Le Jeune Marquis (30/x)

Récit érotique écrit par MaitreChat2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Le Jeune Marquis (30/x)
Le lendemain matin, de très bonne heure, Amaury se réveilla, sa verge amollie toujours entre les jambes de sa mère et ses mains en coque sur les seins généreux. Il posa un baiser dans son cou et lui dit.
• Je dois me préparer, va te préparer aussi et demander un petit déjeuner pour que je ne parte pas le ventre creux.
• Moi non plus je ne voudrais pas rester le ventre creux, viens, prend moi …
• Non, il fait que je sois en opérationnel au réveil des troupes
• Tu es opérationnel, regarde, ta verge se dresse pour envoyer les couleurs ...
Le garçon sauta du lit et se rendit rapidement dans sa salle de bains. Un peu dépitée, Géraldine se leva à son tour, prit ses affaires sous le bras et partit nue par le passage secret.
Après un rapide petit déjeuner, Amaury fit ses adieux et prit la route en uniforme de service, sa tenue numéro un soigneusement rangée avec ses affaires personnelles, dans son paquetage réglementaire accroché à sa selle.
Lorsqu'il arriva à la caserne, il se rendit à la "carrière", puis au "manège" pour prendre l'ambiance du lieu. Il n'y rencontra personne car il était trop tôt pour que les cavaliers et leurs montures aient commencé leur travail. Il gagna ensuite son logement, et confia sa monture au planton, le temps pour lui de déposer ses affaires dans sa chambre. Lorsqu'il entendit sonner" le réveil", il reprit son cheval pour se rendre aux écuries et prendre une autre monture pour le travail. Les lads, déjà au travail auprès des bêtes, le saluèrent avec un respect mêlé de joie d'avoir un nouveau chef presque de leur âge.
Amaury se rendit dans le manège où il arriva en même temps que l'ordonnance du Capitaine Chopard de Mollières, qui lui servirait d'ordonnance pendant quelques semaines avant de rejoindre une nouvelle affectation. Le Colonel avait souhaité cette organisation afin que le jeune Lieutenant puisse devenir rapidement opérationnel avec les conseils de son ordonnance qui connaissait bien le travail…
La journée, se déroula très bien, et hommes et montures rentrèrent pour le repas du soir et la nuit.
La quinzaine qui suivit se termina au mieux, les cavaliers qui terminaient leur formation firent une petite fête et ils invitèrent le Lieutenant qui apprécia beaucoup le geste.
Le lundi matin suivant, le Lieutenant faisait face à un nouveau groupe d'élèves dans le grand manège. Il venait de donner les premières instructions et les cavaliers tournaient lentement et s'appliquant à maintenir les distances recommandées. L'Adjudant Garnier, qui resterait son ordonnance encore quelques jours, s'était placé à l'extérieur du cercle pour observer les élèves et prenait quelques notes pour discuter des corrections à apporter avec son supérieur.
Voyant le Colonel entrer dans le manège, il fit signe à Amaury qui arrêta le mouvement et échangea sa place avec l'Adjudant. Respectueusement, il s'approcha du Colonel et le salua de façon règlementaire. Le Colonel rendit le salut et dit au jeune Lieutenant :
Lieutenant Brochant, veuillez me suivre, je dois vous parler en privé. Amaury fit pivoter sa monture et signala à son ordonnance qu'il lui laissait le commandement du groupe, puis il suivit le Colonel. Le supérieur longea la carrière et arrêta sa monture près des écuries. Comme un lad s'approchait, l'officier lui fit signe de s'éloigner, ce que fit le garçon.
• Lieutenant, j'ai une très mauvaise nouvelle pour vous
• Ah bon ! Que se passe t il ?
• Votre épouse vient d'être tuée sur le front
• Oh non !Mais que s'est il passé ?
