Le Jeune Marquis (27/x) - histoire érotique

En partant pour se rendre au sauna, la Marquise trouva Gontrand et les parents de la jeune mariée dans le hall principal. Elle leur fit part de ses intentions, et les invita à la rejoindre pour un bain scandinave ou un sauna. Gontrand lui répondit qu'il allait servir de guide au couple, pour lui montrer les environs et qu'ils pousseraient jusqu'à son manoir pour montrer les travaux de réparations envisagés .
- J'ai recommandé à Sophie de vous rejoindre et elle se prépare. Allez la voir, vous pourrez peut être partir ensemble…
- Très bonne idée, j'y vais
Géraldine, fit demi tour et se dirigea vers les appartements des mariés. Elle toqua à la porte et n'attendit pas pour entrer. Sophie, en culottes longues fendue et cotillon était en train de se coiffer devant une glace.
- Ah bonjour Marquise, je me préparais à vous rejoindre
- J'en suis ravie, ma belle
Elle s'approcha de la jeune mariée, posa ses mains sur ses épaules et déposa quelques petits baisers dans son cou. Puis elle fit glisser ses mains sous ses bras et prit les seins à pleines mains.
- Grand merci, jeune femme de donner autant de plaisir à mon fils… tes seins sont de marbre, et le reste de ton corps est parfait pour donner des héritiers à notre cher Gontrand…
- Vous connaissez donc mon époux depuis très longtemps ?
- Depuis que je suis toute petite, c'était un ami de mon grand oncle et de mes parents. Il était militaire avec papa.
- Il vous est très attaché.
- Moi aussi, sans trop savoir pourquoi. Je me suis toujours sentie à l'aise en sa présence.
Passe vite une robe par-dessus tous ces trésors et allons y. Edgar, vient de rentrer du pavillon, et il m'a confirmé que tout est prêt pour nous, le sauna, le bain et il m'a dit qu'il fait chaud dans le pavillon…
Géraldine aida la jeune femme passer rapidement une robe légère, et elles montèrent dans le cabriolet. En cours de route, les deux femmes parlèrent du mariage puis la conversation dériva sur le sexe …
- Tu sais Sophie, si Amaury nous rejoint, je voudrais te montrer des choses que les hommes apprécient. Je te montrerai sur lui et ensuite tu feras ces choses à tour. Je voudrais que ton éducation sexuelle soit complète très rapidement afin que tu puisses prendre et donner un maximum de plaisir.
- Vous allez me montrer de nouvelles caresses ?
- Oui, je vais te montrer comment tu peux lui donner du plaisir avec ta bouche, et comment il peut le faire. Il te montrera sur moi pour que tu comprennes bien ce qu'il se passe
- Et vous allez avoir du plaisir ?
- Certainement, ça fait partie du jeu, et je ne suis pas de bois …
- Et je vous regarderai faire, comme une dépravée …
- Pas du tout. C’est la meilleure façon pour apprendre comment bien faire. C'est peut être un peu pervers, mais il faut s'appliquer à éliminer les tabous tout en respectant une discrétion absolue. Ainsi, je vous ai vu faire l'amour et j'ai pu vous toucher pendant l'acte. Ça fait partie des tabous de notre société, mais est ce que je vous ai dérangés ?
- Pas du tout ! j'ai été surprise, mais j'éprouvais tant de plaisir, que rien n'aurait pu nous arrêter…
- Voilà, ceci nous appartient à nous trois, et ce que tu vas voir aujourd'hui fait partie du même secret… Un peu comme les passages secrets du château … motus et bouche cousue…
- Je vous le jure Marquise.
- Ainsi, lorsque nous sommes seules ou tous les trois, tu peux me toucher comme tu en as envie, et de mon côté je te caresserai tant que tu me laisseras faire. J'adore ton corps, si j'étais un garçon, je te ferais l'amour …
- Vous êtes homosexuelle ?
