Le Jeune Marquis (28/x)

Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 45 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de MaitreChat2 ont reçu un total de 79 705 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 433 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Le Jeune Marquis (28/x)
Le lendemain matin, la Marquise et son fils se rendirent au chevet de la jeune maman, celle ci avait passé une bonne nuit malgré une tétée nocturne. Amaury plaisanta sur le volume de la poitrine de Sophie et celle ci ouvrit largement sa chemise pour qu’il puisse admirer ses seins gonflés. Géraldine se pencha sur un sein, téta quelques gorgées et invita son fils à faire de même. Amaury se pencha sur l’autre sein et titilla le téton du bout de sa langue avant de le prendre en bouche… Sophie frissonna et dit à son amant :
• Moi aussi j’ai envie de toi Amaury, bientôt nous pourrons nous retrouver …
• j’ai hâte de te serrer à nouveau dans mes bras …
Après avoir embrassé Sophie avec amour, ils rejoignirent Gontrand pour lui faire leurs adieux et reprendre la route vers le château du marquisat. Amaury grimpa dans le cabriolet auprès de sa mère après avoir attaché sa monture derrière leur voiture.
Tout au long du trajet, ils devisèrent serrés l’un contre l’autre et imaginant l’organisation qu’ils devraient mettre en œuvre pour vivre leur vie et leurs amours sans attirer l’attention de personnages extérieurs.
Déjà très excitée à l’idée de ce qu’ils feraient en arrivant, la Marquise avait posé la main sur la cuisse de son fils et de temps en temps, elle pressait la virilité du garçon à travers son pantalon.
• Arrête, sinon je ne réponds plus de rien …
• Mais ça ne me fait pas peur, bien au contraire …
• C’est normal ma petite maman, tu es insatiable …
• Je ne pourrai plus profiter de toi quand je serai vieille …
• Ça va, nous avons encore du temps …
• Mais tu as raison, il faut que j’arrête …
Elle avait dit ça en riant, et avait fait bifurquer le cabriolet dans le premier chemein qu’elle avait vu sur la gauche… Au bout d’environ deux cent mètres, elle ralentit et tourna sur la droite pour entrer dans un taillis assez fourni. Encore quelques mètre et elle arrêta l’attelage. Et se tournant vers Amaury, elle se pencha sur lui et déboutonna son pantalon.
• Ici nous sommes tranquilles, je vais pouvoir m’occuper de toi …
• C’est plus de la gourmandise, c’est de la voracité ...
Il ne put en dire plus, car sa mère lui dévorait la bouche avec passion tout en le branlant … Amaury l’attira sur ses genoux qu’elle chevaucha en continuant de l’embrasser …
Le garçon passa ses mains sous la jupe de sa mère et caressa ses cuisses et ses fesses. Sortant ses mains de sous le vêtement, il dégrafa la jupe et la fit passer par dessus la tête de sa partenaire. Ses mains fébriles déboutonnèrent le chemisier clair et l’envoyèrent rejoindre la jupe. Géraldine en culotte et soutien gorge, enleva la chemise de son fils, et se soulevant elle fit descendre le pantalon pour libérer le membre viril qui prenait des proportions intéressantes. Frottant sa fente mouillée sur la verge tendue, elle se cambra pour dégrafer son soutien gorge et fit jaillir ses seins gonflés sous le nez de son fils ravi
• Mange les, ils sont pour toi
• je vais me régaler, ils sont si beaux
Géraldine s’est reculée et a pris le sexe de son fils en bouche. Elle le suce avec entrain, faisant tourner sa langue autour du gland gonflé, embouchant tout le sexe, puis juste le gland. Amaury grogne de plaisir, sa mère est une suceuse hors pair et son membre est devenu énorme.
La Marquise, qui ne peut retenir son envie, chevauche rapidement le garçon et écarte les bords de sa culotte. Amaury l’arrêt au moment où elle va se planter sur lui et lui demande d’enlever sa culotte, il veut voir tout son sexe et adore regarder la toison sombre.
La femme se relève, lui tourne le dos et fais glisser le léger vêtement avec une lenteur étudiée. Puis elle se retourne el passe ses doigts lentement dans la toison de son pubis. Du bout de ses doigts, elle décalotte son clitoris qui gonfle rapidement. Elle le fait tourner entre ses doigts, écarte les lèvres de sa féminité et chevauchant le garçon, s’empale sur la verge tendue avec un grognement.
