Le Jeune Marquis (25/x) - histoire érotique

La Marquise, passa derrière la jeune mariée, et noua l'écharpe qu'elle avait à la main sur ses yeux. Gontrad prit la main de son épouse et posa un long baiser dans la paume. Puis il caressa la joue de Géraldine en lui souriant et la remercia à nouveau.
La marquise prit la main de la mariée et l'entraina vers le passage secret.
- Je passe devant toi, car nous prenons un escalier très raide.
- Je suis dans un conte de fées …
- Pose tes mains sur mes épaules et allons y
- Vos épaules sont brûlantes Marquise …
Les deux femmes descendirent l'escalier après avoir fermé le passage. Arrivées dans le couloir du bas, la guide s'arrêta et dit
- Pose tes mains sur ma taille
La jeune mariée posa ses mains sur les hanches de la femme, et celle-ci, prenant les mains les fit remonter le long de son corps et les posa sur ses seins.
- Amaury t'apprendra les massages, ainsi tu pourras caresser mon corps sans retenue, j'adore qu'on me touche…
- Encore une fois Marquise, je suis un peu perdue, habituellement, je ne touche pas les autres femmes … Je suis troublée …
La femme se retourna et donna un gros baiser d'amour à la mariée
- Viens, Amaury va faire de toi une femme accomplie. Laisse le te guider, il va à nouveau te donner du plaisir et te montrer comment lui en donner…
Elles gravirent l'étroit escalier et entrèrent dans la chambre où Amaury attendait complètement nu sur le lit. Géraldine referma le passage et dit à la jeune femme.
- N'enlève pas encore ton bandeau. Amaury est nu sur le lit et je vais te déshabiller pour lui…
Le garçon s'assit sur le bord du lit et regarda sa mère œuvrer. Délicatement la Marquise dégrafa la robe et la laissa glisser sur le sol. Elle desserra le jupon qui rejoint la belle robe jaune. Lentement, elle délassa le corset, libérant les seins qui commençaient à gonfler. Approchant sa bouche de l'oreille de la fille elle souffla :
- Sens tu l'envie monter en toi ?
- Oui, la sensation est étrange. Vous me dénudez lentement et Amaury nous regarde… Cela lui fait il de l'effet ?
La marquise fit signe à son fils de s'approcher, puis prenant la main de la mariée, elle guida les doigts autour du membre qui se dressait …
- Tu vois, quand je découvre ton corps, son envie grandit …
- J'ai envie Marquise, votre petit jeu met mes nerfs à vif…
Géraldine laissa tomber le corset sur le sol, puis elle ramassa les vêtements et les posa sur une chaise. Comme la fille tenait toujours le membre qui grandissait de plu en plus, la Marquise lui montra comment le masturber lentement…
- Tu sens dans ta main, sa virilité grossit et se tends ? Ne vas pas trop fort, fais monter son plaisir progressivement.
- Oui, j'ai l'impression qu'il est énorme, et dans mon ventre c'est comme une tempête…
- Sens tu ta féminité se mouiller ?
- Oui, j'ai l'impression que mon envie dégouline le long de mes jambes …
Geraldine glissa ses doigts entre les cuisses de la mariée qui se crispa un peu, puis elle donna ses doigts à sucer à son fils.
- Je pense que vous êtes prêts tous les deux. Je vais t'enlever le bandeau et je partirai quand Amaury t'aura prise dans ses bras…
La femme détacha l'écharpe et regarda le couple. Sophie colla sa poitrine contre le torse d'Amaury et eut un gros frisson. Elle l'embrassa sans retenue et frotta son ventre contre la verge dressée sans regarder la Marquise qui les observait. Le garçon prit les fesses de la mariée et la souleva contre lui. Aussitôt que ses pieds eurent quitté le sol Sophie ceintura la taille de son partenaire de ses jambes.
