Le Jeune Marquis (31/x) - histoire érotique

Le lendemain, Géraldine prit elle aussi la route de la caserne de son fils afin d'assister à l'hommage qui devait être rendu à feu sa bru. Aymard pour sa part, devait venir avec les parents de Caroline. La mère d'Isabelle veuve depuis longtemps, irait de son côté prendre en charge sa fille à l'hôpital.
La cérémonie fut assez émouvante, surtout lorsque le Colonel prit la parole. Il rappela que Caroline et sa cousine, avaient d'abord œuvré comme bénévoles, mettant tout leur temps au service des soldats blessés. Il rappela que leur récente incorporation au sein de l'armée était le résultat de leur engagement et de la compétence qu'elles avaient démontré sans faiblir. Il déplora enfin que la jeune femme soit morte, alors qu'elle devait donner la vie à l'enfant du Lieutenant chargé de la formation.
De nombreux jeunes soldats, avaient les yeux brillants, alors que les plus âgés serraient les dents en pensant à leurs familles.
A la fin de la cérémonie, le Colonel vint se mettre au garde à vous devant les familles endeuillées, et les salua avec émotion avant d'ordonner qu'on conduise la dépouille, jusqu'au cimetière de la famille de la jeune femme.
Amaury et ses parents précédèrent le corbillard jusqu'au manoir de la famille du Plessis Ricourt, puis au cimetière pour les obsèques civiles.
Le soir, les parents d'Amaury furent logés au manoir, et Amaury alla coucher au pavillon du lac, où il hébergea Isabelle et sa mère.
Amaury était dans sa chambre, où il méditait sur ce que serait son avenir lorsqu'on frappa à sa porte. C'était la mère d'Isabelle qui venait réclamer son aide.
• Monsieur le Marquis, pouvez vous venir m'aider à refaire les pansements de ma fille. J'ai totalement oublié de demander une infirmière et je ne connais rien à ces pratiques.
• Bien sur Madame la Baronne. Avez-vous le nécessaire ?
• Oui, Isabelle a emporté ce qu'il faut, mais elle ne peut pas le faire elle-même.
Lorsqu'ils entrèrent dans la chambre, Isabelle était nue sur le lit et essayait de défaire son pansement à la tête. La Baronne sursauta et gronda sa fille
• Enfin Isabelle, ce n'est pas une tenue pour recevoir le Marquis !
• Ne t'en fais pas maman, Amaury a déjà vu des femmes nues, et il m'a vue nue, puisque c'est lui qui m'a déflorée …
• Quoi ! fit la mère en rougissant
• Oui maman, Amaury m'a fait l'amour et j'ai trouvé ça très agréable. De plus, puisque cette putain de guerre lui a enlevé son épouse et son héritier, j'espère qu'il acceptera de me faire un enfant auquel je donnerai son nom.
• Mais enfin ma fille, Monsieur le Marquis est en grand deuil et tu viens lui parler de faire des enfants avec toi, c'est insensé
• Non maman, c'est la vie. Depuis que papa est mort aucun homme ne t'a touchée, pourtant tu es encore attirante…
• C'est ainsi ma fille, et il est inutile d'étaler ma vie privée devant Monsieur le Marquis
• Je vous en prie Baronne, appelez moi Amaury …
• Tu devrais essayer d' réanimer ta sexualité, Amaury est un excellent coup, ils s'y prend très bien et il est très endurant. Nous honorer toute les deux ne lui ferait pas peur …
• C'est hallucinant, ma fille veut me jeter dans les bras du veuf de sa cousine …
• Bon, nous en reparlerons … Veux tu refaire le pansement de ma cuisse, beau militaire ?

L'homme s'approcha et défit le pansement encore imbibé de sang. Comme la toile fine était collée à la peau, Isabelle retint la main de son soignant quelques secondes pour souffler et évacuer la douleur. Lorsque l'éclair douloureux fut passé, elle posa la main du garçon directement sur sa vulve.
