Le Jeune Marquis (22/x)

Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (22/x)
Le lendemain matin, la couturière de la Marquise vint dans les appartements de Sophie pour les derniers essayages. Comme la future mariée semblait angoissée par ce qui se préparait, Géraldine proposa à la jeune fille de l'emmener visiter le pavillon de l'étang, où les rejoindrait Amaury. Lorsque les essayages furent terminés, Gontrand vint trouver la Marquise et demanda à lui parles en privé. Ils se rendirent dans le petit salon, pendant que Sophie et ses parents faisaient une promenade en calèche au village le plus proche afin de rencontrer une dernière fois le prêtre avant la cérémonie du lendemain.
Très calmement, et sous le sceau du secret, le vieil homme exposa à son hôtesse, le plan qu'il avait établi vis-à-vis des jeunes gens et pour sa succession. Pendant l'exposé Géraldine resta bouche bée. Lorsqu'il eut terminé, elle resta un moment silencieuse puis émit une réserve vis-à-vis de l'épouse du garçon. Gontrand la rassura, en lui disant que si les jeunes savaient rester discrets, ce qu'il pensait, Caroline ne saurait rien. Il ajouta, que les jeunes amoureux, ne seraient pas les premiers à suivre un tel stratagème et qu'il préférait en être l'initiateur.
Après un court moment de réflexion, la Marquise renouvela son serment de secret et assura le Comte Gontrand des sa totale participation aux dessins du vieil homme.
Toute la maisonnée prit un délicieux repas en commun, puis le cocher familial emmena Gontrand et les parents de Sophie en calèche, pendant que Géraldine et Sophie, prenaient une petite calèche à deux places pour se rendre au pavillon de l'étang où Amaury était parti sur sa monture.
Lorsqu'elles arrivèrent au pavillon, la Marquise fit visiter les lieux à la jeune femme qui connaissait la cabane de chasse initiale et se montre enchantée par tous les changements et modernisations réalisée sous la conduite d'Aymard. Arrivées dans la partie bains, elles trouvèrent Amaury déjà installé dans la grande cuve.
Comme la jeune fille avait un mouvement de recul, Géraldine la retint et lui expliqua les pratiques scandinaves en matière de bain commun. Sans attendre, elle commença à poser ses vêtements et invita la future mariée à faire de même.
- Mais Marquise, Amaury va nous voir nues !
- Ça ne sera pas la première fois, et je puis t'assurer que ça n'a rien de grave
Maintenant complètement nue, la femme fit face à son invitée et dit
- Allons, dépêches toi d'enlever tout ça, tu vas voir, ce bain est délicieusement chaud
La jeune fille hésitant encore, Géraldine s'approcha d'elle et finit de la dénuder. Sophie, écarlate, tentait de cacher de ses mains sa poitrine et son intimité. Géraldine lui prit les mains et ecartant les bras pour tout voir lui dit :
- N'aies pas honte Sophie, ton corps est magnifique, tu es une très belle jeune femme. Tes hanches sont pleines et tu feras sans doute de beaux bébés. Ta poitrine est haute et semble très ferme, ce qui ravira tes partenaires sexuels. Allons, rentre dans l'eau maintenant, il est temps pour nous de rejoindre le beau jeune homme qui trempe en nous admirant…
Sophie monta dans la cuve et tourna le dos au jeune homme pour entrer dans l'eau. Voyant pour la première fois le magnifique fessier de son amie, celui-ci ne put retenir un début de bandaison accompagnée de belles pensées lubriques. La comtesse s'assit tout contre son jeune amant et passa discrètement la main sur le bas ventre du garçon pour constater son état d'excitation, et demanda :
- Alors jeune fille qu'en penses tu ?
- C'est très agréable, mais je suis très gênée
- Il ne faut pas te formaliser, la nudité est on ne peut plus naturelle, regarde.
La femme se mit debout dans le bain et tourna sur elle-même de façon à ce que chacun puisse voir les détails de son corps sculptural.
