Le Jeune Marquis (21/x)
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Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (21/x)
Le mariage de Sophie et du Comte Gontrand Périn de Ferrières devait avoir lieu le samedi suivant. Malheureusement, un fort orage inattendu avait gravement endommagé la toiture du manoir du Comte et celui-ci avait envisagé de reporter la cérémonie et surtout la réception qui devait suivre.
Ayamard et Géraldine en avaient discuté et s'étaient mis d'accord pour convaincre leur ami Gontrand de déplacer cette fête dans leur château. Le Comte, très gêné avait hésité, mais il avait fini par accepter et avait demandé au rôtisseur chargé du repas de s'organiser avec la cuisinière des Brochant de l'Herbier Mouchet pour que tout se passe bien. Afin que le Comte Gontrand ne soit pas trop perturbé par ces bouleversements, Aymard avait fait en sorte qu'il s'installe au château dès le mercredi.
Le Comte Périn de Ferrières était d'agréable compagnie et tout se déroula sans soucis, jusqu'au moment où il fit un malaise. Le médecin habituel des Brochant était arrivé très vite et avait remis le futur marié sur pieds rapidement. Géraldine, en femme avisée, avait conseillé au médecin de faire un examen le plus exhaustif possible et après la consultation, elle prit le praticien à part pour qu'il lui fasse un point.
- Alors Docteur, que pensez vous de la santé de notre ami ?
- Je vais être très franc Marquise, je suis très inquiet. Je ne sais pas quelle a été sa vie, mais il est au bout du rouleau. Son cœur est très fatigué, et une forte émotion peut le tuer … Je ne pense pas qu'un mariage soit un bon remède pour lui …
- A ce point ?
- Oui, après la cérémonie, il faut absolument qu'il ait une vie très calme. Ménagez le pendant la noce, il doit éviter les efforts, si vous voyez ce que je veux dire … Cet homme, bien que très sympathique, n'ira pas loin.
- Très bien Docteur, je vais avertir mon mari et la belle-famille en évitant de les affoler
Le lendemain, Sophie arriva accompagnée de ses parents. Dans le château l'ambiance devint très chaleureuse. Gontrand qui était un très vieil ami de la famille de la Marquise, racontait la vie des lieux quarante ans plus tôt et les fêtes très joyeuses qui s'y déroulaient.
Aymard et Géraldine racontèrent leur mariage et tous les petits événements amusants qui s'y étaient déroulés. Les parents de Sophie regrettèrent l'absence de Caroline, mais Aymard leur raconta sa nouvelle affectation et son intégration dans l'armée. Il annonça avec un grand sourire, la nouvelle affectation d'Amaury et Sophie se montra ravie de savoir son ami loin des combats.
Le soir, juste avant de se retirer, Gontrand demanda aux parents de la jeune fille, l'autorisation de s'entretenir avec elle en privé. Arnaud Bertin de Ribières, accepta et recommanda en riant à leur ami Gontrand "de ne pas brûler les étapes". Tout le monde rit de la plaisanterie et les futurs mariés s'isolèrent dans le petit salon.
Sophie, très intriguée suivit son futur époux en, se demandant ce qu'il voulait lui dire.
- Quel est je sujet important dont vous souhaitez m'entretenir Monsieur le Comte ?
- Ah petite Sophie, appelle moi donc Gontrand, je suis ton ami, même si je vais devenir officiellement ton époux
- Soit, mais je meurs d'impatience …
- Je m'en doute. Ce que j'ai à te dire est de la plus haute importance et ne doit en aucun cas bouleverser notre organisation.
- Vous m'inquiétez … Gontrand. Devenant votre épouse, je me conformerai à vos exigences.
- Nous reparlerons de ce point, mais voici ce que j'ai à te dire.
Je te connais depuis ton enfance, et j'ai pu me rendre compte que tu n'es pas comme les jeunes filles qui t'entourent. Tu es une jeune fille très intelligente, franche, et loin des comportements envieux et avares.
- Merci pour tous ces compliments, je ne suis pas certaine d'être idéale…
- Tu l'es, et mon grand âge comme ma vie de célibataire discret, me permettent de garantir mes propos. Mais ce n'est pas le sujet. Très clairement, je t'ai choisie pour ces qualités. Je suis beaucoup plus riche qu'il n'y parait, et les quelques liens de famille qui me restent sont à la fois très éloignés et totalement nuisibles.