• L'ambulance dans laquelle elle se trouvait a été prise dans un pilonnage d'artillerie. Le chauffeur infirmier et votre épouse ont été tués sur le coup et l'infirmière qui les accompagnait a été légèrement blessée. Je crois savoir que c'était la cousine de votre épouse, elle a été rapatriée à l'hôpital ici pour être soignée, ses jours ne sont pas en danger.
• Merci mon Colonel, sombre nouvelle en effet
• Je vous présente toutes mes condoléances. Je préfère de loin donner de bonnes nouvelles, mais cette sale guerre nous prive souvent de cette joie
• Je comprends. Suis-je autoriser à me rendre au chevet de notre cousine.
• Bien sur. Revenez ce soir pour me donner d'autres informations sur son état. De mon côté je vais voir pour la suite.
Les deux hommes se saluèrent, et Amaury regagna le manège. Il informa l'adjudant de l'événement, et passa quelques minutes à discuter des exercices à renforcer dans leur programme, puis il se dirigea vers la sortie de la caserne pour se rendre à l'hôpital.
Les blessures d'Isabelle n'étaient pas graves car elle se trouvait à l'arrière quand l'ambulance avait été frappée. Le cuir chevelu et la joue entamés lorsque la voiture avait quitté la route étaient couverts d'un gros pansement. Sa cuisse portait une blessure profonde provoquée par un gros flacon qui s'était brisé sous son poids quand elle avait été projetée contre le brancard.
Lorsqu'il s'approcha d'elle, une infirmière soignait sa cuisse et tout le bas de son corps nu était visible. L'infirmière termina le soin et passa à un autre lit. Amaury se pencha sur elle pour lui faire la bise, mais Isabelle s'accrocha à son cou et lui donna un gros baiser d'amour.
• Amaury, je suis dévastée, ne m'abandonne pas… nous avons perdu Caroline et son bébé, c'est terrible.
• Oui, je suis bouleversé …
• C'est terrible, tu n'as plus d'héritier… Même si nous ne nous marions pas, je veux te donner l'enfant que Caroline voulait te donner. Maintenant je suis à toi. Caroline était comme ma sœur et je veux la remplacer auprès de toi.
• Repose toi, essaie de guérir vite. Je vais aller prévenir mes parents…
Isabelle s'accrocha à nouveau à son cou et l'embrassa à pleine bouche, prenant la main du garçon pour la poser sur son sein.
Le jeune Lieutenant regagna sa cantonnement en se disant que la Cousine avait été traumatisée par l'événement violent qui l'avait touchée.
Dès qu'il arriva à la caserne, il se rendit auprès de son supérieur et lui donna des nouvelles de la blessée. Celui-ci se montra rassuré et le Colonel l'informa qu'il s'occupait d'informer les parents de Caroline, car les deux jeunes femmes étaient rattachées au sixième Dragon.
• De votre côté, je vous invite à aller prévenir votre famille afin de préparer les obsèques. La dépouille de votre épouse sera ramenée ici pour que nous puissions lui rendre les honneurs militaires, puis elle rejoindra le cimetière familial. Maintenant allez vous changer, mon ordonnance se charge d'organiser la suite de la formation avec l'adjudant Garnier. Allez vous changer et rentrez chez vous. Rompez
• A vos ordres mon Colonel !
Amaury retourna chez ses parents au petit trot. Lorsqu'il arriva, il trouva ses parents dans le hall, qui prenaient congé d'un artisan. Lorsque l'homme eut tourné le dos, son père demanda
• Mais que fais tu ici ?
• Je suis venu vous annoncer une bien triste nouvelle
• Que se passe t il mon garçon, le Colonel t'envoie au front ?
• Non Père, il m'a annoncé ce matin la mort de Caroline sur le front
• Mon Dieu Amaury, c'est affreux
• Oui Mère, j'ai perdu mon épouse et mon enfant en une seule fois …
• Que s'est il passé ?
• Son ambulance a été prise sous un pilonnage d'artillerie. Son chauffeur infirmier et elle, ont été tués sur le coup et Isabelle qui était derrière n'est que blessée
• Est-ce grave ?
