Le Jeune Marquis (35/x)

- Par l'auteur HDS MaitreChat2 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Le Jeune Marquis (35/x) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le Jeune Marquis (35/x)
Les semaines passèrent et les parties de jambes en l’air semblaient presque être une routine. Géraldine dévorait son fils à chaque visite et Sophie qui s’était bien arrondie à la grande joie de Gontrand, profitait parfois de la virilité de son amant malgré sa grossesse.
Isabelle et Amélie, avaient découvert l’absence de leurs règles avec une grande satisfaction et elles partageaient dorénavant le même lit lorsque le Sergent Conducteur Infirmier était au domaine, peuplant leurs nuits de plaisirs saphiques faute de mâle performant.
Charlotte elle aussi était enceinte et avait avoué un amant de passage au Comte Charles, qui après une grosse colère avait été calmé par les propos cinglants de la Comtesse, qui l’avait remis à sa place et l’avait même traité d’impuissant. A la réflexion, le Comte Charles du Plessis Ricourt était ravi de voir que son épouse, presque quinquagénaire, lui fabriquait un héritier. Il pria pour que ce soit un garçon.
Au Château des Brochant de l’Herbier Mouchet, Aymard avait fait bâtir un chalet en rondins dans la forêt de son épouse dès que les chemins avaient été empierrés pour laisser passer le cabriolet de Géraldine.
Un matin, Amaury arriva au château familial de bonne heure, car il avait passé la nuit précédente chez Gontrand et Sophie Périn de Ferrières. La jeune femme avait voulu que son amant lui fasse l’amour, bien qu’elle soit proche de son terme, et Amaury l’avait complètement satisfaite en la prenant en levrette avec une grande douceur …
En entrant dans l’écurie pour laisser sa monture au palefrenier, Amaury trouva son père qui s’apprêtait à partir à la préfecture pour assister à la prise de fonction du nouveau Préfet qui se trouvait être un de ses amis.
Aymard manifesta sa joie de voir son fils pour une longue permission et lui annonça que sa mère était partie au pavillon de la forêt pour vérifier les derniers aménagements.
L’homme parti, le jeune homme gagna ses appartements pour se changer, puis il revint à l’écurie où le jeune palefrenier lui avait sellé une autre monture, et prit le chemin du pavillon de la forêt. Changeant d’avis en cours de route, il se dirigea d’abord vers le pavillon de l’étang, car il voulait traverser avec la barque qu’il avait fait livrer. Il dessella sa monture, et la laissa dans une petite prairie fermée pour qu’elle puisse brouter.
En se dirigeant vers le ponton, il entendit une voix de femme l’appeler.
• Monsieur le Marquis !
• Ah c’est vous Émeline …
• Madame la Marquise est au pavillon de la forêt, elle va être ravie de vous voir … vous lui manquez beaucoup
• Je serai aussi très heureux de revoir Mère
• Je me permet de vous présenter mes condoléances Monsieur le Marquis.
• Merci Émeline
• J’ai appris votre veuvage, et j’imagine que c’est éprouvant pour vous. Je pense qu’un bel homme comme vous, doit se sentir frustré…
• Frustré ?
• Oui, à votre âge un homme a des besoins très puissants, et vous retrouver seul doit être difficile … Mais je bavarde … voulez vous que je vous serve un rafraîchissement
• C’est ma fois une bonne idée …
Ils entrèrent dans le pavillon et la servante se dirigea vers la cuisine pour servir le jeune homme. Amaury avait suivi la soubrette et s’était installé sur un tabouret près de la table.
• J’aurais pu vous servir au salon Monsieur …
• vous savez Émeline, je suis un militaire et je partage le quotidien de mes hommes au plus près
• Au plus près ? J’aimerais bien être militaire …
• Ah, vous aimeriez que je sois plus près de vous ?