Alors jolie Sophie ? Tu vois qu'être nue devant nous ne me dérange pas, on s'habitue très vite. Leve toi Amaury, pour que Sophie puisse voir ton corps d'éphèbe…
Le garçon qui avait profité de ces échanges pour se calmer, ne bandait plus, même si sa virilité, même détendue était encore de taille importante. Il se leva et tourna sur lui-même comme sa mère l'avait fait. Sophie regarda la musculature du Lieutenant, mais ne put détacher son regard du sexe viril.
La marquise ayant vu la fascination de la jeune femme, s'approcha de son fils, et prenant la verge à pleine main demanda à la fille :
- Avais tu déjà vu une aussi belle virilité ?
Sophie vira à nouveau au rouge et balbutia
- Non Marquise, et la voir dans votre main me trouble profondément.
- Ne sois surtout pas offusquée, Amaury et moi sommes très fusionnels, et nous pouvons nous toucher sans que ça prête forcément à conséquences. Veux tu le toucher aussi ?
- Je n'oserais pas !
- Fais le sans craintes, ce qui se passe ici restera entre nous trois, les scandinaves sont parait ils très libres sexuellement et le contact intime semble faire partie intégrante de leur sexualité… Donne moi ta main
Toujours rouge et profondément troublée, la jeune fille donna sa main à son aînée. La Marquise posa la petite main sur les bourses pleines de sève de son fils et expliqua :
- Ce que tu touches là, ce sont ses bourses, le petit peuple dit ses couilles. C'est par là que vient la semence qui permet de féconder la femme lors de l'accouplement.
Guidant les doigts de la jeune fille autour du membre qui commençait à gonfler elle expliqua encore.
- Maintenant c'est la verge que tu tiens dans ta main. Comme tu peux le constater, elle grossit et devient dure. Pour faire l'amour, il faut que cette virilité soit bien dure afin de pouvoir pénétrer la partenaire et déverser au fond d'elle la semence qui fécondera la femme.
- C'est vrai qu'elle grossit beaucoup et qu'elle durcit. C'est la première fois que je touche un garçon et je suis contente que ça soit Amaury, car j'ai totalement confiance en lui.
- Veux tu qu'Amaury te fasse l'amour maintenant ?
- Oh non ! je n'ose pas, c'est trop tôt. Et j'aurais honte de faire l'amour devant vous Marquise.
- Si tu veux, je vais sortir de la pièce et vous laisser seuls …
- Non Marquise, je ne me sens pas prête …
- Je comprends, mais je vais sortir quand même et je pense que ce garçon, qui t'aime énormément, va te donner quelques caresses, même s'il ne te pénètre pas
- Oui Mère, laisse nous, je veux montre à Sophie combien je l'aime …
La marquise s'approcha du jeune couple qui s'était assis l'un contre l'autre, et posa un léger baiser sur les lèvres de son fils et sur les lèvres de Sophie. Puis elle sortit en ondulant de la croupe et fit un clin d'œil discret à son fils.
Amaury avait passé son bras gauche sur les épaules de la jeune fille. Mettant son front contre celui dee Sophie, il lui dit :
- Tu sais Sophie, je t'aime très fort, et depuis longtemps. J'ai été très contrarié que mon père arrange mon mariage avec Caroline.
- Oui, je l'ai compris, et moi aussi je t'aime très fort depuis que nous sommes adolescents. Tu es un beau garçon, un bel homme, elle a de la chance Caroline… Tu t'entends bien avec elle ?
- Je n'ai pas trop à me plaindre …
- Tu sais qu'elle est homosexuelle ?
- Oui, mais elle consent à faire l'amour avec moi malgré ce penchant, et elle semble y prendre du plaisir
- Elle a vraiment de la chance de t'avoir dans son lit …
- Tu aimerais faire l'amour avec moi ?
- Pour l'instant je ne suis pas encore prête, mais je t'aime tant …
- Je peux t'embrasser ?
Amaury posa ses lèvres sur celle de la jeune fille pour un baiser d'abord timide. Sophie pressa sa bouche plus fort sur celle du garçon, puis leurs langues se touchèrent, se mélangèrent et leur baiser devint fougueux.
