Le Jeune Marquis (34/x)

- Par l'auteur HDS MaitreChat2 -
Auteur homme.
  • • 45 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de MaitreChat2 ont reçu un total de 79 705 visites.
Récit libertin : Le Jeune Marquis (34/x) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 726 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Le Jeune Marquis (34/x)
Le lendemain, Amaury quitta le château pour se rendre chez ses beaux parents, au château des Plessis Ricourt. Le temps était clément et le cavalier et sa monture purent prendre quelques galops qui leur permirent d’effectuer le trajet rapidement. Dans l’après midi, le Jeune Marquis confia son hongre à un lad qui promit d’en prendre grand soin, puis il se dirigea vers le majestueux bâtiment principal.
Dans le hall, il trouva le Comte Charles qui l’accueillit à bras ouverts et le remercia de venir les voir. Quand la Comtesse arriva, elle se précipita au cou du Lieutenant et se mit à pleurer à chaudes larmes…
Ils passèrent au salon où le Comte servit les apéritifs, puis il parla du domaine et des coupes de bois qu’il avait programmées. La Comtesse annonça que son époux se renseignait pour faire installer le téléphone, car ils se sentaient un peu isolés. Amaury leur annonça que son père avait fait les démarches, et que l’installation devait se faire dans le mois suivant. Charles avoua que l’idée lui avait été soufflée par Aymard, et qu’il en était ravi … le temps passa agréablement jusqu’au moment du dîner.
Pendant le repas, Charlotte, de gros sanglots dans la voix, évoqua les aménagements qu’ils avaient commencés pour recevoir le bébé de Caroline.
A la fin du repas, Charles proposa un digestif, puis se retira dans ses appartements, laissant son épouse et son gendre parler de ces aménagements.
Quand Amaury voulut se retirer, la Comtesse lui dit de laisser sa monture à l’écurie car elle allait l’accompagner avec son petit cabriolet.
Arrivés au pavillon du lac, la femme le suivit à l’intérieur et se blottit à nouveau dans ses bras en pleurant.
• Je suis complètement bouleversée. J’attendais avec une énorme impatience, cet enfant que tu avais fait à ma fille … Elle n’est plus là pour me consoler et me donner le plaisir que Charles me refuse… Mes nuits sont un désert …
• Vous partagiez vos nuits avec Caroline ?
• Oui, très souvent, c’est moi qui lui ai enseigné tous les plaisirs saphiques. Puis sa cousine Isabelle est venue et je lui ai appris aussi à faire l’amour aux femmes … Nous avons joui toutes les trois, sans plus nous occuper des hommes qui ne venaient pas vers nous. Puis il y a eu le mariage arrangé par Charles et ton père, et enfin toi. Tu nous a prises toutes les trois sans ménager tes efforts et nous avons joui comme des folles, depuis je t’attends …
• Certes, mais je ne suis que votre gendre, et mes nuits sont occupées par mon escadron et cette guerre …
• Je sais bien, mais je voudrais te demander une faveur …
• Si ça m’est possible, je le ferai …
• Fais moi l’amour ! Je veux que tu me fasses jouir très fort, et surtout que tu me fasses un enfant
• Mais si je vous fais un enfant, que dira Charles ?
• Au début, vu mon âge, il se demandera qui est responsable de ce miracle, et je ne le lui dirai pas. Ensuite, il sera ravi, car sans y paraître, il est dévasté par la mort de ton épouse. Il retrouvera un enfant héritier…
Elle entraîna le jeune homme vers sa chambre, puis se couchant sur le lit toute habillée, elle retroussa sa robe jusque sous son menton et écarta les pans de sa culotte longue en disant :
• Prend moi comme tu veux, mais fais moi un enfant !
Amaury s’approcha du lit et se déshabilla en fermant les yeux pour penser au corps de Sophie et aux formes de sa mère. Une fois nu, il se plaça entre les jambes de la femme sans rien dire et commença à se branler. Il fit défiler dans ses pensées les femmes qu’il avait honorées récemment, Isabelle, Sophie, Amélie, Géraldine et se mit à bander très fort. Pendant qu’il se branlait, Charlotte se caressait et triturait son clitoris en gémissant. Lorsqu’il vit la cyprine s’écouler le long de la fente de la femme qui attendait, il se coucha sur elle et la pénétra profondément.
