Le Jeune Marquis (28/x)

- Par l'auteur HDS MaitreChat2 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Jeune Marquis (28/x) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Jeune Marquis (28/x)
Le lundi matin, toute la maisonnée prit un petit déjeuner dans la joie et la bonne humeur. Le baron Arnaud Bertin de Ribières déclinère l'invitation de la Marquise qui désirait les garder plus longtemps au château, car le Baron avait un rendez vous avec le chef des gardes pêche, pour organiser la vidange et le curage d'un étang de son territoire. Le petit déjeuner terminé, Edgar chargea les bagages dans leur carrosse, et ils quittèrent le château en promettant de revenir.
Vingt minutes plus tard, le Notaire du Comte Gontrand fit son apparition. La Marquise guida le tabellion vers le petit salon où les jeunes mariés et Amaury les rejoignirent.
- Merci Maître d'être venu jusqu'ici pour ces quelques enregistrements
- Ne vous inquiétez pas Monsieur le Comte, j'ai préparé les documents à signer et j'ai aussi apporté les vieux documents que vous m'avez réclamé
- Bien alors, allons y …
- Tout d'abord, le contrat de mariage qui stipule en particulier que vous laisserez la totalité de vos biens subsistants à votre décès. Madame Sophie Perin de Ferières, née Bertin de Ribières, ici présente, sera votre seule héritière et transmettra tous les biens restants à son décès à son premier né, sachant que la vie pourra l'avoir contraintes à certaines opérations entre temps. Voici le texte en deux exemplaires que vous voudrez bien signer tous les deux.
Les deux époux prirent le temps de lire complètement les documents comme le leur avait recommandé le Notaire, puis ils paraphèrent et signèrent et les échangèrent pour que les deux signatures soient sur chaque document. Gontrand rendit les deux exemplaires à l'homme et dit
- Bien, passons à la suite, mais attendez que je m'explique avant
Le Notaire posa devant lui une chemise verte et attendit.
- Voilà, très chère Géraldine, de l'autre côté de l'étang où vous avez modernisé la cabane de chasseurs, il y a une immense forêt qui m'appartient depuis très longtemps
- Je connais ce bois, mais j'ignorais totalement qu'il était à vous, mais quel est le problème.
- A partir de ce jour, cette forêt t'appartient.
- Mais pourquoi ? je ne comprends pas …
- Une minute, tu vas tout comprendre
- Un instant, laisse moi finir. Tu sais que j'étais un ami de ton grand père et de ton grand oncle. C'est d'ailleurs pour ça que je n'ai pas été surpris de l'existence de passagers secrets, c'était la marotte de ton grand oncle. Mais j'avais le même âge que ton père et, bien que nous nous soyons connus avant, nous sommes vraiment devenus amis que lorsque nous avons fait notre service militaire ensemble. D'un autre côté, je connaissais ta maman et c'est moi qui les ai présentés l'un à l'autre.
- Oui, je sais tout ça, mes parents avaient une très haute estime de vous
- Nous étions inséparables. Mais, un jour de permission, to père est tombé malade et a été consigné à l'infirmerie de la caserne. Je suis donc rentré seul et par un concours de circonstances inattendu, j'ai charmé ta maman que j'aimais en secret depuis longtemps, et nous avons fauté. Quelques semaines plus tard, ta maman m'a dit être enceinte, et malgré tous nos calculs, je ne pouvais qu'être le père de cet enfant à naitre, … ton père …
- Quoi ! Gontrand, vous êtes mon père ?
- Oui et ta mère et moi avons demandé au Notaire, père de Monsieur le Notaire ici présent, de nous rédiger une reconnaissance de paternité qui est là, dans cette chemise verte.
- Mais c'est terrible, et vous aviez trahi votre ami !
- Pas longtemps, car avant même ta naissance, nous lui avons tout avoué. Tes parents s'aimaient énormément et nous étions très amis. Après qu'il nous eut pardonné, il nous a fait jurer de ne jamais plus recommencer, et nous avons tenu parole, même quand ta maman est devenue veuve.
- Gontrand, je suis sidérée ! Quelle histoire !
- Tu as toujours aimé tes parent comme tels et tu as toujours été une fille adorable avec moi…
Vous allez me trouver très calculateur, mais c'est en partie à cause de ça que j'ai surveillé l'amour naissant de nos deux tourtereaux, et que j'ai poussé à la roue pour qu'ils me fassent l'enfant que je ne suis plus capable de faire…
- Comte Gontrand, je pense qu'il serait maladroit de vous appeler grand-père, mais permettez moi de vous appeler Gontrand.