Détachant sa bouche de celle de la jeune brune, il plongea son regard dans celui de la fille et lui dit :
- Je t'aime Sophie et j'ai très envie de toi. Ton corps est un cadeau. Tes formes pleines aiguisent mes appétits, tes hanches pleines attirent mes mains, tes seins sont splendides et semblent fermes, j'ai une envie folle de te caresser …
- Embrasse moi encore et touche ma poitrine, tu es tellement attirant …
Amaury colla à nouveau sa bouche à celle de Sophie pour un baiser brûlant et posa sa main sur la jeune poitrine. Sous ses doigts, les seins aux petites aréoles sombres étaient durs et leurs tétons se dressaient avec arrogance
- C'est merveilleux Amaury. Je me sens si bien dans tes bras. Je suis toute étourdie, j'ai chaud et je sens des fourmillements au fond de mon ventre. Je sens ta virilité dure contre ma cuisse et j'ai l'impression qu'elle est encore plus grosse que tout à l'heure …
- Oui, c'est mon envie de toi qui la fait se dresser, prends la dans ta main, caresse la et j'aurai du plaisir …
Disant ça, le garçon avait délaissé la généreuse poitrine pour mettre sa main sur le ventre de sa partenaire et le caresser. Sa main passait sur la hanche ronde, puis remontait vers les seins, puis les doigts descendirent se perdre dans l'abondante toison brune ...
La respiration de Sophie semblait plus laborieuse et sa main, dont les doigts s'enroulaient sur le membre dressé, se crispait de temps en temps sur la hampe de cher. Le jeune mâle guida la main de sa partenaire pour une masturbation lente.
La main du garçon glissa à nouveau sur la toison drue, et ses doigts s'insérèrent doucement entre les cuisses serrées. Sophie embrassait Amaury à pleine bouche et sa respiration devenait chaotique.
Insensiblement les cuisses s'écartèrent et Amaury put caresser les lèvres intimes de la jeune fille. Sophie écarta largement les jambes et remonta ses genoux. Elle gémissait à chaque fois que le garçon forçait de ses doigts son intimité.
- C'est merveilleux Amaury, je n'ai jamais ressenti rien de pareil, je t'aime encore plus à chaque minute. A chaque fois que tu me touches, je sens des vagues brûlantes dans mon ventre et mon vagin se contracte… je voudrais te donner autant de plaisir
- Assied toi sur ma cuisse, je vais te donner encore plus de plaisir
La jeune fille passa sa jambe droite entre les genoux du garçon et prit place sur sa cuisse, las jambes largement écartées, en dévorant sa bouche. Le garçon reprit ses caresses en faisant entrer son médius entre les lèvres intimes. Il caressait doucement l'entrée du vagin puis ses doigts firent rouler le clitoris gonflé, arrachant un profond gémissement à la fille. Sophie avait passé son bras droit sur les épaules de son partenaire et de sa main gauche elle soulevait très haut sa jambe pour laisser toute la place à la main du garçon qui la caressait.
Soudain, elle poussa une profonde plainte gutturale en resserrant brusquement les cuisses sur la main d'Amaury.
- Mon amour, c'est merveilleux, une pluie d'étoiles a éclaté dans ma tête, mon sexe s'est mis a palpiter très vite et très fort … c'est ça la jouissance ?
- Oui ma chérie, et pour l'homme, c'est le moment où il éjacule et que sa semence envahir le ventre de la partenaire pour le féconder.
- Mais tu n'as pas éjaculé
- Non, je voulais te faire le cadeau de ton premier orgasme …
A cet instant, la porte de la pièce s'ouvrit et Géraldine entra toute habillée.
- Allons jeunes gens, il se fait tard, il faut y aller car on va nous attendre pour la collation.
Se tournant vers la jeune fille rouge écarlate jusqu'aux oreilles elle demanda :
- Alors Sophie, as-tu aimé les caresses d'Amaury ?
- Oh oui marquise, c'était merveilleux …
- Donc, tu as envie de recommencer ?
