Le Jeune Marquis (26/x)

Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (26/x)
Dès les premières lueurs de l'aube, Géraldine revêtit une jolie robe de chambre de soie bleue sur son corps nu, et se pressa pour gagner les appartements de son fils par les passages secrets. Arrivée dans la chambre, elle admira les deux jeunes amants, encore profondément endormis, nus sur le lit.
S'approchant de son fils, elle posa un baiser sur la verge au repos, puis commença à la lécher. Le corps du garçon réagit immédiatement et une belle érection fit dresser le membre. Encouragée par la réaction, elle prit le sexe en bouche et le suça, passant sa langue experte autour du gland turgescent.
Amaury ouvrit les yeux et sourit à sa mère. Il se tourna sur le côté pour faciliter la fellation et mieux en profiter. Lorsque la virilité de son fils fut à son maximum, la Marquise passa de l'autre côté du lit est commença à caresser la vulve de Sophie. Lorsqu'elle fit glisser un doigt entre ses lèvres intimes, Sophie écarta les cuisses, permettant ainsi à la femme de caresser le clitoris qui gonflait rapidement. Sophie ouvrit les yeux, et pensant que c'était Amaury qui la caressait elle l'enjamba et guida la virilité tendue dans son intimité.
Sophie s'empalait sur le pieu de cher avec des "han" de bucheron. Elle faisait varier le rythme, les yeux fermés, un sourire extatique sur les lèvres. Soudain, ouvrant les yeux pour regarder son amant, elle se rendit compte que Géraldine les regardait bien faire avec un petit sourire satisfait. Elle voulut s'arrêter et descendre de sur le ventre du garçon , mais la Marquise posa sa main sur ses reins en disant
Non, continue … c'est tellement beau !
Amaury donna quelques coups de reins pour relancer la machine et Sophie le suivit. Excitée par cette situation insolite, elle ne mit pas longtemps à être emportée par un puissant orgasme. Allongée sur son amant, elle reprenait lentement son souffle, quand la Marquise s'approcha, posant sa main sur son dos pour la caresser. La main flattait les dos et les fesses, s'insinuant parfois dans le sillon fessier pour descendre jusqu'aux lèvres intimes.
La jeune femme, toujours empalée sur le membre toujours dur de son amant, écarta les jambes pour mieux apprécier la caresse. Géraldine s'était mise à caresser l'anneau froncé de l'anus et Sophie, après un petit sursaut se cambra un peu plus. La femme, comprit l'invitation involontaire, enfonça son doigt dans le fondement de la jeune fille. Celle-ci, interloquée, releva la tête, la bouche grande ouverte.
Géraldine fit quelques va et vient dans le fondement de la fille et Amaury continua à s'enfoncer dans l'antre brûlante, jusqu'au moment ou Sophie émit une sorte glapissement en contractant son vagin très fort, ce qui fit éjaculer le jeune mâle. La marquise retira son doigt et caressa les fesses de la jeune mariée en disant :
- Alors ma chérie, tu as aimé ?
- Marquise, je suis bouleversée, je pense que j'ignorais être une dépravée, car j'ai eu un gros plaisir. Décidément, c'est une nuit de découverte.
- Bon en attendant, viens sous la douche, il faut regagner la chambre de Monsieur ton époux. Ceci dit, quand je vois l'énergie que tu mets à faire l'amour, je pense que ton mari n'aurait pas survécu à la première nuit. Son cœur malade n'aurait pas résisté …
- Je vais le remercier, de m'avoir offert un tel moment, même si je n'oserai sans doute pas lui donner tous les détails.
- La marquise posa sa belle robe de chambre et entra sous la douche avec Sophie. Elle s'appliqua à laver tout le corps de la jeune mariée, laissant ses doigts s'égarer sur les zones sensibles.
Sophie se colla à elle et l'embrassa à pleine bouche, puis la remercia à nouveau pour cette nuit torride. Les deux femmes se séchèrent et Sophie revêtit une robe de chambre de soie rouge, que la Marquise lui avait apportée. Après un petit baiser au maître des lieux, les deux femmes quittèrent les appartements d'Amaury par le passage secret.
Lorsqu'elles arrivèrent dans la chambre du Comte, celui-ci les attendait, assis devant un guéridon, en buvant un verre d'eau. Il se leva pour accueillir les deux femme, avec un grand sourire
- Quelle joie pour moi de recevoir deux aussi jolies femmes ! Alors, ma jeune épouse, ta nuit fut elle édifiante ?