- Oh ! il vous reste de la famille ? je l'ignorais complètement …
- Ces gens ne valent pas la peine qu'on parle d'eux, ce sont des coureurs d'héritage de la plus vile espèce…
- Bien, je vous écoute donc
- Donc, tu vas être la seule héritière des tous mes biens, connus et cachés. Tu hériteras très bientôt, car il me reste très peu de temps à vivre, et le médecin de nos amis me l'a confirmé …
- Vous allez déjà mourir !
- Oui, mais c'est le sort de chacun. Compte tenu de ma carcasse totalement délabrée, je suis dans l'impossibilité de produire un héritier, contrairement à mes vœux les plus chers. De plus, pour moi, tu restes l'adorable petite fille que j'ai toujours connue, et je grillerais en enfer si je m'acharnais à vouloir consommer notre union.
- Je suis bouleversée Gontrand
- Ne le sois pas, c'est ainsi. De plus, je sais depuis longtemps, que ton amour va au jeune Amaury, et que les décisions d'Aymard t'ont contrariée.
- Comment savez vous ça !
- Je te l'ai dit, je suis un vieil homme qui aime beaucoup observer ses contemporains …
- Vous avez raison, et honnêtement j'en ai voulu à mon père de vous avoir choisi plutôt que lui, même si j'ai beaucoup d'affection pour vous…
- Je sais ton affection pour moi et j'en suis heureux, mais la vie est parfois un peu compliquée …
- Que faut il faire ?
- Je t'ai dit que je veux absolument un héritier. Donc, il faut absolument que tu sois enceinte rapidement, avant que je disparaisse définitivement …
- Mais …
- Je pense que tu as compris … Puisque tu aimes Amaury et qu'il t'aime, je voudrais qu'il te fasse un enfant avant ma mort et que cet enfant porte mon nom afin qu'après toi, il bénéficie de mon héritage. Je conçois que mes paroles puissent te choquer, mais c'est la seule solution pour que tu portes mon héritier. Même s'il n'est pas totalement de mon sang, il me semble que ce secret servira tes intérêts.
- Gontrand, ce que vous me dites là, est totalement inattendu et très déstabilisant. Il est vrai que j'aime Amaury très fort, mais j'étais prête à sacrifier mes sentiments pour obéir aux choix de mon père, et je ne sais plus que dire ni même que penser.
- Je comprends. Je connais ce château depuis très longtemps, puisque j'étais un ami du grand oncle de la Marquise. Je sais qu'il y a des passages pour relier certains endroits les un aux autres. Lors de nos conversations en privé, notre hôtesse m'a dit avoir conservé le secret et je vais lui demander de favoriser tes rencontres avec son fils, qui n'est pas spécialement heureux d'avoir du se marier avec Caroline…
- Amaury ne savait pas que Caroline est homosexuelle depuis longtemps et leurs rapports ne doivent pas être simples… Mais je suis très troublée par tout ça et je vous remercie de votre confiance.
- Tu la mérites et le jeune Amaury est un garçon exceptionnel en qui j'ai aussi confiance. Vous rapprocher, même sous le sceau du secret est sans doute ma dernière bonne action ici bas.
Quelques minutes plus tard, Sophie gagna sa chambre encore toute émue des propos de son futur mari. Elle s'apprêta pour la nuit et se coucha, mais elle eut beaucoup de mal à trouver le sommeil.
De son côté, le jeune Marquis s'était allongé sur son lit et rêvassait à la jeune fille en se demandant comment faire pour la convaincre de se donner à lui. Absorbé dans ses pensées, il n'entendit pas le passage secret s'ouvrir et sursauta lorsqu'il vit Géraldine au pied de son lit, revêtue d'un déshabillé vaporeux qui ne masquait rien de ses formes voluptueuses.
- Te voilà bien rêveur mon fils chéri
- Oh Mère, je ne vous avais pas entendue arriver
- Je suis venue pour abuser de mon jeune étalon, mais tu m'as l'air très absorbé
- Je me demandais comment séduire Sophie
- Voilà donc l'explication de cette belle bosse sur ton caleçon
- Oui, j'essayais de l'imaginer …
- Ne bouge pas, je vais m'occuper de toi et nous parlerons de Sophie après …
Le Marquise se pencha sur le bord du lit et fit glisser le caleçon de son fils, découvrant une verge déjà bien tendue. D'un mouvement lent, elle fit glisser ai sol son vêtement arachnéen puis elle monta sur la couche, plaçant un pied de chaque côté du corps du jeune mâle qui la dévorait des yeux. S'approchant de lui elle posa ses genoux juste au dessus des épaules du garçon et sa toison sur la bouche déjà entrouverte.