- Oui Marquise, dès que possible …
Le jeune couple sortit du bassin et dès qu'ils furent dehors, Sophie se colla au ventre d'Amaury pour l'embrasser à nouveau. Sentant la virilité toujours dressée contre son ventre, elle glissa la main entre eux et prit la verge en main. Se penchant à l'oreille du garçon, elle lui chuchota
- Je veux être à toi très vite …
Très calmement, et sous le sceau du secret, le vieil homme exposa à son hôtesse, le plan qu'il avait établi vis-à-vis des jeunes gens et pour sa succession. Pendant l'exposé Géraldine resta bouche bée. Lorsqu'il eut terminé, elle resta un moment silencieuse puis émit une réserve vis-à-vis de l'épouse du garçon. Gontrand la rassura, en lui disant que si les jeunes savaient rester discrets, ce qu'il pensait, Caroline ne saurait rien. Il ajouta, que les jeunes amoureux, ne seraient pas les premiers à suivre un tel stratagème et qu'il préférait en être l'initiateur.
Après un court moment de réflexion, la Marquise renouvela son serment de secret et assura le Comte Gontrand des sa totale participation aux dessins du vieil homme.
Toute la maisonnée prit un délicieux repas en commun, puis le cocher familial emmena Gontrand et les parents de Sophie en calèche, pendant que Géraldine et Sophie, prenaient une petite calèche à deux places pour se rendre au pavillon de l'étang où Amaury était parti sur sa monture.
Lorsqu'elles arrivèrent au pavillon, la Marquise fit visiter les lieux à la jeune femme qui connaissait la cabane de chasse initiale et se montre enchantée par tous les changements et modernisations réalisée sous la conduite d'Aymard. Arrivées dans la partie bains, elles trouvèrent Amaury déjà installé dans la grande cuve.
Comme la jeune fille avait un mouvement de recul, Géraldine la retint et lui expliqua les pratiques scandinaves en matière de bain commun. Sans attendre, elle commença à poser ses vêtements et invita la future mariée à faire de même.
- Mais Marquise, Amaury va nous voir nues !
- Ça ne sera pas la première fois, et je puis t'assurer que ça n'a rien de grave
Maintenant complètement nue, la femme fit face à son invitée et dit
- Allons, dépêches toi d'enlever tout ça, tu vas voir, ce bain est délicieusement chaud
La jeune fille hésitant encore, Géraldine s'approcha d'elle et finit de la dénuder. Sophie, écarlate, tentait de cacher de ses mains sa poitrine et son intimité. Géraldine lui prit les mains et ecartant les bras pour tout voir lui dit :
- N'aies pas honte Sophie, ton corps est magnifique, tu es une très belle jeune femme. Tes hanches sont pleines et tu feras sans doute de beaux bébés. Ta poitrine est haute et semble très ferme, ce qui ravira tes partenaires sexuels. Allons, rentre dans l'eau maintenant, il est temps pour nous de rejoindre le beau jeune homme qui trempe en nous admirant…
Sophie monta dans la cuve et tourna le dos au jeune homme pour entrer dans l'eau. Voyant pour la première fois le magnifique fessier de son amie, celui-ci ne put retenir un début de bandaison accompagnée de belles pensées lubriques. La comtesse s'assit tout contre son jeune amant et passa discrètement la main sur le bas ventre du garçon pour constater son état d'excitation, et demanda :
- Alors jeune fille qu'en penses tu ?
- C'est très agréable, mais je suis très gênée
- Il ne faut pas te formaliser, la nudité est on ne peut plus naturelle, regarde.
La femme se mit debout dans le bain et tourna sur elle-même de façon à ce que chacun puisse voir les détails de son corps sculptural.
Alors jolie Sophie ? Tu vois qu'être nue devant nous ne me dérange pas, on s'habitue très vite. Leve toi Amaury, pour que Sophie puisse voir ton corps d'éphèbe…
Le garçon qui avait profité de ces échanges pour se calmer, ne bandait plus, même si sa virilité, même détendue était encore de taille importante. Il se leva et tourna sur lui-même comme sa mère l'avait fait. Sophie regarda la musculature du Lieutenant, mais ne put détacher son regard du sexe viril.
