Le Jeune Marquis (33/x) - histoire érotique

Lorsque Aymard revint de la foret, il expliqua à son fils comment il souhaitait aménager le nouvel accès dans le bois. Il ajouta que le téléphone serait installé dans le mois suivant au château. Ensuite, il informa le jeune homme qu’il avait rendu visite aux parents de Caroline et que ceux ci seraient ravis d’avoir sa visite.
• Voilà de bonnes nouvelles Père, nous pourrons mieux profiter de la forêt. Pour ce qui concerne mes beaux-parents, je prendrai la route du retour demain matin et je pousserai jusqu’au manoir des Plessis Ricourt pour un ou deux jours avant de regagner l’escadron.
• Veux tu que je t’accompagne Amaury ?
• Non merci Mère, j’irai plus vite à cheval
• Comme tu voudras ...
le repas du soir se déroula dans un ambiance familiale et Aymard déplora une fois de plus la disparition de Caroline et surtout de son bébé. Géraldine acquiesça, mais elle en profita pour dire que, malgré son veuvage, leur fils était assez jeune pour chercher un autre parti susceptible de donner le jour à un héritier. En disant ça, elle lança un clin d’œil au jeune homme sans que son époux puisse s’en rendre compte.
Aymard et Amaury, se retirèrent dans le petit salon pour prendre un digestif et pour que le garçon lui donne des informations sur le sixième Dragon. Ils se séparèrent de fort bonne humeur et regagnèrent leurs appartement respectifs.
En entrant dans ses appartements Amaury trouva au sol un robe de chambre de sa mère, se dirigeant vers sa chambre, il trouva un déshabillé vaporeux bleu nuit. En entrant dans la chambre il trouva une longue culotte fendue, et levant les yeux, il découvrit la Marquise complètement nue alanguie sur son lit...
• Hmmm, Mère, vous êtes une ogresse …
• C’est toi qui me rends ogresse. Avant ton mariage, j’ai voulu t’apprendre les bases d’une sexualité normale, mais tu m’as envoûtée. Tu as réveillé ma libido que ton père avait endormie, et ton sexe a fait le reste. Le plaisir que je ressens lorsque tu es en moi est tellement fort que je ne trouve pas de mots pour l’exprimer. Dans tes bras et sous tes assauts intimes, j’oublie tout … Je sais que notre société interdit ces rapports incestueux, mais je m’en moque. Tu es l’Amant avec un grand A, dont je rêvais. Tu es le mâle dont j’ai envie, mon mâle. J’espère que tu te mariera avec Sophie, que je trouve plus attirante que n’importe quelle autre femme, et que vous m’accepterez toujours dans vos jeux. Je suis folle, mais je t’aime à en mourir …
Pendant cette tirade, je jeune marquis s’était déshabillé et sa verge dodelinait déjà devant lui.
• Moi aussi Mère, je suis assoiffé de toi. T’entendre me dire ton amour et voir ton corps de déesse qui attend mes caresses me fait bander.
Il s’approcha du lit et posant un genou sur la couche près d’elle il caressa doucement son ventre. La peau de la femme brune était douce comme de la soie. La main remonta sur la poitrine et il caressa les seins gonflés, titillant leurs tétons dressés. Il posa de doux baisers sur les pointes dures et sa main descendit sur la toison sombre. Sa main glissa entre les cuisses que la femme écartait pour faciliter la caresse. Les doigts agiles glissèrent sur l’intérieur d’une cuisse douce jusqu’au genou et remontèrent le long de l’autre cuisse effleurant la vulve.
Géraldine prit la main et la posa sur son pubis en grognant. Amaury caressa légèrement le clitoris gonflé et fit remonter sa main sur le ventre de sa mère. Il caressa, les flancs de la femme, englobant un sein de sa main en coupe, puis tirant un peu sur le côté, il fit rouler sa partenaire sur le ventre.
