Le Jeune Marquis (29/x) - histoire érotique

Pendant la semaine qui suivit, Amaury bénéficia des douceurs des deux femmes. Chaque nuit, ils forniquaient à en perdre haleine. Géraldine avait mis toute sa science à la disposition de Sophie et profitait sans scrupules de la virilité infatigable de son fils. Tout y passa, même la sodomie que la jeune femme essaya avec enthousiasme mais n'apprécia pas spécialement. Un doigt dans l'anus augmentait son plaisir, mais le membre de son amant semblait trop gros pour son petit trou du cul. Géraldine en profita, mais dès le milieu de la semaine, elle laissa les jeunes gens jouer sans elle.
Deux jours avant de regagner son unité, la Marquise proposa d'aller visiter la forêt que lui avait offerte Gontrand. Pour éviter de faire un énorme détour, la Marquise emprunta une petite barque dans laquelle ils embarquèrent avec des provisions pour un léger repas … En débarquant, le jeune lieutenant dégagea un passage, car l'étang était bordé d'un taillis assez épais, après quelques mètres d'une progression digne d'une expédition dans la savane, la végétation s'éclaircit, se transformant en une magnifique futaie.
Les deux femmes, chaussées de bottillons et vêtues de robes simples sans volants ni fioritures, suivirent leur guide sans faiblir. Dans la futaie, des allées herbeuses sillonnaient, parfois élargies par une petite clairière. Derrière un gros bucher imposant et fort bien rangé, ils découvrirent un abri de bucherons. C'est là qu'ils décidèrent de déjeuner. Sophie profita de cette pause pour embrasser Géraldine et Amaury en se frottant contre eux. Le garçon entraina la jeune fille vers le tas de bois et l'embrassa avec amour. La jeune mariée, glissa sa main dans le pantalon de son amant et caressa son membre qui prit rapidement du volume. Spontanément, elle s'agenouilla devant lui, et ouvrit le pantalon pour prendre le sexe en bouche et le sucer avec ardeur. Quand il fut bien dressé, Amaury plaça la jeune femme face au tas de bois la faisant se cambrer puis il releva très haut la robe, ouvrit la culotte fendue et la pénétra lentement. Sophie marqua son approbation en se penchant en avant et gémit en cadence au rythme des pénétrations puissantes. Géraldine les rejoignit et prit les couilles de son fils en les faisant rouler entre ses doigts. Le garçon se mit à besogner sa partenaire sur un rythme élevé et éjacula au fond de sa gaine ruisselante quand il sentit le vagin de sa partenaire se crisper sur sa verge.
Amaury se décolla de la jeune femme, et Géraldine s'agenouilla devant lui, prenant la virilité encore dressée en bouche. Sophie s'agenouilla derrière la Marquise et prit ses seins à pleines mains. Se collant contre le dos de la femme, elle l'embrassa dans le cou et souffla à son oreille
Géraldine, tes seins sont un cadeau du ciel. Quand j'aurais eu l'enfant d'Amaury, j'aimerais que les miens restent aussi fermes… Je suis devenue bisexuelle comme tu dis, ton corps me rend folle. Avec vous deux, je resterais nue à longueur de journées. J'imagine ton fils nous prendre à tour de rôle dans toutes les positions que tu m'a montrées et j'en ai à nouveau l'entre cuisses en feu…
Géraldine, sentant qu'Amaury était prêt, dit à la jeune femme :
- Couche toi dans l'herbe, Amaury va te prendre et verser en toi sa semence.
Sophie s'allongea sur le dos et releva sa robe jusqu'à son menton. La Marquise enjamba le visage de la fille et prit ses genoux pour les relever en lui écartant largement les jambes.
- Va mon fils, sème notre bonheur dans ce ventre fertile …
Le jeune mâle s'enfonça dans l'intimité ruisselante de Sophie. Celle-ci gémit longuement et dit à son amant …
- Oui, fais moi encore jouir, à chaque fois j'ai l'impression que ton membre est de plus en plus gros, vas y, ouiiii, viens …
Sophie écarta les pans de la culotte de la Marquise et se mit à lécher la fente humide à toute vitesse, arrachant des gémissements à la femme. Soudain, elle goba le clitoris gonflé et le plaisir de Géraldine explosa dans sa bouche, alors que la femme se cambrait en rugissant. Amaury, au bout de sa performance, éjacula abondamment au fond du jeune vagin. Lorsqu'il se retira de la gaine chaude, la Marquise se releva les jambes molles et s'appuya contre le tas de bois et dit en reprenant son souffle
- Amaury, cette fille est une merveille. J'avais très rarement des relations saphiques et c'était avec un plaisir ordinaire. Lorsque Sophie me touche, je deviens folle. Je ne sais pas si je ferai l'amour avec d'autres femmes à l'avenir, mais avec Sophie, c'est chaque jour si elle veut …
La jeune femme qui était restée sur le dos, les jambes encore largement écartées, sentait le surplusde sperme s'écouler sur sa cuisse. S'appuyant sur ses coudes elle se redressa un peu sans se relever pour ne pas perdre la précieuse semence et dit
Marquise, j'avoie que je n'ai jamais eu de relations avec une femme avant vous. J'y prends beaucoup de plaisir et je jouis, moi aussi, très fort. J'ai plaisir à être votre chose. Que ce soit dans un lit, sur une table, dans le bain, ou par terre dans les bois comme maintenant, je suis d'accord pour que nous prenions du plaisir…
Ne t'en fais pas Sophie, j'ai toujours envie de te prendre, que Mère soit avec nous ou pas.