La marquise ayant vu la fascination de la jeune femme, s'approcha de son fils, et prenant la verge à pleine main demanda à la fille :
- Avais tu déjà vu une aussi belle virilité ?
Sophie vira à nouveau au rouge et balbutia
- Non Marquise, et la voir dans votre main me trouble profondément.
- Ne sois surtout pas offusquée, Amaury et moi sommes très fusionnels, et nous pouvons nous toucher sans que ça prête forcément à conséquences. Veux tu le toucher aussi ?
- Je n'oserais pas !
- Fais le sans craintes, ce qui se passe ici restera entre nous trois, les scandinaves sont parait ils très libres sexuellement et le contact intime semble faire partie intégrante de leur sexualité… Donne moi ta main
Toujours rouge et profondément troublée, la jeune fille donna sa main à son aînée. La Marquise posa la petite main sur les bourses pleines de sève de son fils et expliqua :
- Ce que tu touches là, ce sont ses bourses, le petit peuple dit ses couilles. C'est par là que vient la semence qui permet de féconder la femme lors de l'accouplement.
Guidant les doigts de la jeune fille autour du membre qui commençait à gonfler elle expliqua encore.
- Maintenant c'est la verge que tu tiens dans ta main. Comme tu peux le constater, elle grossit et devient dure. Pour faire l'amour, il faut que cette virilité soit bien dure afin de pouvoir pénétrer la partenaire et déverser au fond d'elle la semence qui fécondera la femme.
- C'est vrai qu'elle grossit beaucoup et qu'elle durcit. C'est la première fois que je touche un garçon et je suis contente que ça soit Amaury, car j'ai totalement confiance en lui.
- Veux tu qu'Amaury te fasse l'amour maintenant ?
- Oh non ! je n'ose pas, c'est trop tôt. Et j'aurais honte de faire l'amour devant vous Marquise.
- Si tu veux, je vais sortir de la pièce et vous laisser seuls …
- Non Marquise, je ne me sens pas prête …
- Je comprends, mais je vais sortir quand même et je pense que ce garçon, qui t'aime énormément, va te donner quelques caresses, même s'il ne te pénètre pas
- Oui Mère, laisse nous, je veux montre à Sophie combien je l'aime …
La marquise s'approcha du jeune couple qui s'était assis l'un contre l'autre, et posa un léger baiser sur les lèvres de son fils et sur les lèvres de Sophie. Puis elle sortit en ondulant de la croupe et fit un clin d'œil discret à son fils.
Amaury avait passé son bras gauche sur les épaules de la jeune fille. Mettant son front contre celui dee Sophie, il lui dit :
- Tu sais Sophie, je t'aime très fort, et depuis longtemps. J'ai été très contrarié que mon père arrange mon mariage avec Caroline.
- Oui, je l'ai compris, et moi aussi je t'aime très fort depuis que nous sommes adolescents. Tu es un beau garçon, un bel homme, elle a de la chance Caroline… Tu t'entends bien avec elle ?
- Je n'ai pas trop à me plaindre …
- Tu sais qu'elle est homosexuelle ?
- Oui, mais elle consent à faire l'amour avec moi malgré ce penchant, et elle semble y prendre du plaisir
- Elle a vraiment de la chance de t'avoir dans son lit …
- Tu aimerais faire l'amour avec moi ?
- Pour l'instant je ne suis pas encore prête, mais je t'aime tant …
- Je peux t'embrasser ?
Amaury posa ses lèvres sur celle de la jeune fille pour un baiser d'abord timide. Sophie pressa sa bouche plus fort sur celle du garçon, puis leurs langues se touchèrent, se mélangèrent et leur baiser devint fougueux.