• Non Mère, elle est légèrement blessée à la tête et à la cuisse. Quand l'ambulance a quitté la route, elle a été projetée contre les civières et aurait pu être tuée, mais elle est solide
• Reste avec ta mère au calme, je vais aller prévenir ses parents de ce drame.
• Le Colonel Champvallier m'a dit qu'il allait s'en charger, il m'a dit aussi que nous rendrons les honneurs militaires à Caroline demain à la caserne. Le Chauffeur infirmier tué avec elle, dépend d'un autre corps qui fer de même.
• Bon, si je pars tout de suite, j'ai des chances de rattraper Champvallier. Dans ces situations urgentes, nous sommes trop lents à communiquer, je crois que nous allons faire installer le téléphone …
Aymard se dirigea rapidement vers ses appartements pendant que Géraldine, pressait son fils contre elle avant de l’entraîner vers les appartements du jeune homme. Arrivés dans la chambre de son garçon, la Marquise le serra fort contre elle et dit :
• Je comprends que tu sois triste Amaury, mais rassure toi, nous ne te laisserons pas
• Oui Mère, je le sais? Je n'étais pas amoureux de Caroline et sexuellement, elle ne parvenait pas à vraiment me satisfaire, même si nous avons eu quelques nuits très chaudes. Ce qui me mine, c'est la perte de notre enfant…
• En effet, c'est le point le plus cruel de ce drame, mais tu seras quand même père, puisque Sophie m'a annoncé qu'elle est grosse de tes œuvres…
• Ah bon ! c'est en effet une nouvelle qui atténue un peu le drame…
• Pardonnes moi si je suis cynique, mais maintenant que tu es veuf, tu ne pourras plus avoir aucun scrupules à lui faire, à nous faire l'amour…
• Oui mère, tu as raison. Malgré ma tristesse, il faut aller de l'avant…
Géraldine entra dans la chambre et dégrafa sa jupe et la laissa tomber au sol. Elle enleva rapidement son corsage et se tourna pour faire face à son fils
• Viens, prend moi. Mes doigts dans ma féminité ne peuvent pas remplacer ta virilité, et si longtemps sans toi m'est insupportable…
Elle s'approcha de lui et s'empressa de l'aider à se déshabiller. Pendant qu'il posait sa chemise, elle s'agenouilla devant lui et après l'avoir un peu branlé, elle emboucha la verge qui s'était dressée rapidement. Amaury ferma les yeux et baisa lentement la bouche maternelle. La langue de Géraldine tournait autour du gland qui gonflait et le membre avait pris des dimensions considérables… Elle se redressa et poussa le garçon vers un fauteuil où elle le fit asseoir. Écartant la fente de sa culotte, elle chevaucha les bras du meuble et se planta sur la virilité dressée avec un rugissement.
• Enfin ! J'ai l'impression que tu ne m'avais pas remplie depuis des mois.
• Moi aussi tu m'as manqué. Je me suis branlé plusieurs fois, mais c'est juste mécanique. Sentir la chaleur de ta grotte d'amour et pouvoir caresser tes seins … Pouvoir te retourner pour voir ma verge s'enfoncer dans ton vagin brûlant … je rêve de ton corps et de celui de Sophie. Quel dommage que je ne puisse pas te faire un enfant viable.
La Marquise s'agitait sur un rythme effréné sur la virilité de son fils. A chaque pénétration elle gémissait, jusqu'au moment ou elle se tétanisa dans un feulement grave en sentant le sperme brûlant du garçon envahir toute son intimité surchauffée. Amaury l'avait prise par les épaules et la maintenait fortement sur lui, son membre enfoncé au maximum, comme s'il voulait la traverser.