- Je préfère de loin, copuler avec des hommes, me sentir pénétrée est une sensation extraordinaire. Mais, tu me fascine et j'ai toujours envie de partager les caresses les plus audacieuses avec toi. Peut être suis-je en train de devenir bi-sexuelle …
- J'avoue que j'aime aussi vos caresses …
Lorsqu'elles entrèrent dans le pavillon, après avoir rangé le cabriolet dans la grange sans dételer, elles trouvèrent Amaury en train de se déshabiller dans la chambre. Elles le rejoignirent et pendant que les deux jeunes amants s'embrassaient à bouche que veux-tu, la Marquise se dénuda rapidement. Elle s'approcha du couple et demanda à Sophie de se dévêtir, ce que la jeune fille fit promptement. La Marquise prit en main le sexe dodelinant de son fils et dit à la jeune mariée.
- Mets toi à genoux contre moi devant le monsieur et regarde bien.
Lentement, elle donna un mouvement de va et vient à sa main refermée sur la verge tendue…
- Tu vois, je le masturbe. Il ne faut pas aller trop fort, sans trop serrer tes doigts. Regarde le frein, là, pour ne pas trop le tendre, c'est douloureux… Si tu veux, tu peux mettre de la salive sur son gland, afin de lubrifier et d'éviter l'échauffement… comme ça. Essaye !
- Oui, je sens que sa verge vivre sous la caresse.
- Dans le petit peuple on dit la bitte, et on dit que ce que nous faisans là, c'est branler… tu es en train de branler la bitte de ton amant …
- Ça m'excite de branler la grosse bitte d'Amaury, j'ai chaud dans le ventre …
- Bien. Ensuite regarde bien, avec ta langue tu peux caresser le bout de son gland, là, le petit trou…
- Oui je vois
- Après, tu prends le gland entre tes lèvres et tu le caresse de ta langue..
- Comment ?
- Commença. Avec ta langue tu fais le tour du gland, puis tu peux prendre toute la hampe dans ta bouche et la sucer et passer ta langue tout autour. Vas y !
Amaury sentait des spasmes du plaisir monter dans ses couilles et envahir son ventre. Sa mère était une experte de la fellation, mais Sophie s'y prenait très bien.
- Arrête maintenant. Tu as copris ce qu'il faut faire… ton partenaire réagit positivement. Maintenant, Amaury va te montrer ce qu'il te fera. Il va le faire sur moi, pour que tu puisses voir …
Géraldine se positionna sur le lit et prenant ses jambes derrière les genoux, elle écarta largement ses cuisses, offrant sa féminité déjà humide au jeune mâle… Le garçon se pencha sur la féminité de sa mère et tendit la langue pour lécher les lèvres intimes sur toute la longueur.
- Hmmmm oui, c'est délicieux… Tu vas voir Sophie, cette caresse est un vrai délice… Installes toi à côté de moi dans la même position, ainsi ce jeune étalon pourra nous satisfaire en même à tour de rôle…
La jeune fille s'installa tout contre la Marquise et écarta les cuisses en regardant ce que faisait le garçon…
- Quand ta féminité est mouillée, le garçon peut te pénétrer de ses doigts…
Amaury mit deux de ses doigts dans la bouche de Géraldine puis, il les fit glisser entre les lèvres mouillées et les enfonça lentement. La femme gémit de plaisir et expliqua avec une respiration un peu saccadée.
- Là le garçon peut aussi s'occuper de ton clitoris… il peut le sucer, Hmmmm, ou le caresser de son doigts, ouiiiii. Et s'il s'y prend bien, en peu de temps tu auras un orgasme…
Amaury délaissa la féminité maternelle pour se pencher sur la vulve gonflée de Sophie. Dès qu'il posa sa langue sur le clitoris terriblement gonflé, la jeune femme poussa un rugissement en se cambrant…
Géraldine se leva rapidement, bouscula son fils et posa sa bouche sur la féminité de Sophie… La jeune femme avait fermé les yeux et ne se rendit pas compte que c'était la femme qui lui donnait du plaisir. Géraldine suçota le clitoris gonflé, puis elle introduisit deux doigts dans la grotte d'amour en fusion. S'activant avec adresse la Marquise amena Sophie à un énorme orgasme…
La jeune fille ouvrit les yeux et regarda Amaury pour le remercier et prit conscience de la situation
- Ah ! Marquise, c'est vous qui m'avez fait jouir !