• Dame, vous êtes un for bel homme, et je suppose que même sans uniforme vous êtes charmant …
Lorsque la jeune femme s’approcha pour le servir, elle se pencha pour offrir une vue privilégiée sur son décolleté. Amaury se pencha sur la poitrine de la jeune fille en posant une main sur sa cuisse et dit :
• Ma foi, vous aussi êtes fort séduisante
Il prit la taille de la fille et la fit asseoir sur son genou en riant.
• Ça va comme ça, c’est au plus près ?
• Hum oui, c’est pas mal …
Amaury passa sa main sous la jupe de la fille et la reposa sur le genou
• Tu as la peau très douce …
• On me l’a dit, et on m’a dit aussi qu’elle est encore plus douce un peu plus haut…
Le garçon fit remonter sa main et s’arrêta sur la toison de la jeune fille
• Oh ! Tu n’as pas de culotte !
• J’ai du oublier de la mettre ! Excusez moi Monsieur ...
• Tu es pardonnée, ce qu’il y a là me semble tout à fait intéressant …
Comme Émeline écartait les jambes Amaury commença à caresser sa fente déjà bien humide. La fille descendit des genoux et s’agenouilla devant le garçon. Détachant sa ceinture, elle ouvrit le pantalon tendu par le membre qui gonflait, et le prit en bouche… En le suçant, elle fit descendre le pantalon jusqu’aux pieds, puis, elle se redressa et chevaucha le jeune mâle.
Lorsque la jeune soubrette s’empala sur le vit du Jeune Marquis, elle poussa un profond gémissement de satisfaction. Amaury la souleva et l’allonges à plat dos sur la table…
• Monsieur le Jeune Marquis est vraiment un très bel homme, il me remplit de plaisir …
Le jeune Lieutenant la besogna un peu plus fort, s’enfonçant totalement dans la féminité mouillé. Émeline gémissait à chaque pénétration profonde, et fut surprise par un violent orgasme. Retrouvant doucement son calme, elle dit d’une vois un peu tremblante :
• Merci Monsieur le Marquis, vous m’avez comblée… Monsieur le Marquis peut faire appel à moi quand il veut… J’aurais grand plaisir à lui rendre service …
Amaury quitta la cuisine et se rendit dans la grande salle de bain pour faire quelques ablutions, puis il retourna sur le ponton. Il inspecta la barque qu’il avait achetée et que l’artisan avait amarrée au ponton. Il grimpa dans la barque et s’employa à ramer pour rejoindre l’autre rive.
Le Jeune Marquis chemina dans le bois en emplissant ses poumons du bon air de la forêt. Il arriva au pavillon et en fit le tour, surpris des dimensions de la construction de bois. Quand il pénétra dans l’entrée, il constata que l’ameublement avait été mené bon train.
Voulant surprendre sa mère, il passa de pièce en pièce sur la pointe des pieds, dans la cuisine il vit Géraldine penchée sur un coffre contenant de la vaisselle. Silencieusement, il se plaça derrière elle, puis passant ses mains sous les bras de la femme, il prit ses seins à pleines mains et appuya son pubis sur les fesses tendues.
• Bonjour Mère souffla t il à son oreille
• Bonjour mon amour, je me languissais de toi
Comme Amaury commençait à caresser son ventre en se frottant contre elle, mais elle lui dit à voix basse :
• Arrête, il y a un ouvrier dans la pièce à côté !
À cet instant il entendit l’homme appeler
• J’ai terminé Madame Brochant, avez vous encore besoin de quelque chose ?
Passant la main derrière elle, elle saisit la virilité de son fils qui commençait à grossir et souffla à son jeune amant :
• c’est de ça dont j’ai besoin
Puis elle répondit à l’ouvrier :
• Non, je vous remercie… Oh si, attendez, je voudrais que vous veniez fixer une petite étagère ici
L’artisan entra dans la cuisine avec sa caisse à outils quelques secondes après et salua le jeune Marquis avec déférence, puis il mit seulement quelques minutes pour fixer l’étagère et prit congé en recommandant à Géraldine de ne pas hésiter à faire appel à lui pour d’autres travaux. Lorsque l’homme démarra avec sa charrette, Amaury prit sa mère contre lui et lui donna un baiser brûlant en la prenant par les fesses pour la soulever.