Détachant sa bouche de celle de la jeune brune, il plongea son regard dans celui de la fille et lui dit :
- Je t'aime Sophie et j'ai très envie de toi. Ton corps est un cadeau. Tes formes pleines aiguisent mes appétits, tes hanches pleines attirent mes mains, tes seins sont splendides et semblent fermes, j'ai une envie folle de te caresser …
- Embrasse moi encore et touche ma poitrine, tu es tellement attirant …
Amaury colla à nouveau sa bouche à celle de Sophie pour un baiser brûlant et posa sa main sur la jeune poitrine. Sous ses doigts, les seins aux petites aréoles sombres étaient durs et leurs tétons se dressaient avec arrogance
- C'est merveilleux Amaury. Je me sens si bien dans tes bras. Je suis toute étourdie, j'ai chaud et je sens des fourmillements au fond de mon ventre. Je sens ta virilité dure contre ma cuisse et j'ai l'impression qu'elle est encore plus grosse que tout à l'heure …
- Oui, c'est mon envie de toi qui la fait se dresser, prends la dans ta main, caresse la et j'aurai du plaisir …
Disant ça, le garçon avait délaissé la généreuse poitrine pour mettre sa main sur le ventre de sa partenaire et le caresser. Sa main passait sur la hanche ronde, puis remontait vers les seins, puis les doigts descendirent se perdre dans l'abondante toison brune ...
La respiration de Sophie semblait plus laborieuse et sa main, dont les doigts s'enroulaient sur le membre dressé, se crispait de temps en temps sur la hampe de cher. Le jeune mâle guida la main de sa partenaire pour une masturbation lente.
La main du garçon glissa à nouveau sur la toison drue, et ses doigts s'insérèrent doucement entre les cuisses serrées. Sophie embrassait Amaury à pleine bouche et sa respiration devenait chaotique.
Insensiblement les cuisses s'écartèrent et Amaury put caresser les lèvres intimes de la jeune fille. Sophie écarta largement les jambes et remonta ses genoux. Elle gémissait à chaque fois que le garçon forçait de ses doigts son intimité.
- C'est merveilleux Amaury, je n'ai jamais ressenti rien de pareil, je t'aime encore plus à chaque minute. A chaque fois que tu me touches, je sens des vagues brûlantes dans mon ventre et mon vagin se contracte… je voudrais te donner autant de plaisir
- Assied toi sur ma cuisse, je vais te donner encore plus de plaisir
La jeune fille passa sa jambe droite entre les genoux du garçon et prit place sur sa cuisse, las jambes largement écartées, en dévorant sa bouche. Le garçon reprit ses caresses en faisant entrer son médius entre les lèvres intimes. Il caressait doucement l'entrée du vagin puis ses doigts firent rouler le clitoris gonflé, arrachant un profond gémissement à la fille. Sophie avait passé son bras droit sur les épaules de son partenaire et de sa main gauche elle soulevait très haut sa jambe pour laisser toute la place à la main du garçon qui la caressait.
Soudain, elle poussa une profonde plainte gutturale en resserrant brusquement les cuisses sur la main d'Amaury.
- Mon amour, c'est merveilleux, une pluie d'étoiles a éclaté dans ma tête, mon sexe s'est mis a palpiter très vite et très fort … c'est ça la jouissance ?
- Oui ma chérie, et pour l'homme, c'est le moment où il éjacule et que sa semence envahir le ventre de la partenaire pour le féconder.
- Mais tu n'as pas éjaculé
- Non, je voulais te faire le cadeau de ton premier orgasme …
A cet instant, la porte de la pièce s'ouvrit et Géraldine entra toute habillée.
- Allons jeunes gens, il se fait tard, il faut y aller car on va nous attendre pour la collation.
Se tournant vers la jeune fille rouge écarlate jusqu'aux oreilles elle demanda :
- Alors Sophie, as-tu aimé les caresses d'Amaury ?
- Oh oui marquise, c'était merveilleux …
- Donc, tu as envie de recommencer ?
- Oui Marquise, dès que possible …
Le jeune couple sortit du bassin et dès qu'ils furent dehors, Sophie se colla au ventre d'Amaury pour l'embrasser à nouveau. Sentant la virilité toujours dressée contre son ventre, elle glissa la main entre eux et prit la verge en main. Se penchant à l'oreille du garçon, elle lui chuchota
- Je veux être à toi très vite …
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau chapitre les émois de Sophie jeune pucelle sont bien racontés le paragraphe des caresses intimes aussi.On attend la suite quand la demoiselle va s’offrir à Amaury son amour de toujours. Vivement le prochain chapitre. Daniel