Amaury lécha la fente de la brune, qui commençait à se mouiller de cyprine. De sa langue, il écarta les lèvres intimes, buvant la liqueur d'amour à sa source. Déplaçant sa tête, le jeune homme prit le clitoris entre ses lèvres et le titilla de sa langue. Géraldine se mit à vibrer en haletant et finit pas lâcher une longue plainte accompagnée d'un véritable jet de son liquide intime…
Au bout de quelques secondes, elle se redressa, puis se positionnant au dessus de la virilité tendue à l'extrême, elle s'empala d'un mouvement lent en grognant de plaisir.
- Ne bouge pas mon chéri, ce soir c'est moi qui te fais l'amour, j'en crevais d'envie …
Amuary se laissa faire, sa mère, experte en la matière, ondulait sur lui, tantôt s'enfonçant au plus profond, tantôt remontant de façon que le gland du jeune mâle soit a demi sorti de son vagin. La femme faisait des efforts immenses pour ne pas se laisser aller, sentant des ondes brûlantes au fon de son ventre. Après quelques minutes de ce régime particulier, Amaury n'y tint plus et inonda le sexe maternel dans un râle profond.
- Mère, je n'en peux plus. Je ne peux plus me passer de ton sexe et de ton corps de déesse. Nous brulerons certainement en enfer pour cet inceste, mais tant pis, ce plaisir est trop grand …
La Marquise s'était couchée sur son fils, écrasant sa poitrine marmoréenne sur le torse velu du garçon. Elle l'embrassa à pleine bouche pour le faire taire et recommença à onduler sur le membre encore dur enfoncé tout au fond d'elle. Reprenant l'initiative, Amaury la serra contre lui et roula sur le côté pour venir dessus, puis il reprit ses pénétrations, faisant varier leur rythme. Changeant à nouveau de position, il plaça sa mère à quatre pattes et la prit en levrette, ses deux mains sur les seins gonflés. Géraldine gémissait à chaque fois que la verge touchait le fond de son vagin. Elle avait l'impression que son fils allait la transpercer de son pieu de cher qui semblait devenir de plus en plus gros. Soudain le garçon prit les hanches de sa mère et donnant un énorme coup de reins pour aller au plus profond, il se tétanisa et éjacula abondamment. Sentant le sperme chaud au fond d'elle, la Marquise jouit dans une longue plainte aigue et se laissa glisser à plat ventre…
Epuisés par ces efforts intenses, les amants s'endormirent toujours profondément imbriqués l'un dans l'autre…
Ayamard et Géraldine en avaient discuté et s'étaient mis d'accord pour convaincre leur ami Gontrand de déplacer cette fête dans leur château. Le Comte, très gêné avait hésité, mais il avait fini par accepter et avait demandé au rôtisseur chargé du repas de s'organiser avec la cuisinière des Brochant de l'Herbier Mouchet pour que tout se passe bien. Afin que le Comte Gontrand ne soit pas trop perturbé par ces bouleversements, Aymard avait fait en sorte qu'il s'installe au château dès le mercredi.
Le Comte Périn de Ferrières était d'agréable compagnie et tout se déroula sans soucis, jusqu'au moment où il fit un malaise. Le médecin habituel des Brochant était arrivé très vite et avait remis le futur marié sur pieds rapidement. Géraldine, en femme avisée, avait conseillé au médecin de faire un examen le plus exhaustif possible et après la consultation, elle prit le praticien à part pour qu'il lui fasse un point.
- Alors Docteur, que pensez vous de la santé de notre ami ?
- Je vais être très franc Marquise, je suis très inquiet. Je ne sais pas quelle a été sa vie, mais il est au bout du rouleau. Son cœur est très fatigué, et une forte émotion peut le tuer … Je ne pense pas qu'un mariage soit un bon remède pour lui …
- A ce point ?
- Oui, après la cérémonie, il faut absolument qu'il ait une vie très calme. Ménagez le pendant la noce, il doit éviter les efforts, si vous voyez ce que je veux dire … Cet homme, bien que très sympathique, n'ira pas loin.
- Très bien Docteur, je vais avertir mon mari et la belle-famille en évitant de les affoler
Le lendemain, Sophie arriva accompagnée de ses parents. Dans le château l'ambiance devint très chaleureuse. Gontrand qui était un très vieil ami de la famille de la Marquise, racontait la vie des lieux quarante ans plus tôt et les fêtes très joyeuses qui s'y déroulaient.
Aymard et Géraldine racontèrent leur mariage et tous les petits événements amusants qui s'y étaient déroulés. Les parents de Sophie regrettèrent l'absence de Caroline, mais Aymard leur raconta sa nouvelle affectation et son intégration dans l'armée. Il annonça avec un grand sourire, la nouvelle affectation d'Amaury et Sophie se montra ravie de savoir son ami loin des combats.