• Là aussi il faudra me soigner docteur…
• Nous verrons ça plus tard, pour le moment tu n'es pas opérationnelle …
• Le jeune homme refit le pansement et Isabelle prit encore sa main pour la coincer entre ses cuisses…
• De toute évidence cher Amaury, ma fille a apprécié ce que vous lui avez fait… Mais arrête ça Isabelle, je suis présente…
• Ça ne me gêne pas maman, tu sais comment on fait, et ainsi tu verrais comment s'y prend ce beau Lieutenant. Ça te donnerait certainement des idées et tu pourrais profiter de sa présence auprès de nous…
Amaury s'était approché pour s'occuper du pansement à la tête. Isabelle profita de sa position pour dégrafer rapidement le pantalon qui glissa sur les jambes l’orsque le garçon fit un pas en arrière pour se dégager.
• Regarde maman, il te suffit de prendre en main ce bel objet pour en profiter…
• Mais quelles façons ma fille, ce n'est pas l'éducation que je t'ai donnée ,,,
• C'est vrai, mais quand ça pète partout autour de toi, et que tu ramasse des pauvres gars à moitié bousillés, tu ne vois plus les choses pareil. Tu as envie de profiter du temps qui te reste et qui peut être très court.
• Je vois que cette période au feu t'as bien changée ,,,
• N'ai-je pas raison Amaury ?
• J'avoue que nous sommes nombreux à penser comme toi, côtoyer la mort, modifie profondément notre façon d'aborder la vie…
• Comment trouves tu ma mère Amaury ?
Le garçon détailla la femme en remontant son pantalon. Une petite cinquantaine, plutôt menue, une petite poitrine encore haut perchée et de jolies fesses qu'il avait remarquées en la suivant.
• Ta maman est tout à fait charmante et pourrait refaire sa vie, elle a de nombreuses années devant elle, et quand tu auras pris un mari, elle risque de souffrir de la solitude.
• Tu lui rendras visite …
• Mais enfin Isabelle !
• Et toi maman, comment trouves tu le Lieutenant ?
• Heu … c'est un bel homme, grand, mince, avec un beau regard …
• Et une belle virilité …
• Arrête Isabelle !
• Et tu aimerais faire l'amour avec lui ?
• Pfff tu es insupportable ! Quand j'étais célibataire, il m'aurait plu ... Là je t'ai répondu, cesse ce petit jeu maintenant …
Amaury s'était à nouveau approché et soignait la jeune femme.
• Regarde bien comment il fait maman. Dans les jour prochains, c'est toi qui le fera… Approche toi bien …
Isabelle prit la main de sa mère comme pour être rassurée, et d'un mouvement vif, elle la posa et la maintint sur le membre du garçon,
• Alors, qu'en penses tu ? Intéressant non ?
Elle relâcha la main de la femme qui avait viré à l'écarlate, mais n'enleva pas sa main. Amaury la regarda avec un petit sourire et termina le pansement d'Isabelle.
En reculant, il prit la main de la femme et posa un baiser dans sa paume.
• Bon, te voilà soignée pour aujourd'hui, essaie de dormir, c'est le meilleur moyen pour récupérer…
Il salua la femme avec une petite courbette et quitta la pièce… quelque minutes plus tard, alors qu'il s'apprêtait à dormir, on frappa à sa porte. Il alla ouvrir en caleçon et trouva la Élise Bertin de Ribières en robe de chambre.
• Oui Baronne, que puis je pour vous ?
• Désolée de vous déranger Amaury, mais je voudrais m'excuser. En quelques mois, Isabelle est devenue une autre femme … Oh, il est vrai que voue en êtes peut être la cause …
Le jeune homme s'effaça et laissa entrer la femme. Il lui désigna un fauteuil et lui proposa un cordial. La femme accepta et ils commencèrent a deviser gentiment
• Vous savez Amaury, ce que vous disiez sur la solitude est l'absolue vérité. Quand les cousines sont parties comme infirmières bénévoles, j'ai eu l'impression que tout s'arrêtait autour de moi.
• C'est souvent le cas quand les enfants quittent la maison ...