Amaury passe ses mains sous les bras de sa mère et s’accroche à ses épaules pour s’enfoncer au maximum. Posant ses mains sur les hanches de sa partenaire il donne la cadence. La Marquise profite pleinement des profondes pénétrations et gémit sans discontinuer ; Le garçon suce les tétons de sa mère qui a fermé les yeux et soudain, elle pousse une longue plainte gutturale, emportée par un formidable orgasme. Amaury se lève sans se retirer, puis il pose sa mère sur le siège, la fait se retourner et la pénètre à nouveau en levrette. Avec beaucoup de science, il fait varier le rythme et la profondeur des pénétration, jusqu’à ce que sa mère se cambre avec un énorme grognement. A son tour, il accélère et remplit le sexe maternel d’une énorme éjaculation. Passant une main autour de la taille de la femme et l’autre sur sa poitrine, le garçon se relève et descend du cabriolet en prenant bien soin de ne pas trébucher. Arrivé au sol, il se retire de l’intimité inondée et retourne sa mère pour l’embrasser à pleine bouche.
• Merci mon fils, tu réponds toujours présent et je t’en aime encore plus …
• Je pense qu’il faut nous rhabiller et reprendre la route, on nous attend au château pour le repas
• Tu as raison … ce soir, je viendrai te faire une surprise…
Ils se revêtirent en riant et reprirent leur chemin comme s’il ne s’était rien passé. Lorsqu’ils arrivèrent dans la cour du château une énorme surprise les attendait. Edgar, qui les guettait du haut du perron disparut dans le hall. Quelques secondes plus tard, un palefrenier s’approcha de l’attelage pour le prendre en charge et le guider jusqu’aux écuries.
Edgar réapparut sur le perron, poussant une petite table à roulettes, chagée de coupes et d’un seau à glace contenant une bouteille de champagne.
Géraldine et Amaury restèrent interdits quelques secondes, puis ils se retournèrent en entendant une forte pétarade. Brusquement, ils virent une voiture automobile sortir de derrière une haie, avec le Marquis à son volant.
Il arrêta le véhicule au pied du perron et sautant de la voiture s’écria :
• Alors ! Que pensez vous de ma dernière acquisition ?
• Aymard, vous avez acheté une automobile !
• Hé oui, une De Dion-Bouton modèle 1913 … Elle vous plait ?
• Je suis surprise, mais je la trouve très belle …
• Père, je suis ravi de vous voir aussi moderne. Peut être vais je pouvoir en entretenir la mécanique …
• Tu y connais quelque chose ?
• Pas encore, mais le Colonel Champvallier m’a annoncé qu’il m’a inscrit dans un cours de mécanique avant de m’envoyer dans l’escadron mécanisé qui vient d’être créé.
• Ça va te changer des chevaux …
• Oui et il est probable que mes galons de Capitaine seront liés à cette nouvelle affectation …
• Tout cela est très bien. Maintenant, je vous propose de vider une coupe de champagne pour fêter ces bonnes nouvelles… l’Héritier de Gontrand, mon automobile, et la perspective d’une nouvelles affectation pour toi... Militairement, tu seras mon égal …
• Pas tout à fait, mes campagnes sont moindres et mes blessures plus légères ...
Tous trois levèrent leur coupe à l’événement présent et au futur d’Amaury, puis Aymard leur présenta l’engin en décrivant ses caractéristiques. Il sautillait comme un enfant gâté en tournant autour de la voiture, puis il invita le couple à monter dans le véhicule pour les emmener faire le tour du parc. Géraldine entraîna son fils sur le siège arrière de véhicule en disant :
• Chauffeur, faites nous faire le tour du parc …
Le Marquis éclata de rire et répondit
• Bien Madame la Marquise …
La De Dion Bouton démarra avec quelques petits soubresauts du au manque d’habitude du conducteur, et roula lentement dans les allées. La Marquise posa sa main sur le haut de la cuisse de son fils , et dit à haute voix en lui faisant un clin d’œil :
• Le siège est assez confortable, on doit pouvoir y passer un bon moment …
Après ce tour du parc ils allèrent prendre leur repas qui fut très gai. Le repas terminé, le Marquis, enjoué comme un enfant avec un jouet neuf, proposa à son épouse et à son fils, une logue promenade dans l’automobile, une sorte de tournée des villages alentours … Tout l’après midi fut occupé à cette activité.