- Bien entendu Amaury, et je te rappelle que vous devez vous dépêcher de me faire un héritier, si possible de mon vivant avant que nul ne puisse contester quoi que ce soit.
- Mon cher époux, ces révélations sont bouleversantes, mais vous avez raison, elles expliquent tout …
Le Notaire, tendit la chemise verte à Géraldine qui lut l'acte de propriété de la forêt et le signa, puis elle lut la reconnaissance de paternité avant d'essuyer ses larmes.
- Ne pleure pas ma fille, je suis très heureux de t'avoir révélé ce secret, mais je souhaite qu'il reste entre nous cinq … Emporte ces documents dans tes appartements, ils sont à toi. Maintenant, puisque l'affaire et réglée, je vais aller prendre un peu de repos.
Il se leva en même temps que le Notaire qui salua tout le monde et que Géraldine raccompagna après avoir demandé aux jeunes de l'attendre dans ses appartements.
Lorsqu'elle entra dans ses appartements, elle trouva Sophie en pleurs dans les bras de son fils. Elle se colla au jeune couple et consola Sophie
- Pourquoi pleures tu ? c'est plutôt heureux comme situations
- Oui Marquise, mais je suis très émue par tous ces rebondissements, je deviens en très peu de temps une folle de sexe et je prends en pleine figure ces révélations extraordinaires.
Amaury se recula légèrement et sa mère prit la jeune fille contre elle. Elle posa un petit baiser sur le nez de la fille qui passa sa main derrière sa tête et lui donna un baiser brûlant. La Marquise frotta son ventre contre elle et la jeune femme mettant fin au baiser, planta son regard dans celui de son aînée et souffla
- J'ai envie de toi
Amaury passa derrière sa jeune maîtresse et prit ses seins à pleines mains en frottant son pubis contre les fesses rebondies. Délicatement il ouvrit le chemisier de la jeune femme et le lança sur un fauteuil. Comme les femmes s'embrassaient toujours avec fougue, il détacha leurs jupes les jetant sur le fauteuil avec le reste. Comme leur flirt durait, le garçon finit des dévêtir et se déshabilla rapidement.
Lentement, il tourna autour des deus femmes qui continuaient à s'embrasser en frottant leurs ventres et en ondulant. En tournant il les caressait, glissant ses mains sur leurs fesses, ou entre elles pour caresser les poitrines ou leurs vulves maintenant très humides.
Les deux femelles se frottaient en poussant de petits gémissements. Amaury fit remonter sa main entre les cuisses de sa mère et planta son pouce dans la féminité mouillée. Géraldine eut un petit sursaut et poussa sa partenaire vers le lit et installa la jeune mariée sur la couche, les pieds vers la tête de lit. Se plaçant tête bèche, elle colla son sexe ruisselant sur la bouche de sa jeune partenaire et sa bouche sur sa toison en commençant de la lécher.
Rapidement Sophie se mit à gémir en ondulant du bassin. Amaury se plaça derrière sa mère et tendit sa verge vers Sophie. Celle-ci l'emboucha sans hésiter et le pompa avec ardeur. Quand il se sentit prêt, le garçon enfonça son membre tendu dans la féminité de sa mère et commença à la besogner très fort. Géraldine, bien préparée par sa jeune partenaire se cambra en gémissant et finit par plaquer sa bouche sur le sexe qu'elle venait de délaisser pour étouffer son hurlement de plaisir.
Le garçon, craignant d'éjaculer trop tôt se retira, puis il bouscula sa mère sur le côté et plaçant Sophie en positions de levrette, il la prit par les hanches et la pénétra d'une violente poussée arrachant un grognement à sa partenaire. Il se mit à la besogner férocement et se déversa en elle lorsqu'elle jouit dans un long gémissement.
La Marquise, assise à côté d'eux les genoux relevés et largement écartés, caressait son clitoris. Sophie tendit le bras vers elle et planta deux doigts dans la féminité trempée. Elle s'approcha plus près de la femme et enfonça ses doigts profondément en accélérant le rythme. Géraldine poussa un rugissement et serra brutalement les cuisses bloquant la main de Sophie qui continuait à agiter ses doigts, arrachant des gémissements supplémentaires à la femme, et finissant par provoquer à nouveau un bel orgasme.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cette merveilleuse fiction est toujours agréable à lire avec de nombreux rebondissements et du sexe pur. Daniel

Histoire Erotique
Merci... merveilleuse histoire et récits qui nous emmènent très loin... très envie de lire la suite bien sûr! A très vite.



Texte coquin : Le Jeune Marquis (28/x)
Histoire sexe : Une rose rouge
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