Le garçon regarda sa mère et desserra lentement son étreinte, laissant la jeune femme s'empaler sur sa virilité. Dès que le gland charnu toucha l'entrée de la féminité ruisselante Sophie gémit
- Oui, je suis à toi, prends moi, fais de moi une femme, je t'aime
Lorsque l'hymen se déchira, la mariée eut un petit soubresaut et fit une grimace, puis elle ajouta entre ses dents
- Continue, je suis toute à toi …
Le garçon se tourna vers le lit et déposa sa jeune maitresse sur le drap pour mieux la prendre. La marquise, dont la cyprine dégoulinait le long de ses jambes se retira par le passage secret et gagna sa chambre, où elle n'attendit pas d'être déshabillée pour se caresser jusqu'à un puissant orgasme.
Le jeune mâle passa ses bras sous les jambes de sa partenaire pour la pénétrer plus profondément. Sophie gémissait à chaque fois que la virilité pénétrait jusqu'au fond de son vagin, tapant sur le col de son utérus. Amaury accéléra ses coups de reins puis ralentit et la jeune mariée souffla :
- Oui, encore, encore, encore, … c'est merveilleux, mon ventre est en feu … je t'aime, prends moi toute …
Le garçon se retira et la jeune femme protesta :
- Non, reste, je t'en prie … tu me remplis et j'adore ça …
- Attends, change de position, met toi à quatre pattes …
Sophie se retourna et se positionna, les fesses tendues vers le jeune mâle. Amaury se colla à elle, faisant glisser sa verge le long de la fente mouillée, la laissant dépasser sur le ventre de sa partenaire. De ses mains il caressa les dos, puis remonta le long des flancs jusqu'aux seins gonflé dont les tétons durs étaient dressés. Il titilla les pointes, provoquant des frissons chez la femme.
Après avoir passé sa main sur la toison brune, il titilla le clitoris arrachant de profonds gémissements à la jeune mariée. Puis posant ses deux mains sur les hanches de la jeune fille, il enfonça son membre dur dans la féminité mouillée. Sophie, feula un oui de plaisir en envoyant ses fesses contre le ventre du garçon.
Amaury se mit à la besogner plus fortement, faisant claquer son ventre contre les fesses tendues. Soudain il se crispa avec un cri de victoire, tirant sur les hanches de la fille pour rester au plus profond. Sophie, sentant le sperme brûlant l'inonder poussa une longue plainte aigüe et glissa sur le ventre hors d'haleine…
La jeune mariée roula sur le côté et faisant face à son amant, lui donna un baiser volcanique. Roulant à nouveau pour se placer sur son ventre elle dit, des larmes plein les yeux
- Merci mon amour, merci pour ces caresses sublimes, merci pour ce moment de volupté que je n'oublierai jamais. J'ai découvert le plaisir avec toi, je l'ai toujours souhaité, même si je ne savais pas ce que c'était. Je comprends mieux tout ce que m'a dit ta mère, en parlant de ça.
- Je suis content qu'elle t'ait parlé. Tu m'as suivi sans hésiter et j'ai eu un immense plaisir avec toi. J'espère que nous pourrons nous aimer comme ça souvent.
- Je sens entre mes cuisses que tu bandes toujours. Serais tu infatigable ?
- Je crois que dans tes bras, ma virilité sera toujours prête à partager du plaisir
Lentement, en ondulant, la jeune femme s'empala sur la verge dressée avec un long gémissement.
- Prend moi encore, j'ai encore envie de te sentir au fond de mon ventre
Elle fit remonter ses genoux le long des flancs de son partenaire et donna le rythme des pénétrations.
- Pour te remercier, c'est moi qui te fais l'amour …
Sophie accéléra ses mouvements pendant qu'Amaury caressait sa poitrine en titillant les tétons durs. Brusquement elle s'abattit sur la poitrine de son amant avec un grognement profond. Presque inconsciente, elle se laissa glisser sur le côté et s'endormit après seulement quelques secondes.