Le Jeune Marquis (32/x)

- Par l'auteur HDS MaitreChat2 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Jeune Marquis (32/x) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Jeune Marquis (32/x)
Amaury regagna son unité, et fut très occupé pendant plusieurs semaines. Plusieurs escadrons de cavaliers devaient être formés avant de rejoindre les zones de combats où ils mèneraient principalement des missions de renseignement…
En revenant pour quelques jours au château de sa famille, il fit un arrêt au manoir des Périn de Ferrières où les travaux avaient bien avancé. Gontrand avait rajouté quelques travaux de modernisation afin d’améliorer le confort pour Sophie, sa jeune épouse.
C’est le Comte qui accueillit le jeune Lieutenant sur le perron
• Ah ! Enfin Amaury, quelle joie de te revoir.
• Monsieur le Comte, je suis aussi ravi de vous voir en bonne santé
• C’est un peu à toi que je le dois, et surtout à Sophie qui est mon rayon de soleil
• Comme va t elle ?
• A merveille ! D’ailleurs elle t’attend impatiemment dans le salon
Les deux hommes entrèrent en devisant dans le manoir et passèrent au salon. Sophie se jeta au cou du jeune homme et le serra contre sa poitrines
• Amaury, cette jeune et jolie femme a quelque chose à te dire
• Oui Amaury, je suis enceinte …
• Merveilleux !
Gontrand s’approcha des jeunes gens, puis prenant une main de chacun, il les joignit avant de dire très ému :
• Sophie, Amaury, je vous remercie. Je vous dois le plus grand bonheur de ma vie. Même si vu de l’extérieur ça peut sembler étrange, mais je vous dois une reconnaissance éternelle de m’avoir fait un héritier. Merci, merci, merci !
• Gontrand, moi aussi je vous remercie grandement. Vous nous avez permis de vivre l’amour que nous partagions à distance depuis notre adolescence.
• Continuez mes enfants … Le premier né portera mon nom, mais les autres porteront le tien Amaury, car j’espère qu’à ma mort, tu épouseras ton amour de jeunesse…
A ces mots, Sophie éclata en sanglots. Elle prit les mains de son époux et les embrasse fiévreusement.
• Gontrand, vous êtes un archange ! Vous êtes la bonté faite homme, et je suis fière d’être votre épouse.
• Je ne suis même pas un ange, et les détails sordide de ma vie pourraient bien vous faire dresser les cheveux sur la tête… Bon, allons prendre une colla tion, puis je montrerai le travaux à Amaury et nous le laisserons retourner voir sa famille avec pour consigne de revenir quelques jours ici le plus tôt possible…
En effet, après quelques pâtisseries Gontrand fit le tour des travaux avec le jeune homme. La toiture était réparée, et le Comte avait fait modifier les appartements de son épouse pour pouvoir accueillir le bébé. Quelques cloisons avaient été bousculées afin d’installer une nurserie mitoyenne à la chambre. D’ailleurs, Gontrand avait déjà pris des contacts avec plusieurs femmes du village afin de sélectionner la Nounou qui serait chargée de l’enfant.
Au moment de partir, c’est Sophie qui accompagna Amaury jusqu’aux dépendances, où ils purent échanger quelques baiser brûlants…
Le jeune Lieutenant, impatient de retrouver sa mère, poussa un peu sa monture sur la courte distance qui le séparait du château.
Quand il entra dans la cour principale, Géraldine lui fit signe d’aller vers les écuries. Aussitôt qu’il fut descendu de cheval, elle sauta dans ses bras et l’embrassa à pleine bouche. Comme son fils regardait autour de lui pour voir si personne ne les observait, elle lui dit :
• Caresse moi, embrasse moi… Aymard est parti avec le lad et un bûcheron pour voir comment aménager un chemin pour aller dans ma foret…
• Mère, tu es bouillante, j’espère que tu me rejoindras cette nuit …
la Marquise souleva le devant de sa robe et découvrit le triangle sombre de sa vulve en disant :
• Cette nuit, mais aussi maintenant… regarde, je suis déjà prête pour toi, je n’ai pas mis de culottes … Viens lécher mon trésor …
Amaury s’agenouilla devant la brune et posa sa bouche sur la vulve offerte. Sa langue caressa le clitoris qui gonflait à vue d’œil e sa main caressait l’intérieur de la cuisse, remontant jusqu’à la fente déjà brûlante. Géraldine passa une jambe sur lépaule de son fils et s’adossa contre la cloison d’un box en caressant la tête du jeune mâle.