Au bout de quelques minutes il éjacula, faisant couiner sa partenaire de plaisir. Puis il la fit mettre en levrette et la besogna comme un forcené. Charlotte glapissait à chaque fois que la virilité de son amant tapait au fond de son vagin. Elle jouit à plusieurs reprises sans que son fornicateur ne faiblisse, puis Amaury se figea enfoncé au plus profond de sa partenaire et se vida en une puissante et longue éjaculation…
La Baronne se laissa glisser sur le ventre en haletant. Le jeune mâle se leva et gagna la salle d’eau pour se préparer pour la nuit. Quand il revint de sa toilette, Charlotte était assise sur le bord du lit, rayonnante.
• Merci mon gendre, j’ai joui comme une folle et je suis certaine que tu m’as engrossée. Je suis dans ma période la plus fertile et je sens que ça va marcher…
• Vous m’en voyez ravi belle maman …
• J’espère que nous recommencerons ce délicieux exercice, que je sois grosse ou pas …
• Peut être en aurons nous l’occasion. J’ai décidé de m’installer dans notre château qui est plus près de mon casernement, mais je viendrai vous voir de temps en temps …
• je te remercie et je compte sur toi si toutefois ça n’a pas marché cette fois ...
La Baronne prit congé avec un petit sourire satisfait et Amaury put enfin dormir.

Au petit château des Ferrand de Sabran, la soirée se terminait après un repas léger et délicieux. Les deux femmes s’étaient retirées dans le petit salon où Amélie avait mis un disque de musique douce sur le phonographe.
• Alors ma fille chérie, comment s’est déroulé ton retour dans ton unité ?
• J’apprends à conduire un véhicule automobile. Mes supérieurs ont décidé de faire de moi un chauffeur infirmier. Je serai chargée du convoyage des blessés graves du front vers l’hôpital militaire de Versailles
• Tu passeras donc moins de temps au front ?
• Oui, et je pourrais rentrer te voir plus souvent comme aujourd’hui
Isabelle assise à côté de sa mère s’approcha tout contre elle, passa un bras sur ses épaules et posa un petit baiser sur sa joue avant de dire :
• Je voulais te poser une question, ma délicieuse petite maman. Que penses tu de cette expérience avec le vigoureux Amaury ?
• J’en suis encore toute tourneboulée. Depuis la mort de ton père, ma libido était en sommeil et je la croyais définitivement éteinte. Quand ce beau mâle m’a prise avec son membre dur, ça a été comme un feu d’artifice dans ma tête et dans mon bas ventre…
• Tu vois que j’avais raison, il fallait l’essayer …
• Oui, j’avoue que tu avais totalement raison. Il m’a fait jouir comme ton père, que j’aimais pourtant énormément, ne l’a jamais fait.
• Le souvenir doit être très fort, tu vibres sous mon bras …
• Oui, je suis en train de mouiller ma culotte … et mes seins durcissent …
• Fais voir …
Isabelle passa sa main sous la robe de sa mère et la fit remonter jusqu’en haut des cuisses écartées
• C’est vrai, tu es trempée et je suis certaine qu’il en faudrait peu pour te faire jouir…
• Oui, sans doute … Si Amaury était là, je lui sauterais dessus...
Isabelle caressait la vulve de sa mère, lui arrachant des petits gémissements
• Tu es toute mouillée maman, je vais te dévorer
• Non Isabelle, pas ici, il ne faut pas !
La jeune femme glissa au bas du canapé et passa sa tête sous la robe de sa mère. Lorsqu’elle posa sa langue gourmande sur la fente ruisselante, Amélie serra les cuisses et souffla
• Non, je t’en prie, les domestiques vont nous entendre …
• Alors viens !
Isabelle se redressa et prenant la main de sa mère, elle l’entraîna vers sa propre chambre. Lorsque la porte fut fermée, elle colla son aînée contre son ventre et lui donna un baiser brûlant. Elle passa les mains dans le dos de sa mère et défit tous les boutons de la robe et la fit tomber à leurs pieds. La faisant se retourner, elle délassa le corset blanc et libéra la petite poitrine encore haute. Elle prit les seins à pleines mains et titilla les pointes dures.