Le dîner fut aussi gai, puis Aymard se retira dans le salon pour fumer un cigare et lire le journal que leur promenade l’avait empêché de lire. De leur côté, Géraldine et Amaury gagnèrent leurs appartements respectifs.
Dans sa chambre Amaury attendait la surprise annoncée par sa mère. Il était allongé nu sur son lit et lisait un roman racontant un mystérieux assassinat ...
• Moi aussi j’ai envie de toi Amaury, bientôt nous pourrons nous retrouver …
• j’ai hâte de te serrer à nouveau dans mes bras …
Après avoir embrassé Sophie avec amour, ils rejoignirent Gontrand pour lui faire leurs adieux et reprendre la route vers le château du marquisat. Amaury grimpa dans le cabriolet auprès de sa mère après avoir attaché sa monture derrière leur voiture.
Tout au long du trajet, ils devisèrent serrés l’un contre l’autre et imaginant l’organisation qu’ils devraient mettre en œuvre pour vivre leur vie et leurs amours sans attirer l’attention de personnages extérieurs.
Déjà très excitée à l’idée de ce qu’ils feraient en arrivant, la Marquise avait posé la main sur la cuisse de son fils et de temps en temps, elle pressait la virilité du garçon à travers son pantalon.
• Arrête, sinon je ne réponds plus de rien …
• Mais ça ne me fait pas peur, bien au contraire …
• C’est normal ma petite maman, tu es insatiable …
• Je ne pourrai plus profiter de toi quand je serai vieille …
• Ça va, nous avons encore du temps …
• Mais tu as raison, il faut que j’arrête …
Elle avait dit ça en riant, et avait fait bifurquer le cabriolet dans le premier chemein qu’elle avait vu sur la gauche… Au bout d’environ deux cent mètres, elle ralentit et tourna sur la droite pour entrer dans un taillis assez fourni. Encore quelques mètre et elle arrêta l’attelage. Et se tournant vers Amaury, elle se pencha sur lui et déboutonna son pantalon.
• Ici nous sommes tranquilles, je vais pouvoir m’occuper de toi …
• C’est plus de la gourmandise, c’est de la voracité ...
Il ne put en dire plus, car sa mère lui dévorait la bouche avec passion tout en le branlant … Amaury l’attira sur ses genoux qu’elle chevaucha en continuant de l’embrasser …
Le garçon passa ses mains sous la jupe de sa mère et caressa ses cuisses et ses fesses. Sortant ses mains de sous le vêtement, il dégrafa la jupe et la fit passer par dessus la tête de sa partenaire. Ses mains fébriles déboutonnèrent le chemisier clair et l’envoyèrent rejoindre la jupe. Géraldine en culotte et soutien gorge, enleva la chemise de son fils, et se soulevant elle fit descendre le pantalon pour libérer le membre viril qui prenait des proportions intéressantes. Frottant sa fente mouillée sur la verge tendue, elle se cambra pour dégrafer son soutien gorge et fit jaillir ses seins gonflés sous le nez de son fils ravi
• Mange les, ils sont pour toi
• je vais me régaler, ils sont si beaux
Géraldine s’est reculée et a pris le sexe de son fils en bouche. Elle le suce avec entrain, faisant tourner sa langue autour du gland gonflé, embouchant tout le sexe, puis juste le gland. Amaury grogne de plaisir, sa mère est une suceuse hors pair et son membre est devenu énorme.
La Marquise, qui ne peut retenir son envie, chevauche rapidement le garçon et écarte les bords de sa culotte. Amaury l’arrêt au moment où elle va se planter sur lui et lui demande d’enlever sa culotte, il veut voir tout son sexe et adore regarder la toison sombre.
La femme se relève, lui tourne le dos et fais glisser le léger vêtement avec une lenteur étudiée. Puis elle se retourne el passe ses doigts lentement dans la toison de son pubis. Du bout de ses doigts, elle décalotte son clitoris qui gonfle rapidement. Elle le fait tourner entre ses doigts, écarte les lèvres de sa féminité et chevauchant le garçon, s’empale sur la verge tendue avec un grognement.