- Oh oui mon mari ! j'ai appris plein de choses et j'ai eu beaucoup de plaisir, je ne vous remercierez jamais assez de votre générosité
- Tu sais qu'elle n'est pas tout à fait désintéressée. J'espère vivement que tu as bien œuvré pour ma descendance
- Il n'y a pas de doute cher Gontrand. J'ai surpris ces jeunes gens en train de bien faire, et je dois avouer qu'ils y mettaient beaucoup de cœur
- Tant mieux ! Pour plus de sureté, je vous invite à recommencer avant que nous rejoignons notre manoir. J'espère que les travaux de réparation de la toiture son en bonne voie …
Quant à toi Géraldine, notre porte te sera toujours ouverte, surtout si en plus tu nous amène Amaury.
- Je vous remercie mon cher Gontrand. Vous pouvez séjourner au château le temps nécessaire à l'achèvement des travaux de votre manoir. Aymard et moi en avons parlé et nous sommes ravis de vous garder plus longtemps.
- Puis je me permettre de faire venir Maitre Vernier, mon notaire, ici demain matin ?
- Bien sur, mais Aymard sera absent pour deux jours et vous souhaitiez peut être sa présence
- Non, j'ai juste besoin de Sophie, de toi, d'Amaury et de mon Notaire. J'ai fait préparer les documents à l'avance, mais j'ai vraiment besoin de ta présence
- Bien, je vais vous laisser tranquilles. Dans un moment j'irai jusqu'au pavillon de l'étang pour me détendre dans le sauna, si tu veux m'y rejoindre Sophie, il suffit de demander à Edgar de te faire préparer la petite calèche.
La marquise quitta la pièce par le passage secret et se rendit dans les appartements de son fils. En entrant, elle entendit du bruit dans la salle de bains, et s'y rendit en ouvrant sa robe de chambre, révélant son corps nu. Amaury, assis dans son bain la regardait entrer.
- Madame la Marquise souhaite t elle que je lui fasse un peu de place ?
Géraldine posa sa robe de chambre, puis elle plongea sa main dans l'eau et se saisit du sexe de son fils
- Ce bel outil a-t-il encore quelques forces pour une pauvre féminité abandonnée ?
- Il suffit de t'assoir dans l'eau pour en juger
La femme monta dans la baignoire, un pied de chaque côte du corps de son fils et plaqua son pubis sur le visage du jeune homme. Amaury comprit le message et se mit à lécher le clitoris maternel avant de le sucer. Géraldine repoussa le visage de son garçon en grognant, et plongea à nouveau la main dans l'eau pour guider la verge déjà tendue dans sa féminité en s'asseyant.
- Vous voir à l'œuvre m'a mis le feu dans le ventre, c'est à toi de l'éteindre …
- Viens, ce n'est pas très pratique ici, allons dans la chambre.
La Marquise se releva et se dirigea vers la chambre. Amaury la rejoignit à mi chemin et la saisissant par les hanches, il la colla à son ventre. Entourant sa taille d'un bras, il caressa les seins généreux de l'autre main, puis sa main glissa de la taille vers le pubis et ses doigts glissèrent entre les jambes… la Marquise, s'agenouilla et se mit à quatre pattes.
Amaury délaissa les seins et la toison pour la saisir par les hanches et s'enfonça en elle d'une seule poussée… Complètement surexcitée par le spectacle vu plus tôt, Géraldine explosa de plaisir après seulement quelques pénétrations profondes. Le garçon insista et la besogna sur un bon rythme, provoquant chez elle un nouvel orgasme lorsqu'elle le sentit éjaculer au fond de son vagin…
- Si je te laisse faire, tu vas finir par me faire un enfant …
- Tu m'as dit que c'était déjà le cas …
- Oui c'est vrai, mais il faut que je profite de ta robuste virilité, avant que la "faiseuse d'anges" s'occupe de moi…
- En attendant, Sophie, Caroline et toi, vous allez m'épuiser, je vais mourir d'amour …
- Je n'ai pas de craintes, tu es le mâle le plus performant que j'aie jamais rencontré…
Bon, je te laisse, je vais prendre un sauna pour me détendre. J'ai invité Sophie à me rejoindre, et je ne serais pas étonnée de la voir venir …
Passant sa robe de chambre sur sa peau encore mouillée, la Marquise quitta les lieux par le chemin habituel pour aller s'habiller et se rendre au pavillon de l'étang.