La Marquise dévora la bouche de son fils et entoura sa taille de ses jambes
• J’ai très envie que mon mâle préféré me fasse l’amour … Tu es déjà dur comme du bois, je vais me régaler…
• Attend, ta jupe me gène … fit il en la reposant au sol
• Viens, je vais te montrer ma pièce préférée. J’ai fait faire un bain comme dans le pavillon de l’étang. Il est plus petit, et je l’ai fait mettre en chauffe tout à l’heure. L’eau doit être parfaite pour nous...
Tenant son fils chéri par la taille, elle l’entraîna vers la salle d’eau.
• Tu vois, le bain est plus petit, mais nous pouvons aisément y tenir à deux et même à trois, si on se serre un peu…
Il la reprit contre lui et déboutonna son corsage, en l’ouvrant, il resta interdit et demanda :
qu’est ce que c’est ,
• Un soutien gorge, c’est tout nouveau. C’est fait pour soutenir la poitrine
• Mais tes seins n’ont pas besoin de ça, ils sont de marbre couverts de soie…
Elle finit de poser son chemisier et passant ses mains dans son dos, elle dégrafa le sous-vêtement et libéra se seins avec une lenteur calculée en ondulant. Puis elle défit l’attache de sa jupe qui glissa à ses pieds et apparut dans une belle culotte courte jaune très clair…
• Oh ! Encore une délicieuse nouveauté …
• Oui, j’achète de jolis choses pour que mon jeune amant continue à me désirer ...
• Tu sais que tu n’as pas besoin de ça pour que je te désire très fort. Même si tu étais habillée en religieuse, je te ferais l’amour avec autant d’empressement…
Géraldine s’approcha et déboutonna la chemise du garçon avant de la jeter au sol. Elle détacha la ceinture et fit glisser pantalon et caleçon d’un même geste en s’accroupissant devant son fils. Pendant quelques secondes, elle regarda amoureusement la verge tendue qui dodelinait devant ses yeux :
• Qu’elle est belle ! Je crois que je rêve de ton sexe depuis que je suis petite...
Prenant le membre dans sa main, elle commença à le branler lentement.
• Elle est chaude, elle est longue, elle est dure, elle est grosse … Quand elle est dans mon ventre et qu’elle tape au fond de mon vagin, je me sens entière, tout mon corps vibre et soudain tout explose ... Une immense lumière dans ma tête, un volcan dans mon ventre, je manque d’air et pendant quelques secondes, je perds tout sens des réalités … Je traverse l’infini à toute vitesse...
Amaury la fit se relever, et lui donna un baiser volcanique, tenant son visage contre le sien. Lentement, ses mains glissèrent sur les épaules de sa mère, puis sur ses flancs, pour enfin empaumer les fesses…
• Elle est fendue comme les autres ta jolie culotte ?
• Oui, bien-sur, la porte est ouverte pour mon amant ... Viens !
Le jeune homme la souleva contre sa poitrine et la laissa redescendre lorsque la femme eut enserré sa taille de ses jambes. Quand Géraldine sentit le membre dur investir son intimité, elle gémit les dents serrées. Sa féminité ruisselait de cyprine, tant elle était émue d’avoir avoué ses sensations à son fils. Amaury donna quelques coups de reins, et la femme se sentit exploser, comme elle l’avait décrit …

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
On continue dans le sexe apparemment Amaury est toujours pret et chargé. Sa descendance illégal s’agrandi attention aux petites bonnes. Daniel



Texte coquin : Le Jeune Marquis (35/x)
Histoire sexe : Une rose rouge
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