- Oui, tu vois que l'amour est plus complexe et multiple que ce qu'on dit …
- Merci, vous m'avez fait jouir très fort …
S'allongea sur le lit près du couple, Géraldine lui dit
- Viens maintenant chevaucher mon visage, je vais à nouveau te faire jouir …
- C'était si bon que je vous obéis volontiers, pendant ce temps Amaury m'embrassera …
Elle se positionna frottant son intimité sur le visage de son aînée. Amaury l'embrassa à pleine bouche en titillant ses tétons dressés. Prenant la main de la jeune femme il l'approcha de la toison de sa mère et dit à la jeune mariée
- Caresse là, elle aussi doit avoir du plaisir
- Sophie caressa le clitoris de Géraldine, le prenant entre ses doigts, le pressant, le frottant … Amaury se positionna entre les jambes de sa mère et souleva ses genoux en les écartant. La jeune mariée pensa qu'il soulevait la femme pour qu'elle puisse mieux la caresser. Stupéfaite, elle vit le garçon s'approcher encore et pénétrer profondément sa génitrice.
Figée, la bouche grande ouverte d'étonnement, elle regardait le membre de son amant s'enfoncer en cadence dans l'entre cuisses de sa maman. Le garçon se pencha vers elle pour l'embrasser et elle lui donna un gros baiser avant de dire d'une voix rauque
- Tu fais l'amour à ta mère !
- Oui, et j'adore ça. Elle m'a tout appris, même ça …
- C'est hallucinant ! je suis fascinée de voir ton sexe pénétrer dans le sien, et sa langue qui me fouille va me faire jouir …
Disant ça, elle poussa un énorme feulement et inonda le visage de Géraldine d'un flot de cyprine. Amaury accéléra ses pénétrations et se crispa enfoncé au maximum dans l'intimité maternelle. Lentement, le jeune couple se laissa tomber sur le côté en essayant de reprendre souffle. Géraldine se leva et s'approchant des jeunes amants les embrassa tour à tour sur la bouche
- Marquise, vous venez de commettre un énorme inceste devant moi, et j'ai pris plaisir à vous regarder… à tous les deux, vous avez fait de moi une dépravée…
- Non Sophie, comme t'a dit Amaury, je lui ai tout appris et la sexualité en fait partie. Mon problème, c'est que ce garçon s'y prend tellement bien que je ne peux plus m'en passer. Aymard ne me touche plus, et il faut que j'aille loin pour trouver un amant …
- Mais vous être une femme très attirante, vos hanches sont plus étroites que les miennes, vos seins son beaux et fermes et n'importe quel homme doit avoir envie de vous …
- Je le sais, mais je ne veux pas mettre Aymard en défaut, c'est pour ça que je dois aller loin, là où les gens ne me connaissent pas. J'ai beau être extrêmement discrète, mes partenaires ne le sont pas toujours et j'ai du étouffer certaines indiscrétions, ce qui m'a rendue très méfiante. Avec mon fils, je n'ai pas ce genre de problème et il semble être totalement consentant …
- Marquise, Amaury, je suis bouleversée mais je me sens heureuse et pleinement épanouie
- Sophie, tu es une partenaire de qualité et une concurrente de premier ordre pour ma mère
- Je ne veux pas être une concurrente, je suis sans doute perverse, mais je veux être votre partenaire …
- Bon venez maintenant, nous allons nous laver, nous sommes couverts de transpiration. Puisque tu veux jouer, je devrais dire jouir, avec nous, je propose que chaque fois qu'Amaury me prendra, il te prenne tout de suite pour déverser son sperme dans ta féminité. Je souhaite que nous agissions ensemble pour couronner le projet de Gontrand de succès et que tu sois enceinte très vite. Même si je profite de sa virilité, tu dois recevoir toute sa semence.