Géraldine donna un baiser torride à son fils, puis elle se libéra de l'étreinte et se leva. Prenant le garçon pas la main, elle l’entraîna vers le lit, et se couchant dessus les jambes largement écartées elle le regarda dans les yeux et dit :
• Encore, enfonce toi encore, je veux jouir à nouveau…
• Je dois me préparer, va te préparer aussi et demander un petit déjeuner pour que je ne parte pas le ventre creux.
• Moi non plus je ne voudrais pas rester le ventre creux, viens, prend moi …
• Non, il fait que je sois en opérationnel au réveil des troupes
• Tu es opérationnel, regarde, ta verge se dresse pour envoyer les couleurs ...
Le garçon sauta du lit et se rendit rapidement dans sa salle de bains. Un peu dépitée, Géraldine se leva à son tour, prit ses affaires sous le bras et partit nue par le passage secret.
Après un rapide petit déjeuner, Amaury fit ses adieux et prit la route en uniforme de service, sa tenue numéro un soigneusement rangée avec ses affaires personnelles, dans son paquetage réglementaire accroché à sa selle.
Lorsqu'il arriva à la caserne, il se rendit à la "carrière", puis au "manège" pour prendre l'ambiance du lieu. Il n'y rencontra personne car il était trop tôt pour que les cavaliers et leurs montures aient commencé leur travail. Il gagna ensuite son logement, et confia sa monture au planton, le temps pour lui de déposer ses affaires dans sa chambre. Lorsqu'il entendit sonner" le réveil", il reprit son cheval pour se rendre aux écuries et prendre une autre monture pour le travail. Les lads, déjà au travail auprès des bêtes, le saluèrent avec un respect mêlé de joie d'avoir un nouveau chef presque de leur âge.
Amaury se rendit dans le manège où il arriva en même temps que l'ordonnance du Capitaine Chopard de Mollières, qui lui servirait d'ordonnance pendant quelques semaines avant de rejoindre une nouvelle affectation. Le Colonel avait souhaité cette organisation afin que le jeune Lieutenant puisse devenir rapidement opérationnel avec les conseils de son ordonnance qui connaissait bien le travail…
La journée, se déroula très bien, et hommes et montures rentrèrent pour le repas du soir et la nuit.
La quinzaine qui suivit se termina au mieux, les cavaliers qui terminaient leur formation firent une petite fête et ils invitèrent le Lieutenant qui apprécia beaucoup le geste.
Le lundi matin suivant, le Lieutenant faisait face à un nouveau groupe d'élèves dans le grand manège. Il venait de donner les premières instructions et les cavaliers tournaient lentement et s'appliquant à maintenir les distances recommandées. L'Adjudant Garnier, qui resterait son ordonnance encore quelques jours, s'était placé à l'extérieur du cercle pour observer les élèves et prenait quelques notes pour discuter des corrections à apporter avec son supérieur.
Voyant le Colonel entrer dans le manège, il fit signe à Amaury qui arrêta le mouvement et échangea sa place avec l'Adjudant. Respectueusement, il s'approcha du Colonel et le salua de façon règlementaire. Le Colonel rendit le salut et dit au jeune Lieutenant :
Lieutenant Brochant, veuillez me suivre, je dois vous parler en privé. Amaury fit pivoter sa monture et signala à son ordonnance qu'il lui laissait le commandement du groupe, puis il suivit le Colonel. Le supérieur longea la carrière et arrêta sa monture près des écuries. Comme un lad s'approchait, l'officier lui fit signe de s'éloigner, ce que fit le garçon.
• Lieutenant, j'ai une très mauvaise nouvelle pour vous
• Ah bon ! Que se passe t il ?
• Votre épouse vient d'être tuée sur le front
• Oh non !Mais que s'est il passé ?
• L'ambulance dans laquelle elle se trouvait a été prise dans un pilonnage d'artillerie. Le chauffeur infirmier et votre épouse ont été tués sur le coup et l'infirmière qui les accompagnait a été légèrement blessée. Je crois savoir que c'était la cousine de votre épouse, elle a été rapatriée à l'hôpital ici pour être soignée, ses jours ne sont pas en danger.