S'approchant de son fils, elle posa un baiser sur la verge au repos, puis commença à la lécher. Le corps du garçon réagit immédiatement et une belle érection fit dresser le membre. Encouragée par la réaction, elle prit le sexe en bouche et le suça, passant sa langue experte autour du gland turgescent.
Amaury ouvrit les yeux et sourit à sa mère. Il se tourna sur le côté pour faciliter la fellation et mieux en profiter. Lorsque la virilité de son fils fut à son maximum, la Marquise passa de l'autre côté du lit est commença à caresser la vulve de Sophie. Lorsqu'elle fit glisser un doigt entre ses lèvres intimes, Sophie écarta les cuisses, permettant ainsi à la femme de caresser le clitoris qui gonflait rapidement. Sophie ouvrit les yeux, et pensant que c'était Amaury qui la caressait elle l'enjamba et guida la virilité tendue dans son intimité.
Sophie s'empalait sur le pieu de cher avec des "han" de bucheron. Elle faisait varier le rythme, les yeux fermés, un sourire extatique sur les lèvres. Soudain, ouvrant les yeux pour regarder son amant, elle se rendit compte que Géraldine les regardait bien faire avec un petit sourire satisfait. Elle voulut s'arrêter et descendre de sur le ventre du garçon , mais la Marquise posa sa main sur ses reins en disant
Non, continue … c'est tellement beau !
Amaury donna quelques coups de reins pour relancer la machine et Sophie le suivit. Excitée par cette situation insolite, elle ne mit pas longtemps à être emportée par un puissant orgasme. Allongée sur son amant, elle reprenait lentement son souffle, quand la Marquise s'approcha, posant sa main sur son dos pour la caresser. La main flattait les dos et les fesses, s'insinuant parfois dans le sillon fessier pour descendre jusqu'aux lèvres intimes.
La jeune femme, toujours empalée sur le membre toujours dur de son amant, écarta les jambes pour mieux apprécier la caresse. Géraldine s'était mise à caresser l'anneau froncé de l'anus et Sophie, après un petit sursaut se cambra un peu plus. La femme, comprit l'invitation involontaire, enfonça son doigt dans le fondement de la jeune fille. Celle-ci, interloquée, releva la tête, la bouche grande ouverte.
Géraldine fit quelques va et vient dans le fondement de la fille et Amaury continua à s'enfoncer dans l'antre brûlante, jusqu'au moment ou Sophie émit une sorte glapissement en contractant son vagin très fort, ce qui fit éjaculer le jeune mâle. La marquise retira son doigt et caressa les fesses de la jeune mariée en disant :
- Alors ma chérie, tu as aimé ?
- Marquise, je suis bouleversée, je pense que j'ignorais être une dépravée, car j'ai eu un gros plaisir. Décidément, c'est une nuit de découverte.
- Bon en attendant, viens sous la douche, il faut regagner la chambre de Monsieur ton époux. Ceci dit, quand je vois l'énergie que tu mets à faire l'amour, je pense que ton mari n'aurait pas survécu à la première nuit. Son cœur malade n'aurait pas résisté …
- Je vais le remercier, de m'avoir offert un tel moment, même si je n'oserai sans doute pas lui donner tous les détails.
- La marquise posa sa belle robe de chambre et entra sous la douche avec Sophie. Elle s'appliqua à laver tout le corps de la jeune mariée, laissant ses doigts s'égarer sur les zones sensibles.
Sophie se colla à elle et l'embrassa à pleine bouche, puis la remercia à nouveau pour cette nuit torride. Les deux femmes se séchèrent et Sophie revêtit une robe de chambre de soie rouge, que la Marquise lui avait apportée. Après un petit baiser au maître des lieux, les deux femmes quittèrent les appartements d'Amaury par le passage secret.
Lorsqu'elles arrivèrent dans la chambre du Comte, celui-ci les attendait, assis devant un guéridon, en buvant un verre d'eau. Il se leva pour accueillir les deux femme, avec un grand sourire
- Quelle joie pour moi de recevoir deux aussi jolies femmes ! Alors, ma jeune épouse, ta nuit fut elle édifiante ?