Amaury passe ses mains sous les bras de sa mère et s’accroche à ses épaules pour s’enfoncer au maximum. Posant ses mains sur les hanches de sa partenaire il donne la cadence. La Marquise profite pleinement des profondes pénétrations et gémit sans discontinuer ; Le garçon suce les tétons de sa mère qui a fermé les yeux et soudain, elle pousse une longue plainte gutturale, emportée par un formidable orgasme. Amaury se lève sans se retirer, puis il pose sa mère sur le siège, la fait se retourner et la pénètre à nouveau en levrette. Avec beaucoup de science, il fait varier le rythme et la profondeur des pénétration, jusqu’à ce que sa mère se cambre avec un énorme grognement. A son tour, il accélère et remplit le sexe maternel d’une énorme éjaculation. Passant une main autour de la taille de la femme et l’autre sur sa poitrine, le garçon se relève et descend du cabriolet en prenant bien soin de ne pas trébucher. Arrivé au sol, il se retire de l’intimité inondée et retourne sa mère pour l’embrasser à pleine bouche.
• Merci mon fils, tu réponds toujours présent et je t’en aime encore plus …
• Je pense qu’il faut nous rhabiller et reprendre la route, on nous attend au château pour le repas
• Tu as raison … ce soir, je viendrai te faire une surprise…
Ils se revêtirent en riant et reprirent leur chemin comme s’il ne s’était rien passé. Lorsqu’ils arrivèrent dans la cour du château une énorme surprise les attendait. Edgar, qui les guettait du haut du perron disparut dans le hall. Quelques secondes plus tard, un palefrenier s’approcha de l’attelage pour le prendre en charge et le guider jusqu’aux écuries.
Edgar réapparut sur le perron, poussant une petite table à roulettes, chagée de coupes et d’un seau à glace contenant une bouteille de champagne.
Géraldine et Amaury restèrent interdits quelques secondes, puis ils se retournèrent en entendant une forte pétarade. Brusquement, ils virent une voiture automobile sortir de derrière une haie, avec le Marquis à son volant.
Il arrêta le véhicule au pied du perron et sautant de la voiture s’écria :
• Alors ! Que pensez vous de ma dernière acquisition ?
• Aymard, vous avez acheté une automobile !
• Hé oui, une De Dion-Bouton modèle 1913 … Elle vous plait ?
• Je suis surprise, mais je la trouve très belle …
• Père, je suis ravi de vous voir aussi moderne. Peut être vais je pouvoir en entretenir la mécanique …
• Tu y connais quelque chose ?
• Pas encore, mais le Colonel Champvallier m’a annoncé qu’il m’a inscrit dans un cours de mécanique avant de m’envoyer dans l’escadron mécanisé qui vient d’être créé.
• Ça va te changer des chevaux …
• Oui et il est probable que mes galons de Capitaine seront liés à cette nouvelle affectation …
• Tout cela est très bien. Maintenant, je vous propose de vider une coupe de champagne pour fêter ces bonnes nouvelles… l’Héritier de Gontrand, mon automobile, et la perspective d’une nouvelles affectation pour toi... Militairement, tu seras mon égal …
• Pas tout à fait, mes campagnes sont moindres et mes blessures plus légères ...
Tous trois levèrent leur coupe à l’événement présent et au futur d’Amaury, puis Aymard leur présenta l’engin en décrivant ses caractéristiques. Il sautillait comme un enfant gâté en tournant autour de la voiture, puis il invita le couple à monter dans le véhicule pour les emmener faire le tour du parc. Géraldine entraîna son fils sur le siège arrière de véhicule en disant :
• Chauffeur, faites nous faire le tour du parc …
Le Marquis éclata de rire et répondit
• Bien Madame la Marquise …
La De Dion Bouton démarra avec quelques petits soubresauts du au manque d’habitude du conducteur, et roula lentement dans les allées. La Marquise posa sa main sur le haut de la cuisse de son fils , et dit à haute voix en lui faisant un clin d’œil :
• Le siège est assez confortable, on doit pouvoir y passer un bon moment …
Après ce tour du parc ils allèrent prendre leur repas qui fut très gai. Le repas terminé, le Marquis, enjoué comme un enfant avec un jouet neuf, proposa à son épouse et à son fils, une logue promenade dans l’automobile, une sorte de tournée des villages alentours … Tout l’après midi fut occupé à cette activité.
Le dîner fut aussi gai, puis Aymard se retira dans le salon pour fumer un cigare et lire le journal que leur promenade l’avait empêché de lire. De leur côté, Géraldine et Amaury gagnèrent leurs appartements respectifs.
Dans sa chambre Amaury attendait la surprise annoncée par sa mère. Il était allongé nu sur son lit et lisait un roman racontant un mystérieux assassinat ...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MaitreChat2
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