Le soir, juste avant de se retirer, Gontrand demanda aux parents de la jeune fille, l'autorisation de s'entretenir avec elle en privé. Arnaud Bertin de Ribières, accepta et recommanda en riant à leur ami Gontrand "de ne pas brûler les étapes". Tout le monde rit de la plaisanterie et les futurs mariés s'isolèrent dans le petit salon.
Sophie, très intriguée suivit son futur époux en, se demandant ce qu'il voulait lui dire.
- Quel est je sujet important dont vous souhaitez m'entretenir Monsieur le Comte ?
- Ah petite Sophie, appelle moi donc Gontrand, je suis ton ami, même si je vais devenir officiellement ton époux
- Soit, mais je meurs d'impatience …
- Je m'en doute. Ce que j'ai à te dire est de la plus haute importance et ne doit en aucun cas bouleverser notre organisation.
- Vous m'inquiétez … Gontrand. Devenant votre épouse, je me conformerai à vos exigences.
- Nous reparlerons de ce point, mais voici ce que j'ai à te dire.
Je te connais depuis ton enfance, et j'ai pu me rendre compte que tu n'es pas comme les jeunes filles qui t'entourent. Tu es une jeune fille très intelligente, franche, et loin des comportements envieux et avares.
- Merci pour tous ces compliments, je ne suis pas certaine d'être idéale…
- Tu l'es, et mon grand âge comme ma vie de célibataire discret, me permettent de garantir mes propos. Mais ce n'est pas le sujet. Très clairement, je t'ai choisie pour ces qualités. Je suis beaucoup plus riche qu'il n'y parait, et les quelques liens de famille qui me restent sont à la fois très éloignés et totalement nuisibles.
- Oh ! il vous reste de la famille ? je l'ignorais complètement …
- Ces gens ne valent pas la peine qu'on parle d'eux, ce sont des coureurs d'héritage de la plus vile espèce…
- Bien, je vous écoute donc
- Donc, tu vas être la seule héritière des tous mes biens, connus et cachés. Tu hériteras très bientôt, car il me reste très peu de temps à vivre, et le médecin de nos amis me l'a confirmé …
- Vous allez déjà mourir !
- Oui, mais c'est le sort de chacun. Compte tenu de ma carcasse totalement délabrée, je suis dans l'impossibilité de produire un héritier, contrairement à mes vœux les plus chers. De plus, pour moi, tu restes l'adorable petite fille que j'ai toujours connue, et je grillerais en enfer si je m'acharnais à vouloir consommer notre union.
- Je suis bouleversée Gontrand
- Ne le sois pas, c'est ainsi. De plus, je sais depuis longtemps, que ton amour va au jeune Amaury, et que les décisions d'Aymard t'ont contrariée.
- Comment savez vous ça !
- Je te l'ai dit, je suis un vieil homme qui aime beaucoup observer ses contemporains …
- Vous avez raison, et honnêtement j'en ai voulu à mon père de vous avoir choisi plutôt que lui, même si j'ai beaucoup d'affection pour vous…
- Je sais ton affection pour moi et j'en suis heureux, mais la vie est parfois un peu compliquée …
- Que faut il faire ?
- Je t'ai dit que je veux absolument un héritier. Donc, il faut absolument que tu sois enceinte rapidement, avant que je disparaisse définitivement …
- Mais …
- Je pense que tu as compris … Puisque tu aimes Amaury et qu'il t'aime, je voudrais qu'il te fasse un enfant avant ma mort et que cet enfant porte mon nom afin qu'après toi, il bénéficie de mon héritage. Je conçois que mes paroles puissent te choquer, mais c'est la seule solution pour que tu portes mon héritier. Même s'il n'est pas totalement de mon sang, il me semble que ce secret servira tes intérêts.
- Gontrand, ce que vous me dites là, est totalement inattendu et très déstabilisant. Il est vrai que j'aime Amaury très fort, mais j'étais prête à sacrifier mes sentiments pour obéir aux choix de mon père, et je ne sais plus que dire ni même que penser.
- Je comprends. Je connais ce château depuis très longtemps, puisque j'étais un ami du grand oncle de la Marquise. Je sais qu'il y a des passages pour relier certains endroits les un aux autres. Lors de nos conversations en privé, notre hôtesse m'a dit avoir conservé le secret et je vais lui demander de favoriser tes rencontres avec son fils, qui n'est pas spécialement heureux d'avoir du se marier avec Caroline…
- Amaury ne savait pas que Caroline est homosexuelle depuis longtemps et leurs rapports ne doivent pas être simples… Mais je suis très troublée par tout ça et je vous remercie de votre confiance.