• Oui, plus de bruits autour de moi, plus personne dans mes nuits …
• C'est bien ce que je vous disais …
• Je n'ai rien dit devant Isabelle, mais au début j'ai essayé d'avoir un compagnon pour égayer mes nuits, mais j'ai été trop déçue …
Elle avait bougé sur le fauteuil et son peignoir s'ouvrit laissant voir très haut ses cuisses. Les yeux pleins de larmes, elle dit :
• Je suis une vieille femme maintenant, plus aucun homme ne veut de moi…
• Non Baronne, vous êtes encore une femme séduisante, je vous assure …
Elle se leva pour se retirer, mais la ceinture de sa robe de chambre glissa et elle apparut seulement vêtue de sa culotte fendue devant le garçon. Lui prenant la main il dit.
• Baronne, ne vous faites pas de soucis, vous êtes toujours une jolie femme …
Elle se colla à lui et lui tendit ses lèvres et dit :
• Prouvez le moi !
Amaury la prit dans ses bras et la porta jusqu’au lit où il la déposa. Se penchant sur elle, il posa sa bouche sur son pubis orné d'une fine toison blonde. La Baronne Elise Bertin de Ribières poussa un profond gémissement et ouvrit largement le compas de ses jambes en passant ses doigts derrière la tête du garçon. Le prenant par les oreilles elle l'attira sur elle et enserra sa taille de ses jambes
• Prends moi vite, je vais défaillir, ça fait si longtemps.
Amaury enfonça sa verge tendue dans l'intimité déjà mouillée de sa partenaire qui le reçut en grognant… Le garçon la besogna calmement, mais elle s’agita, amplifiant ses coups de reins pour le rejoindre et se laissa emporter dans un cri.
La porte de la chambre s'ouvrit et Isabelle, toujours nue, entra en boitillant
• Alors maman, c'est bon, ça fait du bien ?
• Isabelle que fais tu là ?
• Je suis venue voir si tu avais repris du service, et s'il m'en reste un peu …
• Isabelle, je t'ai dit que tu n'es pas opérationnelle pour le moment …
• Viens là et je vais te montrer mon garçon …
Elle s'allongea près de sa mère encore dans les nuages, puis levant sa cuisse blessée elle ouvrit sa féminité et dit :
• Alors, tu viens ? Moi aussi je suis sevrée et je n'ai même plus ma cousine pour m'envoyer en l'air…
Amaury s'agenouilla au dessus de la jambe valide et s'enfonça en douceur dans cette intimité que la jeune fille avait du préparer…
Élise regardait fascinée, la grosse verge dure aller et venir dans l'entre cuisses de sa fille. Elle avait toutes les difficultés pour arracher son regard de la scène et commençait à haleter en même temps que sa fille qui gémissait à chaque pénétration. De sa main droite, elle se caressait au rythme des coups de reins du jeune mâle et son plaisir explosa en même temps que celui d'Isabelle.
Lorsque Amaury se retira du ventre de la blessée, elle se pencha précipitamment et prit le membre en bouche pour le sucer avec frénésie. Le jeune mâle la repoussa et la prenant par la taille, il la mit à quatre pattes près de sa fille. Sans autre cérémonie, il planta son membre dans la féminité de la mère d’Isabelle qui les regardait avec un grand sourire…
• vas y Amaury, fais moi un petit frère, je rève de nous voir grosse en même temps… Il n’y a pas d’héritier mâle chez les Bertin de Ribières, fais nous des garçons en espérant qu’ils grandiront très vite pour nous faire l’amour quand tu ne seras pas là …
• Oh oui Amaury, fais moi un enfant …
Le garçon s’activa, faisant taper son gland au fond du vagin de la Baronne, lui arrachant des glapissements sonores, jusqu’au moment où enfin il inonda sa partenaire de sa semence… se retirant de la gaine brûlante, il se leva et gagna la salle de bains. Lorsqu’il revint, lavé mais le sexe encore dodelinant il dit avec un grand sourire.
• C’est fini pour aujourd’hui mesdames. Merci d’être venues me consoler, mais je dois partir de bonne heure pour rejoindre mon unité…
Les deux femmes retournèrent dans leur chambre et Amaury put enfin trouver un sommeil réparateur