• Merci mon Colonel, sombre nouvelle en effet
• Je vous présente toutes mes condoléances. Je préfère de loin donner de bonnes nouvelles, mais cette sale guerre nous prive souvent de cette joie
• Je comprends. Suis-je autoriser à me rendre au chevet de notre cousine.
• Bien sur. Revenez ce soir pour me donner d'autres informations sur son état. De mon côté je vais voir pour la suite.
Les deux hommes se saluèrent, et Amaury regagna le manège. Il informa l'adjudant de l'événement, et passa quelques minutes à discuter des exercices à renforcer dans leur programme, puis il se dirigea vers la sortie de la caserne pour se rendre à l'hôpital.
Les blessures d'Isabelle n'étaient pas graves car elle se trouvait à l'arrière quand l'ambulance avait été frappée. Le cuir chevelu et la joue entamés lorsque la voiture avait quitté la route étaient couverts d'un gros pansement. Sa cuisse portait une blessure profonde provoquée par un gros flacon qui s'était brisé sous son poids quand elle avait été projetée contre le brancard.
Lorsqu'il s'approcha d'elle, une infirmière soignait sa cuisse et tout le bas de son corps nu était visible. L'infirmière termina le soin et passa à un autre lit. Amaury se pencha sur elle pour lui faire la bise, mais Isabelle s'accrocha à son cou et lui donna un gros baiser d'amour.
• Amaury, je suis dévastée, ne m'abandonne pas… nous avons perdu Caroline et son bébé, c'est terrible.
• Oui, je suis bouleversé …
• C'est terrible, tu n'as plus d'héritier… Même si nous ne nous marions pas, je veux te donner l'enfant que Caroline voulait te donner. Maintenant je suis à toi. Caroline était comme ma sœur et je veux la remplacer auprès de toi.
• Repose toi, essaie de guérir vite. Je vais aller prévenir mes parents…
Isabelle s'accrocha à nouveau à son cou et l'embrassa à pleine bouche, prenant la main du garçon pour la poser sur son sein.
Le jeune Lieutenant regagna sa cantonnement en se disant que la Cousine avait été traumatisée par l'événement violent qui l'avait touchée.
Dès qu'il arriva à la caserne, il se rendit auprès de son supérieur et lui donna des nouvelles de la blessée. Celui-ci se montra rassuré et le Colonel l'informa qu'il s'occupait d'informer les parents de Caroline, car les deux jeunes femmes étaient rattachées au sixième Dragon.
• De votre côté, je vous invite à aller prévenir votre famille afin de préparer les obsèques. La dépouille de votre épouse sera ramenée ici pour que nous puissions lui rendre les honneurs militaires, puis elle rejoindra le cimetière familial. Maintenant allez vous changer, mon ordonnance se charge d'organiser la suite de la formation avec l'adjudant Garnier. Allez vous changer et rentrez chez vous. Rompez
• A vos ordres mon Colonel !
Amaury retourna chez ses parents au petit trot. Lorsqu'il arriva, il trouva ses parents dans le hall, qui prenaient congé d'un artisan. Lorsque l'homme eut tourné le dos, son père demanda
• Mais que fais tu ici ?
• Je suis venu vous annoncer une bien triste nouvelle
• Que se passe t il mon garçon, le Colonel t'envoie au front ?
• Non Père, il m'a annoncé ce matin la mort de Caroline sur le front
• Mon Dieu Amaury, c'est affreux
• Oui Mère, j'ai perdu mon épouse et mon enfant en une seule fois …
• Que s'est il passé ?
• Son ambulance a été prise sous un pilonnage d'artillerie. Son chauffeur infirmier et elle, ont été tués sur le coup et Isabelle qui était derrière n'est que blessée
• Est-ce grave ?
• Non Mère, elle est légèrement blessée à la tête et à la cuisse. Quand l'ambulance a quitté la route, elle a été projetée contre les civières et aurait pu être tuée, mais elle est solide
• Reste avec ta mère au calme, je vais aller prévenir ses parents de ce drame.
