, offrant son dos nu aux regards du garçon. Elle lui demanda de se placer derrière elle et saisissant les mains d'Amaury, elle les posa encoques sur ses seins en se collant contre son ventre.
- Caresse les, les femmes aiment qu'on caresse leur poitrine... Certaines même, peuvent avoir un orgasme sous cette caresse...
- C'est quoi un orgasme ?
- C'est ce que tu as eu tout à l'heure, lorsque tu as éjaculé, c'est l'aboutissement du plaisir...
- Et vous avez du plaisir, lorsque je caresse votre poitrine ?
- Oui, c'est très agréable... Bien, continuons fit elle avec une nouvelle vibration dans la voix. Enlève ma jupe maintenant.
Comme il n'y arrivait pas, elle guida ses mains vers les attaches et lui dit :
- Il faudra prendre l'habitude de déshabiller ton épouse, ce déshabillage accompagne les caresses en général. C'est un signe de tendresse, et pendant que tu dénude et caresse ta partenaire, votre envie et votre plaisir augmentent en intensité, ainsi les caresses plus intimes et le coït seront encore plus agréables.
Elle se plaça face à lui en ondulant et fit glisser sa grande culotte fendue le long de ses jambes, découvrant le triangle sombre au bas de son ventre. Amaury rougit violemment et resta tétanisé. Il regardait sa mère les yeux écarquillés et semblait avoir des difficultés à respirer. Elle tourna sur elle-même, afin qu'il puisse détailler son corps sculptural. Géraldine était une belle femme et s'étonna de ne ressentir aucune gêne d'être nue devant son garçon. Une étrange excitation parcourait tout son corps, "si mon amant était là, je le dévorerais" pensa-t-elle.