• Oui mon amour,viens, pénètre moi fort …
Amaury passa son bras libre derrière l’autre jambe et souleva sa mère. Lorsque son pied quitta le sol, elle s’accrocha à son cou et écarta largement les jambes. Complètement redressé, le garçon déboutonna sa braguette et sortit sa virilité tendue avec difficultés et s’enfonça dans la féminité qui ruisselait de cyprine.
Se sentant envahie, Géraldine poussa un grognement profond, et se mit à gémir à chaque coup de reins de son fils. Le garçon tenait les jambes de sa mère relevées très haut et on aurait dit qu’il voulait la planter contre la cloison avec sa verge. Très rapidement, la marquise assoiffée de sexe fut submergée par un énorme orgasme, arrosant le pantalon de son fils de sa cyprine… Le jeune mâle à son tour se laissa emporter et dévora la bouche de sa mère, encore toute essoufflée…
Lorsqu’il reposa la femme sur ses pieds, ils restèrent interdits, aux aguets, car ils avaient entendu quelqu’un entrer dans l’écurie… la vois d’un homme dit :
• Viens par la, j’ai très envie de te fourrer
• Hmmm, j’en ai fort envie moi aussi … tiens, mettons nous là
• D’accord, regarde ça te plait ma façon de soulever mon jupon ?
• Oui, c’est excitant
• Et mon cul, tu le vois bien ? Il te plait mon cul ?
• Oui, regarde ce que je vais mettre dans ta fente, ça te plait aussi ?
• Joli morceau. Vas y, enfonce moi …
Puis le dialogue laissa la place aux gémissements de la fille et aux grognements de son partenaire. La mère et le fils, s’approchèrent de la stalle où se déroulait la scène, et regardèrent discrètement. Edgar, pourtant marié à la cuisinière, besognait la jeune Émeline avec ardeur, faisant claquer son ventre contre les fesses de la jeune fille.
Amaury entraîna sa mère qui semblait fascinée par le spectacle. Discrètement, ils quittèrent les lieux et se dirigèrent vers les appartements du garçon pour qu’il se change.
A peine eut il posé son pantalon, que sa mère releva sa robe et se mettant à quatre pattes sur le tapis, demanda d’une voix geignarde.
• Viens, prends moi encore très fort, j’ai envie de sentir ton sperme au fond de moi…
• Ne crains tu pas que je t’engrosse ?
• Non, vas y ... la faiseuse d’anges m’a donné des herbes pour que je ne risque rien ...
Amaury prit sa mère par les hanches et s’enfonça comme une brute dans la gaine ruisselante. Tout en la besognant, il détacha la robe de la femme et la fit passer par dessus sa tête avec son chemisier. Il enleva rapidement sa veste et sa chemise et colla sa poitrine contre le dos de sa mère. Puis il prit les seins à pleines mains et dit :
• Mère, ta peau est douce et tes seins sont merveilleux …
• Je te sens bien mon chéri, enfonce toi fort, encore encore viens tout au fond …
Amaury accéléra en faisant taper fort son ventre contre les fesses de sa partenaire… Lorsqu’il se crispa en vidant ses bourses dans la féminité de sa mère, elle poussa un long gémissement et se laissa glisser sur le ventre…
• Si je ne prenais pas les herbes, ce coup m’aurait fait un enfant…
• Sais tu que Sophie est grosse ?
• Merveilleux. Mon fils est l’étalon de la province …
• C’est peut être plus vrai que tu ne penses. Lors des obsèques de Caroline, j’ai forniqué avec Isabelle et avec sa Mère…
• Avec sa mère !
• Oui, elle est veuve depuis longtemps, et elle est venue dans ma chambre me solliciter …
• Je vois ça, et avec ta générosité naturelle tu l’as comblée…
• Oui,j’avoue…
• Bah, tant que tu me donnes autant de plaisir, je ne dis rien …
Les deux amants se sont décollés l’un de l’autre dans un bruit de succion, et il se sont rendus sous la douche pour laver la transpiration dont ils étaient couverts … Géraldine caressa tout le corps de son fils, puis lui tournant le dos, elle prit appui sur le mur et se cambra en tournant son dos vers lui en disant :
• Prend moi encore, je ne peux pas me passer de ta virilité …
Amaury fit la fine bouche, mais reprit la femme très fort en la tenant par la taille… Sa mère le fit exploser rapidement en contractant son vagin en cadence à chacune des pénétration.
Une fois lavés, ils gagnèrent le grand salon où la marquise s’installa au piano, pour jouer une romance.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Et bien la marquise en veut toujours plus le malheureux Amaury va être épuisé on oublie l’inceste malgré que tu nous le rappel
Daniel



Texte coquin : Le Jeune Marquis (32/x)
Histoire sexe : Une rose rouge
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