- Tu la mérites et le jeune Amaury est un garçon exceptionnel en qui j'ai aussi confiance. Vous rapprocher, même sous le sceau du secret est sans doute ma dernière bonne action ici bas.
Quelques minutes plus tard, Sophie gagna sa chambre encore toute émue des propos de son futur mari. Elle s'apprêta pour la nuit et se coucha, mais elle eut beaucoup de mal à trouver le sommeil.
De son côté, le jeune Marquis s'était allongé sur son lit et rêvassait à la jeune fille en se demandant comment faire pour la convaincre de se donner à lui. Absorbé dans ses pensées, il n'entendit pas le passage secret s'ouvrir et sursauta lorsqu'il vit Géraldine au pied de son lit, revêtue d'un déshabillé vaporeux qui ne masquait rien de ses formes voluptueuses.
- Te voilà bien rêveur mon fils chéri
- Oh Mère, je ne vous avais pas entendue arriver
- Je suis venue pour abuser de mon jeune étalon, mais tu m'as l'air très absorbé
- Je me demandais comment séduire Sophie
- Voilà donc l'explication de cette belle bosse sur ton caleçon
- Oui, j'essayais de l'imaginer …
- Ne bouge pas, je vais m'occuper de toi et nous parlerons de Sophie après …
Le Marquise se pencha sur le bord du lit et fit glisser le caleçon de son fils, découvrant une verge déjà bien tendue. D'un mouvement lent, elle fit glisser ai sol son vêtement arachnéen puis elle monta sur la couche, plaçant un pied de chaque côté du corps du jeune mâle qui la dévorait des yeux. S'approchant de lui elle posa ses genoux juste au dessus des épaules du garçon et sa toison sur la bouche déjà entrouverte.
Amaury lécha la fente de la brune, qui commençait à se mouiller de cyprine. De sa langue, il écarta les lèvres intimes, buvant la liqueur d'amour à sa source. Déplaçant sa tête, le jeune homme prit le clitoris entre ses lèvres et le titilla de sa langue. Géraldine se mit à vibrer en haletant et finit pas lâcher une longue plainte accompagnée d'un véritable jet de son liquide intime…
Au bout de quelques secondes, elle se redressa, puis se positionnant au dessus de la virilité tendue à l'extrême, elle s'empala d'un mouvement lent en grognant de plaisir.
- Ne bouge pas mon chéri, ce soir c'est moi qui te fais l'amour, j'en crevais d'envie …
Amuary se laissa faire, sa mère, experte en la matière, ondulait sur lui, tantôt s'enfonçant au plus profond, tantôt remontant de façon que le gland du jeune mâle soit a demi sorti de son vagin. La femme faisait des efforts immenses pour ne pas se laisser aller, sentant des ondes brûlantes au fon de son ventre. Après quelques minutes de ce régime particulier, Amaury n'y tint plus et inonda le sexe maternel dans un râle profond.
- Mère, je n'en peux plus. Je ne peux plus me passer de ton sexe et de ton corps de déesse. Nous brulerons certainement en enfer pour cet inceste, mais tant pis, ce plaisir est trop grand …
La Marquise s'était couchée sur son fils, écrasant sa poitrine marmoréenne sur le torse velu du garçon. Elle l'embrassa à pleine bouche pour le faire taire et recommença à onduler sur le membre encore dur enfoncé tout au fond d'elle. Reprenant l'initiative, Amaury la serra contre lui et roula sur le côté pour venir dessus, puis il reprit ses pénétrations, faisant varier leur rythme. Changeant à nouveau de position, il plaça sa mère à quatre pattes et la prit en levrette, ses deux mains sur les seins gonflés. Géraldine gémissait à chaque fois que la verge touchait le fond de son vagin. Elle avait l'impression que son fils allait la transpercer de son pieu de cher qui semblait devenir de plus en plus gros. Soudain le garçon prit les hanches de sa mère et donnant un énorme coup de reins pour aller au plus profond, il se tétanisa et éjacula abondamment. Sentant le sperme chaud au fond d'elle, la Marquise jouit dans une longue plainte aigue et se laissa glisser à plat ventre…
Epuisés par ces efforts intenses, les amants s'endormirent toujours profondément imbriqués l'un dans l'autre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau chapitre ce petit marquis est un superbe amant endurant et apparemment son rêve va se réaliser il va pouvoir baiser Sophie. Toujours bien écrit et agréable à lire on visualise les scènes de sexes.Daniel