Au bout d'un moment, le joyeux trio se leva, remit de l'ordre dans sa tenue et regagna la berge, pour regagner le château.
Lorsqu'ils arrivèrent, Edgar présenta un pli sur un petit plateau à Amaury.
- Monsieur, un cavalier de votre régiment vient de déposer ce pli urgent pour vous
- Est il toujours là ?
- Non Monsieur, il m'a dit être pressé, car il avait d'autres plis à porter
Le jeune homme déplia la missive et la lut en silence. Après quelques secondes de silence la Marquise demanda :
- Que se passe t il ?
- Il faut que je regagne mon unité dès demain. C'est un mot du Colonel qui doit libérée immédiatement le Capitaine que je remplace. Il m'assure qu'il aménagera mes permissions pour compenser les quelques jours de convalescence qu'il me prend…
Puis il se tourna vers la nouvelle comtesse et dit :
- Chère Sophie, j'espère que nous avons bien travaillé et que tu te trouveras grosse de mes œuvres. Que ce soit le cas ou non, je te promets des moments intimes de plaisir dès que nous le pourrons.
- Moi aussi j'espère et je t'attendrai avec impatience … Maintenant, je vais rejoindre mon époux et me reposer, il parait que du repos après un gros coït, favorise la grossesse …
Sophie se dirigea vers les appartements de Gontrand, et la Marquise et son fils gagnèrent las appartements du garçon. La porte refermée derrière eux, Géraldine prit son fils dans ses bras et se collant à lui, dit d'une voix plaintive :
- Mon étalon d'amour va m'abandonner …
- Je dois faire mon devoir Mère, mais je reviendrai …
- Mais tu vas me manquer horriblement, Sophie et Gontrand vont repartir et toi tu ne seras pas là …
- Ne t'en fais pas, il nous reste cette nuit… Père est encore au cercle à Versailles, tu pourras rester avec moi …
- Cette nuit ! que nenni ! Je te veux au fond de moi dès maintenant !
Prestement elle fit passer sa robe par-dessus sa tête, ouvrit largement son chemisier avant de l'enlever, ce qui libéra sa magnifique poitrine, puis se baissa pour enlever sa logue culotte fendue et délasser ses bottines. Complètement nue, elle dégrafa la ceinture de son fils et fit descendre son pantalon et son caleçon d'un même geste en disant :
- Je suis prête mon amour, tu peux me prendre …
Amaury se colla à sa mère, la prit par les fesses et la souleva. Il la déposa sur le lit et l'embrassa en se couchant sur elle.
- Mère, tu es une diablesse. J'ai déjà honoré Sophie deux fois ce matin, mais j'ai à nouveau une envie féroce de ton corps…
Comme le garçon frottait de son gland la fente déjà mouillée de sa mère, celle-ci s'échappa et dit :
- Allonges toi, je vais venir sur toi
Le garçon s'installa sur le dos et comme la femme l'enjambait, il lui dit :
- Non attends, tourne moi le dos, je veux voir ma verge entrer en toi
Géraldine posa un pied de chaque coté des hanches de son fils et prenant le membre dressé en main elle fléchit les genoux et le guida vers son vagin. Elle eut un gros frisson lorsque sa grotte d'amour fut envahie par le gros mandrin de chair du jeune mâle…
- Sophie a raison, j'ai moi aussi l'impression que ton membre est de plus en plus gros. Tu es raide comme un bout de bois, brûlant comme l'incendie que tu allumes dans nos ventres, tu frappes au fond de nos vagins comme si tu allais nous défoncer, …
En parlant, la Marquise avait accéléré ses mouvements et le garçon était fasciné de voir sa virilité s'enfoncer en cadence dans la féminité ruisselante de sa mère. Il avait pleinement conscience qu'ils commettaient un vilain inceste mais tant pis, ils iraient bruler tous les deux en enfer, et ils continueraient là bas leurs fornications coupables… lorsque la femme se soulevait, il donnait un coup de reins pour s'enfoncer à nouveau. Géraldine s'était cambrée et gémissait à chaque pénétration. Amaury, au bout de ses efforts, éjacula à nouveau, déversant dans le sexe maternel tout ce qui lui restait de semence. La femme se crispa avec un fort grognement, puis elle se laissa aller sur le corps de son amant, qui s'empara de sa poitrine et tritura les tétons durcis.
- Je t'aime comme une folle mon fils ! Je suis là, plantée sur ton membre encore dur, je me sens pleine de toi, et j'ai encore des spasmes dans le ventre. Savoir que tu retournes à ton régiment me désespère … Ne plus te sentir en moi, ne plus sentir ton sexe qui devient énorme et distend mon vagin qui ruisselle de ma cyprine et de ton sperme mélangés… Je ne sais pas comment je vais pouvoir me passer de toi. Faire l'amour avec toi, c'est comme me saouler de bon vin …
Toujours collés en cuillère, les deux amants s'endormirent, pour un sommeil réparateur.