• Le Colonel Champvallier m'a dit qu'il allait s'en charger, il m'a dit aussi que nous rendrons les honneurs militaires à Caroline demain à la caserne. Le Chauffeur infirmier tué avec elle, dépend d'un autre corps qui fer de même.
• Bon, si je pars tout de suite, j'ai des chances de rattraper Champvallier. Dans ces situations urgentes, nous sommes trop lents à communiquer, je crois que nous allons faire installer le téléphone …
Aymard se dirigea rapidement vers ses appartements pendant que Géraldine, pressait son fils contre elle avant de l’entraîner vers les appartements du jeune homme. Arrivés dans la chambre de son garçon, la Marquise le serra fort contre elle et dit :
• Je comprends que tu sois triste Amaury, mais rassure toi, nous ne te laisserons pas
• Oui Mère, je le sais? Je n'étais pas amoureux de Caroline et sexuellement, elle ne parvenait pas à vraiment me satisfaire, même si nous avons eu quelques nuits très chaudes. Ce qui me mine, c'est la perte de notre enfant…
• En effet, c'est le point le plus cruel de ce drame, mais tu seras quand même père, puisque Sophie m'a annoncé qu'elle est grosse de tes œuvres…
• Ah bon ! c'est en effet une nouvelle qui atténue un peu le drame…
• Pardonnes moi si je suis cynique, mais maintenant que tu es veuf, tu ne pourras plus avoir aucun scrupules à lui faire, à nous faire l'amour…
• Oui mère, tu as raison. Malgré ma tristesse, il faut aller de l'avant…
Géraldine entra dans la chambre et dégrafa sa jupe et la laissa tomber au sol. Elle enleva rapidement son corsage et se tourna pour faire face à son fils
• Viens, prend moi. Mes doigts dans ma féminité ne peuvent pas remplacer ta virilité, et si longtemps sans toi m'est insupportable…
Elle s'approcha de lui et s'empressa de l'aider à se déshabiller. Pendant qu'il posait sa chemise, elle s'agenouilla devant lui et après l'avoir un peu branlé, elle emboucha la verge qui s'était dressée rapidement. Amaury ferma les yeux et baisa lentement la bouche maternelle. La langue de Géraldine tournait autour du gland qui gonflait et le membre avait pris des dimensions considérables… Elle se redressa et poussa le garçon vers un fauteuil où elle le fit asseoir. Écartant la fente de sa culotte, elle chevaucha les bras du meuble et se planta sur la virilité dressée avec un rugissement.
• Enfin ! J'ai l'impression que tu ne m'avais pas remplie depuis des mois.
• Moi aussi tu m'as manqué. Je me suis branlé plusieurs fois, mais c'est juste mécanique. Sentir la chaleur de ta grotte d'amour et pouvoir caresser tes seins … Pouvoir te retourner pour voir ma verge s'enfoncer dans ton vagin brûlant … je rêve de ton corps et de celui de Sophie. Quel dommage que je ne puisse pas te faire un enfant viable.
La Marquise s'agitait sur un rythme effréné sur la virilité de son fils. A chaque pénétration elle gémissait, jusqu'au moment ou elle se tétanisa dans un feulement grave en sentant le sperme brûlant du garçon envahir toute son intimité surchauffée. Amaury l'avait prise par les épaules et la maintenait fortement sur lui, son membre enfoncé au maximum, comme s'il voulait la traverser.
Géraldine donna un baiser torride à son fils, puis elle se libéra de l'étreinte et se leva. Prenant le garçon pas la main, elle l’entraîna vers le lit, et se couchant dessus les jambes largement écartées elle le regarda dans les yeux et dit :
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La marquise est peu traumatisée et ne pense qu’à baiser c’est terrible encore un beau chapitre de l’histoire d’Amaury. Daniel