Amélie avait fermé les yeux et laissait faire sa fille en gémissant doucement. Isabelle l’embrassait dans le cou et caressait tout le corps, allant sur le ventre, sur les flancs, descendant sur les fesses. Profitant de sa position, elle fit glisser la culotte longue sur les jambes et remonta sa main entre les cuisses de la femme. La mère s’était mise à ronronner en écartant légèrement les cuisses…
Isabelle se décolla de sa mère et la poussa doucement vers le lit. En quelques mouvements rapides, elle se déshabilla puis rejoignit sa mère sur le lit. Après l’avoir caressée sur tout le corps, elle se glissa entre ses jambes et posa sa bouche sur la vulve chaude. Amélie, poussa une longue plainte et écarta ses cuisse au maximum. La jeune femme, habituée aux caresses saphiques ne tarda pas à provoquer un gros orgasmes chez son aînée. Amélie, hors d’haleine attira sa fille sur son ventre palpitant. Glissant une jambe entre celles de la jeune fille, elle frotta sa vulve trempée contre celle de sa partenaire, lorsque Isabelle roula sur le dos, Amélie saisit sa cuisse et se mit a agiter son bassin jusqu’à ce qu’elles jouissent ensemble dans un feulement grave. Elle se coucha sur le ventre de sa fille et après lui avoir dévoré la bouche elle lui dit :
• je t’aime ma fille. J’espère qu’Amaury nous a engrossées toutes les deux. Tu n’as jamais éprouvé ça, mais sentir un enfant bouger dans son ventre, c’est extraordinaire.
• Nous partagerons Amaury, j’aime vraiment sentir sa grosse verge dure au fond de moi. Tante Charlotte m’a appris à aimer les femmes et maintenant je t’ai. Amaury m’a appris à aimer les hommes et il m’a donné plein d’idées…
• Quand j’ai vu la grosseur de sa virilité dans ton vagin, je mouillais, et j’avais peur qu’il me déchire, mais quand il m’a pénétrée, ce n’était que du plaisir…
Isabelle glissa vers le bas du lit en posant des baisers sur la poitrine et sur le ventre de sa mère, puis elle enfonça deux doigts dans le sexe encore ruisselant. Après quelques va et viens, elle ajouta un doigt puis, comme elle avait des mains fines, elle fit entrer toute sa main dans le vagin de sa mère qui gémissait en l’encourageant :
• Ouiiii, ta main est juste comme la queue d’Amaury vas y …
Isabelle accéléra jusqu’au moment où sa mère poussa un énorme feulement en projetant ses jambes en l’air. La jeune femme sortis sa main et sa mère attrapa son poignet pour sucer ses doigts un par un.
Reprenant son souffle, elle donna un baiser à sa fille et glissa vers le bas de son ventre pour lui dévorer l’entre cuisses. Isabelle écarta ses jambes en les tenant derrière les genoux. Les caresses buccales d’Amélie étaient un peu maladroites mais Isabelle eut quand même un bel orgasme…
Les deux femmes, transpiraient à grosses gouttes. Amélie se lova contre sa fille et tira la couvertures sur elles. Après un baiser brûlant, elles s’endormirent dans les bras l’une de l’autre, une jambe entre les cuisses de l’autre.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Toutes ces femmes dites de noblesse ne pensent plus qu’aux plaisirs saphiques ou de se faire forniquer voir engrosser par Amaury c’est plaisant à lire



Texte coquin : Le Jeune Marquis (34/x)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par MaitreChat2

Le Jeune Marquis (28/x) - Récit érotique publié le 30-03-2025
Le Jeune Marquis (37/x) - Récit érotique publié le 26-03-2025
Le Jeune Marquis (36/x) - Récit érotique publié le 25-03-2025
Le Jeune Marquis (35/x) - Récit érotique publié le 24-03-2025
Le Jeune Marquis (34/x) - Récit érotique publié le 22-03-2025
Le Jeune Marquis (33/x) - Récit érotique publié le 19-03-2025
Le Jeune Marquis (32/x) - Récit érotique publié le 17-03-2025
Le Jeune Marquis (31/x) - Récit érotique publié le 16-03-2025
Le Jeune Marquis (30/x) - Récit érotique publié le 14-03-2025
Le Jeune Marquis (29/x) - Récit érotique publié le 12-03-2025