- Oh oui mon mari ! j'ai appris plein de choses et j'ai eu beaucoup de plaisir, je ne vous remercierez jamais assez de votre générosité
- Tu sais qu'elle n'est pas tout à fait désintéressée. J'espère vivement que tu as bien œuvré pour ma descendance
- Il n'y a pas de doute cher Gontrand. J'ai surpris ces jeunes gens en train de bien faire, et je dois avouer qu'ils y mettaient beaucoup de cœur
- Tant mieux ! Pour plus de sureté, je vous invite à recommencer avant que nous rejoignons notre manoir. J'espère que les travaux de réparation de la toiture son en bonne voie …
Quant à toi Géraldine, notre porte te sera toujours ouverte, surtout si en plus tu nous amène Amaury.
- Je vous remercie mon cher Gontrand. Vous pouvez séjourner au château le temps nécessaire à l'achèvement des travaux de votre manoir. Aymard et moi en avons parlé et nous sommes ravis de vous garder plus longtemps.
- Puis je me permettre de faire venir Maitre Vernier, mon notaire, ici demain matin ?
- Bien sur, mais Aymard sera absent pour deux jours et vous souhaitiez peut être sa présence
- Non, j'ai juste besoin de Sophie, de toi, d'Amaury et de mon Notaire. J'ai fait préparer les documents à l'avance, mais j'ai vraiment besoin de ta présence
- Bien, je vais vous laisser tranquilles. Dans un moment j'irai jusqu'au pavillon de l'étang pour me détendre dans le sauna, si tu veux m'y rejoindre Sophie, il suffit de demander à Edgar de te faire préparer la petite calèche.
La marquise quitta la pièce par le passage secret et se rendit dans les appartements de son fils. En entrant, elle entendit du bruit dans la salle de bains, et s'y rendit en ouvrant sa robe de chambre, révélant son corps nu. Amaury, assis dans son bain la regardait entrer.
- Madame la Marquise souhaite t elle que je lui fasse un peu de place ?
Géraldine posa sa robe de chambre, puis elle plongea sa main dans l'eau et se saisit du sexe de son fils
- Ce bel outil a-t-il encore quelques forces pour une pauvre féminité abandonnée ?
- Il suffit de t'assoir dans l'eau pour en juger
La femme monta dans la baignoire, un pied de chaque côte du corps de son fils et plaqua son pubis sur le visage du jeune homme. Amaury comprit le message et se mit à lécher le clitoris maternel avant de le sucer. Géraldine repoussa le visage de son garçon en grognant, et plongea à nouveau la main dans l'eau pour guider la verge déjà tendue dans sa féminité en s'asseyant.
- Vous voir à l'œuvre m'a mis le feu dans le ventre, c'est à toi de l'éteindre …
- Viens, ce n'est pas très pratique ici, allons dans la chambre.
La Marquise se releva et se dirigea vers la chambre. Amaury la rejoignit à mi chemin et la saisissant par les hanches, il la colla à son ventre. Entourant sa taille d'un bras, il caressa les seins généreux de l'autre main, puis sa main glissa de la taille vers le pubis et ses doigts glissèrent entre les jambes… la Marquise, s'agenouilla et se mit à quatre pattes.
Amaury délaissa les seins et la toison pour la saisir par les hanches et s'enfonça en elle d'une seule poussée… Complètement surexcitée par le spectacle vu plus tôt, Géraldine explosa de plaisir après seulement quelques pénétrations profondes. Le garçon insista et la besogna sur un bon rythme, provoquant chez elle un nouvel orgasme lorsqu'elle le sentit éjaculer au fond de son vagin…
- Si je te laisse faire, tu vas finir par me faire un enfant …
- Tu m'as dit que c'était déjà le cas …
- Oui c'est vrai, mais il faut que je profite de ta robuste virilité, avant que la "faiseuse d'anges" s'occupe de moi…
- En attendant, Sophie, Caroline et toi, vous allez m'épuiser, je vais mourir d'amour …
- Je n'ai pas de craintes, tu es le mâle le plus performant que j'aie jamais rencontré…
Bon, je te laisse, je vais prendre un sauna pour me détendre. J'ai invité Sophie à me rejoindre, et je ne serais pas étonnée de la voir venir …
Passant sa robe de chambre sur sa peau encore mouillée, la Marquise quitta les lieux par le chemin habituel pour aller s'habiller et se rendre au pavillon de l'étang.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore un merveilleux chapitre complet sur l’amour l’érotisme et le sexe Très belle suite . Daniel