Le garçon posa un doux baiser sur la nuque de sa mère tout en caressant ses épaules et son dos. Sa main descendit sur les fesses rondes, les massant lentement. Lorsque les doigts du garçon toucha le début du sillon fessier, la Marquise écarta les jambes et se cambra. Le doigts du jeune Marquis glissèrent dans le sillon, effleurant les lèvres humides jusqu’au clitoris gonflé. De son médius, le garçon appuya sur les lèvres intimes qui s’écartèrent sous la pression. Géraldine gémit et prit ses fesse de ses deux mains pour les écarter.
Les doigts du garçon remontèrent sur le dos et la femme poussa un soupir de déception. Amaury, caressa doucement le dos de sa mère qui commençait à se couvrir de fines perles de sueur. Il posa à nouveau un baiser sur la nuque de la femme, puis déposa une chaîne de baisers tout au long de la colonne vertébrale, jusqu’aux fesses. Géraldine écarta à nouveau les deux lobes de son fessier et son fils lécha le début du sillon fessier sans aller plus loin.
Comme la Marquise gémissait son approbation, le jeune mâle posa sa main sur l’intérieur de la cuisse et caressa les lèvres intimes du bout des doigts. Géraldine gémissait et sa respiration semblait devenir plus difficile. Amaury caressa les lèvres intimes maintenant mouillées de son pouce. Délicatement il commença à appuyer sur l’entrée du vagin et enfonça lentement le pouce au plus profond. La femme brune, poussa un long grognement de jouissance et sa tête retomba sur l’oreiller où elle poussa un hurlement de plaisir.
Après quelques secondes d’éblouissement, elle roula sur le côté, le souffle court et dit :
• Comment veux tu que je ne sois pas folle de toi ? Tes caresses m’emmènent dans les nuages. Tu peux faire de moi tout ce que tu veux, je suis à toi ...
• Géraldine, te caresser est aussi un très grand plaisir pour moi. Passer mes mains sur les rondeurs de ton corps sur la douceur de ta peau, est un privilège.
• Oui mon fils, à part Sophie et parfois Émeline, quand tu me manques trop, tu es le seul à me caresser. Il n’y a que toi qui me donnes autant de plaisir, et tu es le seul à me pénétrer. Si le risque n’était pas si grand, je voudrais que tu me fasses un enfant, plein d’enfants …
La Marquise s’était allongée sur le dos, posant ses mains derrière ses genoux elle releva les jambes en les écartant au maximum et dit :
• Viens ! Je veux te sentir au fond de mon ventre, je suis toute à toi …
Amaury s’allongea sur sa mère et lui donna un baiser brûlant, la femme ondula en le tirant sur elle jusqu’au moment où elle sentit la virilité contre ses lèvres intimes
• Prend moi mon amour, ton sexe est devenu énorme, mais c’est comme ça que je l’aime… Viens !
Je garçon s’enfonça lentement dans le vagin maternel jusqu’au moment où il sentit son gland toucher le fond. Géraldine poussa un glapissement et se mit à vibres. Le garçon se mit alors a faire de profonds va et viens en accélérant peu à peu. Soudain, la femme attrapa l’oreiller pour le poser sur sa bouche et hurla son plaisir en contractant son vagin.
Amaury qui reprenait ses pénétrations sentit que la gaine brûlante de sa mère serrait très fort son membre gonflé, comme si elle le suçait. Il essaya de se retirer mais chaque mouvement provoquait un nouvel orgasme de sa partenaire…
Lentement, il fit glisser son index le long de sa verge distendant le vagin de la femme. Celle ci poussa un gros soupir et il put enfin se libérer.
• Merci mon fils, je n’ai jamais joui aussi fort, tu me tues d’amour…
Le garçon s’allongea près de sa mère et tira sur eux le couvre lit qui était repoussé au pied du lit. La femme se lova dans ses bras et ils s’endormirent d’un sommeil réparateur.